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Sous la plume ardente et subtile d’Eva Rossi, chaque page devient un murmure brûlant, une caresse qui s’attarde. Cette collection de récits contemporains, ancrés dans l’atmosphère intime et charnelle de la France, explore les élans du désir avec un art consommé : sensuel, raffiné, jamais vulgaire. Des instants suspendus où le corps parle plus fort que les mots, où le plaisir se décline en mille nuances. Parmi ces histoires, Lili dans le Jacuzzi se déploie comme une invitation au voyage intérieur et charnel. Dans la chaleur moite d’une petite pièce lambrissée, les bulles effleurent la peau, le jazz s’infiltre dans l’air, et deux amies s’apprivoisent sans un mot, au rythme des gestes lents et précis. « L’eau chaude m’enveloppait, sa main glissait contre ma peau comme un secret confié à voix basse… Le monde s’effaçait, il ne restait plus qu’elle et moi. » Ici, la tentation est une onde qui se propage, douce et irrésistible. Chaque page attise la curiosité, chaque phrase s’insinue comme un parfum qu’on ne peut oublier. Fermez les yeux… et laissez les bulles vous emporter.
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Seitenzahl: 98
Veröffentlichungsjahr: 2025
Ähnliche
Lili dans le Jacuzzi
Histoires Erotiques de Sexe Explicite Hard pour Adultes - Contes Interdites et Taboues
______________________
Eva Rossi
Sommaire
Sommaire
Imprint
Introduction
Avant de commencer...
Un réveillon très... chaud !
Lili dans le jacuzzi
Je couche avec des filles et je l'accepte
Les secrets d'une orpheline
Mon petit secret d'été
La voisine
Avant de partir...
Imprint
© 2025 Eva Rossi
Photo de couverture : Canva
Impression et distribution pour le compte de l'auteur :
tredition GmbH, Heinz-Beusen-Stieg 5, 22926 Ahrensburg, Allemagne
L'ouvrage, y compris ses parties, est protégé par le droit d'auteur. L'auteur est responsable de son contenu. Toute utilisation est interdite sans son accord. La publication et la diffusion sont effectuées sur ordre de l'auteur, à contacter à l'adresse suivante : Eva Rossi, Friedrichstraße 155, 10117 Berlin, Allemagne.
Adresse de contact selon le règlement européen sur la sécurité des produits : [email protected]
Introduction
Voulez-vous exciter et donner tout le plaisir que vous méritez?
Envie d'un vrai moment de détente intime et de bienêtre?
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Avec ce livre vous aurez l'occasion d’avoir tout ce que vous avez toujours voulu mais que personne ne vous a jamais donné: beaucoup, vraiment beaucoup d'histoires explicites en français, comme vous l'avez toujours voulu!
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Beaucoup des contes passionnantes à vivre seul ou en compagnie.
Vous trouverez de nombreux dialogues entre les protagonistes des histoires, afin que vous puissiez aussi vous imaginer au centre de la scène, comme si vous étiez vous-même un personnage de l'histoire.
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Le livre contient un contenu sexuel explicite et ne convient pas aux personnes de moins de 18 ans. Les histoires sont de pure fantaisie: les personnages sont tous d'âge et, comme le contenu, ils sont fictifs.
Avant de commencer...
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Un bisou et une bonne lecture, Eva!
Un réveillon très... chaud !
À l'époque, je vivais encore avec mon mari dans un lotissement et chaque année, nous fêtions le Nouvel An avec nos voisins. Cette année-là, le dîner était chez nous. Nous étions une vingtaine d'invités. Parmi nos voisins, il y avait Georges, de quinze ans mon aîné, sa femme et l'un de leurs fils, Gilles, qui n'avait pas encore dix-huit ans. Georges me regardait constamment avec désir, mais je n'aurais rien fait avec cet homme, même pour tout l'or du monde. Chaque fois que nous organisions une fête, il trouvait le moyen de danser avec moi et, pendant les slows, je sentais son désir presser contre mon ventre. Je ne suis pas du tout une poupée, je suis brune, je mesure 1,55 m, je pèse 43 kg, j'ai une poitrine discrète mais bien pleine et un petit cul. Ce soir-là, je portais une jupe mi-longue avec un corsage assorti, j'avais enlevé mon soutien-gorge à la demande de mon mari, car on voyait trop les bretelles, et pour lui faire plaisir, j'avais mis des bas couture soutenus par un porte-jarretelles noir et une culotte de la même couleur. J'étais plutôt sexy, à vrai dire. Nous avons commencé la soirée tôt et, comme certains invités étaient un peu en retard, nous avons mangé quelques amuse-gueules supplémentaires. Nous étions enfin sur le point de passer au premier plat lorsque mon mari a demandé à Gilles de nous donner un coup de main et a demandé aux autres d'attendre quelques minutes. J'étais un peu pompette et j'ai suivi mon mari et Gilles dans le garage (où nous avions laissé les assiettes).
Dès que nous sommes entrés dans le garage, mon mari s'est placé derrière moi, je faisais face à Gilles, et il a baissé les bretelles de mon corset, découvrant mes seins devant Gilles.
« Ses seins sont beaux, n'est-ce pas ? », lui a-t-il dit.
Gilles a balbutié des mots incompréhensibles et mon mari lui a proposé de les toucher. Il ne s'est pas fait prier et ses mains se sont posées sur mes seins, les palpant sans délicatesse. Cela a duré quelques instants, puis mon mari lui a fait une autre proposition.
« Mets-toi à genoux ! ».
Il obéit, mon mari souleva lentement ma jupe jusqu'à l'ourlet de mes bas. Je ne réagis pas, l'alcool m'enivrait doucement et je me laissai faire sans opposer de résistance. « Monte avec tes mains le long de ses jambes », et Gilles les fit glisser le long de la soie de mes bas. Arrivé à la hauteur de l'ourlet de ma jupe, il s'arrêta en attendant que mon mari lui permette de monter plus haut. « Continue ! », ses mains passèrent de la soie des bas à la peau nue de mes cuisses et continuèrent jusqu'à toucher mes fesses. Il les palpa, mais n'osa pas aller plus loin. À présent, devant ses yeux, je voyais à la fois les jarretières de ma ceinture, le bas de ma culotte, très transparente, et à travers celle-ci, mes poils pubiens. Mon mari souleva ma jupe jusqu'à ma taille et dit à Gilles : « Enlève-lui sa culotte ! ». Il baissa la fine dentelle et ses yeux se posèrent sur ma chatte, il me fit lever un pied puis l'autre pour me libérer et se dépêcha de la remettre dans sa poche. Il approcha sa main de mon sexe et, sans que mon mari me le demande, j'écartai les jambes pour lui permettre de poser ses doigts sur le renflement de mes lèvres intimes. Il était maladroit, j'étais mouillée à cause de la façon dont mon mari m'avait traitée, alors je pris son index et le posai sur mon clitoris, l'invitant à me caresser. Je ne tardai pas à avoir un orgasme bref mais très intense.
Mon mari mit fin à notre jeu en disant : « Il faut garder quelque chose pour plus tard. » Ma jupe tomba et le fait de savoir que je ne portais pas de culotte m'excita encore plus. Nous étions en train de manger le premier plat et l'ambiance était animée. Nous étions relativement proches les uns des autres et, d'un mouvement in , Georges, qui était à côté de moi, m'a touché la cuisse avec le dos de la main. J'ai tout de suite compris qu'il avait remarqué que je portais des bas et sa main est revenue sur ma cuisse. Discrètement, pour ne pas réveiller les autres, il a cherché à confirmer ce qu'il pensait. Entre-temps, mon mari était retourné dans le garage pour allumer le four. Je lui ai dit à voix basse de retirer sa main, mais il ne m'a pas écoutée et a continué à la faire glisser sur le tissu de ma jupe jusqu'à ce qu'il attrape la bande de ma jarretière. J'ai essayé de le repousser sans grand succès. Finalement, il a remis sa main sur la table et m'a murmuré à l'oreille : « Tu es très coquine, ce soir tu m'apprendras d'autres choses ». Je ne lui ai pas répondu et nous sommes passés au deuxième plat. Je me suis levée avec Gilles et nous avons rejoint mon mari. Dès que nous sommes entrés dans le garage, mon mari, qui ne savait pas ce qui venait de se passer, m'a dit : « Soulève ta jupe et écarte les jambes, je veux que Gilles te lèche la chatte ! ». Nous avions installé le canapé dans le garage et je m'allongeai dessus. Il ne se fit pas prier et, dès que j'obéis, sa bouche se posa sur ma chatte. Suivant les sages conseils de mon mari, il glissa sa langue dans mon nid d'amour. Mon mari l'encourageait en me faisant lever les jambes le plus haut possible pour m'offrir complètement à ses caresses avec sa bouche. Je lui ai demandé d'insister sur mon clitoris et, comme auparavant, j'ai été envahie par un orgasme. Les moules étaient prêtes à être mangées et la mienne était presque prête.
Gilles et mon mari ont pris deux assiettes chacun pour les apporter à table et m'ont demandé de faire de même après avoir rempli le four avec les quatre assiettes qui attendaient d'être cuites. Seule dans le garage, je mis les assiettes dans le four et pris les deux autres qui m'attendaient. J'étais sur le point de sortir lorsque Georges entra. Les mains occupées, il se plaça devant moi et, d'un mouvement rapide, souleva ma jupe jusqu'à la taille. Ses yeux s'écarquillèrent lorsqu'il découvrit mes jambes enveloppées dans des bas et l'absence de culotte qui laissait ma chatte à la vue de son regard. « Petite salope », m'a-t-il dit, « c'est encore mieux que ce que j'imaginais », et sa main s'est enfoncée entre mes cuisses. « Ouvre-toi plus », m'a-t-il ordonné, et son doigt a fouillé ma chatte sans scrupules, « tu es toute mouillée, tu veux être baisée ». Je ne savais pas quoi dire ni quoi faire. Tandis qu'une de ses mains me cherchait entre les jambes, l'autre se glissa dans mon corsage et me pressa les seins tout en me pinçant fort les tétons. Il me soumit à ce traitement pendant quelques minutes, suffisamment pour que je jouisse à nouveau. Il posa sa bouche sur la mienne pour étouffer mes gémissements. « On n'a pas beaucoup de temps, mais ne t'inquiète pas, tu auras ta récompense », m'a-t-il murmuré, « et je suis sûr que c'est ce que tu veux, n'est-ce pas ? » Il a répété la question pour m'entendre répondre : « Oui ! Oui, tout ce que tu me diras : oui, je te désire ». J'ai apporté les deux assiettes qui, par miracle, n'étaient pas tombées dans la confusion, et Georges est arrivé quelques secondes plus tard. Mon mari discutait avec les autres invités et ne remarqua même pas que je m'étais assise, mais Gilles me regardait avec un sourire plein de désir. La soirée avançait, nous étions passés au plat principal et, à part le fait que Georges me caressait les cuisses sous la table dès qu'il le pouvait, il ne se passa rien d'autre jusqu'à minuit. Après les embrassades traditionnelles du Nouvel An, mon mari mit de la musique pour que les invités puissent danser en attendant le fromage.
