Infirmière - Eva Rossi - E-Book

Infirmière E-Book

Eva Rossi

0,0
6,99 €

-100%
Sammeln Sie Punkte in unserem Gutscheinprogramm und kaufen Sie E-Books und Hörbücher mit bis zu 100% Rabatt.
Mehr erfahren.
Beschreibung

Voulez-vous exciter et donner tout le plaisir que vous méritez? Envie d'un vrai moment de détente intime et de bienêtre? Continuez à lire! Avec ce livre vous aurez l'occasion d’avoir tout ce que vous avez toujours voulu mais que personne ne vous a jamais donné: beaucoup, vraiment beaucoup d'histoires explicites en français, comme vous l'avez toujours voulu! Vous avez devant vous une collection d'histoires explicites dédiées au bon sexe qu'il est possible d'avoir entre des hommes et des femmes qui aiment se faire plaisir. Beaucoup des contes passionnantes à vivre seul ou en compagnie. Vous trouverez de nombreux dialogues entre les protagonistes des histoires, afin que vous puissiez aussi vous imaginer au centre de la scène, comme si vous étiez vous-même un personnage de l'histoire. Qu'est-ce que tu attends alors? Laissez-vous aller à la passion, à la provocation, aux fantasmes interdits que vous avez toujours eus, laissez tomber vos inhibitions et commencez à voyager avec des émotions. Pas de censure, 100 pour 100 de plaisir. Détendez-vous, installez-vous confortablement et embarquez pour un beau voyage plaisir. À votre orgasme!

Das E-Book können Sie in Legimi-Apps oder einer beliebigen App lesen, die das folgende Format unterstützen:

EPUB
MOBI

Seitenzahl: 89

Veröffentlichungsjahr: 2025

Bewertungen
0,0
0
0
0
0
0
Mehr Informationen
Mehr Informationen
Legimi prüft nicht, ob Rezensionen von Nutzern stammen, die den betreffenden Titel tatsächlich gekauft oder gelesen/gehört haben. Wir entfernen aber gefälschte Rezensionen.



Infirmière

Histoires Érotiques Interdites de Sexe Tabou pour Adultes

______________________

Eva Rossi

Sommaire

Sommaire

Imprint

Introduction

Avant de commencer...

Sophie ou la belle laitière

Aude pour un week-end à la mer

Coralie perverse

La chute de Superman

Infirmière

Avant de partir...

Imprint

© 2025 Eva Rossi

Photo de couverture : Canva

Impression et distribution pour le compte de l'auteur :

tredition GmbH, Heinz-Beusen-Stieg 5, 22926 Ahrensburg, Allemagne

L'ouvrage, y compris ses parties, est protégé par le droit d'auteur. L'auteur est responsable de son contenu. Toute utilisation est interdite sans son accord. La publication et la diffusion sont effectuées sur ordre de l'auteur, à contacter à l'adresse suivante : Eva Rossi, Friedrichstraße 155, 10117 Berlin, Allemagne.

Adresse de contact selon le règlement européen sur la sécurité des produits : [email protected]

Introduction

Voulez-vous exciter et donner tout le plaisir que vous méritez?

Envie d'un vrai moment de détente intime et de bienêtre?

Continuez à lire!

Avec ce livre vous aurez l'occasion d’avoir tout ce que vous avez toujours voulu mais que personne ne vous a jamais donné: beaucoup, vraiment beaucoup d'histoires explicites en français, comme vous l'avez toujours voulu!

Vous avez devant vous une collection d'histoires explicites dédiées au bon sexe qu'il est possible d'avoir entre des hommes et des femmes qui aiment se faire plaisir.

Beaucoup des contes passionnantes à vivre seul ou en compagnie.

Vous trouverez de nombreux dialogues entre les protagonistes des histoires, afin que vous puissiez aussi vous imaginer au centre de la scène, comme si vous étiez vous-même un personnage de l'histoire.

Qu'est-ce que tu attends alors? Laissez-vous aller à la passion, à la provocation, aux fantasmes interdits que vous avez toujours eus, laissez tomber vos inhibitions et commencez à voyager avec des émotions.

Pas de censure, 100% plaisir.

Détendez-vous, installez-vous confortablement et embarquez pour un beau voyage plaisir.

À votre orgasme!

Qu'est-ce que tu attends? ACHETEZ LE LIVRE MAINTENANT!!!

Le livre contient un contenu sexuel explicite et ne convient pas aux personnes de moins de 18 ans. Les histoires sont de pure fantaisie: les personnages sont tous d'âge et, comme le contenu, ils sont fictifs.

Avant de commencer...

Voulez-vous recevoir gratuitement 5 histoires érotiques rien que pour vous, et rester en contact avec moi?

Inscrivez-vous à ma newsletter, afin d'être toujours informé de mes nouvelles collections érotiques et de télécharger mon cadeau!

Voici le lien: Histoires Gratuites

Voici le code QR :

Un bisou et une bonne lecture, Eva!

Sophie ou la belle laitière

- C'est frais, c'est frais, c'est frais...

- Allez, monsieur, deux pour cinq francs, deux...

- Oh, comme c'est joli, comme c'est joli...

- Tenez, madame, c'est beau comme vos joues, ma scarole.

- Qui veut de ma belle morue ? Regardez-moi ces yeux... on dirait qu'ils viennent d'être attrapés....

- Voilà de la bonne viande rouge pour ranimer votre fiancé, ma belle.

- Regardez, monsieur, mon beau camembert, fait à la perfection... doux et tendre...

- Pas aussi doux et tendre que vous, Mlle Sophie », dit le nain en entrant dans la laiterie, errant sur le marché en vendant des citrons trois par trois et en lorgnant l'opulent corsage semi-transparent de celle que, de l'église Saint-Germain à la place du Pin, on appelait la belle laitière.

Sophie était sans doute la reine de la rue, avec son teint crémeux, ses cheveux blonds mousseux, ses lèvres pleines et soigneusement maquillées, toujours entrouvertes sur des dents d'enfant, ou dévoilant, quand elle riait, une langue large, humide et rose, ses yeux très noirs soulignés d'un épais trait de khôl, un petit nez aux narines dilatées, un cou court et rond qui invitait à la morsure, des bras gras aux coudes ornés de fossettes, animés par des mains potelées aux ongles aussi rouges que ses lèvres, des seins énormes prêts à éclater à la lumière du jour, entre lesquels on pouvait passer un doigt, et qui semblaient vouloir faire sauter les boutons de l'impeccable robe blanche qui contenait à peine un cul rond, lui conféraient une beauté fraîche et généreuse. L'ensemble était soutenu par deux jambes un peu lourdes, mais fermes et droites, avec des sabots noirs qui tapaient joyeusement et qu'elle portait, en hiver, avec des pantoufles en peau de mouton.

Par sa seule présence dans la boutique, les camemberts les plus tristes semblaient sortir tout droit des fermes de Normandie, les œufs semblaient encore chauds du nid de la poule, les fromages de chèvre sentaient le chevreau, tandis que le lait donnait l'impression qu'il suffisait d'ouvrir la porte arrière pour se retrouver dans une étable modèle où les meilleures vaches laitières attendaient cette main délicate aux ongles rouges qui les libèrerait de leur lait. Les ménagères jugeaient la qualité de leurs produits à leur aspect accueillant. Et elles n'avaient pas tort, car Sophie avait à cœur de maintenir la tradition de qualité qui avait fait la renommée de la laiterie à l'époque de ses grands-parents, puis de ses parents.

Le dimanche matin, les maris du quartier ne se sont jamais fait prier pour aller chercher le beurre ou le fromage que leur femme avait oublié. Ils essaient de faire des compliments lourds et maladroits, mais Sophie a la même devise que son beau-frère policier : « Jamais en service ».

Elle repousse le nain Jeannot d'un coup de chiffon.

« Baisse tes jambes, tu me gênes ».

Se redressant en riant, le nain sort de la boutique en faisant un geste obscène vers Sophie qui, éclatant de rire, soulève sa jupe pour montrer son beau postérieur. Les fesses tournées vers la fenêtre, elle baisse également sa culotte et, se penchant en avant pour ramasser un bibelot tombé par terre, montre à l'homme ses lèvres roses et la touffe qui les entoure. Alors que Jeannot est encore stupéfait, elle introduit son index dans la cavité convoitée et, après quelques mouvements de va-et-vient, reprend une position décente.

« Bonjour, ma chérie », dit-elle en suçant le doigt qui contient le liquide intime.

La mère de Sophie, qui se trouvait derrière le comptoir, voulut elle aussi jouer un tour au nain et déboutonna le haut de son chemisier, dévoilant une splendide poitrine, aussi généreuse que celle de sa fille.

Et que je ne te revoie plus jamais par ici, coquin !

Oh, quelle belle chatte. Oh, quelle belle lune. Oh, quels beaux seins ! » s'écrie Jeannot à pleins poumons en s'enfuyant dans la rue voisine.

« Ah, on ne s'ennuie pas ici ! » dit un grand et bel homme habillé en boucher en montant les trois marches qui séparent la boutique de la rue.

« Eh non... Bonjour, Monsieur Paulo... C'est encore cette canaille de Jeannot.

Je suis sûre, Mademoiselle Sophie, qu'il a donné son avis. »

Elle flirte, prenant l'air d'une petite fille surprise en train de jouer au docteur avec un garçon de son âge.

« Ne faites pas cette tête, vous méritez une fessée comme un vilain enfant.

« Allons, M. Paul, vous n'oseriez pas. »

« Attendez une minute, vous allez voir. »

Il se met à la poursuivre dans le magasin. Heureusement, à cette heure de la matinée, il y a encore peu de monde. Elle ne réussit à échapper à Paul qu'en se réfugiant derrière la caisse, protégée par le corps massif de sa mère, dont l'impressionnante poitrine, toujours en l'air, s'est agitée lorsqu'elle a éclaté de rire à son tour.

- Allons, les enfants, vous n'avez pas honte ? Monsieur Paulo, à votre âge, ce n'est plus quelque chose que l'on fait. Que va dire votre femme ? Arrête, Sophie, tu me chatouilles... Ce n'est pas le moment... Et la voilà qui m'enlève mon string.

Dans la chaleur de cette tente de fortune, Sophie vient de descendre le string en nylon de sa mère jusqu'à ses chevilles. Tandis qu'elle laisse sa langue habile parcourir le fruit défendu de sa mère, Paul, de son côté, lui tripote fermement le sein gauche. La pauvre dame ne résista pas longtemps à ce traitement et poussa un cri de plaisir qui réveilla tous ceux qui dormaient dans la rue.

Rouge et essoufflée, Sophie quitta son refuge, satisfaite de son travail, après avoir fait promettre au beau Paul de ne pas faire de bruit. De son côté, la guelleuse attache les deux bretelles qui maintiennent le haut de son chemisier.

« D'accord, mais en contrepartie viens boire un verre avec moi.... Tout cela m'a donné soif. »

Sophie regarde autour d'elle, constate qu'il n'y a pas d'autres clients et se tourne vers sa mère.

« Je vais prendre un café, je n'en ai pas pour longtemps. Allez-y, Monsieur Paul, je vous rejoins tout de suite. »

Elle se rend au fond de la boutique, sous le regard faussement indifférent des employés, en réalité excités. Elle se coiffe en se regardant dans le miroir fissuré au-dessus du lavabo, sort son rouge à lèvres de la poche de sa blouse et l'applique sur ses lèvres avec la précision de l'habitude, enlève sa culotte, mouillée de plaisir, qu'elle cache derrière le cadre des portraits de ses grands-parents en tenue de soirée, redresse ses seins lourds et sort dans la boutique qui n'a rien. Ainsi vêtue, la moitié de ses seins dépasse de la robe et ses tétons sombres sont bien visibles.

- Immédiatement.

Elle franchit le seuil de la laiterie avec ses hanches, où son chemisier blanc se soulève, révélant le début de ses fesses.

La douceur de l'air de ce matin de printemps la remplit de bien-être. Les fleurs du fleuriste étaient encore plus colorées et gaies que les autres jours, et un doux parfum de clou de girofle et de vanille émanait de la petite boutique du vendeur d'épices. En passant devant la poissonnerie, il retrouve l'odeur des algues, de la mer et de la vase qui émane du petit port breton où il passait toutes ses vacances depuis l'enfance, lorsque la mer se retirait. De l'épicerie émanent des senteurs mêlées de détergent, d'eau de javel et de savon parfumé. Cette odeur insipide, froide et un peu étouffante, c'était celle de la belle boucherie de Paulo. Au comptoir se tenait la femme du boucher, une femme corpulente à la coiffure noire compliquée, à la peau blanche et terne rendue encore plus blanche par la couperose de ses joues, au rouge à lèvres grenat et au fard à paupières d'un bleu agressif qui ne parvenait cependant pas à effacer le bleu presque mauve de ses pupilles, engagée dans une conversation avec son amant, le boulanger. Sophie, sans s'arrêter, la salua d'un geste de la main.

« Bonjour, Mlle Léa.

« Bonjour, Mlle Sophie. Vous êtes dans le coin ? »

Sophie fait semblant de ne pas entendre et entre dans la charbonnerie, où Paul l'attend devant son premier « Petit bordeaux » de la journée.

Le maître, un auvergnat avec un bonnet sur la tête, son éternelle queue rentrée entre les lèvres, le corps enveloppé dans un grand tablier bleu, s'approche de Sophie, un torchon à la main.

- Et pour toi, ma petite, un café comme d'habitude ?

- Non, Père Henri, aujourd'hui j'ai envie de changement. J'aimerais un verre de vin blanc, pas trop sec.