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L'Étreinte des Âmes est une histoire sur la beauté de la renaissance, la force des souvenirs et l'amour qui nous unit, Soren et Moi. C'est un voyage d'acceptation et de créativité, montrant comment deux êtres peuvent se soutenir et s'élever l'un l'autre, malgré les épreuves, dans les moments les plus sombres.
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Seitenzahl: 74
Veröffentlichungsjahr: 2025
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La Belle Parisienne
Tout L’Amour du Monde
Main dans la Main
Tu Es Le Soleil De Ma Vie
INSTANTANÉ D’AMOUR
Tu es Ma Perte
Epigraphe
Indication
Introduction
1-Le Café des Coïncidences
2-Les Silences Qui Parlent
3-Le Secret de Soren
4-Une Nouvelle Lumière
5-Un Voile de Tristesse
6-Le Pouvoir des Petits Moments
7-Un Amour qui S’éveille
8-Les Ombres du Passé
9-Le Présent et L’Avenir
10-Une Guérison Mémorable
11-La Création comme Réparation
12-Les Couleurs de la Renaissance
13-La Veille de l’Exposition
14-L’ouverture de la galerie
15-Rencontre avec le public
16-Vers un Avenir Inconnu
17-Les Instants Volés
18-Retour à la Réalité
19-Un Eloignement Nécessaire
20-Les Révélations
21-Des nouvelles inespérées
22-Le Pas Vers l’Inconnu
23-La Renaissance
24-Les cicatrices invisibles
25-L’Evasion en Provence
26-Les Failles de l’Oubli
27-Le Vent du Changement
28-Un Nouveau Départ
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La Belle Parisienne
"Quand un homme voit Deux femmes Qui se ressemblent Comme deux gouttes d’eau, Il a envie de voir S’il existe des différences Entre elles."
FEELING
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Tout L’Amour du Monde
"Pour lui, je ne compte pas… A part, quand il a besoin de moi Quand on travaille. Sinon, je n’existe pas."
TOI et MOI
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Main dans la Main
"Il y a un secret pour arriver À se sentir bien, Même quand on est seule."
LANCIO
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Tu Es Le Soleil De Ma Vie
"L’amour c’est tout… L’amour, chacun le vit Comme il veut… C’est bon pour tout le monde."
CHARME
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INSTANTANÉ D’AMOUR
"J’aime prendre des photos. Comme ça, j’ai l’impression De fixer le temps."
MONTE CARLO
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Tu es Ma Perte
"Quand on se quitte, Ce n’est pas un drame… C’est le commencement D’une nouvelle vie, D’une nouvelle histoire… La nôtre."
SOGNO
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"L’intrigue n’est pas De rendre l’autre heureux Mais de se rendre heureux Soi-même, Et d’offrir ce bonheur à l’autre."
Jacques Salomé
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"Aimer c’est donner gratuitement Son coeur à quelqu’un, Non parce qu’on est Dans le besoin Ou qu’on en espère un profit…"
Ciceron (Philosophe)
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Dans le coeur vivant de Paris, Soren et Moi Nous rencontrâmes par un beau matin d’été dans son établissement, le Café des Coïncidences. Bien que la vie ait laissé des cicatrices sur Notre chemin, une connexion inéluctable se tissa entre Nous.
Soren, en quête de rédemption, est hanté par le décès de sa fiancée, tandis que moi, une écrivaine en devenir, aspire à faire émerger Mon talent caché.
Au fil des semaines, Notre amitié se transforma en une relation amoureuse doux-amer qui Nous poussa à explorer les profondeurs de Notre âme. Ensemble, Nous décidâmes de fusionner Nos arts -peinture et écritures- pour créer une exposition commune, unique, symbole de Notre guérison mutuelle.
Cependant, alors que Soren lutte contre ses vieux démons pour tourner la page sur son passé douloureux, il doit faire face à ses combats intérieurs.
L’Étreinte des âmesest une histoire touchante sur la beauté de la renaissance, la force des souvenirs et l’amour qui Nous unit. C’est un voyage d’acceptation et de créativité, montrant comment deux êtres peuvent se soutenir et s’élever l’un l’autre, malgré les épreuves, dans les moments les plus sombres.
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" Elle rencontrait, comme par hasard, celui qu’elle devait aimer.
Et comme par hasard, celui qu’elle devait aimer, se trouvait être justement celui qui devait l’aimer.
Ne fallait-il pas pour que ce soit vraisemblable, un tel concours de circonstances heureuses, supposer une intervention diurne ? Mais cette idée qui se présenta parfois…"
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Le soleil caressait les pavés des rues de l’Abbaye, à Paris, ce matin de Juillet. Les terrasses étaient déjà occupées par des habitués sirotant leur café, un livre à la main ou simplement perdus dans leurs pensées.
L’air était doux, comme un souffle prometteur d’aventures.
Les cheveux emmêlés par la brise de l’été, Je sortis de la petite librairie où je travaillais depuis cinq ans. J’adorais cet endroit, avec son parfum de vieux papier et de cuir. Pourtant, aujourd’hui, une certaine mélancolie pesait sur Moi. A trente ans, Je me sentais prisonnière d’une routine que Je n’avais pas choisie.
Je m’étais toujours promis de voyager, d’écrire un livre, d’aimer passionnément.
Mais les jours s’étaient accumulés sans que rien ne change. Je tournai au coin de la rue et M’arrêtai devant un café qui venait d’ouvrir ses portes.
La vitrine reflétait une ambiance chaleureuse, invitante, avec des chaises en rotin et des lumières tamisées. Sur l’enseigne en bois, il était inscrit : Le Café des Coïncidences.
Intriguée, Je poussai la porte. Une cloche tintait doucement. L’endroit semblait sortir tout droit d’un autre temps, avec ses étagères de livres, ses photos en noir et blanc accrochées au mur, et ce piano qui semblait n’attendre que des doigts pour le réveiller.
Je pris place près de la fenêtre, observant les passants, qui, comme Moi, semblaient pressés par la vie. Je n’avais pas encore commandé qu’une voix me sortit de ma rêverie.
-Bonjour. Vous avez fait un choix ?demanda le serveur, un jeune homme au sourire discret, presque timide.
Je levai les yeux et fut frappée par le regard intense de l’inconnu. Il portait une chemise blanche légèrement froissée, et ses cheveux sombres encadraient un visage à la fois serein et mystérieux.
-Euh… non, Je n’ai pas encore décidé, balbutiai-Je, légèrement décontenancée par sa présence.
Il hocha la tête, souriant à demi, et repartit en silence. Je fus étonnée par la sensation qui montait en Moi. Ce serveur avait une présence qui Me troublais. Et pourquoi ce café, tout d’un coup ?
Ce lieu semblait M’attirer indéniablement comme si quelque chose devait s’y produire.
Le reste de la journée se déroula sans évènements particuliers, mais quelque chose en Moi avait changé.
Le lendemain, comme une automate, Je retournai au Café des Coïncidences.
Le serveur était là, et cette fois, il m’apporta un café sans que Je n’aie eu besoin de le commander.
-Je me suis dit que vous prendriez le même que la dernière fois, dit-il avec un léger sourire.
-Vous avez bien deviné, répondis-Je en riant. Et puis, c’est quoi ce nom, "le Café des Coïncidences" ?
Il prit une chaise et s’assit face à Moi, comme s’il attendait ce moment depuis toujours.
-C’est un nom spécial, non ? murmura-t-il. Les coïncidences, c’est ce qui fait que deux chemins se croisent au bon moment. Peutêtre que vous et moi étions censés nous rencontrer ici.
Je rougis malgré Moi. Il y avait quelque chose de profondément sincère dans sa voix. J’hésitai entre le charme du hasard et la réalité. Ce serveur, qui n’avait pas encore prononcé son prénom, devenait une énigme que Je mourrais d’envie de percer.
-Vous y croyez, vous, aux coïncidences ? demandai-Je, soudain curieuse.
-Pas toujours, répondit-il doucement. Mais parfois, il suffit d’une rencontre pour changer le cours des choses.
Nos regards se croisèrent, et pendant un instant, le monde extérieur semblait s’effacer. Il me sourit, pour Me montrer que Ma compagnie lui était très agréable. Il y avait dans ses yeux quelque chose que je ne décelais pas encore.
Un mélange de vulnérabilité et de force. Comme s’il cachait une histoire bien plus profonde derrière ce sourire en coin. La vengeance d’un orgueil blessé.
-Au fait, moi, c’est Soren, dit-il finalement, comme une délivrance.
Je souris, mon coeur battant légèrement plus fort. Je ne savais pas encore que cette rencontre fût sur le point de bouleverser ma vie.
Car dans ce petit café aux allures banales, ce qui semblait être une simple coïncidence allait devenir l’histoire d’un amour inattendu, d’une passion née des hasards, de silences et des regards partagés.
*
* *
"L’amour, n’avait pas du tout les mêmes choses à dire, ni les disait avec les mêmes accents.
Faudrait-il croire que c’est malentendu ?
Est-ce que s’entendre, ce serait dire pareil, à tour de rôle et sur le même ton ?
Non, ils se parlent parce qu’ils sont deux et ne cessent d’être deux en amour…"
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* *
Les jours suivants, Je me surpris à retourner chaque matin au Café des Coïncidences. Ce qui avait commencé comme une simple curiosité était devenue une habitude dont Je ne pouvais plus me passer.
Chaque matin, Je M’asseyais à la même table près de la même fenêtre, et Soren M’apportait mon café, toujours accompagné d’un sourire qui Me troublais plus que je ne l’admisse.
Nos échanges étaient souvent faits de mots simples, mais quelque chose de plus profond circulait entre Nous, dans les silences, dans les regards furtifs que Nous échangions. Soren n’était pas comme les autres.