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Une collection de récits où le désir se fait confidence, où les corps parlent un langage affranchi, où l’érotisme épouse la grâce d’une plume féminine. Eva Rossi nous livre des fragments d’intimité, des instants volés au quotidien, où la sensualité s’infiltre dans les interstices de la vie moderne. Ses héroïnes sont libres, audacieuses, habitées par des élans qu’elles ne cherchent plus à contenir. Dans le récit-titre, Je suis une Salope!, une femme s’abandonne à un aveu troublant, sur les draps encore froissés d’un après-midi d’amour. Ce n’est ni une provocation, ni un jugement – c’est une déclaration de liberté. « Déshabille-toi… Reste nue, ma chérie… » Elle obéit, à demi-sourire, la voix de son mari dans l’oreille, le cœur battant. Et quand la sonnette retentit, elle descend ouvrir, nue sous sa jupe de tennis. Trois ouvriers l’attendent, sans se douter qu’ils entrent dans un théâtre déjà en feu… Sous la surface de chaque scène, l’émotion affleure. La chaleur des souvenirs, le frisson de l’interdit, la puissance d’un regard ou d’un silence, transforment ces récits en de véritables fragments de volupté littéraire. Un livre pour celles et ceux qui aiment se perdre dans le clair-obscur du plaisir. Un livre pour ceux qui savent que le désir ne demande jamais pardon. Et vous, que diriez-vous… si vous découvriez un jour que vous l’êtes aussi ?
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Veröffentlichungsjahr: 2025
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Je suis une Salope !
Nouvelles Erotiques pour Adultes – Histoires de Sexe Explicites et Taboues (Interdites & Hard)
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Eva Rossi
Sommaire
Sommaire
Imprint
Introduction
Avant de commencer...
L'AUBERGE DES TROIS BOUFFONS
4 CONQUÉRANTS POUR UNE CHATTE
JE SUIS UNE SALOPE !
VAMPIRES
VACANCES AUX BALEARES
UN PETIT ENGAGEMENT
UNE MASTURBATION INOUBLIABLE
Avant de partir...
Imprint
© 2025 Eva Rossi
Photo de couverture : Canva
Impression et distribution pour le compte de l'auteur :
tredition GmbH, Heinz-Beusen-Stieg 5, 22926 Ahrensburg, Allemagne
L'ouvrage, y compris ses parties, est protégé par le droit d'auteur. L'auteur est responsable de son contenu. Toute utilisation est interdite sans son accord. La publication et la diffusion sont effectuées sur ordre de l'auteur, à contacter à l'adresse suivante : Eva Rossi, Friedrichstraße 155, 10117 Berlin, Allemagne.
Adresse de contact selon le règlement européen sur la sécurité des produits : [email protected]
Introduction
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Beaucoup des contes passionnantes à vivre seul ou en compagnie.
Vous trouverez de nombreux dialogues entre les protagonistes des histoires, afin que vous puissiez aussi vous imaginer au centre de la scène, comme si vous étiez vous-même un personnage de l'histoire.
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Le livre contient un contenu sexuel explicite et ne convient pas aux personnes de moins de 18 ans. Les histoires sont de pure fantaisie: les personnages sont tous d'âge et, comme le contenu, ils sont fictifs.
Avant de commencer...
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Un bisou et une bonne lecture, Eva!
L'AUBERGE DES TROIS BOUFFONS
Elise chérie, j'ai besoin de toi ce soir...
Je sais, ma belle, que ce soir, tu pourrais avoir tous les hommes du monde à tes pieds et, surtout, entre tes jambes... Ça m'excite et me rend jaloux à la fois... Je n'aurais jamais dû te laisser aller à cette fête d'entreprise ce soir... J'ai dit oui sur le moment parce que je savais que tu en avais très envie et que je t'aime trop pour te refuser quoi que ce soit, mais maintenant, je le regrette.
Vingt fois cette nuit, j'ai eu envie d'aller « me cacher » près de l'Auberge des Trois Bouffons, où tu fais la fête avec tes collègues, hommes et femmes, juste pour savoir avec qui tu sortirais à une ou deux heures du matin, pour aller t'exhiber et ensuite baiser dans un coin d'un hangar ou sur le siège d'une voiture, comme cela s'est produit tant de fois pendant nos nuits de débauche...
Mais ce soir, ce ne sera pas moi l'instigateur, le « manager » de ces situations, et je suis un peu jaloux et aussi très malheureux. Sera-ce une femme, un homme ou plusieurs personnes qui seront vos cavaliers servants ou vos complices ce soir ?
Peut-être que cette fois-ci, ce sera une femme ? Cela me rappelle étrangement Durand, tu sais, lors du dernier Nouvel An, quand cette femme mûre, perverse et très expérimentée, que nous appelions « La Durand », t'a « aidé » dans ta débauche. Ou notre intervention à Amsterdam, il y a deux ans, où tu t'es surpassé, tu te souviens dans les caves de la «Taverne à bières », où la grande blonde sculpturale hollandaise te suivait partout pendant que tu te laissais prendre et baiser par tous les hommes, elle continuait à écarter les fesses pour te montrer aux autres, à te lécher le cul et à branler les bites des hommes qui jouissaient rapidement et abondamment, dont elle léchait ensuite avidement le sperme dans ta chatte...Je me souviens que la salope se masturbait énergiquement pendant qu'elle faisait ça et répétait - même si je ne comprenais pas exactement chaque mot ! - qu'elle adorait ton cul, tes fesses et ta chatte, ce qui ne me surprenait pas du tout !!...
Bref, je n'arrête pas d'y penser ce soir, et l'envie me serre un peu... Je sais que tu as des occasions, ma salope...
Il est 21h15, je sais que vous êtes à table et que, pendant les toasts, tes jambes, tes fesses, tes hanches, ton beau visage et tes seins ont déjà fait l'objet de désirs silencieux, mais évidents, de la part de tous les hommes et de nombreuses femmes... Cela me rappelle encore plus - définitivement, ce soir, j'ai le temps pour tous les souvenirs ! — de cette femme merveilleuse, une blonde magnifique qui t'avait tant plu lors de la conférence à Strasbourg en janvier 2008 et qui, pendant la soirée de fin d'année que tu avais bien arrosée, t'avait suivie jusqu'aux toilettes et t'avait proposé de t'aider à relever ta robe de soirée. Elle t'avait regardée et avait caressé furtivement tes hanches, tes seins et entre tes jambes... Ensuite, tu m'as raconté, toute excitée, qu'elle s'était retournée, avait enjambé les toilettes et s'était masturbée debout, la jupe bien relevée, en enfonçant sa main dans sa culotte et en frottant ses fesses contre toi qui te redressais. Tu m'as dit que tu avais joui abondamment, en tombant à califourchon sur les toilettes et en écartant ta culotte pour laisser couler ton liquide chaud et abondant...Ensuite, vous êtes passés à table et je sais que ta robe bleu foncé, qui te va si bien, avec sa fente latérale qui arrive à mi-cuisse, est déjà bien relevée sous la table. Sans aucun doute, Jean Marie, parce que je sais qu'il est là, et certainement assis en face de toi, avec Mireille à ta gauche et Thérèse à ta droite... Peu importe...
Jean-Marie, alors, a certainement déjà laissé tomber quelque chose pour mater tes jambes sous la table et même plus, s'il a pu... Mon Dieu, le pauvre, incapable de faire autre chose avec toi, il a tellement peur de toi qu'il ne sait que jeter des regards furtifs et jamais dans des situations risquées... Enfin, il s'est peut-être même organisé, le chanceux, pour jeter un coup d'œil à ta culotte. Laquelle portes-tu ce soir ? J'aimerais tellement le savoir pour mieux t'imaginer !...
C'est celle, grise et blanche, que je t'ai donnée pour notre nuit de mars ? Celle qui te va si bien et qui épouse parfaitement ton pubis et ton entrejambe ? C'est celle en dentelle blanche que tu portais l'autre soir quand tu te masturbais devant le voyeur dans le couloir de l'hôtel à La Baule ? Ou peut-être celle à pois rouges sur laquelle tu as pissé sans honte l'après-midi du 15 août à Royan, sous les pins... J'aurais dû rester avec toi pendant que tu t'habillais... Oui, j'aurais dû !...
Sans doute, je te connais, tu ne te prives pas d'écarter les jambes quand tu es assise comme ça... Pour être plus à l'aise, bien sûr, mais aussi pour ne rien perdre de ce qui pourrait « passer » sous la table !... Quoi qu'il en soit, j'imagine parfaitement la scène, pour l'avoir vue et vécue 10 fois, 30 fois. Mais j'en veux plus et je ne m'en lasse pas, crois-moi !
Tu vas reprendre la stratégie du Cap d'Agde - ou plutôt de Lattes - que tu as si bien utilisée cette nuit de juillet, quand tu nous as entraînés, moi et les trois hommes, à la plage pour une baignade de minuit ? Tu te souviens, il y avait là la belle et prétentieuse Agnès qui cherchait son mari Franck partout, pensant qu'il était au billard puis au cinéma ? Tu as entraîné Franck, Régis, Michel et moi jusqu'à la plage de Palavas-les-Flots, il était plus de minuit... Là, dans la lumière blanche et brillante de la pleine lune qui se reflétait sur la mer, tu as dansé pour nous et devant nous, silhouette sur la mer, éclairée par le contre-jour de la lune... C'était à la fois divin et surréaliste !... Tu dansais avec la grâce et la fraîcheur qui te caractérisent... balançant tes hanches, cambrant ton torse et tes cheveux, soulevant ta robe d'été fleurie, légère, dévoilant ta culotte brésilienne que je savais orange, mais qui nous semblait marron et dorée à la lumière de la lune... Je me souviens que, dans une pose lascive, tu as fait glisser doucement les bretelles de ta robe légère et laissé lentement tes seins sortir du corsage fin et transparent de ton été, comme s'il s'agissait de bijoux sortis d'un coffre-fort. Ils étaient magnifiques, ma chérie, tes seins dans la lumière diffuse qui les caressait tendrement... Ils semblaient veloutés et brillants, fermes et dressés sur la robe, avec ces tétons que nous aimons tant, que nous envions et caressons, arrogants et pointus... Nous avons eu la preuve que tu ne portais pas de soutien-gorge... Ce fut un moment merveilleux. J'étais sous le choc, transporté par l'effet de l'image qui nous subjuguait tous. Ému aux larmes de te voir si belle et fière de toi, et aussi d'être ton amant ! Bref, j'en suis encore ému.
Après, je me souviens, même si j'étais si heureux que cela a obscurci l'action pendant un moment... Je me souviens que tu es venue danser, toujours dos à la lumière, mais devant chacun de nous, individuellement, comme si c'était une sérénade que tu faisais pour chacun. Pour l'un, en te retournant, tu balançais ton beau derrière juste devant son visage... À un autre, en te retournant brusquement, tu montrais, en te penchant en avant, ton pubis et ton ventre plat... À un autre encore, tu t'éloignais de lui, les jambes légèrement pliées, et tu écartais le bord de ta culotte, montrant, même dans l'ombre, ta chatte que tu caressais de manière provocante, en balançant ton ventre et tes hanches...
Je crois que c'est pendant l'une de ces figures, alors que tu montrais ostensiblement ta fente, que Michel t'a touchée pour la première fois. Il a rapidement approché son visage entre tes fesses et a enfoncé sa langue dans ton anus. Je me souviens que tu as interrompu la danse et tremblé sous l'effet de la brûlure et de cette caresse soudaine... Assis par terre, il te tenait ainsi, les jambes semi-pliées et tout le torse penché en avant, te tenant par les hanches. Tu te frottais contre son visage dans un mouvement circulaire... Et tu bougeais le bas de ton ventre d'avant en arrière, de telle sorte que, sans voir, je savais que sa langue pénétrait dans ta chatte et atteignait ton clitoris gonflé...
