Affaires Intimes E-Book

Eva Rossi

• Herausgeber: tredition
• Kategorie: Erotik
• Sprache: Französisch

Seitenzahl: 87

Veröffentlichungsjahr: 2025

Beschreibung

Dans cette collection de récits sensuels et contemporains, Eva Rossi explore les failles secrètes, les silences brûlants et les désirs inavoués qui sommeillent derrière les façades élégantes de la vie bourgeoise française. Entre salons feutrés, domaines oubliés et cœurs en veille, chaque histoire dévoile un fragment d’intimité troublée, une brèche dans le quotidien où l’émotion s’infiltre, où le corps se rappelle à l’âme. Le récit éponyme, Affaires Intimes, nous plonge au cœur de la Maison Lantine, empire textile en déclin et théâtre d’un drame feutré. Estelle, héritière digne et distante, affronte les ruines d’un nom, d’un amour, d’une époque. Face à ses filles, à leurs failles, à leurs choix de femmes, elle va devoir renouer avec ce qu’elle a fui : le désir, le pouvoir, la vulnérabilité. « C’est fini, avait dit Jean, le regard grave. Mais dans les yeux de Cécile, il n’y avait que des débuts. Elle portait cette force silencieuse, presque indécente, des femmes qui savent que la fin d’un empire peut aussi être la naissance d’un destin. » Des tensions familiales aux attirances imprévues, des blessures anciennes aux étreintes inattendues, chaque page de ce recueil murmure un secret, chaque mot caresse une vérité. Ouvrez la porte. Respirez l’odeur du linge ancien, du vin versé, du bois ciré… et laissez-vous emporter par le souffle intime de ces vies qui vacillent et frémissent.

Leseprobe

Affaires Intimes

Recueil d’Histoires Érotiques Taboues pour Adultes – Sexe, Tentations et Plaisirs Inavoués

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Eva Rossi

Sommaire

Sommaire

Imprint

Introduction

Avant de commencer...

L'ABUS D'ALCOOL EST DANGEREUX

KAMILA, LA VACHE ET LA BERGERIE

KAMILA OVULAIT POUR MOI

KAMILA AIMAIT LA PEINTURE

JEAN-JEAN

JEAN ET CÉCILE : AFFAIRES INTIMES

Avant de partir...

Imprint

© 2025 Eva Rossi

Photo de couverture : Canva

Impression et distribution pour le compte de l'auteur :

tredition GmbH, Heinz-Beusen-Stieg 5, 22926 Ahrensburg, Allemagne

L'ouvrage, y compris ses parties, est protégé par le droit d'auteur. L'auteur est responsable de son contenu. Toute utilisation est interdite sans son accord. La publication et la diffusion sont effectuées sur ordre de l'auteur, à contacter à l'adresse suivante : Eva Rossi, Friedrichstraße 155, 10117 Berlin, Allemagne.

Adresse de contact selon le règlement européen sur la sécurité des produits : [email protected]

Introduction

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Beaucoup des contes passionnantes à vivre seul ou en compagnie.

Vous trouverez de nombreux dialogues entre les protagonistes des histoires, afin que vous puissiez aussi vous imaginer au centre de la scène, comme si vous étiez vous-même un personnage de l'histoire.

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Le livre contient un contenu sexuel explicite et ne convient pas aux personnes de moins de 18 ans. Les histoires sont de pure fantaisie: les personnages sont tous d'âge et, comme le contenu, ils sont fictifs.

Avant de commencer...

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Un bisou et une bonne lecture, Eva!

L'ABUS D'ALCOOL EST DANGEREUX

Il y a environ dix jours, à l'aéroport, j'ai rencontré un camarade d'école avec lequel j'étais très ami, mais que je n'avais pas vu depuis plusieurs années. Nous avons raconté nos vies. Et je ne peux pas résister à la tentation de partager avec vous les confidences qu'il m'a faites.

« Je suis marié depuis de nombreuses années à une femme, Chantal, que tout le monde considère comme « presque parfaite ». Bonne mère, parfaite ménagère, elle a beaucoup de qualités, sauf que, au lit, ses performances pourraient facilement être qualifiées de nulles. Sa pudeur, son respect des « conventions » font qu'à part la position du missionnaire et quelques caresses légères, notre vie sexuelle est assez triste.

Tout cela serait catastrophique si elle n'avait pas un gros défaut (ou une grande qualité !) : elle ne supporte absolument pas certaines boissons alcoolisées, en particulier les alcools forts (rhum, cognac ou alcools de fruits, avec une sensibilité particulière pour la poire !).

Dans cet état, toutes ses inhibitions disparaissent et sa sensualité naturelle se révèle complètement. Laissez-moi vous raconter quelques anecdotes...

Il y a quelques années, nous avons été invités à une réception de travail très importante pour moi. La fête avait lieu dans un « charmant » agritourisme à la campagne, à quelques kilomètres de chez nous.

La fête était très réussie et je faisais beaucoup de contacts avec des collègues. Tout absorbé par mon travail, je négligeais Chantal, qui s'ennuyait à mourir, ne connaissant pratiquement personne. Je la voyais discuter avec d'autres femmes avec un air sinistre.

La soirée avançait et je l'ai vue danser avec un monsieur aux cheveux blancs. Plongé dans une conversation très intéressante, je la voyais à peine danser avec d'autres personnes.

Mais après un certain temps, inquiet de ne plus la voir, j'ai profité de la première occasion pour quitter mes interlocuteurs et partir à la recherche de ma femme.

J'ai cherché dans toutes les salles sans la voir. Puis j'ai fait le tour des balcons, mais je ne l'ai pas vue. Je me dirigeais vers le parking pour voir si elle s'était réfugiée dans la voiture en m'attendant, quand j'ai cru apercevoir un couple enlacé sous les arbres. J'ai immédiatement reconnu la robe de Chantal et je me suis dirigé vers eux d'un air furieux.

Ils ne m'ont pas entendu arriver, ils étaient trop occupés à s'embrasser. La main de l'homme remontait lentement sous la jupe de Chantal, se dirigeant vers son vagin. Elle n'opposait aucune résistance à cette caresse, se cambrant même pour s'offrir davantage.

J'ai crié « Chantal » d'un ton sec, le couple a sursauté et s'est séparé. En me reconnaissant, elle a repoussé son cavalier, l'air surpris et effrayé. Lui, très courageux, a disparu en un instant dans les buissons.

Confuse et rougissante, les yeux brillants, balbutiant que c'était la faute du punch, elle a essayé de se jeter dans mes bras, mais je l'ai repoussée en lui disant durement de remettre ses vêtements. Nous ne pouvions pas quitter la fête sans dire au revoir à certaines personnes, mais nous allions régler la question seuls à la maison, puisque les enfants étaient avec ses parents pour le week-end.

Je l'ai brutalement saisie par le bras et l'ai traînée dans le salon. Nous avons dû supporter de longues conversations avant de pouvoir quitter les lieux. Nous avons même dû danser une série de slows, pendant lesquels je sentais sous le tissu fin de sa robe le corps brûlant de ma femme. Elle se pressait contre moi, très « en chaleur », avec de petites gouttes de sueur qui étaient le signe visible de son excitation.

Nous avons finalement réussi à sortir. Nous nous sommes dirigés vers la partie la plus éloignée du parking pour rejoindre notre voiture. En quittant la zone éclairée, elle s'est serrée encore plus contre moi. Arrivés à notre voiture, je l'ai poussée contre la carrosserie et je l'ai embrassée. Elle a répondu avec ardeur à mon baiser. Impatient de profiter de la situation, je l'ai poussée et lui ai dit d'enlever sa culotte. Elle a obéi immédiatement, s'abaissant pour se débarrasser de ce vêtement léger. J'ai ouvert la porte et lui ai ordonné de relever sa jupe et de s'asseoir, le cul nu. Elle a obéi sans rien dire, avec une certaine précipitation. Elle n'a même pas réagi lorsque j'ai relevé sa jupe jusqu'à la taille pour m'offrir le spectacle de sa chatte, en écartant largement les jambes.

Le court trajet s'est déroulé sans un mot, seule la respiration haletante de Chantal démontrait que son état d'excitation ne diminuait pas dans cette situation.

Je me suis garé dans la cour et j'ai fermé le portail. Chantal était toujours dans la voiture. J'ai éteint les lumières du jardin et j'ai ouvert la porte pour l'aider à sortir. Elle semblait inquiète de mon silence.

Dès qu'elle est sortie, je me suis glissé derrière elle et j'ai ouvert la fermeture éclair de sa robe, la laissant tomber au sol. Chantal a poussé un petit cri de surprise, mais s'est laissée déshabiller. Je l'ai poussée vers la maison, restant derrière elle pour apprécier la vue de son derrière. Les traces de bronzage le rendaient encore plus « appétissant ». J'ai alors décidé de profiter de cette nuit-là, profitant de l'avantage et de son excitation.

Elle monta les escaliers devant moi, balançant son cul devant mes yeux, avec un mouvement qui semblait même un peu exagéré. Quand nous arrivâmes dans notre chambre, elle voulut parler, mais je l'interrompis, lui expliquant calmement que cette nuit-là, elle s'était comportée comme la dernière des salopes et que je la traiterais comme telle.

Elle rougit, mais obéit quand je lui ordonnai d'enlever son soutien-gorge. Ses beaux seins apparurent, légèrement gonflés, les tétons durs et tendus comme jamais.

Je la conduisis jusqu'au lit, la faisant s'agenouiller tout au bord, puis je la mis à quatre pattes. Je lui fis écarter les jambes sans qu'elle réagisse. J'ai appuyé sur son dos pour la faire cambrer davantage. Je me suis agenouillé derrière elle pour ouvrir délicatement les lèvres de sa chatte humide. J'ai glissé un doigt, puis deux dans sa fente, lui arrachant de petits gémissements. Elle a commencé à réagir à cette pénétration, quand je me suis arrêté pour ouvrir ses fesses à deux mains et découvrir son anus ridé qu'elle m'avait toujours refusé.

Elle protesta et tenta de se protéger, mais une claque sèche sur la fesse la fit taire. Je pus enfin embrasser cette cavité interdite, l'humidifier, y glisser délicatement ma langue. Chantal commença à accompagner mes caresses de soupirs, en bougeant ses hanches rondes. Elle ne réagit pas lorsque j'introduisis un doigt recouvert de son liquide, puis un deuxième, dilatant doucement le muscle de plus en plus accueillant. Elle soupira lorsque je me levai pour me déshabiller, mais se mit à gémir lorsque ma bite pénétra sa chatte. Tout en la baisant, je repris le contrôle de son anus avec mon pouce, continuant à le ramollir.

Elle jouit soudainement, avec un frisson qui parcourut son dos, elle s'effondra, la tête sur le lit et le cul bien relevé. Sans lui laisser le temps de reprendre son souffle, je pointai mon gland vers sa rosette et appuyai fort.

La pénétration lui arracha un grognement, mais je la pénétrai complètement. Je fis une pause pour lui laisser le temps de s'habituer à la pénétration, puis je commençai à bouger lentement. Son cul était vraiment délicieux. Au bout d'un moment, je sentis qu'elle suivait mes mouvements. Les bras repliés sous le visage et les seins pressés contre le lit, elle commença à prendre du plaisir. J'accélérai le mouvement, me retirant presque complètement pour plonger à nouveau au fond de son canal anal. Quelques minutes de ce traitement ont suffi pour nous mener au bord du plaisir. Elle a joui la première, gémissant puis criant quand j'ai déversé mon sperme en elle. Nous nous sommes effondrés, mon pénis toujours en elle. Je sentais son cœur battre fort contre moi et je voyais son cou rougi par l'orgasme, couvert de sueur.