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La passion...comme un sourire à la Vie... Des poésies en pluie d'étoiles scintillant à chaque page... dans un recueil à effeuiller ...passionnément !...
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Seitenzahl: 27
Veröffentlichungsjahr: 2017
… Et même si tu n’avais été qu’une illusion,
Je m’en serais voulu
De n’y avoir jamais cru…
La passion… c’est l’âme sans raison
Qui fait vivre en silence l’adoration,
Qui fait souffrir et se laisser mourir en sourire…
La passion… c’est aimer plus fort que le désir…
J’écris ce que tu ne dis pas
De la vibration du cœur
A la partition de fleurs.
J’écris ce que ton rire en éclats
Eclabousse de bonheur…
C’est le langage de la douceur…
Scrivo quello che non dici
Della vibrazione del cuore
Alla partizione di fiori.
Scrivo quello che tu risata
Spruzzi di felicità
E il linguaggio di dolcezza…
LA PATIENCE
SUR UNE PAGE ABANDONNEE
JE NE RETIENS PAS….
ABSENCE
…POUR QUE TU N’AIES PAS MAL…
… COSI NON HAI MALE…
ENCORE UN PEU…
J’EXPLOSE !
JE REVIENS
RENDEZ-VOUS…
LA LECON DU BONHEUR
JE VEUX DIRE A LA LUNE
BAL MASQUE
BESOIN DE TOI
DESSINE-MOI…
… LA RAISON POUR…
DANS TES MAINS
OMBRE…
AUX ARMES !
PENSEE
A LA FORCE
JE NE TE PROMETS PAS…
J’AI PROMIS
LA VIE
QUELQUES…
LACET
SEMPRE… PER SEMPRE…
L’ETRANGERE
TU AS POSE…
L’INTELLIGENCE…
CHUTE… DE REINS…
FUIR…
LES MOTS DU SILENCE
CHUCHOTEMENTS
LA GENTILLESSE
SILENCE
MURMURE…
PETITE GUERRIERE
NUIT…
TATTOO
SOUFFFFFLE
PAS FINI
ATOUTS…
INTACT
NUE
APPRENDRE A ETRE FORT…
Imagine suspendre
Le temps pour me surprendre…
Le vent d’une bise tendre
Chante l’été en décembre
Et j’aime tant entendre
Ce que tu veux m’apprendre…
La pluie coule en méandres,
Elle ne fait que descendre
Mais la nature la cambre
Pourquoi faire un esclandre ?
Le temps ne peut reprendre
La sagesse d’attendre
Et ton geste si tendre…
La patience, c’est se surprendre…
… Puisqu’on ne peut oublier,
… alors vivons avec cette absence,
remplissons-nous de ce vide,
parlons à cet immense espace,
… et puis sourions,
parce que nous nous rappelons des moments heureux…
… et là
… nous ne sommes plus jamais seul…
Oublie-la… si tu peux
Et détourne les yeux,
Pose-les où tu peux
En ignorant son vœu,
Mais n’oublie pas qu’à ses yeux
Tu es son ciel tout bleu…
Son rêve est douloureux
Mais il est silencieux…
Ne ferme pas les bras
Elle a besoin de toi,
Ne ferme pas ton cœur
Tu la connais par cœur,
N’oublie pas… reste là…
N’oublie pas qu’elle n’oublie pas
Elle est là…
Pleure,
Pleure, doux violon
Aux sanglots si rêveurs…
Pleure, vent vagabond
Aux hurlements de douleur…
Pleure, douce symphonie
De l’oiseau dans le soir…
Pleure, tendre chrysalide,
Demain est un espoir…
Mais toi, non, ne pleure pas
L’amour ne meurt pas…
Ne pleure pas…
Elle s’était assise là
Comme si le temps n’existait pas
Comme si le monde s’arrêtait
Le silence l’engloutissait…
Ses mains tremblaient et se serraient
Sur l’anneau de bois lissé
Et sur la photo si usée
Ses doigts encore le cherchaient…
De lourds sanglots la secouaient,
Les larmes roulaient et coulaient…
Cet amour ne pouvait mourir…
Pourquoi a-t-il fallu partir ?