Âmes, dites-moi - Edgard Guinat - E-Book

Âmes, dites-moi E-Book

Edgard Guinat

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Beschreibung

Depuis des années, à l’heure précise où le monde s’endort, Edgard Guinat se réveille pour un rituel singulier. Chaque nuit, il ouvre son ordinateur et retranscrit en médiumnité les messages que lui dicte un Messager de l’univers. Dans un état d’inconscience totale, il écrit sans en comprendre le sens immédiat, découvrant le contenu de ses textes le lendemain. Jamais il n’a modifié un seul mot, respectant ainsi un principe d’humilité. Ces mots, empreints d’amour et d’espoir, adressent un appel à la Terre, aux peuples, aux âmes, aux cœurs. Ils sont des invitations à la réalisation et à l’acceptation, visant à raviver la lumière en chacun de nous. « … Alors, couchons-nous à même la Terre et en lisant ces messages, offrons à ceux qui nous entourent l’Espoir, la Liberté, la Paix et l’Amour… »




À PROPOS DE L'AUTEUR

Il y a trente-deux ans, Edgard Guinat consulte Hélène Bouvier, une médium renommée à Paris. Celle-ci lui lance, énigmatique : « Cela fait quarante-deux ans que l’on t’attend, mon petit ». Peu après, une voix mystérieuse commence à lui dicter une biographie de Jésus. "Âmes, dites-moi" est son troisième ouvrage.

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Seitenzahl: 168

Veröffentlichungsjahr: 2024

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Edgard Guinat

Âmes, dites-moi

Essai

© Lys Bleu Éditions – Edgard Guinat

ISBN : 979-10-422-4568-9

Le code de la propriété intellectuelle n’autorisant aux termes des paragraphes 2 et 3 de l’article L. 122-5, d’une part, que les copies ou reproductions strictement réservées à l’usage privé du copiste et non destinées à une utilisation collective et, d’autre part, sous réserve du nom de l’auteur et de la source, que les analyses et les courtes citations justifiées par le caractère critique, polémique, pédagogique, scientifique ou d’information, toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle, faite sans le consentement de l’auteur ou de ses ayants droit ou ayants cause, est illicite (article L. 122-4). Cette représentation ou reproduction, par quelque procédé que ce soit, constituerait donc une contrefaçon sanctionnée par les articles L. 335-2 et suivante du Code de la propriété intellectuelle.

Du même auteur

J’étais avec Jésus

, Le Lys Bleu Éditions, 2023 ;

31 jours dans l’Univers divin

, Le Lys Bleu Éditions, 2023.

Espoir

Quel est donc ce sentiment particulier qui naît au plus profond de notre cœur ? Est-ce la parole profonde du temps, du hasard qui, là, vient nous interpeller, qui, là, vient nous annoncer un changement radical à une situation donnée ? Espoir, qu’es-tu donc ? Un sentiment particulier, un ressentiment du passé que tout peut s’arranger. Es-tu simplement une page tournée qui, là, vient naître à des moments de difficultés ? Es-tu fille de la raison humaine ? Es-tu la construction d’événements programmés ? Es-tu simplement la marque d’amour de l’inconnu qui vient nous aider, qui nous fait signe en particulier, pour nous laisser entrevoir qu’il y a toujours une solution à toute difficulté, qu’il y a une raison de ne jamais désespérer, car à toute contrariété, il y a une solution de croire que nous avons, que nous pouvons être aidés. Alors, je te le demande, Espoir, de quelle nature es-tu, si ce n’est d’essence étrangère au corps de chair. Es-tu un message enfoui dans les mémoires ? Es-tu un ressentiment de hasard que le vent porte sur mes lèvres ? Es-tu la résultante de considérations mathématiques qui nous fait entrevoir une solution à nos difficultés ? Espoir, je crois que tu viens d’ailleurs. J’ai, vois-tu, le sentiment que tu n’es pas d’âme humaine. J’ai la conviction que tu nais d’ailleurs, que quand tu nous étreins, notre corps aspire une autre mémoire que celle qui nous est confiée. Espoir, tu nais d’un autre univers, ta force, ton flux, ta persuasion est de nature extérieure au champ humain. Espoir, tu es de maturité élevée, car à ton nom, à ton ressentiment, nos cœurs se gonflent, nos cœurs bouleversent les événements, et à ton souffle, nous sommes prêts à envahir des montagnes entières de difficultés, car nous savons, nos cœurs savent que tu es résurrection, que tu es ce que nous espérions en délivrance, en amour, en solution. Aussi, Espoir, tu ne peux être d’engeance humaine, tu es ce parfum lointain qui émane d’autres sphères, tu es cet enfant qui prévaut aux religions, tu es ce sentiment qu’il y a toujours une solution qui émane de nuits de brouillard. Aussi, Espoir, de quelle divinité es-tu, car en vérité, si tu n’es pas d’essence humaine, tu es obligatoirement de culture divine. Aussi, Espoir, je sais que tu ne nais pas des éléments de l’univers, je sais que tu ne peux être comparé au temps, à la texture de l’air et d’aucune autre matière. Alors, Espoir, tu nais donc d’autres sphères, tu es propre à la sphère, la plus pure, la plus belle, car c’est ce qui m’amène à t’aimer, c’est ta pureté, c’est la dynamique que tu crées dans nos cœurs, c’est l’action noble qui se développe à ton regard, à ton ressenti d’expérience, qui nous amène à révolutionner les événements, ce qui nous permet de nous raccrocher à toute difficulté. Car Espoir, tu nous permets de croire, tu nous permets de penser qu’il y a toujours un moment donné, une raison de croire une volonté d’aimer. Que nous ne puissions évoluer indifféremment dans des mondes d’horreur et de tourments, sans qu’à un moment donné, un souffle ne vienne nous délivrer, qu’à un moment particulier, un vent nouveau vienne balayer ces gens de terreurs et nous offre d’autres conditions de vie, d’envie. Aussi, Espoir, le temps est arrivé pour que nous ayons une volonté à te respecter, à te glorifier autrement, car ton parfum est bien particulier. Il est, je te le répète, d’essence divine, et très loin de ce que nous avions imaginé. Espoir, n’est-il pas la mémoire des actes passés, n’es-tu pas la carte d’identité de nos actions d’amour, dont le Père nous a confié à un moment où nous le méritions de le bénéficier. Espoir, tu es marque de courage, tu es la volonté qui anime les hommes en période de grande difficulté, tu es ce vent qui bouscule les cœurs, tu es ce régulateur de vie, d’envie qui porte loin les faits et gestes de civilisations entières, ton support, c’est aussi beaucoup de choses. Espoir, tu rivalises avec l’Amour, tu rivalises avec la liberté, tu rivalises avec la justice, tu rivalises avec la bonté, tu rivalises avec l’humanité, tu rivalises avec la société. Espoir, tu es l’essence même d’équilibre de toute société, tu ne peux te développer que par l’harmonie des corps, que par la bonté exprimée. Espoir, tu es la robe de toute mère, tu es le panache de mon père, tu es de culture divine, je te le dis. Alors, Espoir, tu es ce que Dieu a confié aux hommes, quand il nous a attribué la terre, tu es ce sentiment qui anime tout être, et qui le pousse à se réaliser dans la mémoire d’aimer, dans la mémoire de respecter, dans les mémoires du mot liberté. Espoir, connais-tu le partage ? Espoir, connais-tu la faim ? Espoir, connais-tu la paix ? Espoir, connais-tu le droit d’aimer ? Espoir, connais-tu la joie de travailler ? Espoir, connais-tu le respect de l’autre ? Tout cela, c’est vie, c’est ton nom, ce sont tes attributions. Espoir, tu es en fait beaucoup de choses, tu es le fait de la vie, de l’envie de se dire, je suis à l’image du Père, je suis l’enfant de ma mère, de mon père, je suis acte de vie, acte d’amour, car jamais je ne peux désespérer, car l’Espoir est dans mes mains, est dans mon cœur, est dans ma vie, car je sais, moi être humain, que Dieu, que mon père, que ma mère ne sauront m’abandonner dans les périodes de difficulté. Je sais que j’ai le droit d’espérer, car un jour, à un moment donné, à un endroit particulier, j’aurai vu le signe, j’aurai vu la marque, j’aurai entendu la parole, qui me permettra d’être un véhicule d’Espoir, par un changement de vie, changement d’envie, changement d’état, par la simple volonté du père, par l’Action de grâce de ma mère, par la volonté de l’univers. Alors, mon père, ma mère, faites en sorte qu’aucun humain ne puisse manquer d’Espoir, car sans ce mot, sans ce ressentiment dans nos cœurs, dans nos vies, il n’y a plus lieu de croire, il n’y a plus lieu d’aimer, il n’y a plus lieu de respecter l’humanité. Espoir, tu es véritablement enfant de Dieu, tu es inexorablement probablement l’enfant de Dieu, tu es ce baume qui ravive les cœurs, qui bouleverse nos actions, qui renverse toute corruption, car de l’autre côté, nous savons toujours que toi, Espoir, tu nous offriras la récompense à nos efforts, à nos souffrances. Mon Père, que serions-nous sans cet Espoir, sans ce sentiment qui est étreint à nos lèvres ? Que serions-nous, mon Père, sans cette espérance qui circule sur nos lèvres ? Je te le demande, mon Père, pourquoi serions-nous prêts à résister à tant d’atrocités, si nous n’avions pas, au plus profond de nous, cet aliment qui nous permet de nous accrocher à ce moment d’Espoir. Oui, je suis persuadé qu’à toi seul, à ton nom seul, une armée d’Anges vient se déplacer. Alors, Espoir, de quelle divinité es-tu ? Dis-le-moi, je viens donc te confier, viens me dire d’où tu viens, comment peux-tu nous aider à réaliser ce que tu peux invoquer dans les cœurs, dans la mémoire des vies passées. Espoir, tu es ma vie, tu es mon sang, tu es mon aliment. Espoir, je n’ai que toi à aimer, à me permettre de croire que dans une vie, dans ma vie, il y aura bien un moment où je vais te rencontrer, où nous allons fusionner, où nous allons nous aimer. Car sans toi, sans l’envie de te rencontrer, je préfère, je te le dis, m’enfuir, je préfère m’abandonner à la nuit, à perdre tout respect de vie, d’envie de résister, de me détruire en particulier. Je te le dis, Espoir, tu es ma raison d’exister, tu es mon seul sens de vivre, de résister à me détruire, car plus personne ne m’aime, plus personne ne me respecte, je suis réduit à un tas de pierres. Alors, mon Dieu, laisse-moi au moins une chance de croire, d’espérer, de pouvoir espérer que l’Espoir va envahir ma vie, que l’Espoir va modifier mon état d’être, mon état de vie, où l’homme m’a réduit d’Espoir. Tu es un amour, tu es ma divinité, alors pourquoi ne t’a-t-on pas aimé, pourquoi ne t’a-t-on pas divinisé ?

Espoir, tu es ma mie, tu es ma vie. Espoir, ne m’abandonne pas, je t’en prie, tu es le seul lien avec la terre, avec la lumière, sinon je me détruis dans la nuit.

Espoir, continue à me parler, à m’aimer, à me solliciter, et je te retrouverai les forces nécessaires pour continuer à croire que tout peut changer. Espoir, tu es ma moitié, tu es ma femme en période de difficulté, tu es mon amante. Alors, aide-moi à croire, aide-moi à me raccrocher à ce monde étranger à l’amour, étranger à la joie d’exister, étranger à la bonté. Espoir, aide-moi à résister à cet enfer. Je te le dis, Espoir, d’où viens-tu, je te le demande. Je crois entendre murmurer mon père, je crois entendre murmurer le Père.

Aide-moi, Espoir, ne m’abandonne pas, je t’en prie, je t’en supplie,

Espoir, n’oublie pas l’humanité souffrante,

Espoir, n’oublie pas la misère, n’oublie pas l’intolérance.

N’oublie pas ces mondes de violence.

Espoir, n’oublie pas de nous aimer.

Espoir, je t’aime, je t’aime,

Je t’aime, adieu, ma mie,

Adieu, ma vie.

Adieu.

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