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Sous la plume d’Eva Rossi, l’érotisme se fait à la fois élégant et incandescent. Cette collection de récits contemporains, ancrés dans la vie quotidienne en France et ailleurs, explore les méandres du désir, la fragilité des convenances et la force des passions secrètes. Chaque histoire révèle combien la sensualité peut surgir là où on l’attend le moins, ouvrant des portes interdites, troublantes et fascinantes. Au cœur de ce recueil, le récit qui lui donne son titre, La Jeune Fille, raconte la solitude d’une femme mariée, expatriée loin de ses repères, qui croyait avoir dompté ses élans. La chaleur, l’ennui et une rencontre inattendue vont pourtant ébranler sa maîtrise et réveiller une part d’elle-même qu’elle pensait éteinte à jamais. « Le soleil caressait sa peau encore humide de baignade. Allongée, elle sentait la brûlure douce du désir remonter en elle, ce frisson qu’elle s’efforçait d’ignorer depuis trop longtemps… Puis ce regard posé sur elle, éclatant, insistant, vint tout bouleverser. » Entre fantasmes inavoués et réalités troublantes, Eva Rossi entraîne son lecteur dans un univers de tentations où la sensualité se déploie avec une intensité fiévreuse. Un recueil comme une promesse dangereuse : celle de céder à l’interdit. Et si, vous aussi, vous osiez franchir la limite ?
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Seitenzahl: 77
Veröffentlichungsjahr: 2025
Ähnliche
La Jeune Fille
Histoires Erotiques de Sexe Explicite Hard pour Adultes - Contes Interdites et Taboues
______________________
Eva Rossi
Sommaire
Sommaire
Imprint
Introduction
Avant de commencer...
La servante de Madame...
Les après-midis d'Estelle
Une voisine dévouée
Le cadeau d'anniversaire
La vie de Muriel
Madame Girardin et la jeune fille
Avant de partir...
Imprint
© 2025 Eva Rossi
Photo de couverture : Canva
Impression et distribution pour le compte de l'auteur :
tredition GmbH, Heinz-Beusen-Stieg 5, 22926 Ahrensburg, Allemagne
L'ouvrage, y compris ses parties, est protégé par le droit d'auteur. L'auteur est responsable de son contenu. Toute utilisation est interdite sans son accord. La publication et la diffusion sont effectuées sur ordre de l'auteur, à contacter à l'adresse suivante : Eva Rossi, Friedrichstraße 155, 10117 Berlin, Allemagne.
Adresse de contact selon le règlement européen sur la sécurité des produits : [email protected]
Introduction
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Beaucoup des contes passionnantes à vivre seul ou en compagnie.
Vous trouverez de nombreux dialogues entre les protagonistes des histoires, afin que vous puissiez aussi vous imaginer au centre de la scène, comme si vous étiez vous-même un personnage de l'histoire.
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Avant de commencer...
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Un bisou et une bonne lecture, Eva!
La servante de Madame...
Les cinq jeunes entourent Marie-Hélène, la femme du maire de la commune. Ils l'empêchent de sortir de la cave où ils l'ont traînée de force. La dame rentrait chez elle quand, stupidement, elle s'est trompée de chemin et s'est retrouvée dans ce quartier proche de la ville aisée où elle vit. Inévitablement, sa BMW a été immédiatement identifiée par les jeunes du quartier. Et elle aussi. Une bourgeoise aisée qui détonne un peu dans cet environnement. Les jeunes s'approchent. Ils attrapent la dame et soulèvent sa jupe, laissant entrevoir ses bas nylon et son porte-jarretelles.
« Oh là là ! Elle est habillée comme une pute, cette salope bourgeoise ! s'exclame l'un des jeunes.
— On va la tuer.
Un doigt s'enfonce dans la chatte de la dame, qui pousse un cri.
La dame se réveilla en sursaut. Elle regarda autour d'elle pour se rassurer. Elle était dans sa chambre. En sécurité dans sa petite maison et non dans ce sous-sol lugubre. La dame soupira. De soulagement, mais aussi avec un peu de regret. Elle faisait de plus en plus souvent des rêves érotiques dans lesquels elle était maltraitée par des jeunes ou des hommes d'une classe sociale inférieure à la sienne. Elle se souvenait avec émotion de son aventure avec les policiers de la BAC et de sa visite à la caserne des pompiers. En se remémorant cela, elle sentit son bas-ventre s'éveiller. Son corps s'embrasa... Elle repoussa les draps avec ses pieds et porta sa main vers son bas-ventre, soulevant sa chemise de nuit en satin rose. Elle enlève rapidement sa culotte et introduit son index dans son vagin avec un petit soupir. Son clitoris est déjà dur. Son autre main remonte et libère l'un de ses seins, dont les tétons sont déjà e . Elle le saisit et le tire violemment, lui arrachant un gémissement de plaisir. Dans son fantasme, elle imagine des dialogues :
— Tu n'es qu'une pute sous tes airs bourgeoises, une salope qui adore se faire baiser !
— Une salope qui adore la bite, tu n'en as jamais assez !
La dame gémissait en murmurant :
— Oui, oui, je suis une salope, punis-moi.
Les doigts de Marie-Hélène bougent dans sa chatte, elle balance son bassin en imaginant un énorme pénis qui la pénètre violemment. Elle sent le plaisir monter. Elle accélère le mouvement de ses doigts, son liquide coule le long de ses cuisses. Elle se tortille en délirant à voix haute :
« Je suis une salope, baise-moi comme une chienne !
Elle hurle lorsque l'orgasme la submerge, la laissant haletante et satisfaite sur le lit.
La dame sursauta en entendant la porte de sa chambre s'ouvrir. Elle cria. Elle reconnut Alexia, sa servante. Une jeune fille d'une vingtaine d'années. Elle portait un chemisier marron avec une jupe noire très courte sur des collants léopard. Elle avait des bottines à talons. La dame n'aime pas beaucoup Alexia, elle trouve qu'elle s'habille de manière trop provocante et soupçonne qu'elle flirte avec son mari. Elle voulait protester et lui dire de retourner à la cuisine, mais les mots restèrent coincés dans sa gorge. Alexia tenait un petit appareil photo dans sa main.
La domestique regarda la dame avec ironie.
— Madame est très photogénique, elle serait très bien à la télévision.
— Mais... Mais. Balbutia Marie-Hélène, qu'est-ce que tu fais, Alexia ?
— Je tourne un film sur la vie privée de la femme du maire ! Ce genre de choses a beaucoup de succès sur Internet, vous aurez des centaines de visiteurs.
La dame crut que son cœur allait s'arrêter de battre.
« Non, je vous en prie, ne faites pas ça. »
Alexia s'approcha du lit.
« Imaginez que vos administrés découvrent quel genre de femme vous êtes, madame. Cela ruinerait les chances de votre mari d'être réélu, les élections municipales ont lieu dans deux mois, n'est-ce pas ?
— Euh... Que voulez-vous ? De l'argent ?
— Bien sûr que je veux de l'argent, salope ! Ce n'est pas avec la misère que vous me donnez que je vais augmenter mon pouvoir d'achat.
Marie-Hélène se leva rapidement, enfila machinalement ses chaussures à talons et sortit de l'argent de son sac à main. Elle le tendit à Alexia. C'était une somme considérable.
— Ça suffira ? demanda-t-elle d'une voix tremblante à Alexia. Cette dernière haussa les épaules.
— Trop facile ! Quand on a de l'argent, on croit pouvoir tout acheter.
— Mais que veux-tu de plus ?
Alexia resta pensive pendant quelques instants, observant le corps de la dame découvert par la chemise de nuit. Celle-ci s'en rendit compte et rougit violemment.
Alexia répondit d'une voix douce.
— Je vais te raconter une histoire. Quand j'étais au lycée professionnel, j'avais une prof de ton âge, peut-être un peu plus âgée. Elle vivait dans un appartement avec une chambre de service. Son mari n'était jamais là. La prof me détestait et me recadrait tout le temps. Un jour, avec des copines, on a décidé de se venger. On l'a attrapée et on l'a baisée toute la journée avec des godes. Puis on a appelé des amis. Quand j'ai quitté le lycée, tous les garçons avaient baisé la prof. Elle était devenue Miss PO.
Horrifiée par cette histoire, Marie-Hélène sentit malgré tout les lèvres de son vagin s'ouvrir. Ses fantasmes venaient de se réveiller. Elle demanda :
— Qu'est-ce que ça veut dire, Mademoiselle PO ?
— As-tu déjà assisté à un rituel d'initiation ? Cela signifie « Mademoiselle Salope Officielle ».
Il s'approcha de Marie-Hélène et posa ses mains sur ses seins à travers le tissu de sa chemise de nuit. La dame frissonna et tenta de reculer, mais Alexia la retint !
— Ne bouge pas ! Laisse-toi aller.
Marie-Hélène sentait un poids dans le bas de son ventre. Une légère humidité entre ses cuisses.
Alexia palpa les seins de la femme du maire, qui se mit à respirer bruyamment. Elle lui palpa les seins sans délicatesse. La dame vacilla sur ses jambes, . Alexia enfonça ses doigts dans la chair tendre, qu'elle pinça avec malice, arrachant un gémissement à Marie-Hélène.
— Je dois admettre que tu es en très bonne forme pour ton âge. Regarde les miens !
Alexia déboutonna son chemisier. Ses seins nus apparurent. Elle ne portait pas de soutien-gorge.
Il faut dire qu'elle n'en avait pas besoin, privilège de la jeunesse...
Il attrapa la tête de Marie-Hélène et la pencha vers ses tétons qui pointaient.
« Suce mes tétons, salope ! Et mets-y tout ce que tu as. »
La femme mordit un téton et le suça comme un enfant suce la tétine d'un biberon. Alexia poussa des soupirs.
Il repoussa Madame et lui ordonna d'enlever sa chemise de nuit. Marie-Hélène obéit docilement. Elle resta debout, les bras ballants, au milieu de la pièce, sur les talons hauts de ses chaussures, complètement nue à l'exception de sa culotte qui couvrait à peine son pubis. Sa vulve dégoulinante avait laissé une trace d'humidité sur le bas de son sous-vêtement et, bien sûr, Alexia l'avait remarqué.
