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Dans cette nouvelle collection de récits érotiques, Eva Rossi explore les failles, les fièvres et les fantasmes de femmes contemporaines, libres ou en devenir. Ses héroïnes vivent en France, étudient, travaillent, aiment, et parfois chutent — mais toujours avec grâce, dans un abandon assumé au désir. L’écriture est fine, les corps frémissent entre les lignes, et chaque histoire révèle une part intime, trouble, inavouable. Confessions d’une Nymphomane, le récit qui donne son nom au recueil, nous entraîne dans l’esprit fiévreux d’une jeune femme de vingt ans. Belle, brillante, sociable — en surface, tout semble parfait. Mais sous les apparences, une pulsion insatiable gronde, imprévisible et lancinante. « Parfois, je suis là, en amphi, à faire semblant d’écouter… et tout à coup, c’est comme une vague. Hier encore, en plein cours de mathématiques, mon regard a glissé vers un garçon qui faisait tourner distraitement son stylo. Ce geste, si banal, m’a traversée comme un frisson. J’ai senti mon ventre se contracter, mon souffle se suspendre. Il n’avait rien fait — et pourtant, il avait tout déclenché. » Entre lucidité crue et vertige charnel, Eva Rossi livre ici le portrait troublant d’un désir sans repos, à la fois fardeau et extase. Une lecture qui dérange doucement… et qui envoûte longtemps.
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Seitenzahl: 99
Veröffentlichungsjahr: 2025
Confessions d'une Nymphomane
Histoires Érotiques Interdites de Sexe Tabou pour Adultes
______________________
Eva Rossi
Sommaire
Imprint
Introduction
Avant de commencer...
Céline et Christelle
LES AVENTURES SEXUELLES DE CASSANDRA
Confessions d'une nymphomane
L'INAUGURATION
LE GENDRE IDÉAL
Avant de partir...
© 2025 Eva Rossi
Photo de couverture : Canva
Impression et distribution pour le compte de l'auteur :
tredition GmbH, Heinz-Beusen-Stieg 5, 22926 Ahrensburg, Allemagne
L'ouvrage, y compris ses parties, est protégé par le droit d'auteur. L'auteur est responsable de son contenu. Toute utilisation est interdite sans son accord. La publication et la diffusion sont effectuées sur ordre de l'auteur, à contacter à l'adresse suivante : Eva Rossi, Friedrichstraße 155, 10117 Berlin, Allemagne.
Adresse de contact selon le règlement européen sur la sécurité des produits : [email protected]
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Un bisou et une bonne lecture, Eva!
Cela faisait déjà deux semaines que je sortais avec Céline et, jusqu'à ce moment-là, notre relation avait été très chaste : quelques baisers passionnés et beaucoup de caresses par-dessus les vêtements, mais rien de plus. Cependant, dès que je l'ai vue, je l'ai trouvée très excitante avec son petit corps qui mettait en valeur ses seins appétissants (un cinquième pour une femme aussi petite) et un cul qui aurait donné une érection à un cadavre. Deux semaines s'étaient déjà écoulées lorsque, pour la première fois, lors d'une baignade dans la rivière, j'ai eu l'occasion de voir son corps un peu plus de près : bien que rien ne se soit passé cet après-midi-là, je ne pouvais m'empêcher de fantasmer sur ce corps presque nu si près de moi. À un moment donné, alors que nous nous embrassions tendrement, enlacés, j'ai frotté délibérément mon membre dur contre son ventre, pensant que cela l'exciterait suffisamment pour me faire dire d'une voix douce : « Allons chez toi pour faire l'amour ». Malheureusement, elle n'a rien dit de tel ; au contraire, lorsque j'ai aventuré un doigt sous sa culotte de bikini, elle m'a demandé de rester tranquille. Décidé à ne pas abandonner, je l'ai invitée à dîner avec moi le soir même. Elle a hésité un peu car elle avait promis à son amie Christelle, également âgée de 19 ans, de passer la soirée avec elle. Même si cela contrariait un peu mes plans érotiques, je lui ai dit d'appeler Christelle pour lui dire que nous allions la chercher (Christelle habite à une vingtaine de kilomètres de chez moi et n'a pas de voiture). Contrairement à Céline, qui est petite et semble fragile, Christelle est une jeune femme aux formes généreuses, avec des hanches larges et une poitrine opulente. Ses longs cheveux bruns et son look hippie dégagent une forte sensualité.
La soirée se passe très bien : le dîner que j'ai préparé est plutôt réussi, le vin est délicieux et, après avoir bien mangé, nous décidons de terminer la soirée en fumant de l'herbe de très bonne qualité. Céline ne se détend toujours pas, tandis que Christelle continue de me lancer des regards très provocants : je regrette même de ne pas être seul avec elle. Vers une heure du matin, je propose aux filles de rester dormir, car je suis trop défoncé pour conduire et les ramener chez elles. Comme mon appartement est petit, la question se pose de savoir qui va dormir sur le canapé et qui va partager mon lit. Évidemment, Céline décide de dormir avec moi. Nous installons donc Christelle dans le salon et nous allons nous coucher. Céline porte un t-shirt long et utilise sa culotte comme chemise de nuit, tandis que moi, fidèle à mon habitude, j'enlève tous mes vêtements pour me glisser sous les couvertures. Une fois sous les draps, nous nous enlaçons et nous embrassons un peu. Comme Céline semble timide, je lui dis que rien ne se passera sans son consentement. L'herbe semble faire effet, car notre étreinte devient de plus en plus passionnée. Je glisse alors une main sous son t-shirt pour lui caresser le dos ; elle se laisse aller et j'en profite pour presser mon corps contre le sien. Mon pénis est complètement dur d'excitation et, tout en lui murmurant des mots doux à l'oreille, je commence à le frotter contre sa culotte.
Mes caresses font leur effet car, après quelques minutes de ce traitement, elle me dit qu'elle veut faire l'amour, à condition que je sois délicat avec elle. Cette nouvelle me rend heureux et je décide immédiatement de lui retirer son t-shirt. Ses seins sont magnifiques, parfaits ! Ronds et fermes, ils se dressent fièrement comme pour me demander de les lécher, ce que je fais. Tout en titillant ses tétons, je commence à caresser sa culotte jusqu'à sentir l'humidité de son intimité à travers le tissu. Je glisse alors ma main sous sa culotte et masse généreusement sa chatte bien humide, puis, en écartant ses lèvres, j'introduis un doigt dans son sexe et la masturbe aussi délicatement que possible. Elle respire de plus en plus fort et ses joues rougissent, mais comme elle se contente de me caresser le ventre, je prends sa main et la pose sur mon sexe. Le contact de ses doigts contre mon sexe est un délice et, pendant de longues minutes, nous restons ainsi, nous masturbant mutuellement et nous embrassant. Finalement, je retire mon doigt de sa vagin moelleux et le porte à sa bouche : elle semble surprise par cette pratique, mais le lèche langoureusement. Je plonge alors à nouveau mon doigt dans sa petite vagin, puis je le retire pour le mettre dans sa bouche ! Je le lèche en la regardant dans les yeux : son goût est doux et légèrement acidulé, j'en veux plus, je veux plonger mes lèvres dedans.
Depuis le début, elle est allongée sur le dos, je me place donc sur elle et, en commençant par ses lèvres, je l'embrasse en descendant lentement vers sa culotte. Là, je glisse le long de ses jambes soyeuses et, après avoir retiré ce vêtement, je remonte, toujours en l'embrassant, des pieds jusqu'à la chatte. Je commence par de petits baisers sur le pubis (j'aime les filles poilues) avant d'utiliser ma langue pour lécher l'entrée de la vagin. Céline a posé ses mains sur ma tête et m'a caressé les cheveux, ses soupirs de plaisir devenaient de plus en plus forts et, quand j'ai commencé à m'occuper de son clitoris, en le léchant, en le suçant, elle a cambré les hanches comme pour m'encourager à continuer ma caresse orale. Finalement, après avoir poussé un petit cri et être restée immobile quelques instants pour se remettre de ce prélude, elle m'attire vers elle et, saisissant mon pénis, le guide jusqu'à l'entrée de son vagin.
Je glisse en elle sans problème et m'enfonce jusqu'au fond, elle mord ses lèvres pour étouffer un gémissement de plaisir. Allongé sur elle, alternant de longues pénétrations et la stimulation de l'entrée de son vagin, je profite au maximum de la délicieuse humidité de son corps. Nous restons de longues minutes dans la position du missionnaire, qui procure beaucoup de plaisir à Céline, à en juger par la façon dont elle réprime de petits gémissements de plaisir. À la fin, à un certain moment, je la mets à quatre pattes et la pénétre par derrière. C'est vraiment fantastique : la vue de son petit cul tendu vers moi et la musique de ses gémissements m'excitent au maximum. Je la baise de plus en plus fort et, à mesure que le rythme de mes coups s'accélère, elle s'exprime de plus en plus : Oh oui, vas-y... oui, Humm, OUI, HUMMM, OUI OUI OUI OUI OUI.
Mon pénis est encore dur, j'ai encore envie de la prendre et nous nous retrouvons ainsi dans une chevauchée effrénée avant de jouir ensemble et de nous effondrer, comblés de plaisir. Céline s'endort rapidement et je reste quelques instants à ses côtés, repensant à cette première fois. Je ne sais pas pourquoi, mais cette relation sexuelle m'a coupé l'envie de dormir, alors comme je ne fume jamais dans ma chambre, je décide d'aller fumer un joint dans la cuisine. J'enfile un peignoir et, en faisant le moins de bruit possible en traversant le salon, je me sers un verre de jus de fruits et commence à le rouler. Je l'allume quand Christelle arrive, me disant qu'elle n'arrive pas à dormir.
Elle porte un sweat-shirt blanc qui lui arrive à mi-cuisse et laisse entrevoir ses formes généreuses. Je lui ai tendu le joint et lui ai proposé un verre, mais comme elle était plus près du frigo, elle m'a dit de ne pas m'embêter. Quand elle se baisse pour prendre la bouteille, son sweat remonte suffisamment pour que je remarque qu'elle ne porte pas de culotte (et qu'elle est rasée). Impossible qu'elle ne s'en soit pas aperçue, et à l'idée qu'elle me provoque ainsi, ma bite reprend de la vigueur, une vigueur que j'ai du mal à cacher sous mon kimono. Elle s'assoit à côté de moi et, posant une main sur ma cuisse, me demande comment c'était. Je fais l'innocent et lui demande de quoi elle parle. Elle me fait alors remarquer que les murs sont assez fins et qu'en entendant Céline crier, elle n'a pas beaucoup de doutes sur ce que nous étions en train de faire. Cela dit, elle se rapproche tellement de moi que je ne peux résister à la tentation de l'embrasser. Elle accueille ma bouche avec plaisir et, devant ce signe amical, j'attrape ses seins et les masse joyeusement. Puis elle se lève, me prend par la main et m'entraîne vers le canapé.