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Un soir, un messager des étoiles vient inviter Edgard Guinat et son double de Lumière à s’élever vers le ciel étoilé et à la frontière du rempart rayonnant, il va leur ouvrir les portes pour dévoiler ces milliards d’esprits qui y ont trouvé refuge. À chaque niveau, des communautés entières vont se manifester : enfants, personnes âgées, femmes, hommes de toutes les époques, cultures et croyances, et tous nous fixeront avec leurs yeux emplis de flammes d’amour. Pendant trente et une nuits, le messager des étoiles révélera les mystères de ce cosmos céleste. Serez-vous prêts à recevoir ces révélations et à embrasser cet univers de connaissance divine ?
À PROPOS DE L’AUTEUR
Il y a trente-deux ans qu’Edgard Guinat a rencontré Hélène Bouvier, médium réputée à Paris. Elle lui dira simplement : « Cela fait quarante-deux ans que l’on t’attend, mon petit ». Les jours suivants, il commencera à entendre une voix qui lui proposera de lui dicter une vie de Jésus.
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Seitenzahl: 151
Veröffentlichungsjahr: 2023
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Edgard Guinat
31 jours dans l’univers divin
© Lys Bleu Éditions – Edgard Guinat
ISBN : 979-10-377-9931-9
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J’étais avec Jésus, Le Lys Bleu Éditions, 2023.
En ce jour premier, nous allons offrir, vous offrir un cheminement particulier au travers des firmaments étoilés. Aussi, nous vous demandons, avant toute chose, de rester en état de sérénité, sans critique, sans animosité, dans un silence de paix, de manière à ce que votre corps baigne dans un soleil d’amour, dans un firmament d’étoiles scintillantes, pleines d’amour, pleines de vigueur, de manière à ce que votre corps puisse recevoir chaque jour les murmures des plus lointaines galaxies, car au travers de chacune d’elles, il y a un Prince des étoiles, un Prince de nos univers, qui là, gardien d’un temple, attend que votre cœur vienne le trouver, lui demander le chemin à parcourir, pour s’élever à la conscience des Dieux, des Sages de l’amour extrême, comme jamais il n’a pu être exprimé sur votre globe terre, si ce n’est que par les envoyés des Dieux, qui, au fil de quelques siècles se sont succédé pour tenter de vous expliquer qu’il y a en vous, autour de vous dans votre univers, une autre perception des êtres, des éléments, des flux, qu’il vous faut intégrer pour changer les atmosphères des cellules de vos chairs et de sorte, que vos univers auraient à connaître un autre mode de monde, une autre manière de légiférer la terre, vos peuples, vos richesses en terre. Alors, aujourd’hui qu’il m’est offert d’ouvrir le premier chapitre, c’est un grand honneur qui m’est donné et c’est pour cette raison que je vous ai sollicité, demandé, d’être sans aucune autre passion, intention, être d’être, dans une neutralité de douceur, d’écoute, pour que chaque lettre, chaque mot puisse se camper au plus profond de votre être, de votre cœur, comme marche vers un nouveau chemin celui de la vraie foi en la lumière, en nos univers, en équilibre entre toutes et chacune des étoiles, de manière que votre future respiration, connaisse un autre parfum, celui de la pureté, de la vérité, de la sincérité, du partage des mondes. Ainsi naîtra en vous, tout autour de vous, une autre atmosphère, celle de la vraie prière d’amour, où tout est vérité, tout est sincérité, tout est respect entre les êtres, les choses, les matières, les mondes animés. Aussi, en ce premier jour de juin, il m’est demandé de vous montrer la première clef. Alors, je vais vous demander de vous allonger là, dans un lit, dans un jardin, ou au cœur d’une forêt, et là, prendre conscience que votre corps, votre cœur, votre esprit, ne sont en vérité qu’une infime parcelle d’un univers qui, là, vous entoure, qui là vous accueille, vous protège de son souffle, de son ombre, de ses odeurs. Alors, je vous le dis, faites en sorte que votre corps soit en réception parfaite avec le scintillement des étoiles, du soleil, de l’ombre de la nuit, car tout ce monde est là, autour de vous, pour optimiser votre recadrage de vie, d’un corps, qui a de toute évidence, ses préférences, ses choix, ses habitudes. Alors, ainsi relaxé, je vais vous murmurer, non pas, à vous, mais à votre double, oui, je dis bien double, cette texture invisible, mais d’une immense sensibilité, qui sans que vous ne le sachiez, sans que vous l’ayez encore intégré, vous accompagne depuis que vous avez touché le sol de la terre. Ce double, accolé à vous, va répondre à mes murmures et tous les deux, nous allons faire en sorte d’interpeller votre corps, pour lui faire comprendre que nous sommes dans une trinité d’amour des plus parfaite en ce moment particulier. Trinité de souffles, de murmures d’intégrations des vies passées, des présents, des attentes, des souhaits projetés par vous, au plus profond de vous et seul, je dis bien l’amour, est et doit en être, le lien invisible, mais vous allez me dire quel amour. Oui, évidemment, je ne vous parle pas d’amour en terre, en chair, mais l’amour au cœur, au plus profond de votre cœur, celui qui se partage, qui se donne, qui se respecte, qui s’offre aux autres. Univers aux autres esprits de vos mondes de chair. Amour pur. Ainsi, va se créer comme un nuage en vous, autour de vous, vous allez, vous devez ressentir en votre chair, comme un allègement total de votre matière, de vos pensées, de votre propre corps, tout ne doit être qu’un souffle qui tourbillonne tout autour de vous, comme une première spirale, celle qui constitue les premières marches vers les univers Divins. Il doit en être ainsi, de sorte que notre trilogie d’êtres invisibles se trouve véritablement embaumée d’un parfum, d’un ressentiment Divin, comme transporté vers des univers difficiles à percevoir. Alors, ensemble, nous allons nous prendre la main. Oui, je dis bien moi du monde Divin, lui, votre double en lumière et vous en chair. Nous allons aller, en premier lieu danser, dans un tourbillonnement de manière, à créer un flux, une flamme, pour alerter les Dieux que là, sur un petit coin de terre, c’est créé une cathédrale d’amour, un tourbillon d’amour qui interpelle. Je dis bien interpeller les champs invisibles des voies lactées. Imaginez donc un phare en pleine tempête, qui envoie des signaux à l’eau, aux embarcations isolées. Il en est de même par notre fusion dans des flammes d’amour. Nous interpellons les mondes divins pour simplement, leur demander une attention, une interpellation que là, oui, trois âmes se sont rejointes en trinité suprême d’amour, pour pénétrer les galaxies lointaines des mondes Divins. Alors, aujourd’hui, premier jour, nous demandons aux cieux, aux Dieux, de nous offrir le chemin pour ouvrir une porte, une clef des univers, de la vérité des mondes enfouis et cachés à ce jour. Alors, corps de chair, double de ce corps de chair et moi Ange de lumière, nous vous demandons à vous, Dieux des éternels univers, de nous accorder ce privilège, de nous élever vers un monde non révélé, que beaucoup de mondes et de religions, ont supposé être, exister. Nous demandons, nous trilogie d’amour, que nous soit, en ce premier jour, remis la clef de cette porte du ciel, de manière que nous puissions revoir la signification de l’alphabet Divin, et que trilogie constituée, nous puissions comme dans un musée examiner chaque pièce de votre monde sacré et en retour, nous saurons qu’une fois revenu sur terre, nous aurons gardé les traces de votre amour Divin, de tous les Dieux, de tous les Anges, de toutes les Âmes des cieux des univers. Alors, aujourd’hui, je te dis, je te le dis, être de chair, être d’amour, je te le dis, double, double d’amour, j’ai déjà, dans ma poche la première clef qui là, apparaît, vient d’apparaître, car un Ange vient de me la déposer. Alors, dansons ensemble en ronde de flammes, en spirales et remercions les univers de ce cadeau Divin, pour ce premier jour. Alors, corps de chair, reste encore un peu de temps dans nos mondes intermédiaires et prend cette occasion pour intégrer tous les souffles d’amour, de manière que ton corps, ton double, se transforme au plus profond de la mémoire de vie, des vies des cellules de votre existence sur terre. Adieu, mon Ange de terre. Adieu, je te dis à demain, demain tout simplement. Adieu, mon double. Adieu, âmes de terre. Adieu.
En ce deuxième jour, je suis, nous sommes là, réunis à attendre, à s’attendre, à se regarder, à se dire qui va en premier se lever, murmurer ce qu’il a au plus profond de son cœur, de son souffle. Qui va le premier murmurer le vœu le plus cher. Celui de demander, qui va prendre cette clef, qui là, par terre est là, comme un symbole de destinée, comme un signe, une éclipse qui montre le chemin qu’il nous faut emprunter. Alors, oui, moi Ange des univers enfouis, je vais vous prendre par la main et à nous trois, nous allons avancer en rangs serrés, en fusion d’interrogations, en fusion d’essence de pureté, car rien, plus rien en nous, ne nous envahit, ne nous encombre, que le regard vers le ciel, vers cet univers bleu, merveilleusement bleu, comme un immense désert où rien ne bouge et là, nous avançons en silence. Nous la trinité reconstituée en un corps de chair, en son double, et moi Ange des éternités, nous avançons en silence, vers cet univers uniforme, comme un brouillard, d’un bleu de toute beauté, de toute pureté. Ciel infini sans étoile, sans soleil, sans lune, sans rien, que notre interrogation, de se dire, de se demander à quel moment va apparaître cette entrée, cette porte, pour laquelle, on nous confie la clef. Serait-ce ces mêmes interrogations permanentes, que les univers de terre, de matières, se posent à tout instant de leurs vies sur terre, à la différence que nous-même, si nous ne savons ce qu’en quoi, ou vers quoi, nous nous dirigeons, nous savons, qu’il ne faut en aucun cas changer de cap de direction, car le chemin semble être déjà tracé. Il ne nous manque que la porte. Mais voilà, à l’instant même que je le prononce, cette porte est là, là, devant nous, immense. Je dis bien immense, comme un mur, une muraille, un immense vitrail d’où scintillent des milliards de lumières, comme mille soleils et moi là, avec ma clef, je n’ose l’introduire, car je sens les tremblements de mes deux compagnons d’amour, transis de peur. Oui, l’un en vérité ne sait pas ce qui va se révéler, l’autre, d’évidence, commence à se rappeler dans ses lointaines mémoires, ce passage qu’il a certainement déjà emprunté, à la veille de quitter un corps de chair, un monde de matière et moi Ange de ces premiers univers, je ne puis en parler, mais je sais, que je suis déjà à la bonne porte, au seuil que franchissent les êtres de terre, quand le destin leur a demandé de venir frapper à cette muraille de lumières et il est certain que là, en cet instant, nous ressentons au plus profond de nos entrailles, les peurs de ces milliers milliards d’âmes, qui se sont là, arrêtés à se demander, s’ils avaient l’occasion de revenir très vite, sur le coin de terre, car la peur est extrême. Nous ressentons ces angoisses qui, par traces entières, s’incrustent au pied de ce mur de lumières, mur de lamentations, car à ce moment, le corps de chair réalise réellement, ce qu’il est, oui, je dis bien, ce qu’il est, ce qu’il a fait, ce qu’il n’a pas su faire, ce qu’il n’a pas su exprimer, ce qu’il n’a pas pu offrir, quand il était encore être vivant sur un coin de terre, incorporé dans un corps de chair. Alors, ces cris, ses appels à revenir en arrière, restent encore inscrits sur ce mur, cette muraille de mille lumières. Combien de regrets, de souffrances, de demande de pardons, ressortent du bas de cette montagne lumineuse ? Combien de tremblements de peur restent encore en fusion au creux de ce mur, de cette immense porte ? Nous le ressentons, nous le vivons, nous le voyons et nous trinité d’amour, nous sommes totalement déstabilisés par autant d’appels à l’aide, par autant de demandes de pardons, de regrets exprimés, de n’avoir pas su faire, comme la beauté des cieux l’aurait suggéré. Alors, au pied de cette muraille, nous avons l’écho des êtres, des âmes, des doubles, des peuples qui là, s’entremêlent, car tous, je dis bien, tous, ont le même langage, tous, ont en ce lien de deuil au pied de ce mur. Tous ont le même regret. Enfin, tous les peuples, toutes les religions, semblent au pied de ce mur, avoir trouvé le même visage, la même aspiration de regret, de n’avoir pas compris, le mot Aimer, le mot Partager, le mot s’Aider, le mot Respecter. Je vous le dis, tout peuple, toute race, toute religion se retrouvent sur le même banc d’école, à comprendre enfin, qu’au seul seuil de ce mur de lumière, ils sont tous égaux et frères de lumière. Frères d’amour en unité, en fusion. Alors, pourquoi sur terre, se sont-ils déchirés, pourquoi sur terre, ils se sont massacrés, pourquoi sur terre, ils n’ont pas su se respecter, pourquoi sur terre, ils n’ont pas su fusionner leur amour Divin, en respectant chaque peuple, chaque croyance, chaque religion, chaque symbole Divin qu’ils s’étaient octroyés. Ce mur, à nous trois, ressemble en vérité, à un immense recueil, ou cercueil de souffrances, de regrets, de repentis et à la veille de le franchir, nous préférons nous y attarder, en ce deuxième jour de notre marche vers la lumière. Alors, nous décidons, nous trois, de rester là, un moment et de nous ressourcer au travers des mille étincelles de lumières qui transpercent cet immense mur bleu. Alors, Amour de chair, Amour de double et moi, Ange des cieux, nous murmurons en fusion des mots d’amour, pour que toutes ces souffrances, là, accumulées, à la porte des cieux, soient entièrement gommées. Que ces souffrances soient entendues par les univers Divins, de manière qu’à un retour sur terre, incarnées, ces âmes en corps, en chair, retrouvent le véritable chemin de la paix, de l’amour, en peuple, entre les peuples. C’est cela, notre demande en ce jour. C’est cela l’enjeu de cette première porte que nous n’osons franchir, telles sont vivantes, vibrantes, les lamentations-là, déposées par les âmes des siècles passés, et nous prions pour elles, nous prions pour cette humanité égarée, qui un jour, devrait comprendre et renaître et se réincarner dans d’autres modes de fusions de vie, avec un seul mode de respiration, l’amour. L’amour entre les êtres de chair, l’amour entre leurs doubles réciproques, l’amour entre les peuples, l’amour en tout l’univers vivant, vibrant, qu’il soit matière, qu’il soit végétal, qu’il soit animal. C’est l’être de chair qui en a la clef de ce destin mal consumé, qui là, aujourd’hui, au pied de cette basilique de lamentation, est le premier signe d’incompréhension, de fonctionnement entre les mondes Divins et les mondes de terre et là, à nous trois flammes, nous constituons un foyer de prières, pour exaucer tous les vœux de pardons, formulés à nos trois flammes de lumière. Nous prions, pour que ce mur se débarrasse de ces lamentations et que ces âmes puissent revenir en lumière de vie, de bonheur de vie sur terre, dans des lendemains futurs en réincarnations et nous prions en ce jour, nous prions pour l’univers, pour tous les hommes et femmes et enfants sur terre, pour un avenir meilleur, pour une autre image de la vie, l’amour et le respect des âmes de chairs sur le globe terre. Nous prions en ce deuxième jour, pour demander pardon de toutes les offenses faites sur terre. Nous prions.