Les Cousines Coquines ! - Eva Rossi - E-Book

Les Cousines Coquines ! E-Book

Eva Rossi

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Beschreibung

Dans cette nouvelle collection signée Eva Rossi, l’érotisme se fait intensément charnel et profondément psychologique, explorant les zones d’ombre du désir et les jeux de pouvoir qui naissent entre adultes consentants. Au fil de récits contemporains ancrés dans des décors familiers — appartements parisiens, plages de la Côte d’Azur, villages reculés — chaque histoire déploie une tension sensuelle qui se noue lentement avant d’exploser dans une jouissance assumée. Les Cousines Coquines !, récit phare du recueil, entraîne le lecteur au cœur d’une après-midi d’été où trois jeunes femmes, perdues dans les bois, trouvent refuge dans une cabane abandonnée. Ce qui aurait pu rester un simple abri se transforme en huis clos brûlant, où les liens familiaux s’effacent au profit d’un jeu imprévu, aussi troublant qu’irrésistible. « Dans la pénombre, leurs mains se faisaient plus audacieuses, leurs voix plus basses. J’entendais encore le souffle chaud sur ma peau, le murmure qui annonçait qu’il n’y aurait plus de retour en arrière… » Entre caresses et domination, provocation et abandon, la frontière entre vengeance et plaisir se brouille, révélant un fantasme longtemps contenu. La plume d’Eva Rossi capte chaque frisson, chaque hésitation, chaque élan irrépressible, et nous entraîne dans un vertige sensuel où l’interdit se mêle à l’extase. Un recueil où l’on se surprend à retenir son souffle… juste avant de le perdre.

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Seitenzahl: 113

Veröffentlichungsjahr: 2025

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Les Cousines Coquines !

Histoires Erotiques de Sexe Explicite Hard pour Adultes - Contes Interdites et Taboues

______________________

Eva Rossi

Sommaire

Sommaire

Imprint

Introduction

Avant de commencer...

Les cousines coquines !

Avant de partir...

Imprint

© 2025 Eva Rossi

Photo de couverture : Canva

Impression et distribution pour le compte de l'auteur :

tredition GmbH, Heinz-Beusen-Stieg 5, 22926 Ahrensburg, Allemagne

L'ouvrage, y compris ses parties, est protégé par le droit d'auteur. L'auteur est responsable de son contenu. Toute utilisation est interdite sans son accord. La publication et la diffusion sont effectuées sur ordre de l'auteur, à contacter à l'adresse suivante : Eva Rossi, Friedrichstraße 155, 10117 Berlin, Allemagne.

Adresse de contact selon le règlement européen sur la sécurité des produits : [email protected]

Introduction

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Beaucoup des contes passionnantes à vivre seul ou en compagnie.

Vous trouverez de nombreux dialogues entre les protagonistes des histoires, afin que vous puissiez aussi vous imaginer au centre de la scène, comme si vous étiez vous-même un personnage de l'histoire.

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Le livre contient un contenu sexuel explicite et ne convient pas aux personnes de moins de 18 ans. Les histoires sont de pure fantaisie: les personnages sont tous d'âge et, comme le contenu, ils sont fictifs.

Avant de commencer...

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Un bisou et une bonne lecture, Eva!

Les cousines coquines !

Bonjour, je m'appelle Anne-Abigail et cette histoire est basée sur des faits réels.

Cet après-midi, après une promenade dans les bois, nous sommes arrivées à une cabane abandonnée.

« Entrons nous reposer un peu », a dit Sandrine, visiblement très fatiguée.

« Bonne idée », a ajouté Stéphanie.

Nous nous sommes toutes les trois dirigées vers cette maison faite de rondins et recouverte de mousse, signe que peu de gens passaient par là. J'ai poussé la porte, qui a opposé une légère résistance, et je suis entrée la première. La pénombre qui régnait dans la pièce me permettait à peine de distinguer les meubles. Devant moi, il y avait une table mal sculptée avec une chaise à côté, au fond une commode et en face de l'entrée un canapé très usé. Plongée dans ma contemplation, je suis surprise que Sandrine s'approche derrière moi, m'attrape les poignets et les tend à Stéphanie, qui en un clin d'œil les attache avec une corde fine.

« Mais... qu'est-ce que vous faites ?

Je n'ai pas eu le temps de finir ma phrase qu'une secousse sur mes poignets m'oblige à lever les bras. Je vois Sandrine tirer sur la corde qui me lie les poignets, en lancer l'extrémité sur une poutre du plafond et me soulever de toutes ses forces. Elle est si rapide que je suis obligée de me mettre sur la pointe des pieds pour ne pas me faire mal aux épaules.

— Vous êtes folles... ! Lâchez-moi immédiatement... !

Un nœud d'angoisse me serre la gorge quand je vois Stéphanie, qui finit d'attacher la corde à un anneau fixé au mur, me regarder avec des yeux ardents.

« Qu'est-ce que je vous ai fait... ? Pourquoi... ? Attachez-moi... Je vous en prie... ! ».

« J'en ai marre que tu nous traites avec supériorité, avec tes airs de fille de la ville, en se moquant de nous et en nous méprisant constamment, alors on va t'apprendre comment on traite les prétentieuses comme toi ici ! », dit Stéphanie pleine de rage.

« Je ne le ferai plus... Lâchez-moi, vous me faites mal aux poignets... Je suis désolée, Steff, je suis désolée ! ».

— « Trop tard, Anne, tu aurais dû y penser avant ! »

Je vois Stéphanie se diriger vers la commode, ouvrir un tiroir et prendre un objet. Quand elle se tourne vers moi, elle me montre un bâton en bois.

— « Je vais te réchauffer les fesses, ça t'apprendra à être modeste. »

« Non... ! Tu n'oseras pas... Non... ! Je ne veux pas... ! »

Quand Stéphanie passe devant moi, j'essaie de lui donner un coup de pied, mais je perds l'équilibre et une douleur intense me traverse les poignets. J'essaie d'arrêter de vaciller en me mettant sur la pointe des pieds, mais je n'y arrive pas.

— « Salope... !! Tu me fais mal aux mains, lâche-moi... !! ».

— « Comment oses-tu me traiter de salope... ?! Tu vas voir... Je me suis toujours demandé quel genre de culottes portaient les filles de la ville ! ».

Accompagnant ses paroles de gestes, elle se place derrière moi, soulève lentement ma jupe, découvrant peu à peu mes cuisses, et lorsqu'elle commence à voir ma culotte, elle s'exclame

« Tu portes une culotte de salope, ma chère Anne. Regarde Sandrine, elle porte une culotte en dentelle presque transparente, on voit ses poils et on distingue presque sa chatte.

Morte de honte à cause des commentaires de Stéphanie, je me mets à pleurer.

— « Ça suffit, tu as déjà gagné (snif), je vais bien me comporter (snif) ! ».

Les larmes coulent sur mon visage, mais quand j'entends Sandrine, je n'en crois pas mes oreilles.

— « Steff, tu crois qu'elle est encore vierge ? En ville, ils doivent beaucoup la toucher ! ».

« Je ne sais pas, il suffit de vérifier... ».

Stéphanie finit de relever ma jupe jusqu'à la taille, découvrant mes cuisses fermes et minces, la roule et la glisse dans ma ceinture. Puis elle fait glisser ses mains sur mes hanches et s'arrête lorsqu'elle arrive à l'élastique de ma culotte.

— « Non ! Steff, ne fais pas ça ! Ne baisse pas ma culotte... Non ! ».

Malgré mes efforts, ligotée comme je suis, je ne peux rien faire. Je sens les mains de Sandrine baisser ma culotte très lentement, découvrant les poils roux de mon pubis et de l' , puis la fente de mon sexe. Lorsqu'elle arrive à mi-cuisse, elle la laisse tomber. Je sens le tissu glisser le long de mes jambes et je vois ma culotte former une tache blanche sur le sol. De rage, je donne un coup de pied à Stéphanie.

— Aïe... !

Au cri que j'entends, je comprends que mon talon l'a touchée au ventre. Je vois Stéphanie se tenir le ventre, pliée en deux par la douleur.

— Aïe, tu me fais mal... ! Tu vas me le payer !

« Attends, Steff, attachons-la autrement », intervient Sandrine.

— « Comment ? » demande Stéphanie en se redressant péniblement et en me lançant un regard meurtrier.

« Attachons-lui les jambes pour qu'elle ne puisse pas bouger. »

Sandrine et Stéphanie s'approchent de moi.

— « Excuse-moi, Steff, excuse-moi ! Je ferai tout ce que tu veux. Je suis désolée. »

Une fois arrivée à ma hauteur, Stéphanie s'accroupit et m'attrape la cheville.

« Anne, si tu bouges, je te jure que tu le regretteras. »

Le ton de Steff est si dur que je n'ose pas bouger. Sandrine desserre la corde qui me lie les poignets, ce qui me fait un bien fou, car je peux enfin poser les pieds par terre. Très vite, un fourmillement parcourt mes bras et mes mains, suivi d'un chatouillement de plus en plus douloureux à mesure que le sang recommence à circuler. Sandrine et Stéphanie en profitent pour attacher une corde à chacun de mes poignets avec un , puis elles passent l'extrémité à travers des anneaux fixés au sol et tirent sur les cordes, m'obligeant à écarter les jambes. Lorsqu'elles sont satisfaites, elles attachent les cordes aux anneaux. Je suis complètement immobilisée, à leur merci.

« Qu'est-ce que tu vas me faire ? »

Sandrine s'approche de moi et me dit en me regardant dans les yeux.

« Tu n'aurais pas dû faire ça, Anne... ».

Elle se laisse tomber à genoux et son visage se retrouve à hauteur de mon sexe. Elle pose ses mains sur mes fesses, me faisant sursauter.

« Qu'est-ce que tu vas me faire ? »

— Juste vérifier si tu as encore la pilule », me répond-elle en riant.

Le souffle de Sandrine qui rit sur ma chatte, les caresses de ses mains sur mes fesses et la situation dans laquelle je me trouve commencent à me donner des picotements dans le bas du dos. Une chaleur que je connais bien irradie ma chatte. Je lutte de toutes mes forces pour ne pas laisser transparaître mon excitation. Mais lorsque Sandrine écarte les lèvres de ma chatte, je suis obligée d'admettre l'évidence.

« Regarde ça, Steff, non seulement elle n'est plus vierge, mais elle est mouillée comme une fontaine. Elle aime ça, c'est une vraie salope. »

Les mots de Sandrine me blessent, mais je préfère ne rien dire.

« Si elle aime être touchée, je vais lui faire une belle surprise », dit Stéphanie en se dirigeant vers la porte. Avant de sortir, elle me regarde

« Je pense que tu vas aimer, Anne, tu n'aurais pas dû me frapper, je t'aurais pardonné ton arrogance, mais maintenant j'ai un compte à régler avec toi ». Et elle claque la porte derrière elle.

« Que va-t-elle me faire ? »

« Je ne sais pas », me répond Sandrine, « mais ça fait longtemps que je te désire, je vais en profiter... ».

Je regarde Sandrine, son visage ovale encadré de cheveux blonds est tourné vers moi, un torrent sensuel jaillit de ses yeux bleus. Elle approche sa bouche de ma vulve, écarte à nouveau les lèvres de ma chatte, saisit délicatement mon clitoris et commence à le sucer comme s'il s'agissait d'un bonbon. Une violente décharge secoue mon bas-ventre, mon bassin ondule au rythme des caresses de Sandrine. Le plaisir, insidieux au début, devient de plus en plus fort. En femme expérimentée, Sandrine contrôle la montée de mon orgasme, retardant autant que possible les limites de l'explosion.

—Sandrine... Je... Oui... Encore un peu... Oui... Oui... Ouiiiii ! Je veux jouir ! Hoo0o ! Ouiiiii... Haaa... Ouiiiii... !

Un orgasme fulgurant traverse mon corps, me laissant sans forces, sur le point de m'évanouir. Quand je reprends conscience, je vois Stéphanie devant moi.

— « Alors, petite salope ? Je vois que tu ne t'es pas ennuyé pendant mon absence. Sandrine voulait te faire un minetto depuis longtemps. C'est maintenant à mon tour de jouer avec toi. Regarde, je t'ai cueilli des fleurs... ».

Stéphanie tient délicatement un bouquet de fleurs dans ses mains. Elle les dispose une à une sur la table. Il y en a six en tout. Je réalise alors que ce ne sont pas des fleurs, mais des orties. Un cri s'échappe de ma bouche

— « Qu'est-ce que tu fais avec ça ?! ».

« Nettoyer ta chatte. Regarde-toi, tu es toute mouillée. Ce n'est pas très hygiénique. Toi qui passes des heures dans la salle de bain à te pomponner, tu devrais le savoir. » me dit-elle avec un sourire aux lèvres.

« Non... Non... Non... Non, Steff, tout ce que tu veux, mais pas ça ! ».

Comme une hystérique, je lutte pour me libérer des cordes. J'essaie de joindre les jambes, mais c'est impossible car je suis trop bien attachée.

« Steff, je t'en supplie, ne fais pas ça... ».

Stéphanie observe mes efforts inutiles. Elle sort un mouchoir de l'une des poches de son jean, l'enroule autour de la tige de la première ortie, la soulève et s'approche de moi.

Je suis prise de panique.

— « Non... ! »

Soudain, Sandrine et Stéphanie éclatent de rire.

« Regarde, elle fait pipi... Elle a tellement peur qu'elle fait pipi », dit Sandrine entre deux sanglots.

« La salope, faire ça devant nous... tu n'as pas honte ? », ajoute Stéphanie.

Je ne peux rien faire, je n'arrive pas à m'arrêter, je regarde cette fontaine dorée qui jaillit de ma chatte et mouille le sol sablonneux de la cabane. Peu à peu , le jet s'assèche jusqu'à ne laisser que quelques gouttes. Je suis rouge de honte et n'ose pas regarder devant moi, je garde la tête baissée, sentant mes yeux se remplir de larmes.

En s'approchant de moi, Stéphanie me dit

« Tu es une fille très sale. Admets que tu dois maintenant bien te nettoyer la chatte ».

Je ne réponds pas. Mais quand je vois les feuilles d'ortie entre mes jambes, je ne peux m'empêcher de supplier Stéphanie.

« Tu m'as déjà assez humiliée... Arrête, Steff... !! ».

Je vois les doigts de Stéphanie séparer les lèvres de mon vagin. Je retiens mon souffle car les feuilles d'ortie s'approchent de ma chatte. Prise de peur, je ne bouge pas. Lentement, Stéphanie fait glisser les feuilles d'ortie entre les lèvres de ma chatte, entre mes jambes et enfin dans la fente de mes fesses. Par réflexe, je serre les fesses, ce qui ralentit encore plus le mouvement des orties. Une fois qu'elles sont complètement passées, Stéphanie jette la tige par terre.

— Et un... !

Ces mots font l'effet d'un déclic, jusqu'à ce moment-là, je ne sentais rien. Soudain, un picotement se propage à l'intérieur de ma vulve, rapidement remplacé par une véritable démangeaison, puis des piqûres semblables à des piqûres d'insectes se propagent le long du trajet suivi par les feuilles d'ortie, se transformant en une brûlure unique.

« Aïe... ! Ça brûle... ! Ça fait mal ! ».

À travers le brouillard de larmes qui m'empêche de voir, j'aperçois Stéphanie qui revient vers moi avec une autre branche d'ortie.