Cité-État agonisante ou Jugement dernier - Kuman Kafkas - E-Book

Cité-État agonisante ou Jugement dernier E-Book

Kuman Kafkas

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Beschreibung

Akkad mène une croisade implacable contre les dérives des institutions gangrenées par des intérêts personnels, notamment par la corruption morale. Porté par une vision collective et soutenu par des personnalités, il plaide, entre autres, pour la création d’un tribunal populaire, chargé de dévoiler les ingérences étouffées et de diriger les affaires dans deux domaines spécifiques. De Genève à Rome, de Loyola au Vatican, il arpente les lieux de pouvoir et de foi, en quête de vérité. Face au silence complice, il élève la voix au nom des victimes oubliées, celles dont le nombre réel reste soigneusement occulté, et pour la plus grande gloire des Enfants.

À PROPOS DE L'AUTEUR

Kuman Kafkas, diplômé de l’École Hôtelière de Genève en management, allie rigueur professionnelle et quête spirituelle. Ses écrits, inspirés de rêves numineux, portent la trace du mysterium tremendum et traduisent une vision singulière, profonde et habitée. Il écrit comme on dévoile une énigme : avec intensité, clarté et foi.

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Veröffentlichungsjahr: 2025

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Kuman Kafkas

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Cité-État agonisante

ou Jugement dernier

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

© Lys Bleu Éditions – Kuman Kafkas

ISBN : 979-10-422-7549-5

Le code de la propriété intellectuelle n’autorisant aux termes des paragraphes 2 et 3 de l’article L.122-5, d’une part, que les copies ou reproductions strictement réservées à l’usage privé du copiste et non destinées à une utilisation collective et, d’autre part, sous réserve du nom de l’auteur et de la source, que les analyses et les courtes citations justifiées par le caractère critique, polémique, pédagogique, scientifique ou d’information, toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle, faite sans le consentement de l’auteur ou de ses ayants droit ou ayants cause, est illicite (article L.122-4). Cette représentation ou reproduction, par quelque procédé que ce soit, constituerait donc une contrefaçon sanctionnée par les articles L.335-2 et suivants du Code de la propriété intellectuelle.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Ce livre est dédié à Hülâgü-Batikan Sumer et à Hilâlî-Maral Sumer, qui se sont battus, avec leur papa Akkad Sumer,

depuis leur prime enfance contre les âmes corrompues-les collabos.

(Les noms et les prénoms des enfants et du père

sont des pseudonymes.)

Je salue toutes les familles de Genève et du monde entier qui mènent un combat pour leurs enfants, pour la liberté, la liberté d’expression et contre les âmes corrompues-les collabos.

 

Kuman Kafkas

Genève/Suisse

 

 

 

 

 

 

Quiconque vit dans l’obéissance doit laisser la divine Providence le mener et le diriger par le moyen du Supérieur, comme un cadavre qui se laisse mener n’importe où et traiter comme on veut, ou comme un bâton de vieillard qui sert n’importe où et pour n’importe quoi, selon l’aide que demandera celui qui le tient dans la main.

(Perinde Ac Cadaver)

Ignace de Loyola

 

Vous pouvez tromper quelques personnes tout le temps. Vous pouvez tromper tout le monde un certain temps. Mais vous ne pouvez tromper tout le monde tout le temps.

Abraham Lincoln

 

Renoncer à sa liberté, c’est renoncer à sa qualité d’homme, aux droits de l’humanité, même à ses devoirs.

Jean-Jacques Rousseau

 

Derrière les âmes corrompues, il y a des délits, des crimes et des vies qu’elles ont brisées et incinérées. Ce qui est accablant et curieux est qu’elles continuent, elles changent de services ou institutions, toutes autres circonstances incluses, mais leurs délits et crimes restent impunis.

Kuman Kafkas

 

 

 

 

 

Introduction

 

 

 

Afin de faire une meilleure entrée et de s’acclimater au livre Cité-État agonisante ou Jugement dernier, il est certainement plus convenable, plus adéquat de commencer par le prologue du livre I : Les âmes corrompues – un exemplaire est déposé à la bibliothèque du Vatican –, paru en 2023 à Paris et le prologue du livre II : Le tribunal d’inquisition populaire, paru en 2024 à Paris. Cet ouvrage est la suite des deux premiers. Tout commence au mois de mai 2015, une simple séparation familiale tourne au drame. Le personnage principal Akkad Sumer et ses deux enfants, moins de trois ans et moins d’un an, sont poussés dans l’enfer. En 24 heures, leur vie atteint un niveau d’incertitude menant vers une ligne entre vie et mort. Dans la suite, la situation se transforme en tragédie humaine que les protagonistes complexifient tellement qu’il devient quasiment impossible de démêler leurs actes funestes contre le père et ses petits. L’arrestation d’Akkad par la police, qui se base sur une plainte pénale en dénonciation calomnieuse et préméditée insidieusement, puis l’emprisonnement le jour suivant et la détention provisoire pendant presque six mois amplifient les dangers. En prison, il comprend les pièges complexes, mais c’est trop tard. Isolé, il n’a pas droit à l’erreur, il se lance dans le combat corps-âme-esprit au plus haut point humainement possible et se fait libérer. La vie des trois tient à un fil aussi mince qu’invisible. La guerre de survie commence. Père et enfants marchent contre la mort soutenue par les protagonistes, les âmes corrompues : mais une seule partie gagnera ; les âmes corrompues et leurs réseaux ou le père avec ses deux petits anges, leur entourage et la Divine Puissance. Sans l’intervention de la Puissance Céleste, les trois auraient pu disparaître de la Terre. Et les collabos qui, actifs au sein des institutions et services publics, ainsi que dans les établissements privés concernés, mènent des activités diverses dans le domaine de la petite enfance et de la jeunesse auraient fait passer sous silence les évènements funèbres qu’ils ont créés eux-mêmes, ils auraient fait disparaître toute trace de preuve par des stratagèmes subtils et exercés que dans le pays personne ne se serait interrogé sur leur disparition. Hélas, les cas sont nombreux. Ils n’auraient été ni les premiers ni les derniers. Les âmes damnées pensent que Genève leur appartient et qu’elles peuvent en faire ce qu’elles veulent : accuser les parents et les jeunes, les manipuler, y compris les mineurs en bas âge, les piéger dans les rets curatriciens, les exploiter comme du bétail jusqu’à l’épuisement, parfois jusqu’à la mort. Quand on s’aperçoit que des délits, des crimes sont commis contre les enfants, les parents et les familles, les coupables disent qu’ils font leur travail. Paradoxalement, dans l’Allemagne des années 1933-1945, les Nazis, leurs membres, leurs sympathisants, leurs admirateurs, leurs amis, leurs réseaux, leurs collabos disaient qu’ils faisaient leur travail. Il est connu, ces personnes mentionnées ont été interrogées par beaucoup de gens, en particulier par les journalistes, les chercheurs et les écrivains au sujet des actes inhumains qu’elles ont commis sur les victimes en provenance de divers pays, surtout sur les Juifs dont l’extermination était planifiée, des traitements atroces, des essais médicaux interdits dans tous les sens du terme, toutes auraient rejeté les responsabilités et personne ne se serait excusé sur les faits irréfutables qui ont eu lieu, selon les mêmes journalistes, chercheurs et écrivains. Pourtant, on est, en ces cas, dans la République et canton de Genève, et les atrocités qui frappent les familles sont conçues et pratiquées par les membres des réseaux curatriciens (« curatricien », adjectif venant du mot curatrice/curateur). Mais étrangement, cette destruction des familles, démunies et jetées dans la misère totale au cœur de Genève, dure depuis plus d’un quart de siècle de manière vertigineuse, où les cas se décuplent de plus en plus. La situation est alarmante au plus haut niveau. Ce père dévoué corps-âme-esprit à ses enfants s’est trouvé face à une voie sans issue, pour ne pas dire quasi sans espoir. Par les rêves numineux sur la Compagnie de Jésus et les Jésuites, qui ont commencé vers la fin de l’année 2018 et qui ont par la suite continué, l’intervention divine a sauvé Akkad et ses enfants, son fils, Hülâgü-Batikan et sa fille, Hilâlî-Maral d’une disparition provoquée par d’obscurs agissements que l’inévitabilité s’était fixée au rendez-vous de destruction que le seigneur a annulé. Ensuite, Akkad effectue des voyages tracés d’avance et les évènements ultérieurs se sont succédé : il visite la tombe d’Ignace de Loyola, Fondateur et Premier Général de la Compagnie de Jésus, dans l’Église de Jésus à Rome, où il rencontre un prêtre jésuite, les deux hommes parlent pendant des heures. L’homme de Dieu lui donne des conseils nécessaires qui constituent un système précieux pour mener le combat jusqu’au bout contre les âmes corrompues-les collabos, à Genève. Le même jour, il visite le Vatican. Lors du deuxième voyage en février 2022, près de trois ans s’étaient écoulés, il n’en avait parlé à personne, après s’être recueilli sur la tombe de Loyola, dans l’après-midi il passe au Vatican et demande directement à rencontrer, le jour même, le Saint-Père, le pape François qui est jésuite, membre de la Compagnie de Jésus, premier pape jésuite. Le chef de la sécurité du Vatican, de la Garde suisse pontificale, arrive immédiatement et les deux hommes engagent une discussion d’un instant, il donne à Akkad une invitation à l’audience du pape et assure qu’Akkad aura un moment tête à tête seul avec le Saint-Père, dans deux jours dit-il. Les circonstances de timing ne correspondent pas à l’agenda du visiteur déterminé, il doit rentrer à Genève, mais retourne au Vatican l’année suivante avec une invitation en portant également avec lui des exemplaires de son premier livre Les âmes corrompues qu’il en offre un au Très Saint-Père, pape François, cet exemplaire sera déposé à la bibliothèque du Vatican. Ensuite, à deux pas de là, Akkad dépose un autre exemplaire personnellement à la bibliothèque de la Compagnie de Jésus, le Siège Universel situé au 4 Borgo Santo Spirito.

 

 

 

 

 

Prologue du livre I

Les âmes corrompues

 

 

 

Avant tout, il est préférable de clarifier que le récit dans ce livre est réel/non fictif : c’est un vécu. Tous les lieux, les adresses, les dates, les services, les institutions et sociétés indiqués, ainsi que les évènements et les faits sont (tous) vrais. Les documents et preuves irréfutables dans cette affaire sont étalés en des milliers de pages dans les dossiers. Par souci d’anonymat, les noms et prénoms des personnages sont des pseudonymes. Cela fait presque huit ans, à Genève, que la vie familiale d’Akkad et ses enfants, son fils Hülâgü-Batikan et sa fille Hilâlî-Maral, est infestée d’abord par les erreurs judiciaires pour commencer, ensuite par les faux rapports, la violation des lois et des droits tant de la Constitution fédérale suisse que de la Constitution cantonale de Genève. La situation intenable commence au mois de mai 2015 : ce père de deux enfants – qui ont également pris l’origine paternelle, naturalisé, citoyen suisse et de Genève – est arrêté par la police qui se base sur les accusations infondées dans une plainte en dénonciation calomnieuse. Il est emprisonné durant près de six mois, mais il réussit à se faire libérer en se battant de toutes ses forces. Dans la tempête quasi mortelle pour ses deux petits, le premier n’avait pas encore trois ans, la deuxième était dans sa première année, lui-même moins de quarante. Après sa libération début novembre 2015, il doit s’engager dans un combat contre une existence déshumanisée, imposée par des personnes qui portent le masque humain, mais qui sont en réalité des Âmes corrompues ; elles emploient des pratiques monstrueuses en semant l’horreur, provoquant des dégâts irréversibles et en assassinant les relations humaines et familiales. Par manque de chance, son fils a dû subir une opération à cœur ouvert quand il avait trois mois, sa fille, une opération crânienne peu après son premier anniversaire et le père s’est fait opérer du pied après sa sortie de prison. De la fin d’année 2015 jusqu’à fin 2018, cet homme a enduré encore la spirale infernale. Au bout de trois ans et demi de vie brisée, il est poussé à quitter le pays – devenu le sien, où il a passé plus d’un quart de siècle – ses enfants et tout ce qu’il avait construit en travaillant et étudiant sans répit. Au moment des préparations et prises de décision de départ définitif pour l’un des pays anglo-saxons dont il devait faire le choix éminemment, c’est alors qu’intervient un vrai miracle par des rêves numineux : le premier, début décembre, de la Compagnie de Jésus : « Il était habillé entièrement en blanc, ses deux enfants en bas âge étaient avec lui, son fils à sa droite, sa fille à sa gauche, ils étaient accompagnés d’une foule de personnes, tous marchaient à l’intérieur d’un bâtiment aussi grand que celui du Palais des Nations à Genève. Tout à coup, il entend des voix qui s’élevaient de près et de loin, de toute part ; c’est lui, c’est lui, c’est lui ; il est là ; c’est le général des jésuites, c’est le général des jésuites, c’est le général des jésuites, tout le monde criait à tue-tête. Les appels s’élevaient de partout, il lève sa tête et se rend compte que c’est à lui que la foule s’adresse, c’est de lui qu’on parle ; Monsieur, Monsieur, Monsieur. Voyant leurs mains levées, entendant leur voix, il s’arrête et incline sa tête et son buste, comme fait un homme devant son roi, de façon marquée dans les quatre directions. Les gestes de la foule devenaient plus vivants, les cris et appels, plus puissants, se prolongeaient ; il reprend les enfants par la main en continuant de marcher avec les compagnons et l’affluence qui les entouraient des quatre côtés. Quand il a balayé des yeux l’intérieur, il a remarqué que les gens qui les entouraient marchaient en même temps qu’eux, les protégeaient de tous les côtés, comme un épais mur humain, vigilants, et observaient tout l’espace jusqu’au coin le plus éloigné. Ils avançaient calmement, sereinement, tous ensemble. » Puis le deuxième, fin décembre 2018, de son fondateur et Premier Supérieur Général : « N’oublie jamais, tu dois mener le combat jusqu’au bout, tu as le devoir de le faire. Je suis seul, je ne peux pas, a-t-il répondu. Tu n’es pas seul, tu peux, dit la voix. Après avoir entendu ces paroles, je le jure, dit-il, en se réveillant. » Ensuite les autres, notamment celui de fin novembre 2021 dans lequel : « Un homme lui dit, par une voix bienveillante et rassurante, ce livre doit être terminé avant la fin d’année, alors qu’Akkad était allongé à terre même, pensif sur le cours des évènements », qui ont montré le chemin à suivre à ce père dévoué qui engage un combat pour sauver et protéger ses enfants des Âmes corrompues, quel que soit le prix à payer et quoi qu’il arrive. Que la Terre se divise en deux, que la moitié soit brûlée par le feu et l’autre engloutie par la tempête pluviale destructrice, il n’abandonnera pas ses anges et le combat libérateur. Dès lors, une véritable guerre de survie commence pour Akkad ainsi que les siens qui sont du côté du Seigneur contre les Âmes corrompues, monstres démoniaques. Il abandonne les préparations et annule définitivement son départ pour l’un des quatre pays : le Canada, l’Australie, les États-Unis d’Amérique ou le Royaume-Uni. Désormais, il prend une voie nouvelle vers une vie nouvelle, car celle d’avant était tuée par les êtres qui violent l’État de droit et les droits naturels, tout en se cachant derrière le visage humain pour pouvoir commettre les actes les plus ignobles : créer des tensions irréparables entre les parents, les frères et sœurs, les enfants et les parents, les séparer, les persécuter, les exploiter comme du bétail. Ce qui empoisonne et anéantit les racines, le fondement de la famille, mais ces créatures ennemies de l’humanité n’en ont rien à faire ; elles veulent assurer leur poste, leur salaire très élevé, et garantir leur carrière. Certaines occupent le Service de protection des mineurs (SPMi), un service de l’État, où des milliers, voire des dizaines de milliers de victimes sont enregistrés dans leurs registres et archives. Il y en a aussi au sein des autres institutions étatiques, d’autres dans des sociétés privées. Entre eux, des contrats, allant de quelques milliers, mais sur le long terme englobant divers domaines, peuvent atteindre les centaines de milliers de CHF, voire dépasser le million, sont signés tous les jours. Le combat que ce père et les siens mènent est celui du Bien contre le Mal. La libération nécessite la présence permanente de corps-âme-esprit unis et encouragés par la Puissance Céleste qui montre la direction à prendre. Le 15 juillet 2019, Akkad Sumer se rend à Rome afin de visiter la tombe d’Ignace de Loyola, le Fondateur et Premier Général de la Compagnie de Jésus, dans l’église de Jésus, non loin du Vatican qu’il visite également. À l’église, il rencontre un prêtre jésuite avec qui il parle et lui raconte dans un premier temps la situation de ses enfants et de lui, notamment judiciaire, puis ses rêves qui sont un phénomène mystérieux divin, la puissance agissante de la divinité, un sentiment de présence absolue, une présence divine. L’homme de Dieu l’écoute et dit à son interlocuteur : M. Sumer, je peux vous dire qu’en tout cas c’est très bien, c’est une excellente chose, vous avez de la chance, beaucoup de chance. Dieu vous aime et ne vous laisse pas seul, vos rêves le prouvent. En même temps, s’agissant de votre affaire juridique, vous devez être prudent devant les tribunaux et apporter des preuves de tout ce que vous dites et de tout ce que vous faites, de même que pour les autres, vous devez prouver tout ce que les autres vous disent et tout ce qu’ils vous font. Vous devez, en permanence, vous protéger vous et vos enfants et être en mesure d’avoir tous les moyens nécessaires pour vous défendre par des pièces, des preuves et des témoignages concrets. Vous devez être en mesure de présenter des preuves sur les discours, téléphones, messages, lettres, documents officiels, échanges électroniques, conversations lors des entretiens, ou entretiens téléphoniques et vidéoconférences, des audiences au tribunal, ou d’autres éléments devant les tribunaux. Vous devez faire attention à chaque chose, car sans preuve, les gens ne vont pas vous croire. Pour toutes ces raisons, il faut les conserver afin de les utiliser quand le jour, le moment sera venu, c’est juste une question de temps. Soyez prudent, que Dieu vous bénisse, vous et vos enfants. Les années suivantes, 2020, 2021 et début 2022, sont passées dans le combat en différents endroits, mais Akkad a suivi la voie tracée par la Divine Puissance, les conseils des personnes qu’il a consultées pour le porter sur d’autres dimensions, sortant du cadre local passant par celui régional puis national et enfin international pour dénoncer les Âmes corrompues. Car c’est une affaire qui a les caractéristiques et des dimensions sociétales, donc toute la société est concernée. Début février 2022, près de trois ans après la première visite, Akkad décide de se rendre à Rome pour la deuxième fois et visiter la tombe de Saint Ignace de Loyola. Dans le même temps, le 14 février vers 16 h 45, dès qu’il entre dans le Palais du Vatican, côté visiteurs, il se présente à la réception et dit à l’homme d’une quarantaine d’années, directement en français, je vais voir le Très Saint-Père, à qui dois-je m’adresser ? Ce dernier répondant également en français l’envoie vers les gardes du Vatican. Le chef de la sécurité pontificale lui demande : « Pourquoi vous voulez voir Sa Sainteté ? Écoutez, je suis ici, parce que j’ai reçu des interventions miraculeuses de la Compagnie de Jésus et de Saint Ignace de Loyola, qui me conseillent et me guident depuis plusieurs années et c’est toujours le cas, entre autres le conseil urgent d’écrire un livre sur l’affaire, mais avant de le publier, j’aimerais le voir, et lui parler juste un instant, quelques minutes, et je sais que Sa Sainteté est membre de la Compagnie de Jésus, répond Akkad. » L’homme habillé en costume gris reprend : « Aujourd’hui, c’est déjà le soir, demain le Saint-Père a une journée chargée, mais le mercredi 16 février le Pape donnera une audience à 9 h 15, Sa Sainteté pourra vous y recevoir, et on va l’informer avant, vous aurez un instant seul avec le Saint-Père. » En sortant du Vatican, Akkad se souvient de ce que saint Ignace de Loyola avait dit plusieurs siècles auparavant : « Fais comme si tout dépendait de toi, abandonne-toi comme si rien n’en dépendait ».

 

 

 

 

 

Prologue du livre II

Le tribunal d’inquisition populaire

 

 

 

Le récit dans ce livre, Le tribunal d’inquisition populaire, est la suite du livre Les âmes corrompues. La raison d’être de ce livre, comme le précédent, est entièrement basée sur les rêves numineux qui ont commencé au mois de décembre 2018 sur la Compagnie de Jésus et son fondateur et Premier Général, Ignace de Loyola (paix à son âme), ainsi que les Jésuites, et les autres.

 

Les évènements ont lieu à Genève, Suisse, à Rome, Italie, à Loiola, Azpeitia, Espagne et au Vatican. Par souci d’anonymat, les noms et prénoms des personnages sont des pseudonymes. De la première à la dernière page, toutes sont semées de points d’interrogation qui questionnent les lectrices et les lecteurs sur la raison d’existence de la vie humaine et de sa mission sur la Terre. Dans certains passages, on tombe dans le vide comme un vaisseau spatial qui voyage dans une zone où il est une absence de gravité. On pourrait parfois se sentir perdu au milieu de nulle part : que s’est-il passé ? Où on en est ? Est-ce toujours le même livre ? Est-ce que le sujet a changé sans que je m’en rende compte ? Ai-je laissé passer plusieurs pages par inattention ? En fait, rien de tout cela. Si certains écrits se répètent, c’est qu’ils expriment les actes répétés, c’est l’exact reflet de la réalité dans la vraie vie, pourrait-on dire effrayante. Par conséquent, des questions sans nom, nombreuses et intimidantes apparaissent de tous côtés, encore une fois sans pouvoir les nommer. Puis, on s’efforce pour donner une forme à ce qu’on lit et relit sur un monde infernal, les persécuteurs anéantissent les persécutés, c’est même leur but.

« Mai 2022 : Rêve : À l’aube du jour, tout était encore plongé dans les ténèbres de la nuit noire, mais on commence à percevoir au loin, au très loin, les couleurs magnifiques matinales, rose doré, très lumineuses de l’aube, où l’on est témoin de la naissance d’un nouveau jour, des nouveaux espoirs, la voix habituelle de l’homme lui disait, en envahissant Terre et Ciel dans l’Océan d’obscurité, par un très puissant appel : Ignace de Loyola ! La voix se répandait par vagues. C’est par ce puissant, rassurant et paisible appel qu’il se réveille. »

C’est le combat du Bien contre le Mal. Il n’est pas permis de se décourager, ni désespérer, ni déprimer pour mener le combat en faveur du Bien à terme. Il faut rester puissant, stable, entier, et ce, par corps-âme-esprit, même dans les situations les plus épouvantables. Il est nécessaire de regarder les choses non seulement de l’extérieur, mais aussi de l’intérieur pour percevoir au mieux ce qui est enfermé sous des couches invisibles et malicieuses.

 

« Juillet 2022, Rêve : Il arrive dans un lieu, c’était le soir, il pleuvait des cordes, des flaques d’eau et de la boue partout, il y avait des personnes qui prenaient des notes, bloc-notes à la main, il voyait des gens allongés partout, “ils sont morts” disent les personnes qui prennent des notes. Un homme qu’Akkad ne voit pas dans l’obscurité lui montre une tombe, ils creusent ensemble, “il est mort”, disent plusieurs autour, les deux hommes constatent que l’enterré n’est pas mort, il respire. “Il n’est pas mort”, leur dit-il. “Non, il est mort, disent les autres, c’est fini”, lui répète le groupe. Ils déterrent l’homme, Akkad entend quelqu’un lui dire que c’était un père, ils l’ont enterré vivant. Il voit les parents de l’homme qu’ils ont déterré et leur demande : “pourquoi vous avez laissé faire ces gens-là, enterrer votre fils alors qu’il n’était pas mort ?” Les deux parents lui répondent : “on n’a pas pu faire quoi que ce soit”. Akkad voit un autre homme plus jeune allongé sur le dos ; les personnes qui font des tours partout ne cessent de répéter “ils sont tous morts”. “Non, celui-là n’est pas mort, il bouge, il faut le sauver”, crie Akkad. “Non, répondent de la même manière les personnes qui prennent des notes, il est mort, c’est fini”. L’autre homme l’aide à le sauver. Avec l’homme qui l’a aidé, ils se sont dirigés vers la sortie et quand ils sont finalement sortis de cet endroit effrayant, l’homme demande à Akkad, “est-ce que tu as utilisé des éléments de défense ?” Il répond non. Et quand il ouvre les yeux, quel endroit horrible était-ce, se dit-il. »

 

Cependant, avancer et conserver le fil conducteur s’imposent pour comprendre les graves et nombreux dysfonctionnements au sein des différents Services et sociétés d’une part et la survie des dizaines de milliers de citoyens et citoyennes de l’autre, par les comportements et les agissements inquiétants des âmes corrompues contre le Seigneur. Personne ne semble pouvoir apporter des solutions aux problèmes récurrents créés gratuitement contre les citoyens et citoyennes. Néanmoins, il pourrait y avoir un aboutissement : l’établissement d’un Tribunal d’Inquisition Populaire (TIP) qui pourrait être actif dans deux domaines : protection des droits de l’enfance et de la jeunesse et protection des Constitutions. Autrement dit, les coupables ou les présumés coupables pourraient faire l’objet d’enquêtes et d’être jugés par cette Institution qui serait sous le contrôle direct de l’Assemblée fédérale et du Gouvernement suisse. Mais il ne faut pas le confondre avec les Tribunaux d’Inquisition des siècles passés.

 

Dans le récit, le personnage principal, Akkad Sumer, effectue des voyages en différents lieux : Rome, Loiola et Vatican. Partout, il est accueilli chaleureusement, les portes grandes ouvertes, et chaque fois il est invité à revenir.

« Mai 2023 : Rêve : Lors d’un rassemblement dans une grande salle surpeuplée, un homme, responsable de l’évènement, lui dit : tu es le Président de la Compagnie Céleste. Akkad confirme par oui, je suis le Président de la Compagnie Céleste. »

 

 

 

 

 

Prologue

 

 

 

Ce livre est la suite des précédents. Sa raison d’être, comme les deux premiers, est entièrement basée sur les rêves numineux qui ont commencé au mois de décembre 2018 sur la Compagnie de Jésus et son fondateur et Premier Général, Ignace de Loyola (paix à son âme), ainsi que les Jésuites, et les autres.

 

Ceci raconte les actes des individus occupant des postes auprès du Service de protection des mineurs – ce Service ne mérite pas ce nom, mais le suivant : « Service de Persécution des Mineurs et des Familles » (SPMF) – ou encore – « Service d’assassinat des vies et relations humaines et familiales » (SAVRHF), et auprès du Tribunal de protection de l’adulte et de l’enfant TPAE – le nom de ce Tribunal correspond au suivant : « Tribunal de persécution de l’adulte et de l’enfant », et on appellera le juge qui y exerce une activité, le juge au Tribunal de persécution de l’adulte et de l’enfant, auprès des autres institutions et services publics concernés, des individus dans des centres ou Points de rencontre, établissements privés, pour enfants-parents, et dans des centres, cabinets, et sociétés diverses privées de pédopsychiatrie, membres des réseaux curatriciens.

 

On estime qu’au moins deux tiers des cas, traités par ces institutions et services, et par le domaine privé, sont en toute connaissance de cause inventés et planifiés avec malveillance par leur personnel contre les enfants et les parents, pour les faire passer d’abord au SPMi, ensuite au TPAE, puis éventuellement par d’autres services, et enfin ils contraignent enfants et parents à passer par des Centres et Points de rencontre pour les familles ou Centres et Cabinets de pédopsychiatrie. Des dizaines de milliers de familles, celles du passé inclues, dans le canton de Genève, sont piégées par ces réseaux. Ces familles attaquées, divisées, manipulées, précipitées dans la misère déshumanisante, sont des sources de revenus générés allant de plusieurs centaines de milliers à des millions de CHF annuellement pour beaucoup de personnes et sociétés actives dans les divers domaines. Ces dernières qui se constituent des fortunes absolument colossales ne sont pas inquiétées. Si parfois quelques parents se sont levés pour s’opposer à leurs pratiques déloyales, humiliantes, voire meurtrières, « les âmes corrompues-collabos », au sein de ces institutions et services publics et au sein des sociétés privées attaquent tous ensemble, à tort, les parents et les enfants pour les faire taire par les rapports infondés et calomnieux, manipulatoires et diffamatoires, qui corrompent l’opinion et induisent la justice en erreur. Et si cette méthode ne fonctionne pas, ils commencent à menacer les familles en utilisant la police et les tribunaux pour envoyer les parents en prison et les obligent à abandonner le combat, à accepter d’exécuter leurs ordres et désirs exécrables. Ce qui, inévitablement, bascule les parents, les adolescents et les enfants dans la dépression, en conséquence dans le suicide. Mais les âmes condamnées à l’enfer éternel ne s’arrêtent pas là, elles exploitent même les morts et les suicides. Dans de tels cas dramatiques ou autres, pour se blanchir, les membres préparent de faux rapports et portent des témoignages fallacieux dans le but d’innocenter les uns les autres. En même temps, les morts ou suicidés seront désignés comme coupables par ces derniers. C’est l’amère réalité pour les familles tirées dans les filets curatriciens à Genève, devenue, par tous ces immoraux et terrifiants êtres, Cité-État agonisante. Mais tous les parents, concernés ou pas, doivent comprendre que cette hémorragie de longue date doit être stoppée sans délai. Le fait de baisser sa tête comme des moutons devant les collabos et de ne rien faire contre leurs horribles exactions ne résout aucun problème, au contraire les conditions s’empirent. Toutes les familles, sans aucune exception, pour libérer les enfants des mains létales, de l’étaudes âmes corrompues, n’ont d’autre choix que d’engager la bataille libératrice, la Bataille de Genève, jusqu’à la résolution juste et attendue. Si nous n’intervenons pas et nous laissons faire les personnes sans foi ni loi, elles transformeront Genève, lieu de paix et de liberté, de toute manière, en champ de bataille, Cité-État calcinée. En ce qui concerne Akkad, il mène le combat depuis presque dix ans, sans répit, par la grâce et le soutien du Seigneur. Les rêves numineux qu’a faits le père Sumer l’ont encouragé à s’engager sur la voie pour la paix et la justice.

 

L’un des rêves numineux, janvier 2024 : Akkad lisait un texte de plusieurs pages, c’était le soir, la lumière était allumée, il était assis à même le sol, dos contre le canapé, un homme du côté droit se penche sur Akkad, tend son index, d’un geste calme portant assurance vers une phrase au milieu de la page, la montrant explicitement, de manière qu’il n’ait aucun doute ; la phrase disait : « Il y a injustice, il ne faut pas laisser faire ». La place qu’occupait cette phrase était illuminée, de telle sorte que toutes les lettres étaient d’une parfaite netteté. L’homme y maintient un long instant son doigt, légèrement en dessous de l’écriture, après l’avoir montrée patiemment, il retire son index, Akkad se concentrait sur le texte, spécialement sur l’emplacement illuminé, il ne voyait pas l’homme, mais ce geste l’a profondément marqué et rassuré en même temps. Cela expliquait en quelques mots toute la situation sur une décennie. Akkad pensait aux années passées en fixant la phrase au centre du texte avec détermination et puissance : il faut régler ces problèmes une bonne fois pour toutes, entend-il.

 

– Rêve mars 2024 : Des personnes qui voulaient parler à Akkad lui sont présentées, des visages connus, mais aussi inconnus, et se présentent à leur tour, elles semblaient se connaître entre elles, alors que certaines étaient malintentionnées et intriguaient contre Akkad, elles lui adressaient des regards haineux, hostiles, tout en murmurant, en chuchotant entre elles. Tout à coup, une puissante lumière ardente descend du ciel formant flammes rouges-orange-blanches qui ont commencé à les aspirer par un appareil large comme une cheminée en acier l’une après l’autre, chaque personne qui essayait de sauver celle en cours de départ vers le ciel se faisait aspirer, aucune ne retournait vers la terre. On entendait leurs cris confondus et incompréhensibles, puis plus rien. La voix rassurante et posée d’habitude dit à Akkad, qui était attentif à ce qu’il se passait, ne t’en fais pas. Au loin et autour, une tempête apocalyptique arrachait tout sur son chemin, les cyclones gigantesques se formaient s’élevant du sol vers les cieux à des kilomètres de hauteur comme si les cyclones perçaient le toit de l’Univers et y envoyaient tout objet et toute existence. Les gens regardaient dans toutes les directions, la terre s’arrachait, personne ne semblait s’y attendre, l’effroi les avait enveloppés, leurs regards se coupaient et s’accusaient, la scène ressemblait au Jugement dernier.

 

 

 

 

 

Avertissement

 

 

 

C’est une histoire kafkaïenne. Il y a des personnes qui abusent d’un pouvoir bureaucratique étatique omniprésent, elles bloquent et gangrènent l’administration de l’État à des fins privées, en persécutant les citoyens et citoyennes et manipulant l’existence humaine. Conséquences terrifiantes : des dizaines de milliers de vies de bébés, d’enfants, d’adolescents, de parents, de familles sont détruites dans des conditions atroces. Parfois secrètement, parfois ouvertement au vu et au su de beaucoup de gens. Les victimes sont punies par des châtiments incompréhensibles basés sur des accusations inexistantes. Il faut aller jusqu’à la fin du livre pour comprendre les drames familiaux, la mort, le suicide, la vie rendue handicapée, la perte d’emploi, la perte de logement ou d’autres malheurs, par des êtres innommables.

 

Ce qui est dit et vécu dans ce livre, Cité-État agonisante ou Jugement dernier, et dans les précédents, Les âmes corrompues, et Le tribunal d’inquisition populaire, n’est que la pointe de l’iceberg.

 

En cas de conflits ou de complications, logique et raison nous dirigent toujours et sans exception à, premièrement, identifier les problèmes. Deuxièmement à chercher et trouver les solutions. Le Tribunal d’Inquisition populaire (TIP) pourrait être une solution. Pour information, inquisition, « inquisitio » en latin, signifie « enquête », « recherche ». Donc, un Tribunal d’enquête et de recherche prenant le nom de Tribunal populaire, ou Tribunal du peuple. L’idée, encore une fois, n’est pas d’établir l’institution des siècles passés, au sein de laquelle ont œuvré des personnalités comme Dominique de Guzmán, Conrad de Marbourg, Tomás de Torquemada, Guillaume de Paris et tant d’autres. Il convient de rappeler que toutes les histoires, parlant dudit Tribunal, de ces personnalités, ainsi que d’autres qui l’ont dirigé, ne sont pas réalistes. L’objectif est de créer un nouveau type de Tribunal moderne dirigé par le peuple, dont les peines seront prononcées, pour rappel, par un Tribunal d’État.

 

 

 

 

 

 

Cité-État agonisante

ou Jugement dernier

 

 

 

Vatican, le 23 août 2023, à 9 h 6, heure du Vatican, Akkad entre dans la salle d’audience papale, illuminée de puissantes lumières nettes blanches, la salle Paul VI. Des milliers de personnes sont tournées vers le Très Saint-Père qui s’adresse à l’audience, mais aussi par les médias et les réseaux sociaux visuels à l’Univers entier. Dans toutes les mains, il y a un appareil-caméra ou un téléphone pour photographier ou filmer afin d’immortaliser ces moments inoubliables. Par cet instant précis une pensée-choc traverse l’esprit d’Akkad « Post Lux Tenebras », « Après la lumière, les ténèbres », qui couvrent Genève avec des nuages noirs menaçants provoqués par les âmes corrompues, les collabos répandent les malheurs depuis plusieurs décennies et font passer la situation de mal en pis. « Genève, Cité-État agonisante ou Jugement dernier. » À l’origine, cette phrase latine, « Post Tenebras Lux », signifie : « Après les ténèbres, la lumière ». Il s’agit d’une version raccourcie de la phrase « Post tenebras spero lucem » (« Après les ténèbres, j’espère la lumière ») provenant du chapitre 17, verset 12, du Livre de Job dans la traduction latine de la Vulgate. C’est également la « Devise » de la République et canton de Genève, qui est gravée sur plusieurs monuments dans les territoires du canton. Mais cette Devise a été inversée par les âmes damnées.

 

Le Jugement dernier (ou Jour du Seigneur, ou encore Jugement universel) est, dans les religions abrahamiques, le jour où se manifestera aux hommes le jugement de Dieu sur leurs actes, leurs paroles et leurs intentions.

 

Le devenir des damnés et des justes n’est pas le même selon tous les textes. Selon la Bible et le Coran, la résurrection des morts est un préalable au jugement divin qui sera prononcé le même jour pour tous.

 

Le Jugement dernier dans les textes sacrés

Selon le judaïsme

 

Dans la Torah, l’eschatologie juive est pauvre. Elle est plus riche dans les Nevüm et les Ketouvim dans le judaïsme rabbinique, il est plus développé. Il existe deux choses : le jugement dernier dont parle le Livre de Daniel (7,26 Puis viendra le jugement, et on lui ôtera sa domination, qui sera détruite et anéantie pour jamais) et Yom HaDin, le jour de la fête annuelle de Roch Hachana.

 

Dans la Torah, il est écrit à propos du Jour du Seigneur (de YHWH) : יוֹם–יְהוָה, Ésaïe 13,6, 13,9, Joël 1,15, 2,1, 2,11, 3,4, 4,14, Amos 5.18, 5.20, Abdias 1.15, Sophonie 1.7, 1,14, Malachie (3,23), par exemple en Ésaïe 13.9 : « Oui, il arrive implacable, le jour du Seigneur, jour d’emportement et de violente colère, qui réduira la terre en solitude et en exterminera les criminels. »

 

Certains midrachim (récits allégoriques) parlent de Yom HaDin, décrivant Dieu siégeant sur Son trône, tandis que les livres contenant les actes de toute l’humanité sont ouverts pour « révision », et que chacun passe devant Lui pour évaluation de ses actes.

 

Selon le christianisme

 

Le Jugement dernier pour les chrétiens est le jour où les humains seront jugés selon leurs actes et paroles. Il est à distinguer du jugement particulier de l’âme après la mort. En effet, les actions d’une âme ne s’arrêtent pas nécessairement au moment de la mort physique. Jésus de Nazareth a mentionné un jour de jugement, à propos des Judéens qui refuseraient d’entendre la nouvelle relative au Royaume de Dieu : « Le sort de la ville de Sodome sera plus supportable au “jour de jugement” que celui de cette ville. » (Matthieu 10 : 15).

 

Dans le Nouveau Testament, il est écrit aussi du Jour du Seigneur (1 Co 5 : 5, 2 Co 1 : 14, 1 Th 5 : 2, 2 P 3 : 10, Ap 1 : 10, 1 Ti 3). Ainsi dans la deuxième épître de Pierre on peut lire : « Or, le jour du Seigneur viendra comme un larron dans la nuit ; en ce temps-là, les cieux passeront avec fracas, et les éléments embrasés seront dissous, et la terre, avec les œuvres qui sont en elle, sera entièrement brûlée. »

 

Ce jour du Jugement correspond au chapitre 20 de l’Apocalypse, jour où Satan sera jeté dans l’étang de feu avec l’Antéchrist. Ce jour-là, la terre disparaît et les hommes sont jugés : « Puis je vis un grand trône blanc, et celui qui y était assis. La terre et le ciel s’enfuirent de devant sa face, et leur place ne se retrouva plus. Je vis aussi les morts, grands et petits, qui se tenaient devant Dieu ; et les livres furent ouverts. On ouvrit aussi un autre livre, celui qui est le livre de vie. Et les morts furent jugés selon leurs œuvres, d’après ce qui était écrit dans les livres. »

 

Le théologien médiéval Pierre Abélard a distingué la séparation entre le Jugement individuel et le Jugement dernier : le premier a lieu après la mort, et concerne l’âme, tandis que le second se passe lors du retour du Christ, avec le corps.

 

La tradition chrétienne occidentale fixe symboliquement le jour du jugement au 25 mars, qui correspond à la fête de l’Annonciation.

 

 

 

 

Selon l’islam

 

Pour l’eschatologie coranique, trois évènements caractérisent la fin des temps : « l’anéantissement (fanâ) de toutes les créatures, la résurrection des morts (qiyâma) et le rassemblement (hashr) en vue du jugement final ». Des signes précèdent ces évènements et annoncent sa venue. Parmi ceux-ci se trouvent le décrochement du soleil, le scindement de la lune… Plusieurs descriptions différentes du jugement sont faites par les commentateurs, mais rien n’est dit dans le Coran sur la réalisation de cette opération. On trouve seulement des versets qui parlent de « ceux dont les œuvres seront lourdes » comme de « ceux dont les œuvres seront légères » (sourate 7, versets 8-9).

 

 

 

 

 

Le 24 août 2023, peu après 23 h, à l’aéroport de Genève, quand Akkad descend de l’avion, met les pieds sur le sol genevois, c’était comme s’il était inondé des larmes d’innocents, tout comme les cris de la terre environnante brûlée, avant d’être noyée par les mêmes larmes, à cause des actes maladifs, destructeurs et fatals des âmes corrompues, ennemies du Seigneur et des enfants. Les collabos, qui font honte à la matrice de laquelle ils sont sortis, ne respectent pas nos citoyens et citoyennes, nos habitants et habitantes, ils ne respectent pas les valeurs humaines. Au contraire, ils violent les droits de l’enfance, de la jeunesse, ils violent les droits des citoyens et citoyennes, ils violent les droits de libertés et liberté d’expression, ils violent les droits de l’Homme (droits humains), ils violent les Constitutions et les droits universels. Ce qui cause des conséquences irréparables. Alors que Genève est une Cité des droits humains. Les larmes incontrôlables, vitrifiées ou coulantes des enfants sont les preuves vivantes. Ce n’est pas la faute de Genève, mais des collabos. Ils se dissimulent au sein du Service de protection des mineurs (SPMi), au sein du Tribunal de protection de l’adulte et de l’enfant (TPAE), au sein de nombreuses autres institutions et services de l’État, et au sein des sociétés privées : Cabinet de surpsychiatrisation des mineurs et adultes à la rue Gabelle, les Acacias, Carouge/Genève ; Clanique de la famille de l’enfant et de l’adolescent à l’Avenue de Frontenex, Eaux-Vives/Genève, et de nombreuses autres. Les membres des réseaux curatriciens sont formés comme les toiles d’araignées dans tout le canton et ont réussi à intervertir (Post Tenebras Lux : « Après les ténèbres, la lumière ») en (Post Lux Tenebras, « Après la lumière, les ténèbres »). Ils ont en même temps empoisonné le destin excellemment unique et prodigieux de cette République et canton qui fut bénie par le Ciel. (Clanique peut signifier clinique ou clan.) Personne n’aurait pu imaginer qu’un jour les collabos seraient devenus destructeurs spécialisés et auraient poussé Genève dans une chute irréversible. Cette Cité-État ne retrouvera peut-être plus jamais sa superbe. Quelle belle République fut-elle, mais déclinante inexorablement avec sa belle image évanescente. Nous, les citoyens, qui y vivons, en sommes témoins.

 

Akkad a fait toutes ses études, à part l’école primaire, à Genève dont il est originaire et qu’il aime profondément et véritablement. Mais c’est aussi là où l’insécurité est devenue omniprésente pour des dizaines de milliers d’enfants, de pères et de mères. Et les familles qui ne sont pas encore happées par les âmes corrompues, sentent leur présence, et se sentent guettées, tout en parlant autour d’eux de leur inquiétude. C’est dire à quel point la peur est entrée dans l’esprit et le cœur de la population, qui paie avec sa sueur les salaires très élevés de ces collabos. Genève sera assassinée, Genève sera inéluctablement tuée par les âmes corrompues. Il ne s’agit plus d’une question, ni d’une théorie, mais d’une certitude. C’est juste une question de temps. Sauf un miracle, la victoire du Bien contre le Mal, par le combat du peuple contre les âmes corrompues, par la grâce et le soutien du Seigneur, le Maître unique de tous les Mondes et de tous les Univers.

Ces âmes assassines sont comme le poison dans la vie familiale quotidienne ; dans la vie sentimentale et parentale ; dans la vie personnelle et professionnelle ; dans la vie intime et sociale ; dans la vie fraternelle et sororale ; dans la vie enfantine et juvénile ; dans la vie adolescente et estudiantine ; dans le jour et la nuit, elles terrorisent notre population. Ces âmes en état de putréfaction sont les causes des conflits familiaux ; des séparations parentales ; des chutes familiales ; des accusations fallacieuses contre les familles ; des suicides maternels et paternels ; des suicides juvéniles et adolescents ; des suicidés oubliés ; des malheurs des nouveau-nés éloignés des parents ; des malheurs d’enfants, d’adolescents et d’orphelins ; des divorces ; des divisions familiales ; des querelles parentales, fraternelles et sororales ; des échecs familiaux ; des échecs professionnels ; des destructions de relations humaines et familiales ; des coups meurtriers ayant atteint les familles ; des accidents ; des maladies ; des menaces sous formes diverses ; de la peur ; des violations des libertés et de liberté d’expression ; des morts étranges dont les cadavres pourrissent avant que les voisins se rendent comptent. Ces âmes perdues calomnient, diffament, mentent, menacent, elles produisent des plaintes civiles et pénales sans fondement, des rapports faux, des courriers et des témoignages ambigus et irréels. Elles haïssent la justesse, la justice, la réalité, le droit, le bonheur familial, les bonnes relations familiales et humaines.

 

Si certaines personnes posent des questions diverses sur les actes cités ci-avant, comment est-ce que tout cela est arrivé, il faudra leur répondre que c’est par l’absence des mesures nécessaires, ou les mesures, de loin, insuffisantes pour apporter des solutions escomptées. La partie inextricablement importante reste cachée sous la surface invisible ; en fait, reste cachée sous un climat de peur, de persécution, dans un environnement délétère et dangereux de Genève. Pour bien comprendre comment ces êtres agissent, leur fonctionnement sinistre et les actes horrifiants qu’ils commettent, il est nécessaire de bien étudier l’ensemble, il convient de commencer depuis le début avec le premier livre : Les âmes corrompues, puis le deuxième : Le tribunal d’inquisition populaire, et enfin arriver au présent livre : Cité-État agonisante ou Jugement dernier.

 

Les familles qui rencontrent les collabos éprouvent une tristesse, un amoindrissement, voire une odeur de la mort. Vous pouvez logiquement imaginer l’état d’esprit dans lequel les enfants et parents sont précipités par les bourreaux et bourrelles. Les collabos ne sont pas stupides, ils ont simplement quitté le monde des humains et refusent de faire le travail qui leur est initialement confié ; travailler pour le bien et l’intérêt de l’enfant, et les bonnes relations entre les enfants et les parents. Mais ils ont inversé la situation, ils ne pensent qu’à leur propre bien-être et à leurs propres intérêts ainsi qu’à leurs relations entre les membres des réseaux, notamment pour trouver de nouveaux membres et élargir leurs zones de contrôle, sans tenir compte de l’éthique, des lois, des droits de citoyens et de citoyennes. Ils passent une grande partie de leur temps pour communiquer entre eux, pour renforcer leur position, pour préparer leur stratagème, rédiger des écritures destinées à contester celles des parents et piéger ces derniers, tout en faisant de nouvelles victimes. Et bien sûr, promouvoir le commerce entre les membres des réseaux et augmenter le chiffre d’affaires qui leur rapporte gros. Dans leurs occupations, les collabos investissent beaucoup d’argent du contribuable pour détourner l’attention ailleurs, sur d’autres choses, tout en dissimulant leurs activités illégales, sinon accuser les parents, les adolescents et les jeunes qui se défendent contre leurs actes violents. Ce faisant, ces âmes frappées de damnation éternelle tentent par tous les moyens de se faire bien voir et de se donner une bonne image, alors que ces âmes malades sont des monstres. Côtoyer ces indécents et traîtres à l’humanité et au pays est tout simplement effrayant. Nous devons y prêter une surveillance particulière : dans un premier temps, les empêcher de se multiplier, dans un deuxième temps, faire cesser leurs actes dangereux et déjouer leurs pratiques de s’irradier. Si l’on échoue, on sera tous et toutes définitivement poussés dans des catastrophes et on sera, sans aucune exception, perdus, oubliés, pays et citoyens. Le hasard n’existe pas : les âmes corrompues, dans les services et les institutions de l’État, ne laissent pas les choses au hasard. Au contraire, ils les déterminent à l’avance. C’est par leur volonté et délibérément que les collabos font du mal. Le mot hasard vient de « Az-zahr », terme arabe, désignait étymologiquement le jeu de dés. Le principe de lancer du jeu de dés est de ne pas savoir d’avance le résultat. Donc, jouer au hasard signifie qu’on n’en sait rien. Le résultat du lancer de dés est quelque chose qu’on ne maîtrise strictement pas. Ce n’est pas une question de chance non plus, parce que les âmes maléfiques – Salcor Eresiqua, directeur du SPMi (a reçu une promotion) ; Noloma Leviezac, curateur suppléant et chef de groupe ; Calpase Nerova, curatrice ; Violoia Tierdubet, cheffe de service ; Cléia Da Vasil, curatrice, cheffe de groupe ; Mantir Connari, curateur (parti à la retraite), Quarel Rancob, curatrice, calculent préalablement avec les membres de leurs réseaux : des psychologues : Atani Varya, Tahalien Dahmol, Bisane Devarchen, Hemdi Rizah ; des psychiatres : Déccir Villede, Omasth Messencede, Vena Disaur, Aldien M. Goindur, Naida Savonac ; des éducatrices/éducateurs : Alèrnem Kammarkh, Silleg Mentandon, Rinace Mentandon ; des juges : Afroisçen Lensail-Gaad, Laianrepier Lantache ; des avocats complices comme : Colasin Zomass, Aurnad Drynal, Ratum U. Lader, Csalap Neitser ; Nyrak Selim, pédiatre auprès du Centre médical Shoqan, Champel, un quartier de Genève ; certains employés au sein de l’Assistance juridique et d’autres services publics – visent à détruire les fondations familiales par les moyens illégaux pour s’enrichir, de manière planifiée. Ils ne laissent rien à la chance et contrôlent tout face aux familles. Dans le hasard, il y a trop, beaucoup trop de paramètres et ces paramètres ne sont pas laissés dans la nature, mais maîtrisés entièrement et exploités sans limites par les faucheurs de familles. Au fond, on sait que tout est minutieusement calculé par ces âmes assassines qui ne se basent pas sur les choses inconnues ou sur la réalité, mais sur leurs propres éléments déposés dans les dossiers, ouvertement ou de manière secrète. En l’occurrence, comme ces êtres-meurtriers prévoient les choses, ils contrôlent toutes les données et ne laissent pas les autres en avoir connaissance. Ils s’octroient toutes les possibilités, tous les pouvoirs étatiques (ce dont ils n’ont pas droit, car leurs méthodes sont frauduleuses, donc défendues) pour dominer les victimes et les faire taire au cas échéant. On appelle cela communément tricher, enfreindre les règles et les lois en commettant des actes pénaux graves, qui doivent être condamnés à la prison ferme. Ce ne sont pas des secrets, de très nombreux points mentionnés ci-avant se trouvent dans le Rapport de la Commission parlementaire des droits de l’Homme du Grand Conseil de Genève. Ce qui explique que les autorités sont informées, donc sont au courant du chaos curatricien et des autres. Mais les mesures nécessaires sont quasiment inexistantes. En même temps, ces curato-psycho-malfaiteurs, violeurs des droits, tueurs des relations, des valeurs humaines et familiales, profitent malhonnêtement et abusent mortellement de l’ignorance, du manque de connaissances des personnes qui sont dans l’impossibilité de se défendre. Et la catégorie de ces parents compose la majorité des familles piégées. Les collabos inventent des excuses trompeuses et ils les mettent dans leurs écritures en les communiquant systématiquement aux membres de leurs réseaux dans les différents services et institutions de l’État et aux sociétés extérieures qui font partie de leurs réseaux qui pillent les ressources financières publiques, grâce auxquelles leurs patrons deviennent millionnaires.