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Il existe des désirs que l’on garde secrets, nichés au creux du quotidien, entre une tasse de café tiède et une pensée fugace. Dans cette collection de récits érotiques contemporains, Eva Rossi explore avec délicatesse les frissons discrets et les tentations brûlantes qui surgissent dans les moments les plus inattendus. À travers des histoires ancrées en France, elle révèle les jeux subtils du regard, du silence et de la peau qui frôle. Le récit qui donne son titre à ce recueil nous entraîne dans l’univers d’une femme libre, solitaire, à la croisée de ses fantasmes les plus inavouables. « Le premier après-midi, j'étais seule. Je suis divorcée et je travaille à domicile. Mon fils venait de rentrer de l'école et était monté dans sa chambre pour étudier. Ce jour-là, j'avais passé une partie de la matinée à surfer sur Internet, sur des sites et des forums pour adultes. J'avais même eu des conversations très osées et audacieuses avec d'autres utilisateurs. » Un prélude comme un frisson, une porte entrouverte sur une réalité délicieusement transgressive. Chaque page est une invitation à explorer le trouble, l’attente, et ce moment précis où tout peut basculer. Et vous, jusqu’où irez-vous ?
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Seitenzahl: 94
Veröffentlichungsjahr: 2025
Ähnliche
Baisée par le Professeur
Histoires Érotiques Interdites de Sexe Tabou pour Adultes
______________________
Eva Rossi
Sommaire
Sommaire
Imprint
Introduction
Avant de commencer...
Baise entre scouts
Tatiana
Baisée par le professeur
Des sensations divines
Ma collègue Nathalie
Histoire vraie
La repasseuse
Baisée par le plombier
Comme à vingt ans
Extase incontrôlable
Celle qui ne semble pas
Internet
Une séance spéciale de sauna
Immoral
La sœur du chauffeur
Le jour de la Saint-Jean
Avant de partir...
Imprint
© 2025 Eva Rossi
Photo de couverture : Canva
Impression et distribution pour le compte de l'auteur :
tredition GmbH, Heinz-Beusen-Stieg 5, 22926 Ahrensburg, Allemagne
L'ouvrage, y compris ses parties, est protégé par le droit d'auteur. L'auteur est responsable de son contenu. Toute utilisation est interdite sans son accord. La publication et la diffusion sont effectuées sur ordre de l'auteur, à contacter à l'adresse suivante : Eva Rossi, Friedrichstraße 155, 10117 Berlin, Allemagne.
Adresse de contact selon le règlement européen sur la sécurité des produits : [email protected]
Introduction
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Envie d'un vrai moment de détente intime et de bienêtre?
Continuez à lire!
Avec ce livre vous aurez l'occasion d’avoir tout ce que vous avez toujours voulu mais que personne ne vous a jamais donné: beaucoup, vraiment beaucoup d'histoires explicites en français, comme vous l'avez toujours voulu!
Vous avez devant vous une collection d'histoires explicites dédiées au bon sexe qu'il est possible d'avoir entre des hommes et des femmes qui aiment se faire plaisir.
Beaucoup des contes passionnantes à vivre seul ou en compagnie.
Vous trouverez de nombreux dialogues entre les protagonistes des histoires, afin que vous puissiez aussi vous imaginer au centre de la scène, comme si vous étiez vous-même un personnage de l'histoire.
Qu'est-ce que tu attends alors? Laissez-vous aller à la passion, à la provocation, aux fantasmes interdits que vous avez toujours eus, laissez tomber vos inhibitions et commencez à voyager avec des émotions.
Pas de censure, 100% plaisir.
Détendez-vous, installez-vous confortablement et embarquez pour un beau voyage plaisir.
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Le livre contient un contenu sexuel explicite et ne convient pas aux personnes de moins de 18 ans. Les histoires sont de pure fantaisie: les personnages sont tous d'âge et, comme le contenu, ils sont fictifs.
Avant de commencer...
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Un bisou et une bonne lecture, Eva!
Baise entre scouts
Une petite histoire qui s'est passée il y a quelques années... Je fais partie d'un groupe de scouts depuis plusieurs années, j'ai 23 ans et je suis maintenant responsable du « groupe ». Le groupe est composé de cinq garçons âgés de 19 à 23 ans. Chaque année, pendant la deuxième quinzaine de juillet, nous partons pour un grand camp. Il y a deux ans, nous avons campé près de Brignoles, dans le sud de la France, au milieu des vignes et des oliveraies. Par pur hasard, un groupe de guides (des scouts, car notre groupe n'était pas mixte) s'est installé près de notre camp. En bons voisins, nous avions déjà fait connaissance avec le groupe, six filles sympas âgées de 18 à 20 ans et les deux cuisiniers, deux garçons de 22 ans, amis de deux des filles. Le camping se déroulait normalement de part et d'autre, nous nous croisions parfois à l'épicerie ou au bar du village. Un soir, je suis sorti seul pour apporter des provisions aux garçons qui faisaient une incursion à quelques kilomètres du campement. Le ciel était dégagé, le temps doux et les cigales chantaient sans relâche le long de la route. Après avoir retrouvé les scouts, j'ai repris la route du retour et, quelques kilomètres plus loin, j'ai remarqué la voiture des responsables de l'autre camping sur le bord de la route, avec un pneu à plat et un cric. Suivant uniquement mon instinct, je me suis arrêté.
Laurence et Anne, visiblement épuisées, essayaient en vain de mettre le cric. Elles m'ont accueilli chaleureusement et je les ai aidées à changer la roue. Il faut dire que nous étions au onzième jour de camping et que la simple vue de ces deux filles a eu un effet radical sur moi ! Laurence était brune aux yeux noirs, de taille moyenne, avec une poitrine que l'on devinait belle et ferme. Anne, plus grande que moi, avait des cheveux châtain clair coupés courts, des jambes interminables et une poitrine moyenne. Je savais qu'elles avaient toutes les deux 19 ans et qu'aucune d'elles ne sortait avec l'un des cuisiniers. Après avoir rangé la roue endommagée dans le coffre, je leur ai souhaité bon voyage lorsque Laurence m'a soudainement demandé si j'avais une « petite amie ». J'ai répondu que je venais de rompre. Elle m'a alors demandé de la suivre. Un peu surpris, j'ai obéi. Anne est restée près de la voiture et nous nous sommes éloignés entre les vignes. Elle s'est tournée vers moi et m'a embrassé doucement sur la bouche, mon érection, présente depuis le début, a encore augmenté, le parfum de cette fille, mon manque de sexe depuis plusieurs jours, ma tête tournait. Elle m'a tiré par terre, m'a demandé de m'allonger sur le dos, m'a ouvert la braguette et m'a retiré mon pantalon, a écarté mon caleçon et a pris délicatement ma bite dans sa bouche. Je pensais que j'allais jouir à ce moment-là, mais elle s'est arrêtée et s'est déshabillée complètement, posant ses vêtements par terre pour ne pas nous blesser sur les touffes de terre très dures.
Elle a recommencé à me sucer, jouant avec sa langue autour de mon gland, la tournant délicatement, tandis qu'un mince filet de salive coulait le long de mon membre tendu. Puis elle s'est allongée sur le dos et a écarté les jambes, je me suis levé pour la pénétrer, elle m'a arrêté avec ses pieds et a commencé à me masturber avec, moi debout, elle allongée, les cuisses écartées, me laissant deviner sa fente humide. Je n'en pouvais plus et j'ai joui si loin que mon sperme a éclaboussé son visage. Elle s'est nettoyée et m'a demandé de la baiser. Je l'ai pénétrée avec une facilité incroyable, elle était toute mouillée, elle bougeait ses hanches vers moi en gémissant et a rapidement joui. C'est alors que j'ai remarqué qu'Anne nous regardait à quelques mètres de là. Laurence m'a dit qu'elle ne jouirait pas, mais qu'elle aimait regarder les autres, elle s'est agenouillée et a recommencé à me sucer. Au bout de 5 minutes, j'ai joui dans sa bouche en regardant Anne dans les yeux. Elle en voulait encore, alors elle s'est assise sur ma bouche et je l'ai léché pendant un bon quart d'heure, je crois qu'elle a eu deux orgasmes. Puis nous nous sommes rhabillés et sommes retournés chacun à notre camping.
***
Le camping a continué, j'ai croisé Laurence et Anne une ou deux fois dans leur voiture, mais nous ne nous sommes plus parlé après cette fameuse nuit. Un soir, après la veillée autour du feu de camp, nous étions réunis, les cinq membres du groupe, pour discuter de la journée suivante et tirer les conclusions des activités de la journée. Les scouts dormaient dans leurs tentes lorsque nous avons entendu le bruit d'un moteur qui s'approchait du camp. C'était Anne, seule au volant, elle semblait paniquée... Nous avons couru vers elle, qui nous a raconté que des garçons du village étaient arrivés et avaient menacé de détruire le camp s'ils ne se prêtaient pas à des jeux plutôt pervers...
Elle nous a demandé de passer la nuit dans notre camp, car les filles dont elle avait la responsabilité étaient hébergées chez des habitants du village, en attendant que tout soit terminé. Nous avions une tente vide, que nous utilisions pour ranger le matériel en cas de pluie, et nous l'avons offerte à Anne pour héberger les filles. Elle est sortie immédiatement pour aller chercher ses amies. Elles se sont installées et, vers deux heures du matin, tout le monde dormait du sommeil des justes. Tous... non, moi, je n'arrivais pas à dormir, l'image de Laurence qui me masturbait avec ses pieds, au coucher du soleil, au milieu des vignes, m'obsédait à tel point que j'ai commencé à me masturber en silence. Ne pouvant plus résister, je suis sorti de la tente et me suis dirigé machinalement vers la tente où se trouvaient les filles. La lune était pleine et je n'eus aucun mal à reconnaître la silhouette élancée d'Anne, assise à quelques mètres de sa tente.
Elle ne m'avait pas encore vu, à dix mètres de distance, dans la nuit, elle était magnifique, une créature superbe faite pour l'amour, avec ses 19 ans rebelles, elle semblait sublimer ce moment de beauté. Je m'approchai et elle sursauta, je m'excusai et lui demandai pourquoi elle ne dormait pas. Elle m'expliqua qu'elle avait encore peur. Elle s'excusa également de nous avoir observés, Laurence et moi, la nuit précédente. Je lui ai dit que cela m'excitait encore plus, que cela me rappelait le plaisir que j'avais éprouvé dans la bouche de Laurence en regardant Anne dans les yeux, comme si je violais son âme. Mon état empirait et j'aurais donné n'importe quoi pour poser mes mains sur ses hanches et me frotter contre elle. Elle ne portait qu'un short blanc moulant et un t-shirt rose ample. Le short moulait ses formes et le t-shirt semblait bondir sur ses seins comme une cascade. Elle m'a regardé dans les yeux, puis s'est décidée, m'avouant qu'elle me désirait depuis la première nuit, mais qu'elle n'avait fait l'amour qu'une seule fois et qu'elle avait peur de ne pas être à la hauteur. Je l'ai prise par la main et l'ai emmenée vers la petite rivière à quelques dizaines de mètres du camping.
La petite rivière coulait entre les rochers, rafraîchissant cette nuit déjà très chaude. Nous nous embrassions doucement, je sentais ses mains glisser vers mon short et trouver ma bite en érection. Un léger soupir de surprise s'échappa de ses lèvres, puis ses doigts allèrent plus loin, saisissant mon membre et commençant un mouvement de bas en haut. Je n'en pouvais plus, pour l'encourager, je lui ai murmuré à l'oreille qu'elle devait être encore meilleure que Laurence, elle a frissonné. Elle s'est éloignée de moi et s'est déshabillée complètement, ne gardant que ses baskets larges aux pieds. Elle a posé son t-shirt par terre et m'a enlevé le mien, m'embrassant sur la poitrine et jouant avec mes poils.
