Dinika - Tome 2 - Aboubacar Diarra - E-Book

Dinika - Tome 2 E-Book

Aboubacar Diarra

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Beschreibung

Plongé au cœur d’une menace capable de déchirer les siens, Dinika se trouve face à un dilemme dont chaque issue pourrait bouleverser son existence. Partagé entre la fidélité à ses proches et l’appel irrésistible de son destin, il s’engage dans une lutte implacable où son courage sera éprouvé à chaque instant. Les choix qu’il devra faire ne façonneront pas seulement son avenir, mais redéfiniront aussi celui de tous ceux qui lui sont chers. Jusqu’où ira-t-il pour protéger ce qu’il aime, et à quel prix ?

À PROPOS DE L'AUTEUR

Après le succès de "Dinika, bienvenue à Milan", publié par Edilivre en 2018, Aboubacar Diarra revient avec ce deuxième tome. Porté par une dynamique créative, il poursuit un objectif clair, celui de faire voyager ses lecteurs à travers le monde grâce à sa plume.

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Seitenzahl: 135

Veröffentlichungsjahr: 2025

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© Lys Bleu Éditions – Aboubacar Diarra

ISBN :979-10-422-6291-4

Le code de la propriété intellectuelle n’autorisant aux termes des paragraphes 2 et 3 de l’article L.122-5, d’une part, que les copies ou reproductions strictement réservées à l’usage privé du copiste et non destinées à une utilisation collective et, d’autre part, sous réserve du nom de l’auteur et de la source, que les analyses et les courtes citations justifiées par le caractère critique, polémique, pédagogique, scientifique ou d’information, toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle, faite sans le consentement de l’auteur ou de ses ayants droit ou ayants cause, est illicite (article L.122-4). Cette représentation ou reproduction, par quelque procédé que ce soit, constituerait donc une contrefaçon sanctionnée par les articles L.335-2 et suivants du Code de la propriété intellectuelle.

Introduction

Dans le cadre d’un séjour en France, Dinika s’apprête à vivre une expérience qui aurait dû être synonyme de découverte et de détente. Ce voyage vers l’inconnu, cependant, se transforme rapidement en un véritable cauchemar.

Chapitre 1

Dinika avait pour habitude, avec son père et ses frères, d’immoler plusieurs moutons au Mali et de les distribuer généreusement à leurs proches voisins, une fois par an pendant de nombreuses années. Leur père n’étant plus de ce monde, ses enfants perpétrèrent cette aumône une fois par an au Mali. Cette année-là, il fut invité par son petit frère Fousseny qui résidait en France à Ajaccio. À l’aéroport, Dinika découvrit la France pour la première fois, mais avait entendu parler dans les journaux d’émeutes qui s’étaient produites en mai 1968. Prenant son bagage, Dinika aperçut un homme portant une pancarte indiquant son prénom. Dinika s’avança vers l’homme et le salua. L’homme se présenta comme un ami de Fousseny et lui demanda de le suivre, prenant le bagage, puis se dirigea vers la sortie. Se sentant insulté que son petit frère ne soit pas là pour l’accueillir, il s’arrêta soudainement, l’homme avait constaté que Dinika s’était arrêté, il s’excusa et se présenta sous le nom de Richard, dit La Gome, citant que son frère avait eu un empêchement, mais qu’il serait à la maison en fin d’après-midi. Satisfait de cette réponse, il reprit le chemin de la sortie. Croyant que Richard allait prendre un taxi, celui-ci déclara être venu en voiture jusqu’à arriver près d’un BMW 528i rouge vif. Souriant, Dinika, impressionné de la luxueuse voiture de Richard. Richard prit la direction du logement de Fousseny, il rétorqua que son frère avait déménagé et qu’il n’habitait plus dans le quartier Mezza via, Dinika, répondit que cela lui était égal, car il n’avait jamais mis les pieds là-bas. Ils arrivèrent dans le quartier bourgeois d’Ajaccio, passant de villa en villa, toutes magnifique les unes des autres. À l’entrée de la villa, un homme faisait office d’agent de la sécurité, il ouvrit le portail, le véhicule pénétra à l’intérieur de la cour, on pouvait entendre les cris de mouton et de chèvre que Fousseny avait acheté pour l’aumône. Dinika se rendit compte que son petit frère n’était plus le petit enfant, mais un homme fort, intelligent, organisé en s’y prenant à l’avance lors de l’achat de mouton. Sortant du véhicule, Richard voulut prendre le seul bagage de Dinika, celui-ci refusa n’ayant pas l’habitude d’être assisté. À la porte d’entrée, il fut accueilli, par son neveu et sa nièce, qui lui sautèrent au cou. Aude souhaitait la bienvenue à son beau-frère. Saratou et Fodé lui firent visiter la maison, jusqu’à arriver devant la chambre où il allait séjourner. Un espace de quinze mètres carrés, un lit, deux places, un petit bureau ainsi qu’un canapé, une place et une étagère remplis de livre en tout genre. Dinika demanda la raison pour laquelle son frère n’est pas lui-même venu le chercher à l’aéroport. Aude répondit que Fousseny était partie en Île-de-France, pour son travail et qu’il devait rentrer dans l’après-midi. Dans la chambre, Aude suggéra à Dinika de mettre ses vêtements dans l’armoire. Les enfants invitèrent leur oncle à piquer une tête dans la piscine couverte. Il accepta l’invitation, leur promit de les rejoindre dans une demi-heure. Au bord de la piscine, les enfants nageaient comme des poissons, étant donné qu’ils avaient été inscrits très jeunes dans un club de natation. Dinika arriva muni de son débardeur et short, se faisant remarquer, en marchant avec ses claquettes qui couac à chacun de ses pas. Voyant la venue de leur tonton, admirant sa tenue, Saratou et Fodé se mirent à rigoler. Dinika retira son débardeur, le posa sur la chaise longue, retira ses claquettes, puis se dirigea au bord de la piscine, fit un saut du plongeoir qui impressionna les enfants. Saratou et Fodé restaient sans voix, lui demandèrent de leur apprendre. Dinika les incita, alors, à faire dix longueurs, précisant que le gagnant recevrait un cadeau. Après seulement cinq longueurs, les enfants étaient déjà fatigués. Au même moment, leur mère leur ordonna d’aller à la salle de bain se laver. Dinika se porta volontaire à faire leur bain et les accompagnait. À l’heure du goûter, Fousseny arriva, les enfants entendit le bruit des clés sur la porte, se ruaient pour le saluer. Donnant la main à ses enfants, il pénétra dans la cuisine, embrassa sa femme, s’avança vers son frère, Dinika se leva de sa chaise, fit les bises en le prenant dans ses bras en guise de salut. Fousseny s’excusa au passage de n’avoir pas été à l’aéroport. Au cours de l’apéro, Fousseny parlait à son frère du bonheur que sa présence lui faisait, montrant deux billets pour regarder le match de football entre PSG et l’AC Ajaccio. Dinika questionna sur la date du match.

— C’est ce soir à 21 heures, répondit Fousseny.
— Tu veux y aller comment ? demanda Dinika.
— On rentrera le lendemain matin au pire des cas le surlendemain, répondit Fousseny.

À la fin du repas, Fousseny s’entretenait avec Dinika dans son bureau, lui expliquant avoir un casino clandestin sur paris et qu’il s’y rendait deux à trois fois par mois. Fousseny assis devant le bureau, Dinika, assis à deux mètres sur un canapé deux places. Finissant son verre, Dinika pas très content des activités de frère le conseilla d’être prudent dans ses affaires et de s’y rendre une fois par semaine, en ne donnant pas sa confiance à n’importe qui. Écoutant son frère joué, le protecteur Fousseny ne put s’empêcher de sourire. Fousseny décida d’appeler son ami Richard, lui demanda de venir les déposer. À l’aéroport, Dinika et Fousseny se hâtèrent vers la porte d’embarquement, pressés de rejoindre leur destination. Cependant, leur empressement fut interrompu par le contrôle de sécurité obligatoire. Les deux frères sortirent tout ce qu’ils avaient dans leurs poches, et les déposèrent dans un bac en plastique pour qu’ils puissent être scannés. L’agent de sécurité, un homme imposant avec un regard scrutateur, les observait attentivement alors qu’il examinait leurs affaires. « Vous avez des objets métalliques sur vous ? » demanda-t-il d’une voix autoritaire. Dinika et Fousseny secouèrent la tête en signe de négation. Ils savaient qu’il était important de respecter les règles de sécurité de l’aéroport, surtout après les récents événements tragiques qui avaient eu lieu dans le monde. Lors de son passage à la porte magnétique, celle-ci se mit à sonner. Aussitôt, Dinika remonta ses manches, montra son ventre. « J’ai eu des impacts d’obus sur le corps lors de la guerre du Vietnam. » L’agent de sécurité continua à fouiller leurs sacs et leurs poches, cherchant tout signe de danger. Finalement, il sembla satisfait et leur rendit leurs affaires. L’agent de sécurité se sentit gêné, s’excusa au passage, saluant le vaillant soldat. D’une démarche militaire, torse bombé, Dinika, répondit à son salut. Dinika et son frère se rendirent au parc des princes, regarder le match entre le Paris saint germain et l’AC Ajaccio, comptant pour la neuvième journée du championnat, juste avant le match de la coupe des clubs, ayant d’innombrables connaissances, lui permit d’avoir des places en loge VIP, assis sur des canapés en cuir, autour d’une table garnie. Dinika regardait le match sans perdre une miette. Fousseny passa quelques coups de fil lorsque les Ajacciens ouvrirent le score sur coup de pied arrêté. Après quinze minutes, Fousseny se retourna, discutant avec son interlocuteur, disant devoir raccrocher le téléphone.

— Mais ho ! Jack pot, qui a marqué ? demanda Fousseny.
— Il reste encore du temps, vous n’avez pas encore gagné le match, disait Dinika d’un ton ironique.

Faisant les quatre cents pas, Fousseny se répétait à voix basse, des propos insensés. Dinika complimenta alors son frère, d’être un vrai supporter, lui conseilla de passer actionnaire. Fousseny s’asseyait, prenant une bouteille de coca, et remplissait son verre.

« Mieux que ça, grand frère, j’ai misé cent mille francs sur la victoire de l’AC Ajaccio », répondit Fousseny. Dinika s’étouffa alors après avoir entendu la somme d’argent. « Au pire des cas, j’ai un complice qui va toucher un pourcentage, il va y avoir au moins un penalty dans ce match », répondit Fousseny. L’arbitre siffla la fin de la première mi-temps sur le score d’un à zéro pour les visiteurs. Fousseny descendit dans les vestiaires. De retour dans les loges au moment où les joueurs regagnaient le terrain, il prit place, sourire jusqu’aux oreilles. « De retour sur le terrain, les vingt-deux acteurs, l’arbitre siffle le début de la seconde mi-temps, 44 minutes de jeux, Sarr Boubacar (PSG) envoie la balle dans la surface, mais c’est dégagé par un défenseur. 50 minutes de jeux, Joâo Alves (PSG) fait une belle touche de balle après avoir reçu une passe dans la surface. Il envoie une frappe à ras de terre vers le poteau gauche. Le gardien plonge pour stopper le ballon. Aujourd’hui, il y a 22 000 spectateurs dans le stade. 56 minutes, François Beltramini (PSG) trouve le chemin des filets de près dans un angle très fermé. Un partout entre le PSG et l’AC AJACCIO. 69 minutes, c’est au fond des filets, Cavalli (AC Ajaccio) envoi un beau centre dans la surface, Faedda (AC Ajaccio) le reprend aux environs du point de penalty d’une tête imparable. L’AC Ajaccio reprend l’avantage sur le score de 2 buts à 1. 79 minutes, Abel Braga (Ajaccio) tente de créer une situation dangereuse avec un beau centre, mais le défenseur a tout anticipé et le danger est écarté. 88 minutes, nous aurons droit à 5 minutes de temps additionnel. C’est terminé, l’arbitre siffle la fin du match sur une victoire de l’AC Ajaccio sur le terrain du Paris saint germain. » Après le match Fousseny prit la direction de la caisse centrale, à côté de celle-ci se trouvait une porte où était écrit bookmakers il fit la queue devant une dizaine de personnes lorsqu’il entra il en ressortit avec une grosse enveloppe, retrouvant son frère en chantonnant. Dinika et Fousseny quittèrent le stade et tentaient bien que mal de se frayer un chemin. Se faufilant entre les corps, en évitant les obstacles, en zigzaguant entre les voitures et les motos qui klaxonnaient. Ils étaient fatigués, mais ils ne pouvaient pas s’arrêter, car ils avaient peur de se perdre ou de se faire voler le gros gain obtenu par Fousseny. Pourtant, malgré tous ces obstacles, Dinika et Fousseny gardaient le sourire et la bonne humeur. Ils échangeaient des blagues, des anecdotes, des souvenirs de leur enfance, et cela leur permettait de tenir bon. Ils étaient solidaires, complices, inséparables, et rien ne pourrait jamais les séparer.

— Suis-moi, pour me faire pardonner, je vais t’acheter des vêtements chics à la mode, répondit Fousseny.
— À la mode, s’étonna Dinika, tu penses que je ne suis pas à la mode, répondit-il.
— Si tu es à la mode, mais les vêtements sont la dernière collection automne hiver, répondit Fousseny.
— OK, je veux bien, mais à une seule condition, demanda Dinika.
— Dis-moi laquelle ? souffla Fousseny.
— Je veux qu’on aille sur les champs Élisée, ce lieu dont tu m’as tant parlé, répondit Dinika.

Ils marchèrent jusqu’à arriver devant le collège Claude Bernard, au même moment, un taxi arriva. Fousseny indiqua au chauffeur leur destination avant de monter à l’arrière du véhicule.

— Alors, comment ça va, au pays ? demanda Fousseny.
— Le pays se porte bien, il commence à peine à se relever du coup d’État sur notre cher président Modibo Keïta, répondit Dinika.
— Il est mort l’année dernière où il y a deux ans, demanda Fousseny.
— Il est mort il y a deux ans tout juste d’un soi-disant œdème des poumons faisant le signe des guillemets avec ses deux index et ses majeurs.
— De toute façon, ça dérangeait trop ses prises de position, répondit Dinika.
— Ah oui, tu penses, s’étonna Fousseny.
— Modibo Keïta était un panafricanisme engagé, dit Dinika sur un ton colérique.

Fousseny vit la mine serrée de son frère, heureusement le taxi arriva sur les champs Élisée. Dinika fut émerveillé par les lumières. Le soleil s’était couché à 17 heures, horaire hivernal. Malgré que Dinika séjournait la moitié de l’année à New York, Paris restait Paris et évidemment l’une des plus belles villes du monde. Ne sachant plus où donner de la tête, à gauche, puis à droite, il bouscula involontairement une femme d’un âge mûr.

— Mais aïe ! s’écria celle-ci, faites attention ! répondit la sexagénaire.
— Excuser mon frère découvre pour la première fois Paris, répondit Fousseny.
— Oui, mais regarder devant vous avec votre gabarit, vous auriez pu me blesser, répondit la sexagénaire.
— Désolé, chère dame, j’ai été ébloui par cette belle avenue. Voulez-vous que je vous invite pour me faire pardonner ? demanda Dinika.
— Non, merci, ça ira, mais faites attention la prochaine fois que vous croisiez une vieille dame comme moi, répondit la sexagénaire.

La dame prit le chemin opposé des deux frères. Dinika et Fousseny continuèrent leur chemin pour arriver à leur destination. La boutique Louis Vuitton, vue de l’extérieur, était vitrée, et on pouvait admirer trois mannequins, dont deux modèles femmes et un modèle homme. Dinika observait le modèle femme avant de contempler la plaque qui indiquait le prix 13 500 francs pour une paire de bottines plates de couleur marron, marquées par le célèbre monogramme. Dinika savait cette marque prestigieuse, mais pas à ce point-là.

— Tu ne veux pas qu’on aille à la galerie Lafayette, demanda Dinika.
— Non pourquoi ? répondit Fousseny.
— T’as vu le prix de ses bottines, répondit Dinika.
— Mais c’est ça, les prix, frérot, regarde toi-même, je suis vêtu de la tête aux pieds de cette marque, allez, rentrons à l’intérieur, répondit Fousseny.

Dans cette boutique une grande table garnie de sac luxueux les uns les autres. Un vendeur arriva, grand, brun, cheveux longs, un mètre soixante-dix-sept, les yeux bleus, portant un costume beige et une écharpe autour du coup de couleur rouge Bordeaux. Une petite moustache accueillante et souriante, il posa ses deux mains sur les épaules de Dinika et Fousseny en leur souhaitant la bienvenue.

— Messieurs, bonsoir et bienvenue dans la plus prestigieuse boutique de notre très cher Louis Vuitton, répondit le vendeur.
— Oui, nous savons, car nous ne sommes pas entrés par hasard, répondit Fousseny.

Fousseny montra que lui aussi portait cette marque de luxe signifiant ainsi qu’il était un client fidèle.

— Puis-je vous servir du champagne ? Avant de m’occuper de vous, messieurs.
— On cherche le rayon homme, répondit Dinika tout en déclinant gentiment le verre.

Le vendeur leur suggéra de patienter quelques minutes, une collègue s’occupera d’eux, car Fousseny étant un client régulier, il sera accompagné de la meilleure vendeuse. Les frères enthousiasmaient devant les sacs pour homme et valise de voyage. Au loin, on entendit le bruit de talon aiguille espérant apercevoir la personne. Ils s’interrogeaient sur la direction d’où provenaient ses pas. Une femme mûre descendit gracieusement chaque marche.

— Bonsoir messieurs, désolé de vous avoir fait attendre, je me présente Antoinette de Vendome.
— Bonsoir Madame, votre nom me rappelle celui d’un comte, répondit Fousseny.
— Oui effectivement, je suis la descendante arrière-petite-fille du comte Louis de Vendome, cela fait plus de vingt ans que je conseille, relooke et rends ce genre de personne, pointant du regard Dinika, de simple homme en gentlemen.
— Qui ? Moi ? Mon jeans, je l’ai acheté dans une grande boutique à New York et juste avant de venir en France, répondit Dinika surpris.
— Vous ! vous êtes habillé comme un mécanicien, nombreux sont celles et ceux qui ont pris ce vilain tissu pour un vêtement de mode, répondit Antoinette ne sachant pas encore que quelques années plus tard le jeans sera le vêtement le plus vendu au monde.
— Ne vous fâchez pas, je disais ça pour vous taquiner, répondit Dinika.
—