Couples Libertins - Eva Rossi - E-Book

Couples Libertins E-Book

Eva Rossi

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Beschreibung

Voulez-vous exciter et donner tout le plaisir que vous méritez? Envie d'un vrai moment de détente intime et de bienêtre? Continuez à lire! Avec ce livre vous aurez l'occasion d'avoir tout ce que vous avez toujours voulu mais que personne ne vous a jamais donné: beaucoup, vraiment beaucoup d'histoires explicites en français, comme vous l'avez toujours voulu! Vous avez devant vous une collection d'histoires explicites dédiées au bon sexe qu'il est possible d'avoir entre des hommes et des femmes qui aiment se faire plaisir. Beaucoup des contes passionnantes à vivre seul ou en compagnie. Vous trouverez de nombreux dialogues entre les protagonistes des histoires, afin que vous puissiez aussi vous imaginer au centre de la scène, comme si vous étiez vous-même un personnage de l'histoire. Qu'est-ce que tu attends alors? Laissez-vous aller à la passion, à la provocation, aux fantasmes interdits que vous avez toujours eus, laissez tomber vos inhibitions et commencez à voyager avec des émotions. Pas de censure, 100% plaisir. Détendez-vous, installez-vous confortablement et embarquez pour un beau voyage plaisir. À votre orgasme! Qu'est-ce que tu attends? ACHETEZ LE LIVRE MAINTENANT!!! Le livre contient un contenu sexuel explicite et ne convient pas aux personnes de moins de 18 ans. Les histoires sont de pure fantaisie: les personnages sont tous d'âge et, comme le contenu, ils sont fictifs.

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Seitenzahl: 288

Veröffentlichungsjahr: 2022

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Couples Libertins

Récits Interdites d’Infidélité Sale

Eva Rossi

SOMMAIRE

Sommaire

Imprint

Introduction

Avant de commencer…

1. Mes explosions sur le visage de Kiona

2. La femme du Chinois

3. Surprise de la Saint-Valentin

4. Ylenia endormie

5. Cornu dans la neige

6. L'heureux mari cuck

7. La femme sans méfiance, le mari cocufié

8. Sardaigne, plage chaude

9. Un triangle inhabituel

10. La mirada

11. Les chemins de la perdition

12. Erasmus

13. Péchés de jeunesse

14. La chatte poilue, le client et…

15. Ta colocataire

16. Messager

17. On joue au billard?

18. Lauretta mon amie aux gros seins

19. Nouvelle vie, nouvelle maison, nouveau voisin

Avant de partir…

IMPRINT

Couples Libertins

de Rossi, Eva

© 2022, Eva Rossi

Tous droits réservés.

Auteur: Rossi, Eva

Contact: [email protected]

Ce livre numérique est autorisé pour votre plaisir personnel seulement. Il ne peut-être pas être revendu ou donné à d’autres personnes. Si vous désirez partager ce livre avec une autre personne, veuillez acheter une copie supplémentaire pour chaque destinataire.

Merci de respecter le travail de cet auteur.

INTRODUCTION

Voulez-vous exciter et donner tout le plaisir que vous méritez?

Envie d'un vrai moment de détente intime et de bienêtre?

Continuez à lire!

Avec ce livre vous aurez l'occasion d’avoir tout ce que vous avez toujours voulu mais que personne ne vous a jamais donné: beaucoup, vraiment beaucoup d'histoires explicites en français, comme vous l'avez toujours voulu!

Vous avez devant vous une collection d'histoires explicites dédiées au bon sexe qu'il est possible d'avoir entre des hommes et des femmes qui aiment se faire plaisir.

Beaucoup des contes passionnantes à vivre seul ou en compagnie.

Vous trouverez de nombreux dialogues entre les protagonistes des histoires, afin que vous puissiez aussi vous imaginer au centre de la scène, comme si vous étiez vous-même un personnage de l'histoire.

Qu'est-ce que tu attends alors? Laissez-vous aller à la passion, à la provocation, aux fantasmes interdits que vous avez toujours eus, laissez tomber vos inhibitions et commencez à voyager avec des émotions.

Pas de censure, 100% plaisir.

Détendez-vous, installez-vous confortablement et embarquez pour un beau voyage plaisir.

À votre orgasme!

Qu'est-ce que tu attends? ACHETEZ LE LIVRE MAINTENANT!!!

Le livre contient un contenu sexuel explicite et ne convient pas aux personnes de moins de 18 ans. Les histoires sont de pure fantaisie: les personnages sont tous d'âge et, comme le contenu, ils sont fictifs.

AVANT DE COMMENCER…

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Un bisou et une bonne lecture, Eva!

1. MES EXPLOSIONS SUR LE VISAGE DE KIONA

Il y a 12 ans, la date de mon mariage, je n'aurais jamais pensé à écrire cette histoire, surtout celle que j'ai faite pendant un week-end de travail, organisé pour réunir le groupe.

Je peux dire, sans l'ombre d'un doute, que ce furent des années heureuses, un mariage honnête et sincère et un enfant merveilleux, Nicola.

Laura m'a toujours aimé, elle a été l'épouse parfaite, même dans les moments difficiles, elle m'a soutenu sans relâche et a toujours été le moteur de ma réussite au travail. Mais le temps ronge tout, corrode l'imagination et l'émiette lentement, jour après jour, jusqu'à ce qu'il t'anéantisse.

Au lit, nous étions devenus deux machines, nous baisions dans les plus petits moments du temps: quand l'enfant dormait tôt, nous étions peut-être bien, mais s'il se réveillait continuellement, il pouvait arriver qu'au moindre bruit, nous nous interrompions l'un l'autre et d'interruption en interruption, tout en comprenant que c'est la vie que nous avions choisie, un après-midi au bureau, absorbée parmi les différents dossiers, pendant une période de travail féroce, j'ai décidé que quelque chose devait changer.

Quand, comment et quoi, je ne le savais toujours pas.

J'étais toujours aussi excité, ma testostérone m'a embrouillé le cerveau, Laura était devenue moins ardente avec le temps, je sais qu'elle me l'a donné pour me faire plaisir et plusieurs fois ça m'a convenu, mais elle n'aurait pas pu tenir longtemps mon désir insatiable de la baiser tous les soirs, tous les trous qu'elle avait.

Elle était une mère heureuse, qui avait enterré sa vieille ardeur au nom du concept de famille, de tranquillité, tandis que j'étais un cochon toujours prêt à entrer en éruption, qui se vidait pendant les douches du matin, pour aller au travail plus concentré.

Souvent, après nos relations éphémères, je la voyais courir silencieusement vers la salle de bain pour se nettoyer immédiatement, comme si j'avais sali son visage ou ses cheveux exprès, de temps en temps, elle me poussait à venir en elle, mais comme elle n'avait plus le courage de me dire que ça la dérangeait un peu d'être sale, j'ai compris qu'elle ne trouvait pas ça excitant, et pourtant nous sommes tombés amoureux comme ça, à force de jouir bruyamment dans son visage.

Peut-être que c'est moi qui suis resté un enfant et qu'elle est devenue autre chose, je ne me compare pas à mes collègues sur certains sujets, mes amis ont tous une sexualité pire que la mienne, mais pour moi le sexe est toujours resté le même, j'ai toujours aimé lécher du bout des orteils jusqu'aux oreilles et tout jeu, même le plus osé, a toujours été pour moi synonyme d'une excellente compréhension sexuelle.

Je l'ai épousée aussi pour ça, en dehors de la belle personne qu'elle a toujours été, mais quand elle m'a supplié de me faire baiser, toutes les choses sales qu'elle a faites pour rendre son visage méconnaissable, toutes les façons sales dont elle m'a invité à la baiser, elle m'a habitué à ça… et maintenant tout ça m'est enlevé, jugé comme quelque chose du passé, quelque chose dans lequel elle se reconnaît, mais seulement en partie. Nous ne sommes plus des enfants! Elle me l'a dit plusieurs fois.

Kiona était la collègue de l'autre branche, elle est née homme et est devenue une énorme chatte. Il n'y avait pas une personne à l'étage qui ne reconnaissait pas son attrait, sa douceur et sa sensibilité. Il y avait évidemment les habituelles blagues de bar sportif, "Je te soutiendrai, tu me soutiendras", mais elle les a toujours évitées, a souri et a conquis les badauds. J'ai toujours eu une excellente relation avec elle, elle me demandait des nouvelles de ma femme, du bébé et regardait les photos d'elle sur mon téléphone portable et les différentes vidéos. Pendant quelques années, nous étions confidents devant la machine à café et année après année, elle a vu ma transformation lente mais inexorable: d'un père et mari heureux, à un cochon dépressif incurable avec une forte envie de jouir sur son visage.

Dans les différentes confidences, il y avait aussi des allusions sexuelles, après tout toujours un sujet de curiosité, ne sachant pas exactement comment fonctionne une bite bombardée d'hormones, si elle aimait les femmes, les hommes, les garçons ou qui sait quoi encore. Elle riait toujours, car qui sait combien de fois elle avait répondu à ces questions mal posées. Je me suis toujours excusée d'être indélicate, mais elle avait mille couleurs à l'intérieur. Et je sais qu'elle aurait pu guérir mes blessures.

Jamais, jamais, pendant ces années, la simple idée d'aller avec un homme n'a franchi le seuil de l'antichambre de ma boîte crânienne, sûrement un millier d'idées de trahisons avec des collègues, même avec des prostituées parfois, mais rien n'est jamais vraiment arrivé et je le répète, jamais, jamais je n'aurais pu imaginer pouvoir entretenir une intense activité clandestine avec une tranny procubine très sélective.

L'étincelle s'est allumée lors d'un tournoi d'escrime organisé comme un événement de renforcement de l'esprit d'équipe dans un établissement de la Valtellina. Personne n'avait jamais pratiqué ce sport auparavant. C'était aussi très agréable de concourir entre collègues et de faire les premiers pas, tardifs, vers un sport très noble et élégant. Une fois les récompenses terminées et le discours de notre manager entendu, nous sommes tous retournés dans nos chambres individuelles respectives pour prendre une douche, avec un rendez-vous à 20 heures pour manger dans une belle ferme, celles où il y a du gibier accroché dans tous les coins, qui te regarde et te fait presque pitié. Mais personne n'a eu cet effet et le ragoût de chevreuil a été très apprécié par tous.

Ce soir-là, Kiona et moi avons beaucoup bu et je me souviens qu'à un moment donné, elle m'a demandé de l'accompagner dans sa chambre, car elle avait mal à la tête. Je suis tombé dans le panneau comme une poule mouillée, mais c'était le seul moyen pour nous d'être dans la pièce ensemble, elle savait que je ne trouverais jamais le courage de faire le premier pas, parce qu'elle savait que les fantasmes sont une chose et que c'en est une autre de trouver deux belles couilles qui rebondissent pendant que tu pompes un cul rasé. Il s'est très bien débrouillé, maintenant que j'y pense.

Elle s'est d'abord allongée sur le lit et a pris de l'eau, puis avec une excuse, elle m'a fait entrer dans la salle de bain pour chercher des pilules qu'elle prenait, j'ai cherché longtemps mais je ne les ai pas trouvées, quand je suis sortie de la salle de bain, elle était sous les couvertures, mais elle m'a demandé de la découvrir car elle avait chaud. Jusqu'à ce moment-là, je n'ai pas compris grand-chose, même si j'étais très excitée et que mon pantalon ne pouvait plus le cacher. Ses yeux se sont fixés sur ma queue gonflée. Avec les couvertures enlevées, les bites gonflées étaient devenues deux, Kiona a immédiatement déboutonné mon pantalon pour libérer ma bite qui battait maintenant sur mon pantalon et ma tête maintenant violette commençait à faire mal.

Ses lèvres siliconées ont commencé à dévorer ma queue à moitié, de temps en temps elle enfonçait le coup au risque de s'étouffer et retournait travailler uniquement sur le gland, avec une maîtrise remarquable. Elle a léché le frenulum, chatouillé mes couilles avec ses doigts et avec l'autre main, elle a essayé de saisir mon cul pour me sucer correctement. Elle était une déesse et une fellation aussi frénétique ne m'avait pas été donnée depuis des années, elle était la magicienne de la fellation et j'ai dû me retirer immédiatement pour éviter de jouir par litres. Je me sentais comme un volcan en crue et j'ai commencé à l'embrasser, pour me calmer un peu, mais l'excitation grandissait.

Je la tripotais partout, sauf pour sa trique, qui l'embrassait inévitablement et se frottait contre la mienne. J'étais agacée, mais j'étais tellement occupée à la peloter qu'il est devenu normal de devoir s'occuper de son petit ami, qui un par deux a fini sur mon ventre. Elle l'a déplacé, car elle m'avait vu un peu tendu au moment du contact, mais je l'ai rassurée en lui disant que comme c'était la première fois, j'étais juste nerveux.

Étant une grande salope, elle s'est rapidement retournée et s'est penchée, me montrant ses couilles gonflées et son cul splendidement parfumé, avec un trou très serré et invitant, et je me suis agenouillée au pied de ce lit et j'ai commencé à la lécher partout, très excitée, je me suis lentement sciée et ma langue a fait le reste, ce qu'elle devait faire après tout: explore des parties génitales que je n'avais jamais goûtées auparavant et effectue un anulingus vorace et terriblement profond, ma langue est entrée de plusieurs centimètres et ce trou s'est lentement ramolli de plus en plus. Sa bite est devenue molle et si tu te demandes, non je ne l'ai pas sucé cette nuit-là à l'hôtel.

Mon piston, par contre, demandait un cul à percer, qui était maintenant bien mouillé et palpitant, j'ai glissé mon majeur jusqu'au bout dans ce tunnel très propre et après le doigt, j'ai commencé à lui donner les premiers coups, tout cela sans préservatif, au mépris de la sécurité, de mon avenir, des maladies, des infections, mais à ce moment-là, aucune de ces pensées n'a traversé mon esprit, si ce n'est pendant quelques instants fugaces, le reste a été fait par mon bassin et ce désir de l'arroser correctement. Pendant un bon quart d'heure, comme un taureau étalon, avec des mouvements rapides puis lents, j'ai châtié son petit trou sucré, qui sentait les crèmes épicées. Quand j'ai senti que le moment arrivait, j'ai apprécié de le retirer, il était très propre, de le rincer à nouveau et de regarder ce O parfait s'étirer et rétrécir, avec tout mon sperme qui continuait à le rendre bien lubrifié.

Kiona, qui était déjà venue sur les draps, avec sa bite molle, s'est ressaisie et s'est retournée pour m'embrasser fougueusement et pour sentir ces magnifiques seins en silicone que le chirurgien plastique lui avait fait. Je n'avais jamais léché des seins comme ça, bien sûr ils étaient faux, mais les seins gonflés de ma femme n'étaient plus qu'un lointain souvenir, l'allaitement a fait le reste et la cinquième taille de Kiona représentait le paradis sur terre pour moi. Dur comme du marbre, des mamelons aussi durs que des ongles, magnifiquement bronzé. Un rêve.

Dès que je l'ai un peu léchée, sa langue a glissé sur mes tétons, sur mon sternum et vers le bas, et j'ai bientôt reconnu ses ventouses charnues sur ma queue épuisée. Après avoir goûté une première fois, Kiona a compris que je venais violemment, elle a commencé à me branler avec une vitesse considérable et une vague chaude de sperme a balayé son visage aux pommettes gonflées et, en succession rapide, 6 autres jets abondants, beaux et épais et blancs, sur sa peau sombre. Elle a essuyé tout le reste sur moi et avec sa tête, elle s'est amusée à se barbouiller le visage et à jouer avec les différentes mèches.

C'était le premier d'une série de giclées gargantuesques de sperme sur son joli visage lascif. Une évasion dégoulinante de l'usure d'une relation épuisée, une aventure dans les recoins de mes désirs sexuels les plus torrides et la continuation appropriée de mon désir jamais éteint et irrépressible d'être un cochon.

Kiona a été tout cela pour moi, pendant une année interminable.

2. LA FEMME DU CHINOIS

Dans le quartier où je vis, un magasin "chinois" de confiance est ouvert depuis des années maintenant.

Ma femme et moi sommes servis là-bas par Claudio et Alessia… des noms typiquement chinois… depuis quelques années, son mari Claudio n'est pas toujours là car ils ont aussi ouvert le deuxième magasin.

Après des années à y aller avec la famille, ou ma femme et moi pour diverses raisons, nous avons toujours une conversation légère, ou peut-être qu'elle me fait des compliments tels que. "Tu as coupé tes cheveux, belle veste, tu es bien habillée comme ça…".

Un jour, je vais chercher des recharges pour les stylos de notre fils… et nous commençons à discuter des enfants… qui sont toujours un peu occupés….. Alessia me dit que son fils ne sait pas bien écrire l'italien.

Si tu veux, je lui donnerai des cours particuliers… Je connais l'italien depuis longtemps maintenant…" dit-il. souriant, mais ma blague était aléatoire…".

"Magali, viens un jour, même une heure, pour qu'il comprenne…"

J'étais surprise… "mha ok, bien sûr, quand tu veux, dis-le moi et je l'organiserai".

Ok ok et c'est tout. Alessia est une mignonne petite fille chinoise avec des cheveux noirs coiffés au carré, des yeux noisette en amande, d'après ce que je peux voir, elle est mince et elle est gentille et ensoleillée…..

J'ai acheté le téléphone neuf et je suis allée dans mon magasin chinois local pour acheter l'étui.

Quand j'entre, Alessia sourit et je lui demande où je peux regarder les affaires,

Ayant fait mon choix, je me rends à la checkout…..

"Tu as changé de téléphone?…Joli… "Alessia

"Oui, l'autre était mort."

"Je demande une leçon d'italien si tu peux encore".

"Oui j'ai oublié … mais oui pas de problème" et je souris à elle…..

Elle m'a souri en retour… mais elle avait l'air quelque part entre l'espièglerie et l'intrigue avec une expression qui ressemblait à celle d'un enfant qui a fait quelque chose…..

Je paie… il me rend la monnaie et me demande…

"Téléphone… est-ce qu'il prend de bonnes photos? De bonnes couleurs?

"Ils disent qu'ils l'ont, je ne l'ai que depuis deux jours", je souris, et elle sourit…

Avec le reste, il y a un morceau de papier avec un numéro de téléphone portable, que je glisse furtivement dans mes mains lorsque mon beau-père est dans les parages.

"Je t'appelle pour la leçon d'italien… ok?" et renvoie un sourire radieux.

"Tu sonnes et je raccroche alors j'enregistre le numéro", me dit-il rapidement en baissant considérablement le ton de sa voix.

Quelque chose a commencé à s'insinuer dans ma tête, et pas seulement là.

J'ai dit au revoir et je suis sortie, dès que je suis montée dans la voiture, j'ai pris mon téléphone portable et j'ai sonné … et j'ai raccroché … le lendemain matin, j'ai reçu un message d'Alessia, je cite textuellement

"Merci pour l'aide italienne. Peux-tu venir demain matin?

Idiot, tu as fait ton propre film, la Chinoise veut vraiment que je donne des cours particuliers à son fils… Je n'ai même pas de diplôme… Bref, j'ai répondu parce que je lui avais dit que j'étais disponible…

"OK Alessia demain matin à quelle heure?"

La réponse était.

"A partir de 8h30 parce que mon beau-père va au magasin et Claudio à l'autre magasin."

Nous sommes seuls ou pas? Des cours d'italien? Le matin? Mais le fils ne sera-t-il pas à l'école?… Je pense et je réfléchis mais il me semble faire une erreur ou des films qui ne resteront que dans mon esprit…..

Puis je lui réponds… "OK Alessia, pas de problème. Fais-moi juste un café pour que je puisse travailler le matin".

"Tu es très gentil… bon garçon…" écrit-il…

"C'est bon? Haha merci aussi Tu es une bonne fille "

"Je ne comprends pas très bien l'italien… désolé".

"Non, non, ne t'inquiète pas… c'est romain plutôt qu'italien et BONO signifie beau et sexy…"

….

….

Elle ne me répond plus… elle doit avoir honte d'avoir écrit…????

Après 15 minutes…

"Vraiment, moi bien?"

Je lance juste l'idée.

"Bien sûr, pourquoi pas? Tu es une belle femme… comme tu le dis."

"Tu es beau aussi", m'a-t-il écrit, puis il a ajouté.

"Bono"…

"Que fais-tu maintenant?

"Je suis au travail avec le van … toi?"

"Je suis à la maison en train de nettoyer la maison".

"Alors je vais te laisser finir, je ne veux pas te faire perdre ton temps…"

"Non, non, tu écris… J'aime parler avec toi" Alessia

"….. tu aimes ce que j'écris? "J'écris

"Oui, j'aime parler avec toi. Tu m'enverras une photo de toi?"

"Tu me vois tous les deux jours… As-tu peur de t'oublier? Maintenant je vais te l'envoyer…" Je lui écris même si lentement cette pensée, ce sentiment, devient plus fort…

"Pour que je puisse regarder la photo quand je ne peux pas te voir" TACCCCC DRINNN

"Comment veux-tu la photo? En fait, tu m'envoies le tien et je te renvoie le mien".

Maintenant, je veux le jouer et voir si j'ai mal compris ou s'il essaie…..

"Je ne suis pas habillé en ce moment, je suis en train de nettoyer", dit-il.

Ma réponse était plus qu'une tentative, j'ai essayé de la lancer comme ceci

"Dommage, d'accord, enlève les vêtements moches. Je suis d'accord avec ça."

La photo qui est arrivée sur mon téléphone portable peu après était la preuve que je voulais…

Alessia portait des leggings noirs, on pouvait voir toute sa silhouette pendant qu'elle se prenait en photo dans le miroir, son bras tendu dans le reflet prenant des photos tandis qu'avec l'autre elle couvrait sa poitrine sans chemise… et son visage renvoyait un sourire spectaculaire.

"J'ai eu raison de dire sexy alors, tu as un beau sourire" Trou du cul, je n'ai pas seulement regardé ça…

"Mais maintenant que je t'envoie des photos, je suis dans la rue et je ne peux pas enlever ma chemise…"

Je décide de ne pas interrompre les messages pour prendre une photo de mon visage et l'envoyer…..

"Tes yeux bleus sont magnifiques, tu sembles me regarder", répond-elle.

"C'est comme ça que tu mets ma photo devant toi et que je te tiens compagnie pendant que tu répares la maison".

"J'aime que tu me regardes…"

DRINNN … et il se réveille… parfois il arrive avant moi hehe

"J'aime te regarder aussi… fais attention, si tu vas aux toilettes, je te regarderai….. " blague idiote mais cela ne la dérange pas et elle me répond.

"Tu veux une photo dans la salle de bain? Je ne pense pas qu'il l'ait eu…

Deux trois minutes passent et je reçois une autre photo… j'ouvre

J'ai bien regardé quand je suis allée au magasin…

La photo est en pied, un petit corps, mince, mais très bien proportionné… le bras qui couvrait la poitrine a disparu et laisse apparaître deux petits seins avec une aréole foncée, on voit à peine le mamelon… un ventre plat et beaucoup de cheveux… elle se tenait nue.

Les jambes croisées, il avait fait une queue, un bras posé sur sa hanche,

Je suis étonnée… maintenant j'ai la confirmation… et pas seulement moi… DRINNNNN DRINNN…,

Maintenant, je n'ai jamais été avec une fille asiatique, on dit qu'elles sont un peu des geishas, mais je ne sais pas ce que ça veut dire…

"Wow, tu es magnifique… maintenant, quand je te verrai au magasin, je t'imaginerai toujours comme tu es sur la photo".

"Tes yeux sur la photo ont vu plus de choses…" répond-il.

Je suis pratiquement en feu, les fantasmes commencent à défiler dans ma tête, j'ai envie de me toucher…..

"Ils ont de la chance, voir ta photo a provoqué… une certaine chose", ai-je répondu.

"Tu aimes les massages?"

DRINNN DRINNN DRINNN ouiiiiiii en fait si tu continues je vais m'arrêter et masser le tronc qui maintenant tire sur mon pantalon..mais ma réponse était plus retenue…..

"Bien sûr, qui ne le fait pas? Tu peux les faire? Je peux aussi les faire si tu aimes les recevoir."

"Je fais un bon massage, puis je te fais un massage et ensuite tu me goûtes", écrit-il.

"Hehe goût? Ou des massages? Parce que je serais intéressée par les deux hehe." Foutue T9, mais dans ce cas, la T9 m'avait donné le feu vert pour aller plus loin…

"Tu ne peux pas goûter … Je ne suis pas à manger".

"Eh bien alessia assaggiare en italien ne signifie pas seulement manger, assaggiare peut aussi être compris comme utiliser la langue ..leccare."

"J'aime ça", répond-il, puis silence…..

"Est-ce que tu viens demain à 8h30?" demande-t-il…

"Bien sûr que je viens"… tu dois venir aussi je pense…

Il est 8h20 le lendemain, j'avais passé l'après-midi à penser au corps d'Alessia.

"Salut, j'ai laissé la porte ouverte pour toi, monte au deuxième étage, je vais prendre une douche, ok?". "Alessia

"Très bien, alors j'espère que j'arriverai avant que tu sois habillée".

Je lui réponds maintenant avec un zizi droit à nouveau

… il ne me répond pas… mais entre-temps je suis arrivée devant sa maison, je gare la voiture et monte à l'étage, la porte est fermée, je frappe, pousse la porte et demande la permission d'entrer, je suis excitée mais je ne sais pas à quoi m'attendre… sa voix vient d'une pièce devant, couverte par un bruissement d'eau, la douche, je pense ….

"alexiaaa …"

J'entends l'eau se couper et les portes coulissantes de la douche s'ouvrir…..

"Je suis là, j'ai fini, entrez."

Je suis dans le salon, elle me parle depuis l'autre pièce et me dit d'enlever ma veste et de m'asseoir… J'aurais déjà tout enlevé, imagine… J'ai ma queue entre mille… 5 minutes plus tard, elle apparaît sur le seuil…..

Elle a des cheveux mouillés qui dégoulinent un peu sur ses épaules, son beau sourire habituel… et elle a une serviette enroulée autour de son corps… belle belle belle…..

DRIINNN DRINNN

"Salut…" embarrassé

"Bonjour" embarrassé et excité…

Je lui fais un sourire et lui dis

"Dommage que je sois en retard pour la douche. Tu es déjà couverte…"

Je simule la tristesse…

"Tu voulais que le café te donne un coup de fouet, n'est-ce pas?"

En disant cela, elle se dirige vers le puits de la cuisine. En passant, elle prend ma main comme une invitation à la suivre.

"Tu sens bon"

Je m'appuie contre le comptoir et la regarde préparer le café …. est sexy… comment elle est déshabillée et dans ses manières… je suis sur le point d'éclater… mon caleçon est sur le point d'exploser…..

Il y a un peu de gêne… elle est face au moka et me tourne le dos, couverte par la serviette mais avec les épaules découvertes…..

Je m'approche d'elle doucement et pose ma main sur son dos.

….. "Dommage que j'aie vu le devant sur la photo hier et que maintenant il y ait une serviette qui ne me laisse pas voir le derrière."

Je me tiens à côté d'elle et, de ma main, je caresse son dos doucement couvert jusqu'à ses épaules nues.

Sa peau lisse et douce sent l'argan.

Elle est restée immobile, fixant le moka… J'ai commencé à masser lentement son cou jusqu'aux épaules… Elle a penché la tête, détendue…..

Je continue à le caresser

"Joli…" dit-il…

"Je suis douée pour donner des massages", lui dis-je.

Elle me sourit … le café monte et pas seulement lui DRINN DRINNNN.

Pendant qu'elle bouge pour prendre les tasses, je reste avec mon doigt coincé entre son dos et l'essuie-mains, son mouvement me fait cependant laisser l'essuie-mains entre mes doigts… pendant que ce corps sinueux et nu bouge… elle est là toute nue…..

Il s'approche de moi, m'examine et comme pour me châtier, il dit .

"Tu as des vêtements cependant… comment puis-je me masser?"

Il pose les tasses… il enlève mon sweat-shirt et mon T-shirt… en souriant… puis il change d'expression… il me fixe dans les yeux… nous sommes les yeux dans les yeux, toujours….. sauf ses mains qui caressent d'abord ma poitrine puis descendent jusqu'à mon pantalon… il défait le bouton et la fermeture éclair comme au ralenti… puis sans me quitter des yeux, il se penche et enlève mes chaussures et mes chaussettes… et toujours dans cette position, il fait glisser son pantalon et son caleçon… nous continuons à nous regarder mais entre nos regards, il y a maintenant moi avec mon pénis complètement engrené, mouillé d'humeurs…..

Il soulève un pied, puis l'autre… Je suis aussi nue maintenant… nue et excitée….

Elle se lève à nouveau et le touche pratiquement avec ses seins… si bien qu'un peu de mes humeurs se transfèrent sur sa peau… Je prends sa tête dans mes mains et la rapproche doucement de moi… nos bouches se rapprochent, je peux sentir son haleine fraîche… ses lèvres sont douces… elle ouvre légèrement la bouche et ma langue rencontre la sienne… elle s'approche de moi et je la serre contre moi… elle est plus petite que moi si bien que mon membre atteint son nombril… répandant mes humeurs sur son ventre.

Je caresse son dos pendant que nos langues continuent de danser… ses mains me tiennent près d'elle… beaucoup de salive… nous nous embrassons passionnément… sa langue est chaude et douce… elle cherche la mienne et elles se frottent…..

Je descends avec mes mains vers ses fesses et je prends ses fesses dans mes mains et je la pousse vers moi… elle soupire… je lui masse les fesses en les écartant et elle soupire… elle aime ça mais elle ne lâche pas ma langue ….

Il s'est éloigné et l'a embrassée. Je dis à sa joue

"Suis-je bon pour les massages?"

Elle me sourit… je sens sa main qui me lubrifie avec mon propre jus… de haut en bas lentement… lentement… mes mains remontent le long de ses hanches… jusqu'à ses seins… petits et fermes… nous recommençons à nous embrasser et je remarque que lorsque je presse ses tétons, elle vibre et émet ses propres sons "uhhh". Nous recommençons à nous embrasser et je me rends compte que lorsque je serre ses tétons, elle vibre et émet ses "uhhh" elle masse mon frenulum avec son pouce et à chaque caresse ma queue gonfle et libère des gouttes d'humidité… qu'elle étale habilement jusqu'à mes couilles… j'ai presque mal à cause de l'érection que j'ai…..

D'une voix mince, à peine chuchotée, il me dit

"Est-ce que tu aimes ça? Massage?

"Pour mourir… ne peux-tu pas le dire?"

"Que veux-tu que je fasse?" murmure-t-il.

Toujours pris par l'excitation et nos langues qui se touchent…

"Qu'est-ce que tu aimes?"

… il prend puissamment ma langue entre ses lèvres et la suce … d'avant en arrière … et mes humeurs augmentent … en fait je suis sur le point de jouir sans même une vraie branlette…..

"Tu me dis … et je le fais".

DRIIINNNNNN

"Suce-moi comme tu l'as fait avec ta langue…"

… elle sourit malicieusement … et descend … elle se met à genoux et me regarde … je prends la queue et la dirige vers sa bouche … j'utilise ma tête comme un rouge à lèvres … elle ouvre un peu la bouche et sa langue commence à lécher ma tête … sa main caresse mes couilles … puis ma pointe disparaît dans sa bouche …Je le retire de sa bouche et je répands ce mélange de salive et d'humeurs sur son menton, son cou, ses joues… Je le remets dans sa bouche… mais je bouge de l'intérieur vers l'extérieur… Je la baise dans la bouche… et elle aime ça….Je dois m'arrêter…

"Je dis et tu fais?" Elle hoche la tête avec un sourire… Je prends sa main pour la faire se lever mais elle me reprend… en résistant et en restant dans cette position.

"Tu dis… et je fais".

Je n'ai jamais essayé d'être un maître et je n'ai jamais eu d'esclave… Je ne me sentais pas à l'aise… mais elle aimait ça et ça l'excitait…

"Lèche-le et lève-toi… Je veux que tu sois sur la table avec les jambes ouvertes!"

Elle s'approche en me léchant des couilles jusqu'à la pointe en aspirant avidement d'autres gouttes d'humour… et s'assoit sur la table de cuisine en verre… ouvre ses jambes… et me montre un buisson qui cache pratiquement tout… on peut à peine voir ses lèvres.

"Allonge-toi et plie les genoux"… fait….

Je me rapproche … avec ma main je caresse son entrejambe … elle soupire ….

Je me fraie un chemin parmi les poils doux et parfumés… et je caresse son clitoris… Le souffle d'Alessia augmente… Je n'étais pas le seul excité qui perdait ses humeurs… elle aussi avait perdu ses humeurs qui avaient mouillé les poils autour de ses grandes lèvres… avec mon doigt, je monte et descends du clitoris jusqu'au petit trou imbibé d'humeurs… Je me penche et commence à la lécher… elle a un goût sucré… c'est un clito qui ressemble à une bite… je le prends entre mes lèvres et le suce… mes sens sont à mille lieux… elle gémit… mais elle est surtout silencieuse… mais son corps crie… je continue à sucer, on dirait que je lui fais une fellation… les cheveux sont complètement trempés… Je mets lentement mon doigt en elle et le bouge à la même vitesse que ma langue… sa respiration augmente et ses jambes retiennent ma tête… j'augmente la vitesse… et elle gémit… puis elle ouvre à nouveau ses jambes… et je continue à entrer et sortir d'elle avec mes doigts… maintenant j'en mets deux, je les plie… je sens que l'intérieur de son utérus devient humide.Je suis debout devant son sexe avec deux doigts en train de la baiser pendant qu'elle est allongée sur la table… avec ma main libre je prends son sein… et avec mes doigts je presse légèrement son mamelon… elle se tortille… et devient plus humide… je fais couler de l'humeur sur le sol…

10 minutes ont dû s'écouler quand Alessia ferme ses jambes en serrant mon bras, arque son dos… Je presse son mamelon et elle tourne la tête en arrière en émettant un son continu et étouffé… mais plein d'excitation… mes doigts la sentent venir… peu après sa respiration se calme et ses jambes s'ouvrent à nouveau largement… Je retire mes doigts de sa nature… ils sont trempés… je la regarde et je les mets dans sa bouche… elle lèche et suce avidement.

"Pourquoi ne pas descendre de la table et nous allons essayer une autre position?"

Il lèche encore mes doigts… tout en me disant…

"Tu dis et je fais… J'aime ça… pour que tu me commandes."

Je lui souris

"OK, jouons… Descends de la table et va en levrette, je te veux."

Elle me regarde et sourit malicieusement… elle descend de la table et se met sur le dos, les bras le long de ses côtés… et les mains sur ses fesses… et écarte ses fesses…..

Par derrière, on voyait très bien le petit trou du cul et le trou de la patate avec les cheveux tout trempés d'humeurs… Je pointe la tête… Je la fais glisser dans toute sa nature… Puis j'entre sans beaucoup de préambule … chaque coup de ma part correspond à son "aha" et à une respiration … plus j'augmente la vitesse et la puissance des coups, plus ses "aha" augmentent … j'ai pratiquement épuisé ma résistance … je n'étais pas prêt pour tout ce plaisir …

"Tu aimes les cours d'italien?"

"Oui…oui… oui… oui".

Je la sens venir… Je ralentis les coups et m'arrête presque… Je bouge mon bassin mais je reste à l'intérieur… Je sens ses humeurs dégoutter sur mes couilles…..

Je suis excité comme un fou et je suis sur le point de faire gicler toute ma semence en elle… Je me souviendrai de cette baise pour toujours… mais pourquoi laisser tout cela dans la mémoire….?

"Reste comme ça … écarte plus tes fesses … je veux te montrer comment mon cel prend des photos" péremptoire…..

Elle se tient là en levrette avec les joues des fesses écartées… et montre ses délicieux trous poilus…..

KLIC KLIC KLIC…Je lui montre la photo…au premier plan, sa petite fente est complètement dilatée et trempée…elle me sourit…elle était excitée par cette chose photo…..

"Reste tranquille"