Les aventures de Thérèse E-Book

Eva Rossi

• Herausgeber: tredition
• Kategorie: Erotik
• Sprache: Französisch

Seitenzahl: 103

Veröffentlichungsjahr: 2025

Beschreibung

Une collection sensuelle et littéraire, où les corps se frôlent, se cherchent, s’abandonnent… Entre l'intime et le charnel, ces récits érotiques contemporains explorent les méandres du désir, dans une France feutrée, urbaine ou provinciale, où la passion prend mille visages. Chaque nouvelle est une fenêtre entrouverte sur l’inavouable, un murmure troublant glissé à l’oreille du lecteur. Les aventures de Thérèse, récit principal et fil rouge de ce recueil, dévoile l’éveil d’une femme à sa sensualité profonde et à ses fantasmes les plus inavoués. Thérèse, trentenaire accomplie, y revient sur le moment charnière où tout a basculé : sa rencontre avec Philippe, un homme d'influence et d'ombre, qui a fait d’elle son élève, son amante, sa muse soumise. « Je lui ai dit qu’il pouvait faire de moi ce qu’il voulait. Esclave, maîtresse ou putain… À cet instant, ses yeux ont brillé. Il m’a souri. Il m’a prise. Et je n’ai plus jamais été la même. » Derrière la beauté glacée de Thérèse se cache un feu lent, attisé par le plaisir, le pouvoir et la transgression. À travers une initiation savamment orchestrée, elle plonge dans un monde de volupté codifiée, où le corps devient offrande et liberté. Un voyage sensoriel au cœur d’un érotisme élégant, hypnotique, parfois dérangeant… toujours envoûtant. Laissez-vous entraîner. Thérèse vous attend.

Leseprobe

Les aventures de Thérèse

Nouvelles Erotiques pour Adultes – Histoires de Sexe Explicites et Taboues (Interdites & Hard)

______________________

Eva Rossi

Sommaire

Sommaire

Imprint

Introduction

Avant de commencer...

Les aventures de Thérèse

Chapitre 1

Chapitre 2

Chapitre 3

Chapitre 4

Chapitre 5

Chapitre 6

Chapitre 7

Madame C.

Ce mécanicien, mon maître

Chapitre 1

Chapitre 2

Chapitre 3

Chapitre 4

Chapitre 5

Avant de partir...

Imprint

© 2025 Eva Rossi

Photo de couverture : Canva

Impression et distribution pour le compte de l'auteur :

tredition GmbH, Heinz-Beusen-Stieg 5, 22926 Ahrensburg, Allemagne

L'ouvrage, y compris ses parties, est protégé par le droit d'auteur. L'auteur est responsable de son contenu. Toute utilisation est interdite sans son accord. La publication et la diffusion sont effectuées sur ordre de l'auteur, à contacter à l'adresse suivante : Eva Rossi, Friedrichstraße 155, 10117 Berlin, Allemagne.

Adresse de contact selon le règlement européen sur la sécurité des produits : [email protected]

Introduction

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Beaucoup des contes passionnantes à vivre seul ou en compagnie.

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Le livre contient un contenu sexuel explicite et ne convient pas aux personnes de moins de 18 ans. Les histoires sont de pure fantaisie: les personnages sont tous d'âge et, comme le contenu, ils sont fictifs.

Avant de commencer...

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Un bisou et une bonne lecture, Eva!

Les aventures de Thérèse

Chapitre 1

Ma vraie vie sexuelle a commencé à l'âge de 20 ans, lorsque j'ai rencontré mon mari. Dans mon récit, vous découvrirez l'une des premières étapes de ma soumission.

Bonjour, je m'appelle Thérèse. Je suis brune, je mesure 1,75 m et j'ai un corps très bien proportionné selon les hommes, raison pour laquelle les femmes me détestent, concurrence obligatoire ! 95 B de poitrine, des tétons qui ne demandent qu'à être pincés et mordillés, et un cul qui ferait pâlir un moine...

Aujourd'hui, j'ai 30 ans et je suis, comme disent les gens « bien », une pute!

Ce n'était pas le cas il y a 10 ans, lorsque j'ai rencontré celui qui allait devenir mon mari. Philippe, c'est son nom, héritier d'une grande famille d'industriels du nord, vivait de ses investissements en bourse et fréquentait la jet set. Plus âgé que moi, il avait 30 ans, il est tombé éperdument amoureux de moi dès le premier regard. Il était beau, intelligent, et le sentiment était réciproque. Ce fut le coup de foudre !

Ce n'était pas le premier homme avec qui je faisais l'amour, mais dès notre première nuit, après une soirée bien arrosée, ce fut un délice. Son expérience avec les femmes était évidente, d'autant plus qu'il était doté d'un pénis plus que respectable, 22 cm x 4 cm de diamètre (je le sais, je l'ai mesuré un jour alors que nous riions comme des fous). Infatigable, il ne se fatiguait pratiquement jamais et à la fin de cette nuit passée ensemble, il m'avait épuisée. Il m'avait fait l'amour dans toutes les positions, avait utilisé tous mes orifices, j'étais couverte de sperme et, dans les moments où, fatigué, il reprenait des forces, il me pénétrait après avoir introduit dans mon vagin et mon anus divers instruments pour me dilater au maximum.

J'étais tellement heureuse que je lui ai dit qu'à partir de ce moment-là, il pourrait faire de moi ce qu'il voulait. Je serais son esclave, sa maîtresse, sa prostituée ! En entendant cette déclaration, ses yeux se sont mis à briller. Il m'a répondu qu'il m'aimait et qu'il m'apprendrait tout ce qu'il fallait pour que je devienne ce que je désirais être. Il serait mon initiateur. Peu après, nous nous sommes mariés, ma formation était sur le point de commencer et c'est précisément ce que je vais vous raconter maintenant à travers les différentes expériences que j'ai vécues jusqu'à aujourd'hui. N'hésitez pas à m'envoyer vos commentaires après chaque épisode, afin que je puisse réagir en conséquence. En effet, j'aimerais que ce récit soit interactif, afin de mieux clarifier certaines situations.

ACTE 1 : Le voyage initiatique - Premier épisode

Cela faisait déjà un mois que nous consultions un serveur Minitel, Internet n'existait pas encore, dédié aux rencontres. Philippe m'avait convaincu qu'il valait mieux que mon initiation soit effectuée par un étranger expérimenté offrant toutes les garanties de sérieux et, surtout, appartenant à un milieu spécialisé où la sécurité en matière de sida était parfaite : il était difficile de pratiquer certaines choses avec des préservatifs. Il existe des clubs où les membres sont sélectionnés dans ce but. Ils sont régis par un code strict. Tous les membres sont sélectionnés après un test VIH. Une fois admis, aucun membre ne peut avoir de relations sexuelles avec une personne n'appartenant pas au club. Ils s'engagent à le faire par honneur.

Finalement, notre choix se porte sur un homme de 45 ans, Jean, que Philippe, mon mari, rencontre rapidement pour régler toutes les questions liées à l'admission au club.

Ils conviennent que mon initiation commencera le premier lundi du mois suivant, le temps nécessaire pour faire le test VIH, à l'arrivée du train de Lille, où nous vivons. Je dois rester dans l'ignorance de ce qui m'attend. Tout ce que je sais, c'est que je dois être parfaitement propre, tant au niveau génital qu'anal, après un bon lavement, et que je dois m'habiller comme une bourgeoise, avec une jupe et un chemisier sobre, sans soutien-gorge, culotte ni bas. Le lundi arrive, Jean nous attend à la Gare du Nord, me regarde de haut en bas et me demande si j'ai suivi ses instructions et si, comme je l'ai signé dans le contrat, je suis toujours d'accord. Il me demande également si je connais bien le mot de passe qui mettra fin à mon initiation s'il estime qu'il y a un excès inacceptable de ma part.

Ma réponse : « Oui, Maître » le satisfait.

Il nous conduit ensuite au fond du parking, où il a garé sa voiture, et là, sans aucun préliminaire, il m'attrape par un bras et me force à m'allonger sur le capot. Il soulève ma jupe, sort de son pantalon un pénis qui me semble respectable, vu la sensation que je ressens entre les fesses, puis, sans aucune préparation, il me soulève d'un seul coup, sans aucune délicatesse. Je suis déjà habituée à la sodomie, mais dans ce cas, sans aucune préparation, je ne peux m'empêcher de crier, mais je n'arrive pas à exprimer complètement ma douleur car il a pris la précaution de me bâillonner avec son écharpe.

Prenant son temps, il enfonce et retire son pénis avec de grands mouvements de hanches. Ses mains agrippent mes seins, puis pincent mes tétons, les tirant vers l'avant avec de longs mouvements. Peu à peu, la douleur disparaît pour laisser place à une douce chaleur qui envahit mes reins et remonte jusqu'à mes seins. Je m'envole vers l'orgasme. Mon anus est déchiré, mes seins meurtris, mais c'est mon bonheur que j'ai envie de crier ! Jean me fait jouir, longtemps, sans retenue. Il n'a pas fini. Il se retire de mon cul, me tourne vers lui, retire l'écharpe de ma bouche et, en appuyant sur ma tête, m'oblige à avaler son pénis jusqu'au fond de ma gorge. Je sanglote sous l'assaut brutal de ce Priape au goût fortement musqué, imprégné des arômes de mon anus d'où il sort. Mon mari, jusqu'ici spectateur, se place derrière moi, m'attrape par les hanches et, après avoir déboutonné son pantalon, me pénètre profondément sans aucune difficulté. À ce moment-là, il n'y a plus qu'une alternance de bites : un coup dans la gorge, un coup dans le cul...

Je suis secoué dans tous les sens. Philippe et Jean prolongent le plaisir en abusant de moi pendant longtemps. Je ne compte plus les orgasmes et ils finissent par jouir ensemble dans ma bouche et dans mon cul. Jean m'ordonne alors de monter à l'arrière de sa voiture, une Renault Espace aux vitres teintées qui empêchent de voir l'intérieur, et de me déshabiller complètement.

Il donne les clés à Philippe pour qu'il prenne le volant, puis s'assoit à côté de moi.

L'intérieur du véhicule est aménagé de telle manière que l'arrière est isolé de l'avant par une paroi opaque, avec un seul siège au fond, le sol et les côtés recouverts d'une épaisse moquette. Au centre, un tabouret étroit, recouvert de cuir, est fixé au sol.

Jean s'assoit sur le siège et m'ordonne de me mettre à quatre pattes sur le sol, le cul vers lui et les bras appuyés sur le tabouret. Il appuie sur le bouton de l'interphone et dit à Philippe que nous pouvons partir vers une destination que j'ignore et qu'ils sont, bien sûr, les seuls à connaître.

Dans la position où je me trouve, résolument consentante, mon anus est complètement exposé et mes seins pendent. Mes lèvres et mon visage sont couverts de sperme et mon sexe, jusqu'alors négligé, dégouline de plaisir.

Jean m'ordonne alors de me masturber. Ma main droite commence à caresser délicatement mon clitoris, je le tire lentement entre mon pouce et mon index et ce simple geste suffit à me faire jouir immédiatement.

Jean ouvre alors une mallette devant moi. À l'intérieur se trouvent divers godes de différentes tailles. L'un d'eux est monstrueux, aussi gros qu'une batte de baseball. Malgré le froid, la sueur m'envahit à la vue de cet instrument et j'imagine qu'il me déchire. Jamais je ne pourrais absorber un tel objet dans mon sexe, et encore moins dans mon cul ! Et je me souviens aussitôt du mot clé qui pourrait tout arrêter.

Comme s'il lisait dans mes pensées, Jean dit alors :

« Non, ce gode n'est pas pour maintenant, tu dois d'abord être prête. À la fin de ton apprentissage, lorsque tous tes orifices auront été visités de différentes manières, lorsque ton corps et ton esprit seront complètement malléables, alors, en récompense suprême, tu auras droit au « Supergod ». Ce que tu ne vois pas, c'est qu'il est équipé d'un robot intelligent qui réagit à toutes les sensations féminines. Lors de l'épreuve finale, et seulement si tu as brillamment réussi toutes les épreuves auxquelles tu seras confrontée, une fois qu'il sera en toi, tu jouiras comme tu n'as jamais joui auparavant et comme tu ne jouiras plus jamais de ta vie. Supergod analysera à l'avance tous tes désirs et te procurera toutes les sensations que tu espères ressentir. Mais pour l'instant, passons à des choses plus prosaïques !

Pendant plus d'une heure, le temps nécessaire pour arriver à destination, à part Supergod, j'ai dû essayer tous les instruments de la mallette. Jean m'a déchiré le cul et la chatte avec des boules de geisha, des godes aux formes étranges, couverts de nodules ou d'anneaux, de différentes tailles, avec ses doigts que je devais lécher et, enfin, avec le goulot d'une bouteille de champagne qu'il avait ouverte pour se rafraîchir. Il ne m'a pas laissé de répit. Il ne s'arrêtait que pour m'empêcher de jouir. Frustrée, une fois arrivés, je suis descendue nue, sans chaussures, de la voiture. Nous étions dans la cour de ce qui semblait être une maison seigneuriale normande au toit de chaume. Les bruits et les odeurs de la campagne ont été mes premières sensations.