Les vaccins contre le coronavirus d'un point de vue spirituel - Thomas Mayer - E-Book

Les vaccins contre le coronavirus d'un point de vue spirituel E-Book

Thomas Mayer

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Beschreibung

Les vaccins contre le coronavirus d'un point de vue spirituel Effets sur l'âme et l'esprit et la vie après la mort La vaccination est un sujet qui divise l'opinion depuis longtemps. Aujourd'hui, dans le contexte du Covid-19, ce débat s'est encore polarisé. Illustré tout au long de l'ouvrage par des photos en couleur, « La vaccination contre le coronavirus d'un point de vue spirituel » présente des faits scientifiques, mais aussi des recherches qui nécessitent des méthodes relevant de la science de l'esprit. Dirigé par Thomas Mayer, l'auteur principal, le volume rassemble des rapports, des expériences et des commentaires de plus de cinquante contributeurs dotés de capacités de clairvoyance et de perception psychique. D'après leurs observations, les vaccins contre le Covid ne sont pas d'« inoffensives piqûres », mais des interventions potentiellement violentes dans les structures subtiles du corps, de l'âme et de l'esprit humains. Ils ont même des implications pour la vie d'un individu au-delà de la mort : au lieu d'évoluer dans l'au-delà, l'âme pourrait rester liée à la Terre et souffrir profondément. Bien que les conclusions de ce livre puissent paraître alarmantes, l'intention de l'auteur n'est pas de susciter la peur. Il cherche seulement à fournir des informations utiles et à éclairer le lecteur, en montrant comment les personnes vaccinées et les non-vaccinées peuvent aborder ce sujet de manière consciente, courageuse et avec de l'espoir pour l'avenir.

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« On vaccinera les hommes contre leur penchant pour la spiritualité. »

« On confiera aux médecins matérialistes le soin d’expulser les âmes hors de l’humanité. »

Rudolf Steiner Extrait des conférences données le 6 novembre 1917, GA 178, et le 7 octobre 1917, GA 177.

Sommaire

Invitation à la lecture

Préface

Partie 1 : Perceptions

Idées de base

Ce qui est visible physiquement

Recherche suprasensible

Observations suprasensibles sur des personnes vaccinées

Observation des vaccins

Vaccinations contre le coronavirus de nature spirituelle

Dommages causés par les médicaments sur la vie après la mort

Dommages causés par le vaccin contre le Covid sur la vie après la mort

Vision suprasensible du Covid-19

Partie 2 : Autres auteurs

Rudolf Steiner sur les vaccinations

Elaim Gairo : Le Covid-19, une attaque contre l’évolution spirituelle de l’être humain

Heinz Grill : Le spectre obscur dans le cosmos

Ajra Pogačnik : Intrusion dans l’espace sacré de notre être

Robin Kaiser : Conséquences pour les incarnations futures

Ines Siri Trost : Les hommes-ponts

Partie 3 : Discussion

Sur les raisons et les conséquences de la vaccination

Expériences personnelles avec la vaccination contre le coronavirus

Pourquoi les personnes vaccinées ne se rendent-elles pas compte des changements qui les touchent ?

Constellations systémiques avec le vaccin Covid

Interactions entre non-vaccinés et vaccinés

Regards d’artistes

Étranger à l’évolution

À titre de comparaison, quel est l’effet des vaccins contre la rougeole ?

Qu’est-ce que la maladie et la contagion ?

Arrière-plans karmiques

Qu’est-ce que le transhumanisme ?

Comment se produit l’intrusion d’esprits soratiques ?

Rassemblement ou fragmentation

La maladie Covid-19, la vaccination et les confinements se nourrissent-ils des mêmes sources spirituelles ?

La nouvelle Chute

Tout est bien, si seulement on regarde assez en profondeur

Que faire ? Fragments

Partie 4 : Résumé

Partie 5 : Retour d’expérience après six mois

Nouvelles expériences

Considérations médicales sur les vaccins de Novavax et de Valneva

Examen suprasensible du Novavax et du Valneva

Conseils pour venir à bout des vaccins

Bibliographie

Invitation à la lecture

Pentecôte 2022

Chère lectrice, cher lecteur,

Pour la lecture de ce livre, je vous invite à faire preuve de disponibilité et d’ouverture d’esprit, à vous autoriser des réflexions non conventionnelles et à vous confronter à des notions peut-être encore inconnues. Il n’est pas possible d’avoir un point de vue nouveau sur la question si l’on s’en tient à d’anciennes notions.

Ce livre a également pour objectif d’inciter à faire ses propres observations. Celui qui n’en a pas la possibilité peut saisir et pénétrer par sa pensée les expériences et les relations décrites, en vérifier la plausibilité, en s’appuyant sur son sens de la vérité.

Pour une meilleure compréhension, vous aurez intérêt à lire la première partie du livre du début à la fin, tandis que vous pourrez lire les chapitres de la deuxième et de la troisième partie dans l’ordre que vous aurez choisi.

Vous vous demandez peut-être ce que cherche à nous dire la montagne figurant sur la page de gauche ? Le sujet étant difficile, il nécessite un soutien spirituel. Cette montagne est le massif de la Jungfrau en Suisse. Je n’ai pas choisi ce nom au hasard, car « Jungfrau » signifie « Vierge ». Il est donc intimement lié à la force de notre Terre, la force mariale ou maternelle. Avec cette aide, nous pouvons nous mettre en route pour la suite du chemin.

Je vous souhaite une bonne lecture !

Thomas Mayer

Préface

par le Dr C. Pfeffer, biologiste moléculaire

La crise du covid nous a confrontés d’une manière très particulière à un tableau clinique et à des conséquences sociales d’une ampleur sans précédent. On constate avec étonnement que, dans cette pandémie mondiale, il existe un écart évident entre le nombre réel d’infections ou de décès et le narratif présenté au public. Des « vaccins » contre le coronavirus fondés sur une technique totalement nouvelle ont été développés et quatre ont été autorisés en très peu de temps : Moderna, BioNTech/ Pfizer, Johnson & Johnson et AstraZeneca.

Ces vaccins ont en commun le fait qu’il ne s’agit pas de vaccins « classiques », mais de technologies de transfert de gènes, telles qu’elles sont utilisées par exemple dans les études de thérapie génique. Tous les critères de sécurité, d’essai et d’étude, qui sont normalement stricts dans la recherche sur les vaccins, ont été assouplis comme jamais auparavant. Ces nouvelles technologies de transfert de gènes ont été autorisées presque partout dans le monde dans le cadre d’une procédure d’autorisation accélérée et d’urgence, alors que des traitements très efficaces contre le covid-19 étaient disponibles. Mais ils ont été interdits par les instances officielles.

C’est pourquoi nous devons nous intéresser de près à ces « vaccins », qui sont utilisés pour la première fois sur des milliards de personnes. En tant que biologiste moléculaire travaillant à la fois en recherche et en clinique, je souhaite attirer l’attention sur les principes d’action essentiels, leur complexité et les risques possibles, d’autant qu’il n’existe pas suffisamment de données sur la toxicologie, la génotoxicologie, le potentiel mutagène et la toxicologie à long terme sur ces vaccins.

Cette forme de technologie vaccinale fait appel à des technologies de transfert de gènes qui, dans le cas des vaccins à ARNm, sont associées à un système sophistiqué de nanoparticules lipidiques. Celles-ci servent à protéger l’ARNm contre les enzymes de l’organisme capables de rendre cet ARN inoffensif, ainsi qu’à répartir l’ARN dans tout le corps et à le faire pénétrer dans les cellules cibles. Sous cette forme, ces nanoparticules sont inédites chez l’homme et n’ont pas encore été suffisamment testées dans le cadre d’études cliniques à grande échelle accessibles au public.

Une étude de Pfizer réalisée en vue de l’autorisation a analysé la distribution des nanoparticules lipidiques chargées d’ARNm. Exigée par le gouvernement japonais avant l’autorisation de mise sur le marché, cette étude montre de manière impressionnante que les nanoparticules se répartissent dans l’ensemble de l’organisme, c’est-à-dire dans tous les organes et toutes les structures, y compris le système nerveux central. Elles peuvent en outre s’accumuler dans différents organes, notamment les ovaires, la rate, le foie et la moelle osseuse.

L’ARNm synthétique (BioNTech/Pfizer, Moderna) est une construction extrêmement sophistiquée qui utilise des nucléotides et des séquences de nucléotides non naturels. Ceux-ci permettent une énorme stabilisation de l’ARNm ainsi qu’une lecture efficace de celui-ci (traduction). Il est ainsi possible de produire un grand nombre de protéines spike dans les cellules et de les expulser en aussi grand nombre dans le flux sanguin et lymphatique, de façon à inonder l’organisme.

Plusieurs études ont montré que ces protéines spike ont des effets toxiques sur l’endothélium vasculaire (les cellules de la couche la plus interne de la paroi des vaisseaux lymphatiques et sanguins) et peuvent ainsi être responsables de troubles de la coagulation sanguine, parfois dangereux voire mortels, ainsi que de réactions inflammatoires au niveau des organes. De plus, leur synthèse n’est pas soumise aux mécanismes de régulation des protéines propres à la cellule, d’où le risque de repliements erronés des protéines et donc de formation de prions.

La stabilité accrue de l’ARNm synthétique, garantie par des paramètres de design sophistiqués, permet d’utiliser des chaînes enzymatiques propres à la cellule (transcriptases inverse). Celles-ci peuvent retraduire les informations contenues dans l’ARNm synthétique en ADN propre à l’organisme et intégrer ensuite cet ADN dans le génome de la cellule. Ce mécanisme a été mis en évidence par des études sur le VIH, ainsi que par des études sur la réparation de l’ADN cellulaire : dans ce dernier cas, on a recours à l’ARN simple brin, ou ARNm, pour réparer les dommages de l’ADN. L’intégration de l’information de l’ARNm synthétique dans le génome cellulaire est donc en principe possible. En raison de l’accumulation des nanoparticules lipidiques chargées d’ARNm, par exemple dans la moelle osseuse ou les ovaires, l’intégration de l’information de l’ARNm dans le génome des cellules souches hématopoïétiques est également possible, ce qui est susceptible de déclencher une leucémie. Il peut également y avoir une intégration dans la lignée germinale, qui sera transmise à la génération suivante.

Il s’agit donc d’une technologie de thérapie génique qui a non seulement le potentiel de manipuler de manière ciblée la réponse immunitaire intrinsèque, mais aussi d’ancrer durablement l’information de l’ARNm synthétique dans le génome. Elle comporte des risques et des dangers énormes, comme le prouvent des études de thérapie génique sur des humains : des manipulations du génome humain, hautement dynamique, ont entraîné de graves troubles, qui ne se sont malheureusement manifestés qu’après quelques années par l’apparition de tumeurs malignes.

Il est totalement irresponsable de distribuer ces vaccins sur la base des données actuelles, sans études génotoxicologiques et cancérigènes à long terme, en particulier aux adolescents, aux enfants et aux femmes enceintes.

En outre, des données récentes provenant d’Israël, de Grande-Bretagne, d’Islande et d’Inde montrent qu’il s’agit de « vaccins qui fuient » (leaky vaccines). Cela signifie que les personnes vaccinées tombent certes moins malades, mais qu’elles peuvent continuer à être infectées et à transmettre le virus, avec pour conséquence d’amener des mutations virales plus dangereuses, voire mortelles dans certaines circonstances, notamment la maladie de Marek chez les volailles. En outre, un phénomène de facilitation de l’infection par des anticorps (ADE : antigen dependent enhancement) n’est pas exclu, ce qui peut entraîner une nette aggravation des symptômes en cas de nouvelle infection virale.

Il faut de toute urgence s’intéresser de manière approfondie à ces « vaccins ».

C’est ce que fait ce livre, d’une manière élargie. En tant que biologiste moléculaire, je suis heureux de pouvoir me pencher sur les dimensions spirituelles des vaccins. J’ajouterai que je me sens moi-même très proche de la médecine intégrative ou anthroposophique et de la conception anthroposophique de l’être humain. Je souhaite à ce livre, qui a un caractère d’atelier, une large diffusion.

Partie 1

Perceptions

Idées de base

Ce livre traite des effets possibles des vaccins contre le Covid sur les constituants suprasensibles de l’être humain et sur la vie après la mort.

Ces questions sont étudiées sur la base de perceptions suprasensibles empiriques.

Afin d’obtenir une base aussi large que possible, je me suis adressé à plus d’une cinquantaine de personnes ayant des perceptions extrasensorielles, dont j’ai recueilli les témoignages.

Il s’agit de perceptions très subtiles qui peuvent facilement passer inaperçues et qui sont souvent peu remarquées dans le quotidien. Mais les phénomènes décrits ont été constatés à maintes reprises dans la recherche suprasensible concentrée.

La qualification de « subtil » ne se rapporte pas au contenu des perceptions, mais à la nature du processus de perception. Cet accroissement de la capacité de perception permet de rencontrer des êtres et des événements spirituels « beaux » ou « laids », qui sont définis par les expressions correspondantes.

Il n’est pas facile de trouver des termes pour décrire les perceptions suprasensibles, car les mots nécessaires n’existent pas. C’est pourquoi la seule possibilité est souvent de se référer au monde physique. Lorsqu’on parle par exemple de « trous dans l’aura », il ne s’agit pas de trous visibles par les sens, mais de zones de l’âme qui ne sont pas pénétrées par le Moi et dans lesquelles des êtres et des sentiments étrangers peuvent donc s’introduire et s’accrocher. À l’inverse, le « trou » peut aussi désigner la zone à travers laquelle se perdent la force psycho-spirituelle et la force éthérique.

Dans ce livre, vous trouverez des informations différentes de celles contenues dans d’autres publications sur le sujet. Je parle des domaines spirituels dans lesquels je suis spécialisé. Je ne cite d’autres recherches que ponctuellement, pour mettre en lumière des résultats.

J’essaie de décrire les choses de la manière la plus claire possible à l’aide d’extraits de comptes rendus d’études et de nombreux témoignages. J’ai également recherché des témoignages déjà publiés par d’autres auteurs. Enfin, j’aborde d’autres questions importantes et j’explore le contexte dans la mesure du possible.

Il s’avère que, dans l’ensemble, les quatre principaux vaccins contre le Covid utilisés dans les pays occidentaux constituent une puissante attaque contre le corps physique et le corps énergétique, ce qui peut avoir plusieurs conséquences : blocage empêchant l’entrée de l’âme et de l’esprit humains, rejet de l’ange et de l’être élémentaire du corps et, pour finir, attachement à la Terre et très longue souffrance pour le défunt dans la vie après la mort.

Bien sûr, les effets varient selon les personnes. Certaines sont capables de transformer et d’éliminer en grande partie des effets secondaires des vaccins.

J’indique ici déjà certaines conclusions du livre, afin de préciser d’emblée que des questions restent ouvertes :

- Chez combien de personnes de tels effets se produisent-ils ? Cela semble dépendre entre autres du mécanisme de défense psychique et spirituel qu’une personne peut déployer contre la vaccination.

- Dans quelle mesure peut-on, au fil du temps, venir à bout des conséquences psychiques et spirituelles de la vaccination et les assimiler ?

- Quelle est l’importance des répercussions sur les incarnations à venir ?

- Quels sont les moyens thérapeutiques qui permettent de soutenir cette assimilation ?

Il me semble important de souligner qu’il ne s’agit pas ici d’idéologie, mais de perception empirique et de quête de la vérité. La science et la recherche spirituelle sont toujours des processus ouverts de recherche de la vérité, qui ne doivent pas dépendre de préférences personnelles.

Pour des raisons de discrétion, j’ai modifié les noms des clients, ce qui est normal. Mais ce qui n’est pas normal, c’est que j’ai également remplacé les noms des auteurs par des pseudonymes. Je les connais personnellement, mais ils ne veulent pas être la cible d’une campagne de diffamation. Beaucoup exercent des professions ordinaires et ne veulent pas perdre leur emploi. Malheureusement, de telles craintes sont aujourd’hui fondées ; nous connaissons de nombreux cas de sanctions et de licenciements en raison d’opinions non conformes. On ne peut plus compter sur des normes de culture démocratique, d’information et de liberté d’expression que l’on croyait autrefois sûres. De larges pans de la politique et des médias mènent une lutte contre les opinions divergentes qui fait penser à une guerre de religion. L’ambiance sociale a été fortement empoisonnée par les partisans des confinements et des vaccinations. Dans ce contexte, l’anthroposophie et la médecine naturelle sont des cibles de choix. Malheureusement, certaines associations professionnelles et certains employeurs répercutent cette pression vers le bas au lieu de défendre une vie spirituelle libre. Les campagnes de dénigrement touchent également de nombreux scientifiques respectés qui osent publier des résultats de recherche « inappropriés ».

Cette évolution de la société vers le totalitarisme est dévastatrice pour une démocratie libérale. Elle ressort également d’un sondage de l’Institut für Demoskopie Allensbach1 : « En juin 2021, seules 45 % des personnes interrogées déclaraient pouvoir exprimer librement leur opinion. (...) Depuis les années 60 jusqu’à la dernière décennie, plus des deux tiers des personnes interrogées étaient le plus souvent de cet avis mais, depuis, les réponses ont connu un changement spectaculaire », écrit Allensbach. En réalité, une telle érosion de la démocratie devrait provoquer un tollé dans la politique, les médias, les partis et les associations – mais ce n’est pas le cas ; la canalisation du débat social est manifestement voulue.

J’ai dû accepter cette amère réalité. Seule l’anonymisation des auteurs confère la protection nécessaire à une publication. Les forces spirituelles qui agissent ici en arrière-plan deviendront plus compréhensibles au fil de ce livre.

L’une des difficultés que j’ai rencontrées en écrivant a été de trouver le ton juste. Le sujet est émotionnellement empoisonné et chargé. Nos résultats en surprennent plus d’un. Il ne s’agit toutefois pas de susciter des émotions négatives, mais de présenter de manière lucide et compréhensible des résultats de recherche et de mettre en évidence des moyens de sortir de l’impasse. Cependant, comme ce n’est que par la compréhension que l’on peut trouver ces moyens, il n’y a pas d’autre solution que d’analyser en détail les vaccins et leurs effets, même si ces descriptions sont désagréables.

En effet, il ne s’agit justement pas d’une « piqûre inoffensive », mais d’une puissante impulsion visant à modifier le corps humain, qui empêche le corps physique de servir de véhicule pour l’être psychique et spirituel, et qui est aussi susceptible de bloquer la vie après la mort. De ce fait, il s’agit d’une question fondamentale, celle de l’avenir de l’humanité : voulons-nous devenir une sorte d’« homme-machine » ou rester des êtres dotés d’âme et d’esprit ?

Je suis donc conscient que ce livre représente un défi pour certains lecteurs et qu’il risque de les plonger dans une ambiance de fin du monde. C’est pourquoi je me suis efforcé d’imprégner chaque ligne d’une sérénité lucide et aimante.

La situation n’est pas désespérée. J’ai constaté à maintes reprises que des esprits de haut niveau abordent la crise du Covid et les vaccinations avec calme et confiance. C’est une épreuve dont il pourra sortir beaucoup de bien à long terme, même si elle est difficile à vivre pour la plupart des gens aujourd’hui. On peut sortir grandi des vaccinations contre le Covid si on lui oppose une activité spirituelle, que l’on soit vacciné ou non.

Mon petit livre intitulé « Spirituelle Notwehr in der Corona-Krise – 28 Meditationen » (Défense spirituelle pendant la crise du Covid : 28 méditations) propose une aide pour conserver son équilibre intérieur. Il décrit de nombreux aspects de la façon d’aborder individuellement la crise du Covid et la situe dans le cadre de la science de l’esprit. Je le recommande comme complément à cet ouvrage.

Ce qui est visible physiquement

Considérons d’abord le niveau physique avant d’aborder les niveaux suprasensoriels. Comment agit la maladie dénommée Covid ? Et quels sont les effets secondaires médicaux des vaccins contre le Covid ?

Dans quelle mesure le Covid est-il dangereux ?

À cette question, le Ministère fédéral de la Santé allemand, sur une affiche d’information de l’été 2020, répond :

Dans la plupart des cas, l’infection est bénigne et, pour la plupart des gens, elle ne met pas la vie en danger. Le virus peut provoquer des symptômes semblables à ceux de la grippe, tels que toux, fatigue et fièvre. En cas d’évolution grave, des problèmes respiratoires ou une pneumonie peuvent s’y ajouter. Généralement, il suffit aux malades de se reposer, de boire beaucoup et, si nécessaire, de prendre des médicaments pour faire baisser la fièvre.2

La froide objectivité apparente de ces déclarations est en contradiction frappante avec la charge émotionnelle du sujet, dont il n’est pas facile de parler ni d’écrire. Pour de nombreuses personnes, le fait de savoir si le Covid est pris suffisamment au sérieux constitue à l’heure actuelle un critère important lorsqu’elles doivent entamer une lecture ou une conversation. L’absence de prise au sérieux, même partielle, fait déjà office de déclencheur et les fait fuir.

Il existe effectivement des cas très graves de Covid et la maladie pose également des problèmes d’un point de vue suprasensible. Nous en parlerons plus en détail dans ce livre.

Mais restons d’abord sur le plan extérieur et examinons les principales statistiques.

Il existe dans le monde entier des données bien établies sur la mortalité due au Covid. En moyenne, 0,15 % des personnes infectées meurent, soit environ 150 sur 100 0003, ce qui correspond à la mortalité d’une vraie grippe (influenza), qui se situe entre 0,1 et 0,2 %. Inversement, cela signifie que 99,85 % des personnes atteintes survivent à la maladie et sont ensuite immunisées.

Le risque de mortalité pour la population âgée de 65 ans et moins, même dans les épicentres de l’infection, équivaut au risque d’un trajet quotidien en voiture pour se rendre au travail.4

Les groupes vulnérables sont les personnes d’un âge avancé ou souffrant de maladies préexistantes. Dans ces cas, l’évolution grave de la maladie et les décès augmentent de manière statistiquement significative.

Cependant, même pour ces personnes, le coronavirus n’est pas plus dangereux que d’autres maladies. L’âge moyen des personnes décédées avec le Covid est de plus de 80 ans dans tous les pays, ce qui correspond à l’espérance de vie normale.

Près de la moitié de la population était d’emblée protégée contre le Covid par une « immunité croisée », en raison d’infections antérieures par l’un des coronavirus du rhume ou par d’autres virus. Dix études provenant de différents pays ont analysé l’immunité croisée dans la population : en moyenne, 46 % des personnes possédaient cette immunité, et ce dès le début de la pandémie.5

Pourquoi vacciner ?

Au vu de ces caractéristiques de la maladie, la question se pose de savoir pourquoi se faire vacciner. Pour la plupart des gens qui analysent le rapport bénéfices-risques, il n’y a que peu d’arguments en faveur de la vaccination. C’est pourquoi, dans des circonstances normales, la volonté de se faire vacciner serait probablement du même ordre que pour la grippe.

Pour imposer malgré tout une vaccination de masse, les gouvernements du monde entier ont, depuis le printemps 2020, exercé une forte pression sur les peuples. Ils n’ont pu le faire qu’en ignorant systématiquement les alternatives à la vaccination, par exemple le renforcement du système immunitaire, la prophylaxie chez les groupes à risque et le traitement précoce de la maladie. L’affiche du ministère de la Santé citée plus haut ne mentionne pas non plus de possibilité de traitement médical ciblé.

En réalité, il est tout à fait possible de soutenir l’évolution de la maladie avec des médicaments naturels, homéopathiques et anthroposophiques, comme le proposent les Dr Frank Meyer et Johannes Wilkens dans leur livre « Corona natürlich behandeln » (Traiter le Covid par des méthodes naturelles).

Même les médicaments de la médecine conventionnelle connus depuis des décennies se sont montrés très efficaces. Un groupe de scientifiques américains évalue de manière très claire les études sur les médicaments utilisés pour traiter le Covid. À l’adresse https://c19early.com, on trouve 856 études sur 24 médicaments (au moment où j’écris ce livre). Ces études montrent des améliorations étonnantes, par exemple : le proxalutamide de 86 %, la povidone-iodée de 71 %, l’ivermectine de 68 %, le zinc de 54 %, la vitamine D de 42 %, l’aspirine de 37 %, l’hydroxychloroquine de 27 % et la vitamine C de 17 %. Rien qu’avec les vitamines et le zinc, on pourrait, selon les études, avoir de très bons résultats, y compris à titre prophylactique. Il y a donc étonnamment beaucoup de médicaments efficaces et très peu coûteux contre le Covid.

Mais ces médicaments n’ont pas été encouragés ou autorisés par les gouvernements qui, depuis avril 2020, n’ont fait que vanter et financer les vaccins contre le Covid. On a fait croire à la population qu’il n’y avait pas de médicaments et que, dans cette situation désespérée, seule la vaccination pouvait aider.

Les confinements, les restrictions des droits fondamentaux et l’obligation de porter un masque ont constitué d’autres moyens importants pour maintenir la pandémie au centre de l’attention et créer une incitation à se faire vacciner : selon le discours dominant, le vaccin était nécessaire pour mettre fin aux souffrances infligées par les confinements.

La justification reposait sur le rôle clé attribué aux tests PCR. Une personne « positive » était qualifiée d’« infectée », alors qu’il s’agit au pire d’une « contamination », mais pas d’une maladie. Il a été démontré à plusieurs reprises que le test PCR est beaucoup trop sensible pour mettre en évidence une maladie.6 Les virus sont partout ; on trouve par exemple des restes du virus d’Epstein-Barr chez 95 % des personnes, mais très peu font une mononucléose infectieuse.7 Une personne immunisée et en bonne santé peut encore être testée positive des mois après avoir surmonté une infection par le coronavirus. De même, on n’a jamais défini précisément ni pris en compte la marge d’erreur technique des tests, alors que n’importe quelle autre méthode de mesure doit nécessairement être étalonnée. Les dépistages de masse n’apportent donc pas de chiffres significatifs, mais les médias ont réussi à les utiliser pour justifier des confinements. Et grâce à l’augmentation constante du nombre de tests obligatoires, les politiciens ont eu une influence sur les chiffres ; plus on teste, plus on trouve. Par contre, ils ne souhaitaient manifestement pas de collectes systématiques des données : en effet, des scientifiques en avaient réclamé dès le printemps 2020, mais les politiques les ont refusées.8 Pour saisir la réalité de l’évolution des infections, il faudrait examiner en continu un groupe fixe représentatif de plusieurs dizaines de milliers de personnes, de façon à détecter les infections ainsi que les réactions immunitaires (anticorps et cellules T).

En même temps que les confinements, les médias n’ont cessé de vanter les bienfaits de la vaccination, et de présenter autant de carottes que de bâtons. Des sociologues de l’université Humboldt de Berlin ont, à titre consultatif, mené des recherches sur les méthodes permettant d’inciter les personnes en proie au doute à se faire vacciner contre le Covid : par de petites offres alléchantes, comme de modestes cadeaux en argent, mais aussi par une répression sévère des récalcitrants et la privation de droits fondamentaux.9 La distinction des droits fondamentaux en une première et une deuxième classe (apartheid vaccinal) est certes clairement contraire à la Constitution, mais cela n’a pas intéressé nos gouvernements, qui l’ont imposée politiquement. Par la suite, de nombreuses personnes se sont fait vacciner parce qu’elles voulaient à nouveau voyager, aller au concert ou ne pas perdre leur emploi.

Les vaccins sont-ils vraiment utiles ?

Un problème fondamental réside dans le fait que les vaccins ne protègent pas vraiment contre un virus qui ne cesse de muter.

On a suggéré que l’on pourrait éradiquer le virus en vaccinant toute la population, bien que cette idée soit dépourvue de tout fondement scientifique. Dans le cas du virus de la grippe, la vaccination est renouvelée chaque année, avec une utilité controversée.

Des données provenant des États-Unis, du Royaume-Uni et de Singapour montrent que les personnes vaccinées qui ont été infectées par le variant delta du coronavirus peuvent être porteuses d’autant de matériel viral dans le nez que les personnes non vaccinées. Elles sont donc tout aussi « contagieuses » que les non vaccinés.10

Une étude menée dans le Massachusetts en juillet 2021 a montré que les non-vaccinés étaient même moins touchés par le Covid que les vaccinés.11

En août 2021, le nombre d’infections chez le champion du monde de la vaccination, Israël, avait déjà augmenté à tel point que l’on a parlé de quatrième vague ; en termes d’infections, il n’y avait aucune différence entre vaccinés et non-vaccinés.12

L’Islande avait également l’un des taux de vaccination les plus élevés, avec 78 %,13 ce qui ne l’a pas empêchée de connaître une vague d’infection durant l’été 2021. L’épidémiologiste en chef islandais a déclaré lors d’une interview radiodiffusée qu’il était décevant que la vaccination n’ait pas permis d’obtenir une immunité collective. Il a ajouté qu’il n’y avait qu’une seule autre façon d’obtenir une immunité collective, à savoir permettre au virus de se propager dans toute la communauté.14

Les effets néfastes des vaccins sur la santé

Les vaccins de BioNTech, Moderna, AstraZeneca et Johnson & Johnson produits par génie génétique et utilisés dans les pays occidentaux ont reçu une autorisation d’urgence avec une procédure de test abrégée. Ces vaccins géniques font appel à de nouvelles techniques peu éprouvées. Normalement, l’autorisation et la mise sur le marché d’un vaccin peuvent prendre 15 à 20 ans.15

Les vaccins à ARNm représentent une technologie nouvelle, pour laquelle on ne dispose que de très peu d’expérience pratique et qui ne peut pas non plus se prévaloir d’une autorisation de mise sur le marché en tant que médicament ou vaccin.

Bien évidemment, il n’y a pas eu d’études sur les effets à long terme et les dommages tardifs. On « rattrape » maintenant ces études à long terme avec des milliards de personnes dans le monde entier dans le cadre d’une expérimentation humaine, comme il est facile de le comprendre en réfléchissant simplement.

La dangerosité des vaccins fait l’objet de nombreuses discussions. Ces vaccins reposent sur le principe suivant : induire la production de protéines spike par les cellules de l’organisme. Or, ces protéines spike posent problème. « Nous avons fait une grosse erreur et nous ne nous en étions pas rendu compte jusqu’à présent », a par exemple avoué le chercheur canadien en matière de vaccins Byram Bridle16 ; « nous ne savions pas que la protéine spike est elle-même une toxine et qu’elle constitue une protéine pathogène pour l’organisme ». Bridle a été attaqué pour cet aveu, mais il a reçu le soutien éminent de Robert Malone17, l’inventeur du vaccin à ARNm.18 Robert Malone sait certainement de quoi il parle.

La liste des effets secondaires possibles est longue ; il s’agit principalement de maladies du sang (thromboses, crises cardiaques, etc.), de maladies nerveuses et de maladies auto-immunes. On observe aussi des perturbations du système immunitaire, aboutissant à ce que la maladie contre laquelle le vaccin a été administré soit encore plus violente par la suite. C’est ce qu’on appelle les anticorps facilitants ou la facilitation de l’infection par des anticorps (ADE).

En juin 2021, un groupe de chercheurs de l’université de Harvard à Cambridge a rédigé un article détaillé sur les effets secondaires des vaccins ARNm, possibles ou déjà constatés : « Pire que la maladie ? L’examen de certains effets involontaires possibles des vaccins ARNm contre le Covid-19 ».19 Cette remarque vise à souligner que les nombreux problèmes médicaux sont connus de tous.

Le problème européen est digne d’intérêt : ces vaccins relevaient en fait des directives européennes sur la dissémination des organismes génétiquement modifiés (OGM). Il s’agit donc de génie génétique au sens où on l’entendait jusqu’à présent, raison pour laquelle, le 10 juillet 2020, le Parlement européen a décidé d’accorder une dérogation spécifique.20

Enfin, une question importante est la suivante : pourquoi les gouvernements occidentaux n’ont-ils autorisé que ces quatre vaccins expérimentaux et pourquoi n’ont-ils pas autorisé ceux qui reposent sur des techniques traditionnelles et sont utilisés dans certaines régions du monde ?

Décès après vaccination

Tous les pays ont mis en place des registres publics qui recensent les effets secondaires des vaccins. L’un des problèmes est la saisie des données. Il est évident que de nombreux accidents liés aux vaccins ne sont pas déclarés. Le Pr Harald Walach a constaté de très grandes différences dans les déclarations entre les pays de l’UE :21 en Hollande, 701 effets indésirables ont été déclarés pour 100 000 vaccinations, contre seulement 38 en Allemagne. La moyenne européenne est de 127 cas pour 100 000 injections. Le Pr Walach commente : « La vaccination est-elle chauvine ? Nous ne le pensons pas. Car il est peu probable que des personnes de différents pays de l’UE réagissent différemment aux mêmes vaccins. Ce sont probablement plutôt la discipline et les procédures de déclaration qui sont différentes ». Voilà pour la mise en contexte, avant d’examiner de plus près quelques chiffres tirés des registres.

Le VAERS22 est le système de notification des réactions indésirables aux vaccins financé par le gouvernement américain. Depuis 1990, il collecte des données sur tous les vaccins, dont 90 % proviennent des États-Unis. Jusqu’au 6 août 2021, 571 830 rapports sur les effets secondaires des vaccins contre le Covid ont été soumis au VAERS, dont 70 666 visites aux urgences (urgent care), 51 242 hospitalisations et 12 791 décès.23 Ces chiffres sont effrayants.

Comme le VAERS recueille des données depuis 1990, il est possible d’établir une comparaison avec d’autres vaccinations. Le graphique au verso montre les décès déclarés pour tous les types de vaccins.24 La ligne rouge, qui commence à gauche en 1990, est en baisse constante, puis monte en flèche en 2021 en raison des décès dus à une vaccination Covid.

Aux États-Unis, on vaccine depuis des décennies contre de nombreuses maladies, et le nombre de cas suspects de décès par vaccination signalés reste modéré. Puis la vaccination contre le Covid commence et, en quelques mois, on compte plus de 12 000 cas suspects. Je me frotte les yeux d’étonnement : mais où est le tollé dans l’opinion publique ?

La réalité semble être encore pire. L’organisation médicale américaine Americas Frontline Doctors (AFLDS)25 a publié le 19 juillet 2021, dans le cadre d’une plainte contre les vaccins Covid, la déclaration sous serment d’une programmeuse informatique lanceuse d’alerte. Celle-ci dispose d’une expertise dans l’analyse des données en matière de santé et a développé par le passé plus d’une centaine d’algorithmes qui ont permis de détecter des fraudes dans ce domaine. Elle est certaine que le nombre de décès après une vaccination est nettement plus élevé. Comparant les données du VAERS avec celles du Center for Medicare & Medicaid Services (CMS) en ce qui concerne les vaccins et les décès, elle a constaté que « le nombre de décès déclarés au CMS dans les trois jours suivant la vaccination est au moins cinq fois plus élevé que les données rapportées dans le VAERS, ce qui semble indiquer que le nombre réel de décès liés à la vaccination est d’au moins 45 000 ».26 Elle a également fait référence à la grippe porcine de 2009 : à l’époque, le vaccin avait déjà été retiré du marché après 53 décès.

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) exploite la base de données VigiAccess afin de recenser les effets secondaires des médicaments dans le monde entier. Les déclarations de plus d’une centaine de pays sont enregistrées, mais on ignore quels pays déclarent et dans quelle mesure. Jusqu’au 18 août 2021, 1 759 556 effets secondaires d’un vaccin Covid et 11 263 décès ont été signalés.27

EudraVigilance, base de données correspondante de l’Union européenne, a signalé, au 15 août 2021, 13 055 décès après une vaccination Covid.28

Même tableau en Allemagne : au 31 juillet 2021, l’institut public Paul-Ehrlich (PEI) a fait état de 1254 décès après la vaccination et de 131 671 cas suspects d’effets secondaires de la vaccination. Parmi ces derniers, 14 027 étaient graves et ont dû être traités à l’hôpital ou ont été classés comme « significatifs » sur le plan médical.29

Voilà pour les chiffres officiels. Le nombre de cas non enregistrés est probablement beaucoup plus élevé.

Les effets secondaires médicaux des vaccins font en permanence l’objet de nouvelles études. Pour rendre le sujet encore plus concret, voici deux exemples :

– la myocardite chez les jeunes : le Center for Disease Control and Prevention (CDC) est une autorité du ministère américain de la santé. Il estime qu’après la deuxième dose, le risque de développer une myocardite chez les personnes de moins de 25 ans pourrait être 200 fois plus élevé que la moyenne. « Les membres d’un comité consultatif du CDC ont confirmé un total de 1200 cas de myocardite chez les jeunes de 16 à 24 ans et ont déclaré que les vaccins à ARNm contre le Covid devraient comporter une mise en garde ».30

– les fausses couches : « Une nouvelle étude publiée dans le New England Journal of Medicine a constaté que les vaccins Covid avaient provoqué des avortements spontanés au cours du premier trimestre chez 104 des 127 femmes enceintes. Au total, 827 femmes enceintes avaient participé à l’étude, mais 700 d’entre elles n’avaient reçu le vaccin expérimental qu’au troisième trimestre de la grossesse. En d’autres termes, le vaccin a perturbé des phases critiques du développement prénatal précoce et tué quatre bébés sur cinq pendant la grossesse ».31

Pourquoi ne met-on pas fin à ces injections ?

Au vu des chiffres cités, cette question se pose inévitablement.

Si un virus tue, il tue en tant que virus. Mais l’homme tue en tant qu’homme – et c’est quelque chose qu’il ne doit jamais faire : si nous savons qu’une injection peut avoir un effet potentiellement mortel, nous ne devons pas l’utiliser. En fait, ce sont les valeurs et la conception de l’être humain qui prédominent dans l’Occident chrétien.

Pour rappel, il ne s’agit pas ici d’opérations risquées ou de traitements de personnes gravement malades, mais d’une vaccination de personnes en bonne santé.

Mais il n’y a pas de tollé dans l’opinion publique ni d’interdiction immédiate de ces injections par les autorités.

Pourquoi le nombre de décès quotidiens dus à la vaccination n’est-il pas annoncé chaque heure au journal télévisé, comme c’était le cas pour les décès dus au Covid ?

Tout cela s’inscrit dans des processus similaires où les intérêts économiques se sont imposés au détriment des personnes et de la nature. Un exemple : en juillet 2021, quatre groupes pharmaceutiques américains ont accepté devant un tribunal de conclure un « accord sur les opiacés ». Un paiement de 26 milliards de dollars doit mettre un terme à quelque 4000 plaintes.32 Il a été reproché aux entreprises pharmaceutiques d’avoir, par appât du gain, minimisé les risques liés à ces puissants analgésiques et d’avoir commercialisé ces médicaments de manière agressive en ayant pleinement conscience de leur potentiel addictif. Les addictions provoquées par les opioïdes ont fait plus d’un demi-million de morts aux États-Unis. Une interdépendance entre les groupes pharmaceutiques et les autorités en est responsable. Johnson & Johnson, un producteur de vaccins Covid, était également impliqué.

Voilà pour l’observation au niveau physique, tournons-nous maintenant vers les niveaux suprasensoriels.

Recherche suprasensible

Les expériences suprasensibles existent depuis l’apparition de l’humanité. Vivre le monde de manière uniquement sensorielle et physique est une exception. L’histoire culturelle regorge de témoignages de personnes ayant fait l’expérience d’autres forces ou êtres. Mais il faut sans cesse reconquérir le lien avec le spirituel.

Comment appréhender le monde spirituel avec les forces modernes de la conscience et de la pensée ? C’est la question que se sont posée les philosophes et écrivains de l’idéalisme allemand : Johann Gottlieb Fichte, Friedrich Schlegel, Novalis, Friedrich Schiller et Johann Wolfgang von Goethe.

Dans le prolongement de ce courant d’esprit, Rudolf Steiner (18611925), un chercheur qui s’est beaucoup intéressé à Goethe, est devenu un pionnier de la recherche suprasensible moderne. Ses 354 livres, constitués d’écrits et de conférences, sont d’une richesse infinie. Il s’est efforcé de créer pour la science des mondes spirituels des bases suffisamment vastes, sur lesquelles on puisse construire.

Il a inventé le terme « anthroposophie », ou « science spirituelle », par analogie avec « science naturelle » ou « science sociale ». Il s’agit de la perception et de l’exploration pleinement conscientes des mondes suprasensibles dans toutes leurs ramifications et toutes leurs entités. Les sciences naturelles se subdivisent en physique, chimie, géologie, biologie, etc. ; l’anthroposophie se subdivise en différentes études : de l’éther, des anges, des êtres élémentaires, des défunts, du karma, etc. De la même manière que les sciences naturelles reposent sur une théorie de la connaissance et une méthodologie scientifique, l’anthroposophie a élaboré de manière variée le chemin de formation méditatif et la méthodologie de la perception suprasensible.

L’une des particularités du travail de Rudolf Steiner est qu’il décrit le monde spirituel avec une ampleur et une précision que l’on trouve rarement ailleurs. Il a donc créé un grand nombre de nouveaux concepts précis de science spirituelle. Il décrit les processus et les êtres du monde spirituel sous une forme de pensée telle que d’autres puissent les comprendre, même s’ils ne sont pas encore à même d’en faire l’expérience personnelle.

L’impulsion de Rudolf Steiner était donc de construire un pont entre l’exploration du monde terrestre et celle du monde spirituel, afin qu’ils puissent s’enrichir mutuellement. Aspirant à une recherche suprasensible qui réponde aux exigences scientifiques, il utilisait les forces de l’âme que sont la clarté de la pensée et l’éveil des sens ; il a fait descendre l’expérience spirituelle dans la conscience terrestre et l’a traduite en pensées et en mots.

La science rejette les sentiments et les sensations humaines comme étant « subjectifs » et inutilisables pour une connaissance « objective ». Elle met ainsi entre parenthèses une part essentielle de l’être humain et du monde. L’anthroposophie, en tant que science de l’esprit, montre une voie permettant à l’homme de transformer ses sentiments personnels liés à l’« ego » en sentiments liés au « monde » et de devenir ainsi capable de percevoir le monde de l’âme et de l’esprit, que l’on appellera ici aussi monde psycho-spirituel.

Les principales méthodes de perception de la recherche suprasensorielle – imagination, inspiration et intuition – ont été présentées en détail par Rudolf Steiner, notamment dans le livre « Les degrés de la connaissance supérieure ».33

La perception spirituelle clairvoyante passe concrètement par quatre étapes que je caractériserai brièvement ainsi :

-  intensification de la concentration, élévation de la conscience, rencontre progressive avec ses parts d’âme non purifiées et adhérant à la Terre et, dans ce cadre, mise à distance et acceptation du « Moi inférieur », connexion avec le « Moi supérieur » ;

-  connaissance imaginative : je reçois ou je crée des images, des représentations, des pensées ou des gestes indépendants du monde des sens et je veille à ce qu’ils soient emplis de forces ou d’êtres et commencent à avoir une vie propre. Une imagination est toujours imprégnée d’inspiration et d’intuition. C’est ainsi que s’en révèle en même temps le sens ;

-  connaissance inspirée : je supprime les représentations créées et je ne me tiens plus que dans les sentiments intérieurs, les mouvements et les activités qui ont été nécessaires pour cela. Grâce à ce saut vers l’intérieur, une « conversation » peut s’engager avec les entités. Il s’agit d’une conversation personnelle, d’une relation avec un toi ;

-  connaissance intuitive : je supprime aussi l’activité intérieure, mais je me tiens éveillé et je pénètre dans l’autre être spirituel concerné ; je fais l’expérience de sa vie, de son organisme et de son lien avec le monde spirituel. À ce moment, je n’existe plus, il n’existe plus que l’être contacté – que je suis. La connaissance intuitive est toujours une relation avec moi.

Pour celui qui entend parler de ces quatre étapes pour la première fois, elles peuvent paraître étranges et inaccessibles. Cette impression s’estompe une fois que l’on s’y est habitué. D’après ce que j’en connais, tous ceux qui ont une perception suprasensible en conscience éveillée travaillent avec ces niveaux.

Cette recherche nécessite des décennies de pratique, de méditation, de travail avec ses ombres intérieures, ainsi que l’étude de l’anthroposophie et d’autres sciences des mondes de l’âme et de l’esprit. Il est important qu’elle se fonde sur une vaste expérience.

Un autre élément très important est le travail d’équipe, l’enquête commune, l’échange et la confrontation afin de valider les méthodes et les résultats.

Quelques notions de base de la science de l’esprit

Les témoignages de ce livre utilisent des termes que je dois expliquer pour les rendre compréhensibles. Ces termes ne sont peut-être pas courants, mais ce sont des notions de base d’une recherche spécialisée en science de l’esprit. Ces brèves explications ne rendent évidemment justice ni à leur richesse ni à leur complexité, mais elles donnent une vue d’ensemble.

Niveaux du monde spirituel : pour s’orienter, il est utile de distinguer les trois niveaux suivants :

-  monde éthérique (forces de vie et forces formatrices),

-  monde astral (monde de l’âme),

-  monde spirituel (sources créatives de tout ce qui est créé).

Dans le langage courant, le « monde spirituel » est souvent utilisé comme terme générique pour les trois niveaux. Ceux-ci se subdivisent à leur tour en de nombreux autres domaines. Et ils sont habités par des entités.

Hiérarchies angéliques : ce sont des habitants du monde spirituel. On peut se les représenter comme de grands et sublimes espaces de conscience. Dans le travail pratique, il est utile de diviser le monde angélique en neuf hiérarchies, conformément à la terminologie chrétienne donnée par Denys l’Aréopagite. Le monde angélique est tourné vers la Trinité qui le surplombe : Père, Fils et Saint-Esprit.

Les êtres élémentaires : ce sont des habitants du monde éthérique et astral. Ils mettent en œuvre sur place les impulsions des hiérarchies angéliques supérieures. Tout est imprégné de leur présence, chaque lieu, chaque habitation et même chaque corps. Sans le travail des êtres élémentaires, il n’y aurait rien dans le monde extérieur.

Les constituants de l’être humain

L’être humain vit non seulement dans le monde des sens, mais aussi dans tous les domaines du monde suprasensible ; il se compose de nombreux éléments qui forment ensemble l’aura humaine dans sa complexité. Dans les temps anciens, ces éléments faisaient partie intégrante des sciences et des traditions spirituelles, sous d’autres noms bien sûr. Le constituant le plus connu aujourd’hui est le corps matériel.

Corps matériel : nous le percevons avec nos sens, nous le voyons et le touchons, car il est constitué de matière. Aujourd’hui, de nombreuses personnes s’identifient très fortement au corps matériel, qui est l’objet de la médecine conventionnelle. En réalité, le corps matériel n’est qu’une toute petite partie de l’être humain. Quelqu’un qui ne regarderait que les ongles coupés d’une personne ne pourrait pas comprendre la personne, son point de vue serait trop restreint. Il en va de même si l’on ne regarde que le corps matériel. Celui-ci est traversé par les autres constituants de l’être, mais on ne fait généralement pas la différence. Par exemple, on éprouve le corps matériel comme doué de vie, mais cette sensation de vie est déjà une perception du corps éthérique.

Corps physique, également appelé corps fantôme ou corps de forme : c’est l’archétype spirituel et actif, le plan de construction du corps matériel. Créé avant une incarnation à partir de l’homme-es-prit cosmique (voir plus loin), il maintient la forme du corps matériel. Comme le terme de « corps physique » est facilement associé à celui de « corps matériel », j’utiliserai surtout le mot « corps fantôme ». On peut le percevoir de manière suprasensible à quelques centimètres autour du corps matériel, mais il faut s’exercer longuement. On perçoit plus facilement le corps éthérique.

Corps éthérique, également appelé corps de vie ou corps de forces formatrices : le corps éthérique appelle la matière morte à la vie et crée un organisme global vivant à partir de nombreux éléments individuels (tels qu’organes et cellules). Il constitue la base de toute vie. L’éther est comparable au prâna en Inde, au qi dans la Chine ancienne et au ki au Japon. Tous les êtres vivants, y compris les humains, les animaux et les plantes, possèdent un corps éthérique. La méditation sur la différence entre les minéraux et les plantes amène une compréhension et une expérience du corps éthérique. Celui-ci forme les organes du corps conformément à l’archétype du corps fantôme. Il est également le support des souvenirs, des tempéraments et des habitudes. Normalement, nous ne prenons conscience des pensées que lors-qu’elles prennent forme dans le corps éthérique ; les représentations sont généralement visibles dans la zone du corps éthérique située en avant de la tête. Le corps éthérique se mélange toujours à l’environnement et plusieurs corps éthériques peuvent ainsi se lier durablement. Une famille ou une communauté de vie forme normalement un corps éthérique commun. Le corps éthérique est la partie la plus « dense » de l’aura humaine.

Corps astral : le corps astral est le corps qui constitue notre vécu et nos émotions. On pourrait aussi l’appeler « corps du vécu ». La méditation sur la différence entre les plantes et les animaux peut amener une compréhension et une expérience vécue du corps astral. Celui-ci est le support fondamental de la conscience, mais pas de la conscience de soi, qui n’apparaît qu’à travers le Moi. C’est par lui que l’on ressent les sensations telles que le plaisir et le déplaisir, la sympathie et l’antipathie. Il permet le mouvement autonome du corps et la perception sensorielle. Tout ce qui est pensé, ainsi que la partie consciente des intentions volontaires, est également vécu dans le corps astral. Les différents constituants de l’être ne sont pas séparés, mais interdépendants. Lorsque les expériences vécues dans le corps astral s’impriment dans le corps éthérique se forme le corps de sensation.

Moi ou Je : Rudolf Steiner le désigne très joliment par l’expression « sanctuaire voilé de l’âme ». Le Moi appartient au noyau spirituel éternel de l’être humain ; il est à la fois individuel et universel. Dans sa profondeur, il n’est pas facile à comprendre. Le Moi pénètre les autres constituants de l’être et les transforme, constituant ainsi l’organisation du Moi. C’est le « capitaine » du « navire » des autres constituants de l’être. L’action du Moi dans le corps astral donne naissance à l’âme de sensation et à l’âme d’entendement et de sentiment.

Âme de sensation : l’âme de sensation non seulement fait partie de l’âme humaine et transmet toutes les perceptions et impressions sensorielles, mais elle est aussi le siège des instincts, désirs, passions et impulsions de la volonté avec lesquels le Moi s’est lié. Toutefois, dans l’âme de sensation, le Moi ne couve que sourdement, sa conscience de soi est encore à peine éveillée ; il s’identifie à des sentiments, des pensées et des contenus de perception, ce qui peut entraîner des implications de l’ego. L’« ego » est le moi inférieur endurci dans l’égoïsme, qui se présente comme un écho déformé du vrai Moi.

L’âme d’entendement et de sentiment : elle vit dans l’interaction entre l’intellect et le sentiment. L’intellect seul rend la vie de l’âme austère, froide et sans élan. L’âme d’entendement est entièrement remplie de ce qu’elle pense ou perçoit, et elle y est comme perdue. La notion de « corps mental » correspond en grande partie à l’âme d’entendement. Le « Gemüt » (ensemble des sentiments et des impulsions de la volonté), pour sa part, confère à l’âme chaleur et énergie. Dans le Gemüt, les émotions et la volonté sont reliées en une saine unité de telle sorte que, contrairement aux émotions débordantes et aveugles de l’âme de sensation, elles ne volent pas au Moi sa souveraineté sur la vie de l’âme. L’âme d’entendement et de sentiment est l’état de conscience dominant de l’humanité à l’heure actuelle. En elle, le Moi agit certes nettement, mais sans devenir clairement conscient de lui-même, ce qui ne se produit que dans l’âme de conscience.

Âme de conscience : ici, l’âme se saisit elle-même dans sa propre essence, dans son Moi. Rudolf Steiner le dit très bien : « Aussi ce Moi ne peut-il être perçu par l’âme de conscience que par une activité intérieure particulière ».34 L’âme de conscience ne vit donc pas dans le contenu des pensées et du monde, mais dans un renforcement des forces actives de l’âme. À notre époque, toute méditation devrait avoir pour but premier de développer l’âme de conscience. Celle-ci est le constituant de l’âme le plus indépendant, qui s’est le plus séparé du reste du monde. La souveraineté de l’individu, mais aussi la sobriété et l’objectivité de l’observation de la nature, sont des fruits de l’âme de conscience. Elle est capable de s’ouvrir aussi bien au monde sensible qu’au monde spirituel. Elle est le constituant de l’être qui peut influencer l’action de l’homme par des impulsions du beau, du bien et du vrai provenant du monde spirituel. L’âme de conscience correspond à la « conscience intégrale » décrite par Jean Gebser et Ken Wilber.

Le soi-esprit : toute expérience suprasensible a lieu dans le soi-esprit. C’est la conscience libérée des sens, le « soi supérieur ». C’est aussi le niveau de conscience des anges.

L’esprit de vie : le monde spirituel et ses êtres constituent une vie active, par laquelle nous nous relions à notre esprit de vie. On peut également le considérer comme étant le corps éthérique imprégné du Moi.

L’homme-esprit : c’est d’abord le « soi suprême » de l’homme, l’homme cosmique qui peut devenir infiniment grand, tel une étoile. C’est à partir de l’homme-esprit éternel que se forme, avant chaque incarnation, le corps fantôme individuel qui façonne ensuite le corps matériel.

Les constituants de l’être humain comprennent également de nombreux êtres spirituels qui travaillent en permanence sur et avec « leur » humain. J’en présente ici trois importants.

Ange : l’ange accompagne l’homme avec une patience d’ange à travers ses incarnations. Il a toujours une vision globale des liens et des nécessités karmiques. Il est plus évolué que nous, les humains, et agit sur nous depuis la sphère du soi-esprit. C’est lui qui transmet toutes les expériences suprasensorielles. Chaque nuit, quand nous nous endormons, nous entrons dans l’ange. Après la mort, il nous guide à travers les régions spirituelles supérieures des hiérarchies angéliques, également appelées sphères planétaires. C’est par l’ange que la lumière spirituelle du Christ nous atteint. Le sentiment d’être avec soi-même, d’être en accord avec soi-même, de s’aimer soi-même et d’aimer les autres, signifie être imprégné par l’ange. Lorsque le lien avec son ange est perturbé, la personne a l’impression d’être éloignée d’elle-même. Sur le plan aurique, l’ange se trouve généralement juste derrière son humain.

Être élémentaire du corps : l’être élémentaire du corps est le collègue de l’ange au niveau du corps éthérique. Il est la conscience de notre corps et s’occupe de tous les organes et processus vitaux, même au-delà des incarnations. Dans l’aura, il se trouve généralement devant ou dans l’être humain.

Le double :