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Livre écrit dans le cadre d'un atelier d'écriture ce livre fait partie d'une collection
Das E-Book Balade dans mon imaginaire 7 wird angeboten von Books on Demand und wurde mit folgenden Begriffen kategorisiert:
poésie, Histoire, Femme, rien, balade
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Seitenzahl: 25
“La vérité est dans l’imaginaire.”
Eugène Ionesco
Merci à Mado
En regardant la photo
Lettre de rupture
Souvenirs
La Mandoline
Lumière du soir
Le quartier idéal
Pour 2 voyelles
La dame de nacre
Crime sur étagère
Le trésor des cathares
Le trésor des cathares (suite)
Le Cirque de Gavarnie
Le Parfum
Carnaval
Le Voyage de Pierre
Si les mots
Message
Les contes et le marquis De Sade
Le Pallaissou et le Pétadou
Dans cette chambre aux tons couleurs d’automne, un couple.
Lui couché habillé la tête posée sur le bas du lit contemple le plafond une main posée sur son cœur.
Elle, semble prête à partir. Elle tire sur son bas pour en supprimer un pli.
Le lit parfaitement arrangé n’indique pas ou ne laisse pas entrevoir une scène d’amour ou de rupture. Un frère, une sœur deux amis rien aucune indication sur leur relation.
Pourtant lui serein semble lui dire.
« Tu vois j’avais raison »
Elle les cheveux ruisselant sur son épaule, le visage triste, les yeux baissés l’écoute en pensant
« Je sais j’aurais du les couper »
Aujourd’hui, je prends une page blanche pour t’écri-re, pour te dire tout ce que j’ai sur le cœur.
Je n’en peux plus de ta présence, toi qui me rend heureux et malheureux à la fois. Tous les jours, tu m’obliges à te prendre dans ma main, même les jours où mon esprit est vide de mots.
Je ne veux plus, c’est fini notre histoire n’a que trop duré. Je te quitte, n’essaye pas de me retenir, d’ail-leurs j’ai rencontré un autre amour il s’appelle Bic.
Adieu ma plume, je garderais gravé dans mon cœur ton doux prénom « sergent major »
Bises de ton poète
Je me souviens, je n’avais que six ans de ce glacier
Ou le patron s’appelait Gé
Je me souviens, de l’épicerie chez Burchini
Qui nous faisait souvent crédit
Je me souviens, de ce magasin bleu
Ou l’on achetait cahier et stylo bleu
Je me souviens, de ma communion solennelle
Montre et plein de cadeaux pèle mêle
Je me souviens, de mes jeux dans la colline
Avec la petite martine
Je me souviens, du jeu de pilou
Entre les arbres entre nous
Je me souviens, des bagues de ma maitresse
Qui un jour sur ma joue ne m’ont pas fait caresse
Je me souviens, des voyous qui jouaient du rock
Blousons noirs du quartier st Roch
Je me souviens, qu’avec cinq centimes
On achetait bonbons et des malabars en prime
Je me souviens, on n’avait pas la télé
Nos séries c’était dehors qu’on les jouait
Je me souviens.
a mandoline
Quand elle joue de la mandoline
Que ses mains doucement taquines
Dans ses bras son instrument
Devient son amant
Crin, crin, crin doucement elle le caresse
Ses doigts s’agitent sans cesse
Elle en tire des sons mélodieux
Des notes et des soupirs d’un homme heureux