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"Écarts de langage" propose une exploration fascinante où chaque page révèle de nouvelles surprises. L’auteur, doté d’un regard acéré sur les subtilités de la vie quotidienne, se penche sur les petites étrangetés qui enrichissent nos existences. Il ajoute à cette base une touche de créativité en intégrant des associations inattendues et en saupoudrant le tout de « blagounaytes » – un subtil mélange de blagues et de scènes intrigantes. Le résultat est un récit où l’humour et la réflexion se rencontrent dans une harmonie élégante.
À PROPOS DE L'AUTEUR
Simon Keromen nourrit son écriture d’observations humoristiques sur la vie. Au lieu de créer de pures fictions, il s’amuse avec la réalité, transformant les aspects du quotidien en réflexions.
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Seitenzahl: 140
Veröffentlichungsjahr: 2024
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Simon Keromen
Écarts de langage
© Lys Bleu Éditions – Simon Keromen
ISBN : 979-10-422-4350-0
Le code de la propriété intellectuelle n’autorisant aux termes des paragraphes 2 et 3 de l’article L.122-5, d’une part, que les copies ou reproductions strictement réservées à l’usage privé du copiste et non destinées à une utilisation collective et, d’autre part, sous réserve du nom de l’auteur et de la source, que les analyses et les courtes citations justifiées par le caractère critique, polémique, pédagogique, scientifique ou d’information, toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle, faite sans le consentement de l’auteur ou de ses ayants droit ou ayants cause, est illicite (article L.122-4). Cette représentation ou reproduction, par quelque procédé que ce soit, constituerait donc une contrefaçon sanctionnée par les articles L.335-2 et suivants du Code de la propriété intellectuelle.
Le langage est un art délicat, une danse subtile entre les idées et les mots. Dans Écarts de langage, Simon Keromen se fait funambule, oscillant entre la légèreté de l’humour et la gravité des vérités qu’il dissimule, avec cette élégance singulière qui transforme chaque réflexion en un clin d’œil complice au lecteur.
À première vue, cet ouvrage pourrait ressembler à un joyeux défilé de jeux de mots, d’aphorismes et de traits d’esprit. Mais sous cette apparente simplicité se cache une mécanique complexe, où chaque phrase est soigneusement calibrée pour faire sourire, réfléchir, et parfois même pour remettre en question nos certitudes les plus ancrées. Il s’agit ici non seulement de jouer avec les mots, mais de les laisser jouer avec nous.
Keromen explore les recoins de notre quotidien, avec ce regard malicieux qui capte le détail insignifiant pour en extraire l’essence universelle. De l’économie aux relations humaines, en passant par la culture populaire, aucun domaine n’échappe à son regard acéré ni à son sens inné du décalage.
Le rire, disait Rabelais, est le propre de l’homme. À travers ces « écarts » facétieux, Simon Keromen nous rappelle que ce rire, loin d’être une simple distraction, est un outil précieux pour appréhender la complexité du monde. Écarts de langage est bien plus qu’une compilation d’astuces verbales ; il est une invitation à voir autrement, à repenser le langage et ses subtilités avec l’œil aiguisé de celui qui a appris à s’en amuser.
À vous de suivre cette piste semée d’embûches et de sourires, dans un esprit de découverte et de connivence.
Benoit Couzi, l’éditeur
Ce recueil de réflexions est le fruit de mon imagination et le reflet de mon imaginaire.
Rabelais a dit « Rire est le propre de l’homme », j’ajoute qu’il est le propre d’un homme : ce que je trouve drôle peut très bien ne pas l’être pour mon voisin (quand j’évoque mon voisin, j’embrasse également ma voisine) voire mon prochain, quant à mon prochain voisin…
Certaines de ces formules peuvent être dans leur principe rapprochées d’énigmes (équations en langage mathématique) dont la clef (racine dans le même langage) ne serait pas fournie d’emblée pour leur résolution, cependant il existe des astérisques qui renvoient aux clefs des dites énigmes.
La période couverte par ce recueil est de plusieurs dizaines d’années et fait donc parfois référence à des contextes des situations et des personnes aujourd’hui disparus.
Comme le disait le grand Charles (Aznavour) : (… je vous parle d’un temps que les moins de vingt ans ne peuvent pas connaître…)
Seules n’y figurent que celles que j’ai pris le soin de noter, les autres s’étant envolées pour toujours comme les feuilles du même nom : « Scripti manent verba volent ».
Lorsque je travaillais dans une grande entreprise de télécommunications… mes collègues qualifiaient mes blagues de « simonades ».
Et même s’il est toujours gratifiant de faire sourire ou rire son public je n’ai jamais apprécié cette expression tant je prenais cette activité extra-professionnelle au sérieux : Georges Clémenceau a dit « la guerre est chose trop sérieuse pour être confiée à des militaires », j’ajoute que l’humour est une chose trop sérieuse pour être confiée à des rigolos.
Pour rester dans le domaine militaire je dirais volontiers que l’humour pouvant agir comme une arme, il convient de le manier avec précaution.
Bonne lecture.
Dans les économies de libre marché, la fuite des capitaux est un phénomène si fréquent qu’il est au fil du temps devenu monnaie courante.
Une croyance populaire avance qu’il « est plus difficile d’élever ses enfants que de les mettre au Monde » sauf bien entendu si les parents ont l’ambition que ces enfants ne deviennent journalistes dans un grand quotidien du soir.
Après l’ouverture au public de l’aile Richelieu du musée du Louvre en novembre 1993 : quand on parle du grand Louvre, on en voit la queue.
Lorsqu’on a demandé à l’ancien patron de la SNCF Louis Gallois à la fin de son mandat à la tête de cette entreprise si son plan de sauvetage avait fonctionné, celui-ci aurait répondu : « oui si on s’en tient aux grandes lignes ».
Pour un trésorier il est particulièrement difficile de trancher la délicate question de savoir si l’image vraie d’un déficit est malgré tout préférable à un vrai déficit d’image.
Il est malheureusement parfois arrivé que le départ en retraite du patron de cette véritable institution qu’est le café de Flore à Paris ait engendré des luttes intestinales pour sa succession.
Dans les locaux des sociétés informatiques, on tombe plus facilement sur d’anciennes données qui traînent que sur d’anciennes trainées qui donnent.
Construction d’un troisième aéroport en région parisienne : plusieurs pistes seraient à l’étude.
Ce n’est pas parce que les magnats du pétrole figurent parmi les plus grandes fortunes mondiales que ça les rend nécessairement plus fût-fût que le reste de la population… peut-être plus baril-baril cependant.
Le marché de la trottinette a connu quelques bonnes années lorsqu’il a émergé, par la suite, hélas, il s’est mis à patiner assez nettement.
Reconversion : Le fait pour un chanteur d’avoir de l’assurance dans la voix ne le prédispose pas au cas où il cherche à changer d’activité à trouver facilement sa voie dans l’Assurance.
Un « webmaster » aussi bon soit-il ne fait pas nécessairement des « e-mules ».
Selon une étude récente de la Direction de la Concurrence et de la Répression des Fraudes (DCRF), aucun magasin Leclerc de l’Ain ne vaut Leclerc de l’Une à Maubeuge.1
L’art délicat de la négociation entre « partenaires sociaux » : Dans le domaine des transports pendant un conflit, lorsque la discussion est au point mort, il y a de fortes probabilités pour que la grève soit reconduite.
Promotion canapé : Ce n’est pas parce qu’on joue avec des dames dans son entreprise qu’on va nécessairement à promotion.
Beaux-Arts 1 : Le mécanicien en automobiles réellement malhonnête est celui qui a réussi à faire fortune en n’ayant fait pendant toute sa carrière que des réparations du même nom.
Beaux-Arts 2 : Le PDG d’Arcelor Mittal, Lakshmi Narayan Mittal qui ne donne pas nécessairement dans le mécénat pense cependant qu’il en va de même dans le domaine de la culture comme de la sidérurgie : « L’Art c’est l’Or ».
Grands travaux : Il ne suffit pas de répéter à l’envie que les travaux envisagés pour désensabler la baie du Mont-Saint-Michel se fassent coûte que coûte pour qu’ils deviennent une réalité, dans ce cas précis la méthode Coué non !
La vie passionnante de la Bourse : Aujourd’hui j’achète Dassault demain je revends Char.
Pub : Bien loin « d’installer les villes à la campagne, car l’air y est plus pur » comme l’avait suggéré le grand Alphonse Allais la publicité n’a obtenu comme résultat probant que d’installer ses campagnes dans les villes.
Un diagnostic sur la crise financière mondiale de 2008 : Quand les bourses baissent, c’est l’ensemble de l’économie qui a les oreillons.
Crise de l’euro : les sociétés proposant de racheter l’or détenu par les particuliers prospèrent, l’un des dirigeants de ces sociétés aurait même déclaré : « avec le rachat des bijoux de famille, je me suis fait des couilles en or ».
Bourse toujours : Ne pas confondre dans la cotation des hydrocarbures : « les cours du brut ont grimpé » avec dans les cours de récréation : « les brutes de la cour se sont effondrées ».
Pourquoi est-ce que la marque de vêtements Lacoste s’évertue-t-elle à vendre ses articles à des tarifs quasiment inabordables ?
Selon certaines sources M. Pouret dont la postérité n’a pas retenu le nom serait l’inventeur du sas, ça n’est toutefois pas certain, mais ça s’pourrait.
Roux est à Combaluzier ce que Tardé est à Koné.
Cybercriminalité : la société du tout « numérisque » ?
Dans les années 2010 à Rueil-Malmaison, le marché de l’immobilier même s’il n’a pas connu un véritable boum a néanmoins enregistré un vrai coup de fouet, en particulier dans le quartier des Martinets.
J’avais égaré le badge électronique me donnant accès au restaurant inter-entreprises.
Or si je ne considère pas celui-ci comme un sésame à part entière, il n’en constitue pas moins la graine.
Si l’on souhaite construire dans les environs de Carnac (Morbihan) il faut prendre soin de bien se renseigner au cadastre de cette ville sous peine de se faire frapper d’alignement.
Curiosité : n’est-il pas stupéfiant de constater que la péninsule arabique est également la péninsule à barriques ?
Au moment du rachat du groupe Adidas par Bernard Tapie certains de ses conseillers lui auraient alors demandé de se positionner sur un éventuel rachat de la marque Camper. Pour toute réponse à cette proposition pleine de hardiesse, il s’est contenté de camper sur ses positions.
Chez Renault les designers ayant signé la ligne de la « Captur » affirment volontiers que ce modèle ne manque pas de cran, en précisant toutefois que pour arriver à un tel résultat à l’aide des programmes de développement en 3D, ils ont dû utiliser à plusieurs reprises des captures d’écran.
Il paraît somme toute assez logique qu’une partie importante de la flotte automobile de la société Vivendi soit constituée de la Renault Modus.2
Cirer les pompes de son supérieur n’est souvent pas suffisant pour obtenir une promotion, j’ai ainsi connu un cireur de chaussures professionnel qui n’a jamais eu droit à la moindre promotion.
Un slogan très populaire parmi les hackers – lesquels reconnaissons-le font parfois preuve d’ingéniosité dans ce domaine de compétences – est « Hacker vaillant rien d’impossible ».
Résultats de la conférence de Glasgow dite « COP26 » : l’accord minimum obtenu au terme de cette réunion a jeté un froid, ce qui somme toute est plutôt une bonne nouvelle concernant la question du réchauffement climatique.
Au numéro 49 de la rue Taitbout (Paris 9), on trouve un magnifique immeuble dans le plus pur style haussmannien, de quoi tomber à genoux3.
Tout le monde a entendu parler du mobilier urbain qui orne Paris depuis l’année 1868 pour les colonnes Morris et 1872 pour les fontaines Wallace. Le hasard en l’occurrence a bien fait les choses sinon on aurait connu les colonnes Varice et les fontaines Mollasse.
On entend parfois dire qu’avec la mondialisation de l’économie, le développement technique des moyens de transport de plus en plus performants, la généralisation d’internet, le monde entier est devenu un village planétaire. Ce constat devient d’ailleurs assez banal. Je pose néanmoins la question de savoir qui va reprendre le rôle d’idiot de ce nouveau village ?
Que sont donc devenus nos idiots du village d’antan ?
Désorientation : dans le neuvième arrondissement parisien si on se trouve rue Houssaye en se dirigeant vers l’ouest et qu’on demande son chemin pour trouver la rue Rossini on s’entendra répondre : vous êtes en train de lui tourner l’dos.
Dans le dix-huitième arrondissement, si vous demandez où se trouve la rue Houdon, il est fort possible que personne ne puisse vous répondre.
Il est recommandé, voire indispensable, d’avoir fait de solides études économiques et financières pour être un bon « trader », ce qui n’exclut en rien que pour réussir dans le domaine de la bourse il faille également pouvoir bien sentir les choses.
Dans la nature en présence d’un paysage particulièrement harmonieux l’expression « un paysage à couper le souffle » nous vient assez spontanément. Le 26 décembre 1999, la tempête connue sous le nom de Lothar a accouché d’une nouvelle expression : « un souffle à couper le paysage ».
Le projet d’achat d’un appartement quai Malaquais (Paris 6) requiert la plus grande prudence pour l’acquéreur potentiel, car comme on le dit si bien dans les agences immobilières de ce quartier « Bien Malaquais ne profite jamais ».
L’enseigne Doré-Doré dite D.D fabrique entre autres articles des chaussettes de qualité confortables et agréables à porter.
Et d’ailleurs pourquoi qu’elles iraient nous gratter les chaussettes D.D, pourquoi ?4
Avenue de l’Opéra à Paris se trouve un magasin de l’enseigne Méphisto qui fait l’angle avec les rues Gomboust et Saint-Roch alors qu’en principe Méphisto fait l’« s ».
La scène suivante se passe dans une société d’import-export franco-italienne.
LE DIRECTEUR,à sa secrétaire : Nora, je vais entrer en réunion, je ne veux pas être dérangé sauf pour des motifs extrêmement urgents.
NORA : Entendu Monsieur le Directeur.
Le téléphone sonne, Nora en bonne secrétaire décroche immédiatement l’appareil (elle n’a d’ailleurs pas la pareille pour décrocher aussi vite), c’est un appel qui vient d’Italie du Sud.
NORA : Pronto ? (car Nora est polyglotte) Bien, je vais voir si le directeur peut prendre l’appel.
Elle frappe à la porte de la salle de réunion et passant la tête par l’entrebâillement de ladite porte :
NORA : Monsieur, vous avez un appel de votre fournisseur de Brindisi.
LE DIRECTEUR : Ah non, Nora, je vous avais pourtant bien dit qu’on évite de me passer les Pouilles pendant la réunion !
Saint-Gobain figure en bonne place parmi les entreprises qui n’hésitent pas à faire miroiter de belles possibilités de carrière et de promotions pour attirer les postulants, en même temps…
Parmi les grandes entreprises qui en ont nécessairement besoin, les grands groupes de publicité sont les seuls pouvant se dispenser d’y avoir recours.
Histoires de préfets :
Le préfet Eugène Poubelle a inventé en 1884 le réceptacle à ordures en donnant son nom à l’objet. On me demande parfois ce qu’a inventé quant à lui le préfet Louis Lépine : contrairement à ce que certains esprits mal intentionnés pourraient avancer, il est l’inventeur d’un concours d’inventions… il fallait le trouver !
Le télétravail est une sacrée trouvaille dans l’organisation du travail devant laquelle on n’a pas fini de s’émerveiller : ainsi aujourd’hui les banques peuvent parfaitement faire une offre de prêt de loin.
Au numéro 64/66 du boulevard de la mission Marchand à Courbevoie (Hauts-de-Seine) se trouve l’Église de Jésus-Christ Source d’Eau Vive (EJCSEV), centre de formation évangélique. Pour celles et ceux pour lesquels cette eau n’aurait pas agi, on trouve au numéro 60 du même boulevard un show-room de l’entreprise Grohe spécialiste mondial de la robinetterie et de la salle de bain.
Dans le dix-septième arrondissement parisien, on trouve de nombreux immeubles haussmanniens disposant de magnifiques portes d’entrée sculptées sur deux étages, le second niveau comportant une fenêtre pour la loge du concierge de l’immeuble. Il est d’ailleurs courant au sein de cette profession de dire « ces portes sont quasiment des objets d’art dont on ne peut faire que l’éloge ».
Dans la partie haussmannienne du dix-septième arrondissement parisien, il existe une petite rue nommée Edouard Detaille, ce qui constitue une bonne nouvelle : on vient enfin de retrouver le frère de Pierre.
La recherche d’un site idéal dans le sud-ouest afin d’y faire construire m’a fait souvent aller de gauche et de droite, mais doit-on s’en étonner quand on court après un lopin de Garonne ?
Depuis sa création en 1957 par le traité de Rome, la Commission européenne de Bruxelles n’a cessé de prendre l’importance et de l’influence sur la politique de l’U.E. Sans véritable contrepoids, la question de son contrôle démocratique est toujours d’actualité. Certains ont franchi gaillardement le pas (et c’est préjudiciable pour eux) et prétendent qu’avec la grosse commission de Bruxelles on peut facilement avoir un pied dans la m…
Une devise chez Cassegrain : « Mieux vaut faire le fayot dans son entreprise qu’être flageolet en place publique ».
Lorsque je me suis rendu la première fois chez « Surcouf » cette grande surface de l’informatique j’ai vite compris pourquoi elle se nommait ainsi : ses vendeurs n’hésitent pas un seul instant à partir à l’abordage des clients.
Ce qu’on peut apprécier dans la rue Cambon située dans le premier arrondissement parisien en dehors du fait qu’elle est située dans un quartier agréable de la capitale est qu’on est n’est jamais tenu de s’y rendre, mais seulement quand bon nous semble.
Je pose la question : comment diable trouver un moyen d’échapper aux embarras de circulation dans les grandes villes à qui personne n’échappe ? Ainsi même si on est boucher de profession ce n’est pas toujours suffisant pour s’y faufiler.
Paradoxalement c’est la rue Darwin située dans le dix-huitième arrondissement de Paris qui au fil du temps a connu le moins d’évolutions dans ce quartier.
Un directeur d’une ancienne chaîne d’hyper-marchés aujourd’hui disparue avait déclaré lors de la liquidation judiciaire de celle-ci « Afin d’assurer la défense de Mammouth (tiens !) J’ai été vite convaincu qu’il fallait faire appel à un mastodonte du barreau ».
On voit aujourd’hui le résultat.
Je ne suis pas certain qu’on s’en rende toujours compte, mais dans le huitième arrondissement parisien si la rue des Mathurins n’existait pas on ne pourrait se rendre directement du boulevard Malesherbes à la rue Tronchet !