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Les petites nouvelles, recueil de nouvelles touchant, semble être un roman policier, cependant, il met en lumière ce que ressentent les individus abandonnés et délaissés par leur famille.
À PROPOS DE L'AUTEURE
Éprouvant un penchant pour la justice et passionnée de films policiers,
Clarisse Parfait en fait son métier. Sa force se situe dans le fait de transformer ses désespoirs en détermination.
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Seitenzahl: 53
Veröffentlichungsjahr: 2023
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Clarisse Parfait
Les petites nouvelles
Nouvelles
© Lys Bleu Éditions – Clarisse Parfait
ISBN : 979-10-377-7284-8
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Les vacances se passaient dans une forêt avec une rivière et plusieurs chalets en bois.
Les chalets se trouvaient à sept cents kilomètres d’une autoroute.
Ils étaient entourés d’arbres et de rosiers.
Ces vacances se passaient en Suisse.
Cette année, il y avait eu du nouveau sur ce terrain car il y avait plusieurs chalets, en plus des anciens qu’il y avait depuis des années.
Il y avait en tout, sur deux hectares, huit chalets avec garage.
Il y avait un couple de personnes à la retraite, c’étaient des fleuristes, ils avaient soixante ans.
Ça faisait des années qu’ils venaient passer des vacances dans ce chalet.
Il y avait également deux familles qui venaient chaque année avec leurs enfants. Les parents avaient tous trente ans.
Cette année-là, il y avait eu de nouvelles personnes et quelques autres chalets vides.
Il y avait l’un des anciens chalets vides qui était hanté car il y a plus de trente ans, il y avait déjà eu un meurtre de cinq adolescentes et depuis, il s’y passait des bruits bizarres et des cris la nuit.
Dans un autre chalet, il y avait cinq adolescentes qui fêtaient leurs dix-huit ans.
En passant leurs vacances en Suisse, elles pensaient à ce qu’elles allaient vivre.
Elles étaient blondes et brunes aux yeux marron et verts.
Il y avait également dans un autre chalet, un homme seul qui portait tout le temps des géants, un bonnet et des lunettes noires. Il avait une grande barbe.
Il était de petite taille, un mètre soixante-deux environ.
Un matin, les enfants de deux familles allaient jouer sur et autour de la rivière glacée.
Le couple de personnes âgées se nommait monsieur et madame Canard. Jacky et Marie-Louise se baladaient le long de la rivière ce matin-là.
L’homme tout seul coupait régulièrement du bois avec une hache.
Il regardait tout le temps le couple de personnes âgées, et chaque fois qu’il coupait le bois, il le coupait de plus en plus fort.
Les parents discutaient tous les après-midi autour du chocolat chaud.
Les enfants se comportaient et traitaient monsieur et madame Canard comme leurs grands-parents car ils avaient toujours des histoires à raconter, même plus effrayantes.
Il aurait fallu d’un week-end pour que tout se bouleverse et que ses vacances changent à tout jamais ainsi que la vie des personnes présentes.
Il se passe une seconde fois un meurtre qui ne se déroule pas de la même manière cependant car le meurtrier empoissonnera ses victimes, les assommera et les enterrera dans la terre sous la neige.
Ce jeudi-là, on était le vingt-neuf mai mille neuf cent soixante-neuf, comme il neige beaucoup, tout le monde était resté chez eux, y compris les enfants.
Tout au long de la journée, Monsieur et madame Canard sortaient pour aller voir les enfants dans chaque chalet, dès qu’ils ontterminé, ils allaient voir l’homme tout seul pour savoir pourquoi il les regardait afin de savoir s’il les connaissait.
Le couple sonne et toque à la porte, et au bout de trois fois, l’homme ouvre la porte et leur demande méchamment ce qu’ils veulent.
Il lui répond gentiment et étonné de sa réaction.
« Bonjour, monsieur, excusez-nous de vous déranger mais on a remarqué depuis que vous êtes arrivé que vous nous observer beaucoup et il nous semble qu’on ne se connaisse pas donc pourquoi vous nous regardez comme cela ? »
L’homme ne répond même pas à la question du couple, il leur claque la porte au nez.
Le couple se regarde, repart et se dit : « celui-là, c’est un fou. »
L’homme les regarde par sa fenêtre à l’étage et affûte la hache ainsi que des couteaux.
Le soir venu, les cinq adolescentes faisaient une grande fête avec la musique à fond et il y avait beaucoup d’autres personnes qui étaientvenues à cette fête même les adolescents qui étaient en vacances avec leurs parents étaient venus. Pendant ce temps, l’homme sort de son chalet vers vingt-trois heures et toque à la porte de monsieur et madame Canard.
Monsieur descend les escaliers et ouvre la porte et il se prend un coup de couteau dans le ventre.
L’homme traîne le corps de monsieur Canard dans le salon et le dépose sur un tapis et monte à l’étage et voit madame Canard.
Il ouvre la porte et entre, elle était en train de dormir.
Il lui met un coup de couteau et l’emballe dans ses draps et la descend sur son dos ensuite, il creusera un très gros trou.
Il assomme monsieur Canard par la tête plusieurs fois contre le sol et assomme également madame de la même façon, l’emmène dans le trou. Quand il la lâche, ça craque dans le sol.
Monsieur Canard dans le trou, il le referme.
L’homme retourne chez lui et se couche.
Le lendemain, comme il y avait du sang dans la neige, les vacanciers sortent de leur chalet et découvrent ce qui s’est passé cette nuit.
L’homme sort de chez lui et crie devant tout le monde.
Il leur dit qu’il a tué un renard cette nuit à cet endroit et c’est la première fois qu’il chassait, il voulait voir ce que ça faisait de tuer.
Qu’il a enterré le corps du renard ici.
Tout le monde se regarde et chacun retourne chez lui.
Seuls un petit garçon et une petite fille trouvent bizarre que monsieur et madame Canard ne soient pas sortis de chez eux.
Ils se disent également qu’ils sont peut-être fatigués et qu’ils les verront plus tard.
Il rentre chez eux.