Fisting à Trois E-Book

Eva Rossi

• Herausgeber: tredition
• Kategorie: Erotik
• Sprache: Französisch

Seitenzahl: 101

Veröffentlichungsjahr: 2025

Beschreibung

Avec une plume audacieuse et sensuelle, Eva Rossi explore les frontières du désir, là où la volupté se mêle à l’interdit. Ses récits contemporains, ancrés dans une France intime et secrète, révèlent des histoires d’hommes et de femmes qui osent céder à leurs fantasmes les plus troublants. Au cœur du recueil, Fisting à Trois raconte la rencontre inattendue d’une femme avec deux amies aussi mystérieuses que brûlantes de sensualité. Ce qui commence par une simple invitation autour d’un café se transforme en une initiation vertigineuse aux plaisirs les plus extrêmes. « Leurs regards complices, leurs gestes effleurés… je savais déjà que l’après-midi ne serait pas ordinaire. Quand leurs lèvres se sont jointes, j’ai senti le sol se dérober sous mes certitudes. » Entre confidences chuchotées et caresses qui bousculent les limites, Eva Rossi signe un voyage érotique où la passion devient démesure, et où chaque transgression ouvre la porte à un plaisir plus profond. Un livre qui ne se lit pas seulement : il se dévore, il se savoure, et il hante longtemps la mémoire.

Leseprobe

Fisting à Trois

Histoires Erotiques de Sexe Explicite Hard pour Adultes - Contes Interdites et Taboues

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Eva Rossi

Sommaire

Sommaire

Imprint

Introduction

Avant de commencer...

Moi, Lydie

Nuit à Lyon.

Fisting à trois

Geneviève et la fistulation

Brigitte

Nadège et Pierrot

Ma fascinante inconnue.

Mon amour secret ou ma meilleure amie

Hélène, la gendarme

Mylena au salon de l'érotisme

Réveil

La pension

À mon époque

Eglantine

Pute pour l'autre.

Avant de partir...

Imprint

© 2025 Eva Rossi

Photo de couverture : Canva

Impression et distribution pour le compte de l'auteur :

tredition GmbH, Heinz-Beusen-Stieg 5, 22926 Ahrensburg, Allemagne

L'ouvrage, y compris ses parties, est protégé par le droit d'auteur. L'auteur est responsable de son contenu. Toute utilisation est interdite sans son accord. La publication et la diffusion sont effectuées sur ordre de l'auteur, à contacter à l'adresse suivante : Eva Rossi, Friedrichstraße 155, 10117 Berlin, Allemagne.

Adresse de contact selon le règlement européen sur la sécurité des produits : [email protected]

Introduction

Voulez-vous exciter et donner tout le plaisir que vous méritez?

Envie d'un vrai moment de détente intime et de bienêtre?

Continuez à lire!

Avec ce livre vous aurez l'occasion d’avoir tout ce que vous avez toujours voulu mais que personne ne vous a jamais donné: beaucoup, vraiment beaucoup d'histoires explicites en français, comme vous l'avez toujours voulu!

Vous avez devant vous une collection d'histoires explicites dédiées au bon sexe qu'il est possible d'avoir entre des hommes et des femmes qui aiment se faire plaisir.

Beaucoup des contes passionnantes à vivre seul ou en compagnie.

Vous trouverez de nombreux dialogues entre les protagonistes des histoires, afin que vous puissiez aussi vous imaginer au centre de la scène, comme si vous étiez vous-même un personnage de l'histoire.

Qu'est-ce que tu attends alors? Laissez-vous aller à la passion, à la provocation, aux fantasmes interdits que vous avez toujours eus, laissez tomber vos inhibitions et commencez à voyager avec des émotions.

Pas de censure, 100% plaisir.

Détendez-vous, installez-vous confortablement et embarquez pour un beau voyage plaisir.

À votre orgasme!

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Le livre contient un contenu sexuel explicite et ne convient pas aux personnes de moins de 18 ans. Les histoires sont de pure fantaisie: les personnages sont tous d'âge et, comme le contenu, ils sont fictifs.

Avant de commencer...

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Un bisou et une bonne lecture, Eva!

Moi, Lydie

Je n'aurais jamais pensé vivre un jour comme ça. Ce matin, mon amour est parti travailler vers 8 heures, après m'avoir fait l'amour comme tous les matins, un peu de langue et sa bite dans ma chatte, avec deux de mes doigts dans son anus : il aime ça. Je prends mon petit-déjeuner, je range un peu et je vais faire les courses dans le quartier. Le commerçant, le boulanger, le boucher : toujours des gens avec qui discuter. En revanche, au kiosque, j'ai fait une découverte. Je savais que le magasin allait changer de propriétaire, mais je ne m'attendais pas à ça. La caissière est une vieille connaissance du lycée, Lydie, avec qui j'avais de très bonnes relations, car nous nous amusions souvent à nous donner du plaisir mutuellement. J'étais sur le point de l'embrasser quand elle s'est également approchée de moi. Notre baiser sur la joue s'est transformé en un vrai baiser. Heureusement, il n'y avait personne.

— Tu te souviens comment c'était avant ?

— Oui, c'était sympa.

— Tu as une petite amie ?

— Non, et toi ?

— Non, je suis mariée, il me baise bien, je crois que je suis heureuse.

— Comme moi.

— Parfois, je pense à nous deux.

— Passe cet après-midi, vers trois heures.

J'aurais dû ignorer cette invitation. Mais j'ai envie de retourner chez elle, c'était tellement agréable. De plus, je ne trahirais jamais mon mari avec une collègue : elle n'a pas de bite. Alors, je vais chez elle, oui, mais si je retourne avec elle, je le trahis...

Je réfléchis trop. Je suis mon instinct de femme sensuelle, je vais lui donner du plaisir et elle me le rendra.

Je suis très émue quand Lydie arrive. Elle me présente son mari, qui tient la boutique, puis nous montons à l'appartement, où règne encore un peu de désordre dû au déménagement. Le salon, en revanche, est parfait. Nous ouvrons la boîte à souvenirs. Ils sont différents, bien sûr. Je me souviens de sa langue, elle se souvient de mes doigts. Mais nous nous souvenons encore de nos langues. Elle m'embrasse à nouveau sur la bouche. Je la laisse faire, surtout quand sa bouche est sur mon cou. Elle se souvient encore de mes points sensibles. Je ne peux que lever la tête pour qu'elle m'embrasse bien. Ma main droite glisse sur son dos à la recherche de l'agrafe de son soutien-gorge. Je parviens à libérer ses seins comme avant. Je passe maintenant mes mains sous son chemisier en dentelle, je peux voir ses seins à travers le tissu. Je soulève son chemisier pour prendre ses tétons dans ma bouche. Comme avant, Lydie se laisse faire et approche ses seins de ma bouche. Pendant que je m'occupe de ses seins, elle passe une main sur mes hanches, cherchant le passage pour atteindre ma chatte. Je me soulève un peu pour lui faciliter la tâche. Elle trouve rapidement ma chatte. Je ne portais pas de sous-vêtements. Elle atteint rapidement mon clitoris. J'écarte bien les jambes pour profiter de ses caresses : elle continue à me masturber comme d'habitude.

Je lui demande de se lever pour nous déshabiller : je n'ai même pas peur de son mari. Nous nous embrassons rapidement, poitrine contre poitrine, bas-ventre contre bas-ventre. Nos mains sont occupées à nous masturber mutuellement. , je jouis le premier. Ce n'est pas suffisant : elle jouit aussi, nous changeons légèrement de position. Nous descendons plus bas, comme avant, nous cherchons l'anus. De là, naturellement, nos doigts pénètrent rapidement dans nos culs. C'est mieux que dans mes souvenirs. Nous ne tenons pas beaucoup plus longtemps : j'ai l'impression qu'elle me caresse le cul mieux que mon mari.

Nous sommes sur le tapis, en position 69. Nous retrouvons les odeurs et le goût de nos chattes. Nous jouissons une fois de plus, maintenant avec deux doigts dans le cul de l'autre. À l'époque, nous ne connaissions pas ce genre de caresses. Le mariage nous a habituées à la sodomie. Nous faisons jouir l'autre.

Maintenant, il veut que seuls nos clitoris nous fassent jouir. Je sais que c'est possible, même si je ne l'ai jamais essayé. Nous nous plaçons les jambes écartées l'une contre l'autre, nos entrejambes bien joints. Nous n'arrivons pas à faire ce que nous voulons. Son pénis est sur l'une de mes fesses, comme le mien. Patience, nous allons quand même prendre du plaisir. Nous pouvons nous caresser les tétons avec deux doigts. Le plaisir est un peu plus intense que d'habitude.

J'ai une idée en tête depuis que j'ai vu sur un site web spécial deux filles nues qui s'aimaient d'une manière différente. Je sens Lydie sur le canapé, je lui fais écarter les jambes, sans la prévenir, je lui mets un doigt, puis deux, trois et enfin toute la main. Je fiste une fille pour la première fois. Je pousse toute ma main jusqu'à la moitié de l'avant-bras.

Elle proteste un peu, puis gémit de plus en plus fort jusqu'à atteindre l'orgasme. Un orgasme si fort qu'il la laisse dévastée. Je veux répéter l'expérience dans son cul. Je lui dis, elle refuse d'abord, mais accepte ensuite quand je lui embrasse les seins. À ce moment-là, je procède plus lentement, crachant souvent sur mes doigts et ma main. Je la baise dans le cul comme elle n'a jamais été b . Je pousse mon raisonnement jusqu'au bout : elle a aimé dans la chatte, maintenant elle aime dans le cul : je mets mes deux mains, une devant et une derrière. Quand je commence à la pénétrer dans le vagin, elle ne proteste pas, mais elle commence à manifester son désaccord quand je suis presque complètement en elle. Finalement, elle commence à gémir de plus en plus fort : « Oui, oui, baise-moi comme ça, encore, encore, je jouis, ne pars pas, recommence ». Je n'aurais jamais pensé pouvoir donner autant de plaisir.

Je le veux aussi. Lydie accepte de me fister, mais demain, chez moi. Elle m'embrasse comme jamais auparavant, me touche la chatte, ce qu'elle n'avait jamais fait auparavant. J'ai hâte d'être demain pour qu'elle me fiste.

Nuit à Lyon.

J'ai rencontré ma maîtresse sur Internet : elle vient de l'Est et moi du Midi. Nous nous sommes aimés longtemps par messages. Nous ne nous masturbions pas en même temps, mais juste après avoir envoyé le message. Nous nous connaissions bien à travers des photos, nos visages, nos corps nus, nos organes génitaux exposés avec ou sans godes. Nous connaissions chaque centimètre de notre corps. Ce que j'aimais chez elle, c'était la fossette de sa fesse droite. Je crois qu'elle aimait mes seins, dont je suis fière. Lassés des mots écrits et des images déjà vues, nous nous sommes finalement rencontrés dans un hôtel à Lyon.

Elle avait elle-même choisi la chambre dans cet hôtel 4 étoiles. Belle vue sur la ville, chambre particulièrement agréable avec une immense salle de bain, l'ensemble pouvait accueillir une famille. Jackie est encore plus sexy au naturel. Nous nous sommes embrassés immédiatement. Notre étreinte semblait interminable. Les lèvres de Jackie étaient plus douces que celles des filles que j'avais connues. En revanche, elle est plus petite que moi, à peine 5 centimètres. Rien de grave.

J'avais commandé le dîner sans attendre, pour gagner du temps. À Lyon, tout ce que l'on commande est toujours excellent, même le vin. Nous sommes encore enlacées, les mains sur la poitrine de l'autre, lorsque le service d'étage frappe à la porte. Nous nous tenons la main pendant que le serveur fait son travail. Il nous regarde en souriant ; il sait ce que nous sommes sur le point de faire. S'aimer, c'est normal, après tout, nous ne sommes pas un couple mixte : nous ne jouons pas au tennis. Les sets suivants se jouent pour le plaisir, simplement pour le plaisir.

Nous jouons à cuisiner : nous nous nourrissons mutuellement. Nos fauteuils sont collés l'un à l'autre. Vers la fin, au moment du dessert, nous nous déshabillons lentement. C'est excitant de voir le corps de l'autre en réalité. Nous laissons le dessert pour plus s nous occupons de notre plaisir. Ce n'est qu'à ce moment-là que nous nous touchons pour la première fois. Sa peau est douce, plus que je ne le pensais. Elle a un parfum boisé, forestier et épicé. Ma bouche se précipite pour l'embrasser dans le cou. Elle penche la tête sur le côté pour profiter de ma bouche. En échange, elle pose ses mains sur ma poitrine. Elle est délicate et me fait durcir les tétons. Je veux plus de caresses. Je la veux dans ma chatte. Elle descend ses mains jusqu'à ma taille, qu'elle serre légèrement. J'ai absolument besoin de sa main sur ma féminité. Je quitte ses épaules pour caresser ses seins et descendre rapidement vers sa chatte. Nos mains se croisent en chemin. Nous devons ouvrir nos jambes ensemble pour que nos doigts puissent se caresser. Nos chattes sont mouillées de cyprine ; nos doigts ne tardent pas à trouver les points sensibles. Nous les trouvons rapidement, d'autant plus que son clitoris est un peu plus gros que le mien. Nous nous masturbons ensemble, nos mouvements sont synchronisés. C'est l'amour que nous ressentons l'une pour l'autre ou le hasard, je ne sais pas, mais en tout cas, nous tombons ensemble sur le lit. Notre orgasme trop fort nous a fait tomber...