6,99 €
RÉSUMÉ : "La sagesse selon Confucius" est une exploration profonde des enseignements intemporels de Confucius, un des plus grands philosophes de l'histoire. Ce livre propose une immersion dans les préceptes fondamentaux du confucianisme, un système philosophique qui a influencé la pensée et la culture de l'Asie de l'Est pendant des siècles. À travers une sélection de textes et d'analyses, l'ouvrage met en lumière la quête de l'harmonie sociale et personnelle, la valeur de l'éducation, et l'importance des relations humaines. Confucius prône un idéal de vie basé sur la vertu, l'honnêteté et le respect des traditions. Les lecteurs découvriront comment ces principes peuvent être appliqués à la vie moderne pour promouvoir la pensée positive et le bien-être. Le livre aborde également la notion de "Ren" ou bienveillance, qui est au coeur de la philosophie confucéenne, et explore comment cette qualité peut transformer les interactions sociales et contribuer à un monde plus harmonieux. En offrant des perspectives historiques et contemporaines, "La sagesse selon Confucius" invite à une réflexion sur notre propre existence et sur les moyens d'atteindre un équilibre intérieur. Ce guide spirituel est une ressource précieuse pour ceux qui cherchent à comprendre les fondements du confucianisme et à intégrer ses enseignements dans leur quotidien. L'AUTEUR : Confucius, né en 551 avant J.-C. dans l'État de Lu, en Chine, est l'un des plus influents penseurs et éducateurs de l'histoire. Son véritable nom était Kong Qiu, mais il est connu sous le nom de Confucius, une latinisation de "Kong Fuzi" qui signifie "Maître Kong". Issu d'une famille noble déchue, Confucius a consacré sa vie à l'enseignement et à la transmission de valeurs morales et éthiques. Il a voyagé à travers la Chine pour partager ses idées et a attiré de nombreux disciples. Ses enseignements ont été compilés par ses élèves dans un ouvrage intitulé "Les Entretiens de Confucius". Ce texte est devenu une référence incontournable pour les générations futures, influençant non seulement la Chine mais aussi l'ensemble de l'Asie de l'Est. Confucius a mis l'accent sur l'importance de l'éducation, de la justice, et de la moralité personnelle et sociale. Bien que ses idées aient été parfois contestées, elles ont perduré à travers les siècles, témoignant de leur pertinence et de leur universalité.
Das E-Book können Sie in Legimi-Apps oder einer beliebigen App lesen, die das folgende Format unterstützen:
Seitenzahl: 25
Veröffentlichungsjahr: 2022
Biographie
La morale
Le pouvoir
L’humanité
La sagesse
La droiture
L’âme
La perfection
La famille
Le bonheur
Confucius naquit en 551 avant notre ère, à Tsou, dans l’actuelle province du Shandong.
Aucune information concernant ses parents n’existe plus aujourd’hui.
Ce grand sage vit le jour au sein d’une famille aristocratique désargentée.
Le tir à l’arc et la musique faisaient partie de ses occupations favorites.
Jeune, Confucius voulait être connu et soulager la misère du monde.
Ses idées pratiques et philosophiques allaient à l’encontre du milieu politique de son temps.
Kong-Fou-Tseu, de son nom chinois, devint un philosophe et un maître incontesté.
Il fut, à l’époque où il professait, l’un des hommes les plus éduqués de Chine.
L’enseignement de sa sagesse fut l’aboutissement de toute sa vie.
Ses premiers disciples formèrent ce que l’on appelle l’école confucéenne.
Confucius formait ses élèves à la littérature, l’histoire, la philosophie et la politique.
L’année de ses 53 ans, on lui offrit un poste qu’il refusa au gouvernement de la ville de Pi.
En compagnie de plusieurs disciples, il visita et séjourna dans différents états chinois.
Lors de ce voyage, il faillit mourir assassiné dans l’état de Sung.
Confucius subit la perte douloureuse de son fils et de certains de ses amis.
Le sage Kong-Fou-Tseu mourut en 479 avant notre ère.
Cet ouvrage réunit des citations de Confucius classées par grands thèmes.
La perfection morale présuppose la grande lumière de l’intelligence.
Les richesses agrémentent et rehaussent une maison, la vertu agrémente et rehausse la personne.
Une seule famille généreuse et humaine suffira pour faire naître dans la nation ces mêmes vertus.
Voir un homme bon et talentueux et ne pas le distinguer, le distinguer et ne pas le traiter avec tout le respect qu’il mérite, c’est lui faire injure.
L’homme d’une vertu supérieure persévère invariablement dans le milieu.
On considère le bien comme si on ne pouvait l’atteindre ; on considère le vice comme si on touchait à de l’eau bouillante.
Dès qu’il avait acquis une vertu, il la retenait de toutes ses forces, la cultivait en son sein et jamais ne la perdait.
Ne jamais s’autoriser un mouvement ou une action contraire aux règles prescrites : voilà la façon de régler son comportement.
Louer les personnes qui ont de belles qualités et de beaux talents, plaindre celles qui en manquent, voilà comme il faut recevoir les étrangers.
Tous les actes vertueux, tous les devoirs arrêtés d’avance, sont en cela nécessairement réalisés.
Les hommes vulgaires qui vivent seuls et loin du monde commettent des actions pleines de vice.
L’homme d’honneur est libre de toute crainte et de toute inquiétude.
Revenir chaque jour au bien [...] rapproche de la nature primitive de l’homme sous l'effet de l’amour de la vertu et de la haine du vice.
Un homme qui n’a pas réformé ses inclinations injustes n’est pas capable de mettre de l’ordre dans sa famille.