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Il existe des femmes dont le trouble ne naît pas de la transgression, mais du regard qu’on pose sur elles lorsqu’elles s’y abandonnent. Dans cette collection de récits érotiques, Eva Rossi explore les zones d’ombre du désir féminin contemporain avec une plume sensuelle, délicate et envoûtante. À travers des histoires qui se déroulent majoritairement en France, elle capte l’instant où l’interdit bascule en plaisir, où la pudeur se défait dans le frisson de l’inattendu. Karla, épouse modèle en apparence, s’est découverte un étrange frisson dans le simple fait de voler des dessous. Mais ce lundi-là, le jeu prend un autre tour. Le responsable de la sécurité, Luc, a tout prévu. Une cabine improvisée, des caméras bien placées… et une mise en scène troublante où Karla devient l’héroïne captive de ses propres fantasmes. « Lorsqu’il ouvrit le rideau, elle eut à peine le temps de masquer sa surprise. Il ne dit rien d’abord. Juste un regard — ferme, impérieux, brûlant. Elle, debout en dentelle blanche, sentit ses joues rosir. Ce n’était plus le vol qu’elle redoutait. C’était de ne pas aller jusqu’au bout. » Ce recueil vous invite à perdre pied, à suivre des femmes qui s’abandonnent sans toujours comprendre pourquoi... sinon qu’il est parfois doux de se perdre quand quelqu’un d’autre tient les rênes. Laissez-vous emporter. Le désir vous attend, là où vous pensiez encore tout contrôler.
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Seitenzahl: 118
Veröffentlichungsjahr: 2025
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Les Aventures de Karla
Nouvelles Erotiques pour Adultes – Histoires de Sexe Explicites et Taboues (Interdites & Hard)
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Eva Rossi
Sommaire
Sommaire
Imprint
Introduction
Avant de commencer...
Avant de partir...
Imprint
© 2025 Eva Rossi
Photo de couverture : Canva
Impression et distribution pour le compte de l'auteur :
tredition GmbH, Heinz-Beusen-Stieg 5, 22926 Ahrensburg, Allemagne
L'ouvrage, y compris ses parties, est protégé par le droit d'auteur. L'auteur est responsable de son contenu. Toute utilisation est interdite sans son accord. La publication et la diffusion sont effectuées sur ordre de l'auteur, à contacter à l'adresse suivante : Eva Rossi, Friedrichstraße 155, 10117 Berlin, Allemagne.
Adresse de contact selon le règlement européen sur la sécurité des produits : [email protected]
Introduction
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Beaucoup des contes passionnantes à vivre seul ou en compagnie.
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Le livre contient un contenu sexuel explicite et ne convient pas aux personnes de moins de 18 ans. Les histoires sont de pure fantaisie: les personnages sont tous d'âge et, comme le contenu, ils sont fictifs.
Avant de commencer...
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Un bisou et une bonne lecture, Eva!
LES AVENTURES DE KARLA
Cela fait déjà deux mois que Karla, la sage épouse, s'amuse à voler dans un grand magasin.
Elle aurait déjà pu être arrêtée par le chef de la sécurité, mais celui-ci a un pressentiment. Le lundi, cela se confirme.
Karla, ayant pris confiance et détermination, décide de voler des sous-vêtements. Et pas n'importe lesquels, mais un string et un soutien-gorge en dentelle blanche, dont la taille et la transparence révèlent plus qu'ils ne cachent, ainsi que des bas et des jarretières qui se trouvent juste en dessous.
Sa méthode est simple : prendre les articles et, une fois dans la cabine d'essayage, retirer les alarmes à l'aide d'un aimant pour les mettre dans son sac ou sortir en portant les objets volés.
Une pratique déjà utilisée pour un t-shirt.
Luc, qui suit Karla à travers une vidéo, découvre les articles qu'elle tente de voler. C'est l'occasion d'arrêter la voleuse et, avec un peu de chance, d'en profiter personnellement.
Luc a une idée. Au lieu de suivre Karla, il remplace la vendeuse responsable des cabines d'essayage.
Quelques instants plus tard, Karla arrive.
Luc l'emmène dans le couloir où il a ouvert la porte au fond. Sans s'en rendre compte, Karla entre dans une cabine d'essayage installée à la hâte par Luc dans l'entrepôt du magasin, avec deux caméras qui l'observent.
Karla est trop concentrée sur son crime. Elle retire rapidement les dispositifs antivol, enfile ses sous-vêtements et remet sa robe moulante.
C'est à ce moment-là que Luc ouvre le rideau, le visage peint en noir, une longue règle dans la main droite et un mini téléviseur qui diffuse les images des caméras au-dessus de la cabine d'essayage.
Karla est surprise, elle n'ose pas bouger.
« Luc : Alors, madame, vous volez à nouveau dans le magasin.
Karla : Désolée, j'ai cédé à la tentation, je ne le ferai plus !
Ne vous inquiétez pas, je vais vous aider. Enlevez votre robe !
Non, pas devant vous !
C'est simple : soit vous l'enlevez, soit j'appelle la police, qui informera votre mari et vous fouillera à sa manière ».
Vaincue, Karla enlève sa robe.
« Penchez-vous ! »
Sans dire un mot, vêtue uniquement de ses sous-vêtements, elle se penche, montrant son beau derrière à Luc.
Et, sans prévenir, elle sent ses fesses brûler.
Luc la frappe sur les fesses avec la règle.
Luc : Je vais t'apprendre à voler.
Karla : Je ne le ferai plus, je te le promets, je...
Luc : Ce n'est pas suffisant, et pour apprendre, tu recevras deux coups pour chaque vêtement volé.
Karla : Aïe, aïe...
Luc : Tu peux crier, tu es dans le placard !!!
K : S'il te plaît...
L : Compte et quand ton cul sera rouge, tu t'agenouilleras et tu me suceras !! »
K : Non, pas ça !!!
L : Alors on appelle la police et monsieur ??? ».
En sanglotant, Karla raconte. Le problème, c'est qu'elle a honte. Honte d'avoir été prise en flagrant délit et honte d'aimer la punition.
Luc admire son cul rouge entouré de dentelle blanche. Cette femme l'excite.
Il l'attrape par les cheveux et la force à s'agenouiller.
Soumise, Karla se laisse faire et prend le pénis qui lui est présenté dans la main.
Luc lui attrape les cheveux et lui ordonne à l'oreille :
L : Pas avec les mains, seulement avec ta bouche de salope !!!
Karla se laisse faire et commence à sucer le gland du responsable de la sécurité.
Hésitante, elle y va doucement... très doucement.
Luc lui attrape à nouveau les cheveux et oblige Karla à avaler son gros pénis.
L : C'est comme ça qu'on suce, salope, ton mari ne t'a pas appris les bonnes manières, petite salope !!!
Luc se masturbait littéralement avec la bouche de Karla. Il ne tarda pas à éjaculer et ordonna à sa femme soi-disant sage d'avaler son sperme.
Elle le fait par peur que son cul ne devienne encore plus rouge... mais aussi parce qu'elle aime cet homme qui lui parle si durement.
Luc ne lui laisse aucun répit. Il prend l'appareil photo et prend cinq photos de la belle, la forçant à se mettre à quatre pattes, le visage bien visible et des traces de sperme sur les joues.
Il en profite également pour manipuler sa vulve humide.
Tu es une belle salope, tu as aimé être fessée et me sucer !!! Enlève tes sous-vêtements et remets ta robe.
Reviens demain avec seulement un manteau, rien en dessous, et demande à me voir.
Si tu ne viens pas, j'enverrai les photos à ton mari, OK ?
Karla balbutie un « mais... ».
Assez de temps pour que Luc prenne son permis de conduire pour noter son adresse et couper avec un stylo les deux boutons du haut de la robe.
Elle rougit, mais laisse faire... Quel homme, pense-t-elle inconsciemment.
Honteuse, le haut de ses seins exposés contre son gré, les fesses en feu et une robe qui trahit l'absence de sous-vêtements, elle traverse à nouveau le magasin.
Elle a l'impression que tout le monde sait qu'elle a été humiliée et qu'elle a aimé ça.
Mais reviendra-t-elle demain ou prendra-t-elle le risque que son mari reçoive les photos ?
***
Comme on s'y attendait, Karla revient vêtue d'un long manteau qui ne laisse apparaître que son cou et ses chevilles.
Il est 13 heures. Karla pense qu'elle va éviter la foule et d'éventuelles connaissances.
Elle a peur, mais le fait de ne porter qu'un manteau la fait transpirer.
Son cœur bat fort car elle ne sait pas où trouver le chef de la sécurité. Elle ne connaît même pas son nom ou son surnom.
Elle se rend donc à la réception et, comme une petite fille punie, elle, une femme mariée qui a toujours suivi les règles par peur du jugement des autres, qui a élevé X enfants comme une bonne mère.
Et elle reste là, marchant comme une prostituée, la chatte et les seins protégés seulement par un manteau fin.
La standardiste lui dit d'aller au fond du magasin, où Luc l'attend.
Son cœur bat de plus en plus fort, ses seins, bien que lourds, durcissent et deviennent scandaleusement pointus. Le manteau ne cache pas grand-chose de l'excitation qui envahit Karla.
Elle entre enfin dans un bureau où Luc l'attend avec son air de boucher. Avec sarcasme, il lui demande d'enlever son manteau, sinon il va faire chaud.
Abasourdie, Karla ne sait pas si elle doit obéir.
Luc s'approche d'elle. Elle ne bouge pas. Sa respiration est courte, ses tétons sont durs comme jamais.
Luc passe derrière elle et claque la porte.
Karla tremble, mais n'ose pas se retourner.
Elle le sent revenir vers elle.
Et, sans prévenir, il arrache violemment les pans de la veste, faisant sauter les boutons.
Accro, il laisse la veste glisser le long de ses bras, l'empêchant de se couvrir.
Karla ne parvient à pousser qu'un petit cri avant de ressentir une douleur aiguë.
Luc, avec ses deux mains, vient de lui pincer les tétons.
C'est à ce moment-là que Luc rompt le silence.
Luc : Quand je te dis d'enlever ton manteau, tu fais ce que je te dis, salope !
Karla : Mais on peut nous voir.
L : Monsieur... On peut nous voir, monsieur. Répète !
K : On peut nous voir, monsieur !
L : Tu vas faire ce que je te dis, sinon ton mari et tes voisins vont découvrir quelle salope tu es. Comment tu t'appelles ?
K : Karla... Monsieur.
L : Je t'appellerai peut-être comme ça, mais si je dis « salope, écarte les jambes » ou si je crie « salope nue !!! », c'est à toi que je parle et tu ferais mieux d'obéir. D'accord ?
K : Oui, monsieur ???
L : Luc, je m'appelle monsieur Luc, salope. Très bien, mets-toi à quatre pattes sur la table, je vais t'inspecter.
Karla monte sans hésiter sur la table.
Luc lui demande d'écarter les jambes pour montrer son cul.
Hésitante, Luc lui donne une forte claque sur les fesses.
Karla n'hésite plus. Elle entend maintenant le clic de l'appareil photo.
Luc lui demande d'écarter les fesses pour montrer son anus.
As-tu déjà été sodomisée ?
Elle n'ose pas répondre. Luc lui donne alors une gifle sur ses seins lourds.
Une fois la douleur passée, Karla n'ose toujours pas répondre. Elle a honte de se laisser faire et ne sait pas quoi dire.
Luc, sans attendre, lui dit qu'elle ira avec lui parce que c'est dans la nature d'une salope d'être baisée dans le cul.
Abasourdie par ces mots, Luc la fait descendre de la table et la fait tourner autour de la table à coups de règle pour accélérer le mouvement. Ses seins se balancent. Elle a honte d'être maltraitée de cette manière et de ne pas s'opposer.
L : Regarde tes seins de salope, Karla, tu n'as pas honte de te comporter ainsi ? Réponds.
K : Oui, je peux arrêter ?
L : Oui, mais en échange, tu vas te masturber par terre.
Humiliée par la peur de recevoir une autre fessée sur ses fesses déjà rouges, Karla se masturbe devant cet inconnu.
Il ne lui faut pas longtemps pour exploser devant lui, les doigts couverts de sa mouille.
Luc lui ordonne de lécher devant la caméra.
Elle n'attend plus rien d'autre que de se faire prendre sur le bureau, mais Luc ne fait rien. Il lui rend le string et le soutien-gorge en dentelle que Karla a essayé de voler.
Il force l'entrée de la chatte de Karla et y enfonce le string, ne laissant qu'un bout à l'extérieur.
Il lui ordonne ensuite de mettre le soutien-gorge. Mais elle découvre qu'il l'a coupé, laissant ses tétons encore dressés à la vue de tous. Luc donne enfin un baiser à Karla.
Karla s'habille, même si elle aurait aimé qu'il la baise.
Mais oser demander est la pire humiliation qui soit.
Luc le comprend et, avec un grand sourire, lui dit.
L : Tu peux y aller.
K : Mais
L : Tu voulais que je te baise, n'est-ce pas ?
K : Oui, monsieur
L : Je ne baise que les femmes qui ont le sexe rasé.
K : Mais si je fais ça, mon mari le verra.
L : C'est ton problème, pas le mien. Maintenant, va-t'en, salope, et je veux te voir demain au restaurant VVVVVV.
Karla va-t-elle se raser la chatte ?
Va-t-elle dire si elle a déjà été sodomisée ou non ?
Que va-t-elle porter pour aller au restaurant ?
***
Karla a un sommeil très agité. Elle a peur de la spirale dans laquelle elle est tombée, mais elle est aussi excitée d'être traitée comme un objet sexuel.
Le pire, c'est qu'elle aimerait se masturber jusqu'à jouir, mais son mari est là, incapable d'imaginer ce qui se passe.
Le matin, Karla est nerveuse. Elle est de mauvaise humeur, ce qui lui permet de voir son mari quitter la maison tôt pour ne pas avoir à supporter la mauvaise humeur de sa femme. Et arriver plus tôt signifie aussi pouvoir observer tranquillement la jeune standardiste et ses minijupes qui arrivent jusqu'à ses culottes.
Enfin libre. Libre, mais effrayée par ce qui l'attend. Quoi qu'il en soit, elle y ira, par curiosité, pour l'adrénaline et pour se faire baiser, car avec son mari, c'est plutôt rare et triste.
Mais c'est décidé, Karla ne se rasera pas. Qui est ce Luc pour lui demander une chose pareille ?
Elle est convaincue qu'il la baisera de toute façon, surtout si elle s'habille de manière très sexy, pour ne pas dire provocante.
Elle opte pour une jupe plissée et un chemisier en soie couleur crème. En dessous, elle choisit un bel ensemble rouge en dentelle. Brillant et transparent. Malheureusement, Karla, qui est un peu frileuse, décide de mettre des collants.
S'il les déchire, ce n'est pas grave, il se contentera du reste, pense-t-elle.
Pour Karla, le jeu sage en surface et érotique en dessous lui semble approprié, mais il révèle inconsciemment son état d'esprit : l'élève devant le professeur.
Karla regarde sa montre, elle se dépêche car elle est en retard. Au diable le maquillage, Luc s'intéresse davantage à son cul.
Après 30 minutes de route, Karla se gare dans un quartier qu'elle ne connaît pas bien. Il faut dire que ce n'est pas exactement le quartier le plus touristique de la ville.
