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Sarah vous emmènera dans son audacieuse aventure pour basculer dans l’univers de la « Dimension Terre Amour ». Elle œuvrera pour que de merveilleuses graines se transforment, se manifestent, expérimentent et réussissent à répandre la fleur et le soleil de la vie, de l’Amour. Au cours de son périple, un personnage énigmatique lui montrera les voies de la sagesse et du cœur, facilitant ainsi l’émergence de cette nouvelle terre. Leur rêve deviendra votre réalité. Un roman initiatique et spirituel.
À PROPOS DE L'AUTRICE
Steffy Leroy est thérapeute en développement personnel et art-thérapeute depuis de nombreuses années. Elle est guide de l’âme, artiste peintre et sculptrice bien-être. Formatrice en thérapie sensorielle et en art-thérapie, son appétit naturel pour le bien-être sur terre l’a naturellement incitée à écrire ce roman.
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Seitenzahl: 159
Veröffentlichungsjahr: 2023
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Steffy Leroy
Dimension amour
© Lys Bleu Éditions – Steffy Leroy
ISBN : 979-10-377-9783-4
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Tableaux en Poés’île
, poésie et tableaux, Éditions du Net 2013 ;
Sur le chemin des cœurs
, autobiographique, Éditions du Net 2016 ;
Retrouvez votre vraie nature d’être
, développement personnel, JATB Éditions (
É
ditions Alliances magiques), 2018 ;
Les Sens en Cœur
, poésie, Éditions 999, Steffy 2021.
L’avantage d’aimer, c’est que ça se partage et que ça se multiplie.
Maxime de Rostolan
Je viens te chanter la ballade, la ballade des gens heureux… chantait Gérard Lenormand.
Oui, j’ai le cœur gai et pétillant de couleurs et d’émotions vives, disait Sarah.
Cette personne lumineuse va vous raconter ce qui lui est arrivé et ce qu’elle a vécu au cours de sa vie sur notre planète bleue.
Elle a fait un merveilleux rêve qui est devenu réalité. Un vrai de vrai qui racontait pourquoi et comment nous en sommes arrivés là, nous les Terriens, à prendre une pilule magique. Ce fut la même pour tous ou sous des formes différentes, ceci avec pour objectif de transcender l’Amour et de le reconnecter à sa source : celui de l’Amour universel.
Elle s’estimait chanceuse d’avoir vu cette transition des Terriens se mettre en place.
Les hommes étaient bloqués dans des paramètres trop anciens depuis de nombreuses décennies. Elle les voyait et les a vus émerger dans cette nouvelle ère de la nouvelle Terre.
Quel fut son enchantement quand elle comprit que les hommes passaient dans une autre dimension, celle du Vivre ensemble et défendre la Vie. C’est Sarah, une thérapeute connue pour sa création notamment en soins « Fleur de vie d’Or » qui œuvra avec d’autres personnes pour en arriver à ce changement.
Au moment où elle vous parle, personne ne se souvient d’avoir pu faire partie d’une autre vie que celle dans laquelle vous vivez actuellement : celle de l’Amour et du « Partager ».
Au travers de son histoire, Sarah, thérapeute en Bretagne depuis de nombreuses années, souhaite vous faire prendre conscience que les humains étaient arrivés à un point de non-retour. Il est important pour elle que vous sachiez enfin que l’humanité était plongée dans une extrême urgence de devoir évoluer ! Heureusement, elle prit conscience qu’elle et d’autres pouvaient mettre en place des changements et sortir de ces schémas.
À ce moment-là, la pilule miracle fit irruption dans nos vies, après tout un travail d’évolution spirituelle avec les soins qu’elle et d’autres prodiguaient. Elle transmettait sa formation en soins dans l’objectif de cheminer positivement. Le moment était venu d’opérer ce changement.
Voici l’expérience tout à fait déroutante, pleine de vie et d’évolution de personnes qui ont cheminé vers un avenir meilleur pour eux déjà et pour les autres. Elle fut accompagnée par des guides de l’au-delà pour ajuster et comprendre ce qu’ils vivaient.
Il était plus que temps d’agir et Sarah osa lancer ce défi planétaire !
Avant de commencer, Sarah vous fait un point global sur l’état de la société, des humains et de leur planète dans laquelle ils étaient plongés !
Les hommes vivaient dans un monde où le stress était devenu monnaie courante, le mot « burn-out » pullulait. Pour certains, ils ne se sentaient même plus capables d’aller au travail tant la pression des hiérarchies était trop forte.
Le monde des grands illusionnistes où l’habit fait le moine était à son apogée ! Une grande partie de ce qui les entourait n’était qu’illusion, malheureusement peu s’en rendaient réellement compte. Quand je vous parle d’illusions, je veux dire que leur fonctionnement était axé sur un monde tourné vers le matérialisme. Ils ne parlaient plus entre êtres humains mais entre personnes d’un même rang social, avec leurs centres d’intérêt axés sur des soucis aussi futiles que ceux liés au matérialisme.
La beauté des cœurs se réduisait, s’asséchait petit à petit et l’accent était mis sur l’importance et l’intérêt que pouvait générer telle ou telle situation, ou tel ou tel contact.
Ces hommes devenaient pauvres dans leurs relations humaines, pauvres dans leurs cœurs. Leur préoccupation principale et essentielle à leurs yeux était de savoir ce que vous pouviez apporter en savoir-faire à la société. L’être authentique était en voie d’extinction dans ce monde soi-disant moderne ! Le savoir-être était le parent pauvre et quasi abandonné.
Les gens en étaient arrivés à ne plus savoir parler de leurs sensations. Leurs têtes étaient coupées de leurs corps. Le mental, la raison, leurs critiques négatives, oui tout cela fonctionnait à merveille. Malheureusement, ils avaient juste oublié leur deuxième moitié, celle de leurs ressentis ! Sans oublier le laisser pour compte : leur fameux cerveau droit (celui qui crée). Ils n’y avaient plus accès, c’était verrouillé. Ils n’arrivaient plus à l’aborder et se laisser du temps pour écouter ce qui se logeait dans leur for intérieur. Ils n’accordaient plus d’importance à l’expression de leurs désirs véritables. En somme, ils étaient tous devenus esclaves d’un système qui ne leur appartenait plus et qu’ils ne maîtrisaient plus.
La société dans laquelle ils vivaient les berçait dans une non-vérité palpable. Ceux-ci les guidaient afin qu’ils puissent avoir des enfants, en fonction du nombre que ceux-ci avaient décidé. Dans leur vie en général, ils tombaient dans le piège de la consommation, où la nourriture s’achetait en fonction d’un visuel, d’une publicité. Dans les rayons des supermarchés fleurissaient des produits de toutes les couleurs. La question que se posaient les entreprises de marketing était : Comment va-t-on rendre notre produit attrayant parmi toute une gamme de produits d’une même utilité ?
Un autre grand fléau était le monde sucré, ce fameux doudou devenait problématique. De plus en plus d’enfants et d’adultes devenaient obèses, cela les rendait également hyperactifs… et dépendants de cette substance.
Tout était fait pour que les gens succombent à la tentation. Leur esprit était téléguidé, comme si leur cerveau était relié à une centrale qui choisissait pour eux. Ils n’arrivaient plus à faire la distinction entre penser par soi-même ou gober ce qu’on leur disait comme étant bien.
Le pire était de les voir s’entêter à penser qu’ils devaient faire et accomplir une, des tâches pour se sentir mieux et cocher les cases. Comme si quelqu’un leur soufflait à l’oreille, qu’ils devaient « faire », sinon mon Dieu sacrilège… ils pouvaient alors penser par eux-mêmes Je ne suis pas à la hauteur. Leur tête était coupée de leur corps. La régie centrale ne se branchait qu’exceptionnellement au corps, excepté quand ils s’écriaient :
J’ai mal ! Effectivement, il fallait alors les sauver rapidement… tellement normal ! Un pansement aidait ponctuellement pour les rebrancher à leur être. Mais où s’étaient-ils tous perdus, ces êtres ?
Certains pouvoirs au sein de diverses nations allaient même jusqu’à décider de la météo. Ils forçaient la création de nuages et ainsi déclenchaient un arrosage par le ciel ! Sarah les voyait faire, elle les observait avec un œil inquiet et se sentait complètement désœuvrée face à ce spectacle si affligeant.
Par ailleurs, le monde entier était victime d’une grosse arnaque concernant les produits pharmaceutiques ! La plus grande partie des grosses firmes pharmaceutiques pratiquaient le lobbying intensif. Des aberrations concernant leurs pratiques passaient sous le nez des concernés, sans que personne ne s’en rendent compte ou trop peu. Il était d’usage par exemple de donner des médicaments aux hôpitaux, comme ça gentiment ! C’était vraiment généreux, n’est-ce pas ! Par ailleurs, des formations continues étaient proposées aux médecins, des voyages offerts. Leurs parts de marché s’agrandissaient ainsi. Des marchés intéressants se mettaient en place. Par exemple, le marché de l’ostéoporose générait un grand nombre de médicaments considérés comme indispensables pour neutraliser ce phénomène ! La vérité essentielle avait été omise, Ah oui ! C’est un phénomène naturel d’usure, de vieillesse ! mais ça, peu de professionnels le disaient bien évidemment.
D’autres verrues du monde de la consommation se développaient. Le marché de la mode, celui des opérations esthétiques, des cigarettes électroniques, des massacres d’animaux, etc.
D’ailleurs, l’esprit, la pensée, tout était régi par ce que les personnes pensaient individuellement. C’est Moi qui ai raison. Le chacun pour soi, l’individualisme était à son apogée.
Les guerres éclataient ici et là dans le monde entier pour des questions de territoire, de religion… Bon, il est vrai que cela existe depuis la nuit des temps !
Bref, Sarah regardait ce tableau avec une forte inquiétude mêlée de compassion. Et elle se disait : Comment va-t-on pouvoir sortir de ce système qui marche sur la tête ?
Un autre monde encore tout aussi inquiétant était celui de l’agriculture. Le système qui avait incité les agriculteurs à produire plus, les rendaient victimes de devoir produire toujours plus. Ils se voyaient contraints à employer des produits chimiques qui accéléraient leur productivité. Ils s’étaient emprisonnés dans un fonctionnement dont ils ne pensaient pouvoir échapper. La vache initialement et naturellement herbivore devenait une « sojavore » ou une « maïsvore » ! Alors que la nature avait bien fait les choses en lui donnant à la base l’essentiel : l’herbe.
Et le gros point noir… l’environnement ! Un désastre prenait place sous les yeux des hommes. Les tempêtes déferlaient dans tous les coins de la planète. Les étés devenaient insupportables, tant la chaleur dépassait les 35 degrés. Les incendies ravageaient la nature. La mer grondait, elle vomissait les déchets des hommes et dévastait les territoires. Les océans connaissaient plus les déchets que les poissons ! L’horreur ! Et les poissons les prenaient pour nourriture.
D’ailleurs, nous croulions sous les déchets ! Nous produisions chacun des tonnes de déchets. Les abeilles étaient en voie d’extinction et la déforestation était devenue monnaie courante. En quelques décennies, l’homme détruisait sans états d’âme ce que la nature avait mis en place durant 380 millions d’années et nos ressources en oxygène. L’être humain ne voulait plus voir !
Quotidiennement, Sarah constatait dans son métier de thérapeute le fonctionnement de pensée des personnes qui la consultaient pour leurs maux psychiques et physiques. Souvent, les personnes n’arrivaient pas à sortir de leur fonctionnement négatif. À peine avaient-ils réussi à se débarrasser d’un problème, qu’un autre se profilait à eux. Mis à part ceux qui souhaitaient vivement s’en sortir et passer à autre chose et évoluer. Pour les autres, elle en était arrivée à penser qu’ils aimaient les problèmes et être victimes pour certains…
Autant vous dire que réapprendre à s’occuper d’eux devenait urgentissime ! Pour certains, la première étape était de retrouver leurs corps tout simplement. À cette époque-là, les faits divers dans les journaux étaient variés, les plaisirs, les désirs, les vengeances, les crimes… certains poussaient leurs désirs jusqu’à confondre entre cet Amour de l’autre et faire mumuse avec le sexe de leurs enfants ou d’enfants inconnus. Le malaise était palpable par beaucoup plus de personnes qu’on ne l’imagine. Beaucoup trop de femmes étaient battues par leur conjoint. Ne parlons pas de la place de la femme… la grande oubliée… Bref ! La société et l’humain devenaient extrêmement préoccupants, voire graves !
Elle constatait et rencontrait aussi énormément de personnes qui ne comprenaient pas le pourquoi de leurs peurs, de leurs angoisses, de leurs limites.
Pour cela, elle mettait en place des séances où elle retournait avec eux dans leurs fonctionnements d’enfants. Au moment où leurs parents leur inculquaient des croyances, dont ils avaient eux-mêmes été victimes de passations et qui étaient devenues comme normales et acquises à tout jamais selon eux. Une fois arrivés à l’âge adulte, ils pensaient toujours qu’ils n’avaient pas ce fameux choix. Enlever ou garder ces habitudes considérées comme des piliers pour un temps, une sécurité. Bien souvent, toutes ces formes pensées, ces croyances n’avaient aucun sens. Juste les brider et enlever leur vraie nature d’être. Leur être authentique était étouffé, enseveli. Sarah parlait d’égrégores négatifs, toutes ces peurs cumulées formaient ces amas intérieurs qui leur collaient à la peau.
Sarah ressentait une profonde peine en constatant que des enfants qui, après leurs premières années de construction de leur petite enfance, continuaient à grandir en entassant des devoirs, des obligations, des Je dois faire ça car sinon… quoi ? Ça n’est pas bien ! Et voilà comment nous arrivions à observer des personnes qui se dévalorisaient, avaient une faible estime d’eux-mêmes, un manque de confiance en eux et en les autres, des peurs, une insécurité…
Heureusement, le cœur de l’homme sait et certains œuvrèrent pour mettre en place le changement !
L’insécurité les minait totalement. Ces peurs les tiraient vers le bas et les raccrochaient à de basses énergies vibratoires. Les vibrations de dépendances, de trouver et construire des limites « limitées » et délimitées ! Ils pensaient contrôler.
C’est ainsi qu’ils s’agrippaient aux branches et pouvaient constater pour ceux qui le conscientisaient que la peur n’évitait en rien les dangers. Beaucoup d’entre eux restaient sur leurs acquis et n’osaient pas mettre un changement en place, ils restaient comme disent beaucoup les « coacher » dans leurs zones de confort ! La peur, encore et toujours cette fichue peur !
Cette peur qui gouvernait le monde était le premier frein ! un héritage de notre cerveau reptilien. Certains gouvernements en abusaient pour contrôler l’humain.
Le grand challenge était de faire appel au cerveau préfrontal, celui de l’imagination. L’ancien monde basé sur les peurs pourrait ainsi laisser place à une nouvelle ère, sans quoi nous ne pourrions avancer. L’heure de la gloire matérialiste prenait fin ! Les humains commencèrent à imiter la nature, comme les arbres qui s’entraident pour survivre et comme de nombreuses espèces au sein du vivant.
Le coup de projecteur était désormais focalisé sur le monde que l’on voulait créer pour nos enfants. Enfin !
Face à toutes ces incompréhensions, tout cet esclavagisme, toutes ces souffrances, Sarah se décida, et d’autres, à opérer un grand chantier et à enclencher LE changement dans un nouveau monde, celui qu’elle et ses aidants allaient mettre en place.
Ce serait un travail titanesque. Son idée était géniale, celle de rendre non seulement ses clients acteurs de leur destin mais aussi de ceux qui les côtoyaient. L’arborescence se mettrait gentiment en place. Ensemble, ils allaient renouer avec la confiance, et révéler la lumière en chacun d’eux pour laisser place à l’Amour.
L’élément déclencheur pour commencer cette nouvelle aventure arriva le jour où on proposa à Sarah de lui greffer une puce dans son corps.
Cette puce avait pour fonction de pouvoir vous identifier pour soi-disant faciliter les démarches administratives, les démarches de santé mais aussi pour vous localiser géographiquement, etc. en sommes pour vous CONTRÔLER ! Autant vous dire qu’il en était fini avec La Liberté !
C’est alors que le sang de Sarah ne fit qu’un tour ! Elle sortit de ses gonds et s’écria : Inimaginable, intolérable, impensable, inhumain, de la folie ! Comment peut-on accepter de se faire suivre partout et pour tout – … Et notre Liberté on en fait quoi ? Des siècles, pour la gagner et se retrouver face à des fous qui veulent tout contrôler, NON, jamais ! Ce fut la goutte qui fut déborder le vase.
Des semaines de cogitations intenses se passèrent pour que Sarah commence à mettre en place le processus du changement.
Le moyen le plus simple était de continuer pour Sarah à recevoir ses clients en thérapie et que cela fasse petit à petit tache d’huile. Le bouche-à-oreille fonctionnerait, elle en était certaine. Les réseaux sociaux qui malgré leurs côtés addictifs pourraient cette fois être utilisés de manière positive en relayant largement les informations. Chaque personne rencontrée et en phase avec son évolution pourrait elle-même être des transmetteurs. Le passage du relais s’étendrait en toute simplicité et naturellement.
Elle se posa les questions suivantes : Avec quel type de personnes commencer ? Est-ce qu’il faut que cela s’adresse dans un premier temps à une certaine tranche d’âge ? À quel moment peut-on insuffler cette démarche de changement dans les étapes du développement personnel ? Est-ce que certaines personnes peuvent en avoir peur ? Etc.
La roue tourna, Sarah se sentait prête comme d’autres individus à différents endroits de la planète pour démarrer la mise en place d’actions pour un nouveau monde. Elle était décidée plus que jamais à vouloir réaliser ses souhaits pour le bien de l’humanité et pour faire fleurir les pensées et l’énergie positive en chacun.
Depuis une vingtaine d’années (et avant son nouveau projet), Sarah recevait les clients pour un mieux-être global qui consistait à soigner le corps, les maux de la psyché et évoluer spirituellement. On pouvait les qualifier de soins holistiques.
Parfois, les personnes venaient la voir pour dépasser leurs peurs, leurs angoisses. D’autres, venaient la voir pour se relier tout simplement à leurs ressentis, à leur corps. Des blocages multiples et variés faisaient l’œuvre de recherches, d’introspections. Sarah avait compris qu’elle agissait souvent là où les thérapies classiques ne fonctionnaient pas.
Son premier allié était l’Art-thérapie. La thérapie par l’art lui permit d’avoir accès à d’autres informations laissées pour compte par la parole. Les médiums qu’elle utilisait étaient variables selon les personnes qui la consultaient et selon les problématiques rencontrées. Par exemple, elle utilisait l’argile pour les personnes qui avaient des difficultés à se centrer. L’objectif de chaque personne était généralement clairement énoncé dès le départ de la thérapie, mis à part quelques exceptions.
L’élément central qui faisait cependant la différence et donnait la complémentarité à l’art-thérapie était son deuxième allié : la pratique des soins énergétiques en symbiose avec l’art-thérapie. L’accès à l’énergie favorisait une autre ouverture qui s’avérait plus profonde et efficace.
Sarah l’appelait l’art-thérapie énergétique. L’objectif était de libérer la personne de ses miasmes qui la contrôlait et lui redonner une vie normale. Et quand tout cela était insuffisant, elle faisait appel à d’autres facultés d’ordre énergétique qui lui ont été données naturellement. Cela s’apparentait à enlever et libérer les mémoires transgénérationnelles et karmiques (vies antérieures).
Une fois que le scan de chaque personne était effectué, parfois elle utilisait ses pouvoirs de passeuse d’âme, afin de libérer encore une fois d’autres blocages reliés à des âmes qui restaient en connexion avec la personne sur le plan terrestre. Ces âmes n’avaient pas eu cette possibilité de retourner directement à la lumière. Son rôle était alors de les passer sur le plan de la lumière.