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Sous la plume envoûtante d’Eva Rossi, chaque mot caresse, chaque scène trouble, chaque émotion palpite au rythme du désir. Cette collection de récits érotiques contemporains, ancrés dans la sensualité du quotidien et les paysages vibrants de la France, explore les vertiges de la tentation, la fièvre des rencontres imprévues, et les paradoxes du plaisir assumé. "Ma Petite Amie", le récit phare de cette œuvre, dépeint avec une grâce sulfureuse l’histoire d’une femme que l’on croit connaître, mais dont les nuits révèlent des profondeurs insoupçonnées. Sur une aire d’autoroute, dans l’obscurité complice d’une camionnette, les corps se cherchent, se confient, s’abandonnent. La frontière entre secours et soumission, entre liberté et transgression, s’efface sous le poids d’un désir irrépressible. « Il entrouvrit la portière. Elle monta sans un mot. Il lui tendit sa bouteille, elle prit une gorgée, puis posa ses lèvres sur les siennes. Ce n'était ni un remerciement ni une supplication : c'était une offrande. » Charnels, subtils et fiévreux, les récits d’Eva Rossi captivent par leur audace élégante et leur douceur perverse. Ici, l’érotisme n’est jamais crié : il s’insinue, il enveloppe, il obsède. Un livre comme une caresse dangereuse, qu’on n’ose refermer qu’à regret.
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Seitenzahl: 97
Veröffentlichungsjahr: 2025
Ma Petite Amie
Nouvelles Erotiques pour Adultes – Histoires de Sexe Explicites et Taboues (Interdites & Hard)
______________________
Eva Rossi
Sommaire
Imprint
Introduction
Avant de commencer...
Le rencontre
MARIE-HÉLÈNE ET LA FÊTE DE BAYONNE
MA PETITE AMIE SEULE EN VACANCES
UNE DISPUTE QUI SE TERMINE BIEN
Avant de partir...
© 2025 Eva Rossi
Photo de couverture : Canva
Impression et distribution pour le compte de l'auteur :
tredition GmbH, Heinz-Beusen-Stieg 5, 22926 Ahrensburg, Allemagne
L'ouvrage, y compris ses parties, est protégé par le droit d'auteur. L'auteur est responsable de son contenu. Toute utilisation est interdite sans son accord. La publication et la diffusion sont effectuées sur ordre de l'auteur, à contacter à l'adresse suivante : Eva Rossi, Friedrichstraße 155, 10117 Berlin, Allemagne.
Adresse de contact selon le règlement européen sur la sécurité des produits : [email protected]
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Un bisou et une bonne lecture, Eva!
« Monsieur Guillet, je suis ravi de vous rencontrer enfin.
— Moi aussi. Je suis très heureux de pouvoir postuler à ce poste. Je me tiens à votre disposition pour répondre à vos questions, mais avant cela, j'aimerais vous dire que Voréal est une entreprise exemplaire et qu'en rejoignant cette entreprise, je pense pouvoir apporter ma contribution...
— Hé ! Hé ! Hé ! Je vois que vous avez préparé votre discours, Monsieur Guillet. Mais même s'il est brillant, il est inutile de perdre votre temps à le réciter.
— Hum... vraiment ?
— Oui, nous vous connaissons, Monsieur Guillet. Vous travaillez actuellement chez Huillez & cie. Une bonne entreprise. Nous avons déjà fait affaire avec eux, je crois que vous le savez.
— Eh bien, oui, c'est possible. Mais à l'époque, je n'étais pas responsable des relations avec les clients, donc...
— Ah oui, M. Guillet. C'est vous qui avez négocié un contrat qui a rapporté beaucoup à votre entreprise et très peu à la nôtre.
— Vous faites référence aux produits Factol ? C'est vrai, j'en ai entendu parler.
— Ne soyez pas modeste. Vous nous avez vendu pour 100 000 des produits qui, en réalité, ne valaient presque rien.
—...
— Vous le niez ?
— D'accord, je l'admets. C'est vrai. Je vous ai trompés. Et j'ai touché une commission énorme. Et si vous espérez me faire chanter pour cette commission, vous pouvez toujours courir. Le patron est au courant et il est très content de tout l'argent que je lui ai rapporté.
— Nous ne voulons pas vous faire chanter.
— Alors que voulez-vous ? Si vous savez déjà comment je vous ai trompés, c'est que je ne suis pas ici pour être embauché. Alors arrêtez de faire le malin et...
— Mais nous voulons vraiment vous embaucher, M. Guillet. En fait, c'est justement pour la façon dont vous nous avez « trompés », entre guillemets, que nous vous voulons. Vous avez mené cette opération avec beaucoup de brio. Nous n'avons pas les moyens de poursuivre la société Huillez & Cie. Et entre nous, 100 000 euros pour Voréal, c'est une bagatelle. Nous ne vous en voulons pas.
— Alors vous voulez m'engager parce que...
— Parce que vous êtes un serpent, vous savez manipuler les gens, déformer les contrats, vous avez de la valeur, M. Guillet.
— Merci, j'imagine... Alors, quel poste me proposez-vous...
— Un instant, Monsieur Guillet, nous voulons vous embaucher, bien sûr... Mais nous avons d'autres candidats au moins aussi bons que vous.
— Alors, vous voulez enfin entendre mon discours d'embauche ?
— Non, comme je vous l'ai déjà dit, nous connaissons déjà vos compétences. Ce que nous voulons savoir, c'est si vous êtes meilleur que les autres candidats.
— Mmm, et comment comptez-vous le découvrir ?
— Avec un petit concours. Vous verrez, c'est très amusant et parfaitement adapté à vos capacités. Vous devrez séduire la femme de votre concurrent.
— Pardon ?
— Vous avez très bien compris. Vous ne trouvez pas ça amusant ? C'est une idée de notre patronne... En plus, c'est une petite revanche pour vous avoir « trompé » avec les produits Factol.
— Vous comprenez très bien que je vais refuser.
— Le salaire est de 100 000 par mois.
— Ah.
— Et que vous acceptiez ou non, votre concurrent obtiendra le poste s'il « couche » avec votre femme.
— Je comprends, et si nous y arrivons tous les deux ?
— Alors aucun de nous deux n'aura le poste. Nous avons quatre candidats au total, et s'il remporte ce premier duel, il devra encore affronter le vainqueur de l'autre concours. Quoi qu'il en soit, je vous recevrai avec M. Portini à la fin de la semaine, à 16 heures. Vous devrez apporter une preuve vidéo de votre réussite. Voici le dossier de M. Portini, avec son identité, sa photo, son adresse...
Vous vous occupez du reste.
Comment pouvais-je lui expliquer que je devais la trahir si je voulais gagner ? Cette histoire était vraiment infernale, je devrais probablement refuser. Partir une semaine en vacances avec elle. Il n'était peut-être pas trop tard, si j'achetais un billet d'avion avant de revenir et...
Mais non. C'était l'occasion de prouver ce dont j'étais capable. Il fallait agir vite, efficacement et gagner. L'important était d'élaborer une stratégie gagnante.
****
Ce soir-là, je me suis garé juste en face de la maison de mon concurrent. Une belle maison, mais qui semblait avoir besoin de travaux. Il était facile d'imaginer que mon adversaire serait prêt à prendre des risques pour obtenir un poste aussi bien rémunéré.
J'ai sonné et, trente secondes plus tard, une femme est venue ouvrir la porte.
« Bonjour ? »
La femme était jeune, noire, mince, avec de beaux cheveux bouclés. J'avais déjà vu son visage sur Internet après avoir fait des recherches sur le couple Pertini. Elle s'appelait Joséphine, avait 28 ans, des yeux gris-vert et un sourire charmant lorsqu'elle posait. Elle était mariée depuis quatre ans avec Hervé Portini et, à en juger par quelques messages sur Facebook, ils semblaient merveilleusement bien s'entendre.
Et c'était cette femme que je devais baiser.
« Bonjour madame, puis-je parler à M. Portini ? Je crois qu'il m'attend. »
Elle n'eut même pas le temps de l'appeler ou de poser d'autres questions que M. Portini apparut à la porte.
Il était visiblement stressé et, quand il m'a vu, il est resté sous le choc. Je pouvais facilement imaginer ce qu'il ressentait. Toute cette histoire de test pour obtenir un emploi semblait tout droit sortie d'un film de science-fiction dystopique. Et j'étais là, son redoutable concurrent, apparaissant à la porte de sa maison...
— C'est vous !
— Oui... M. Portini, appelez-moi Jérôme, et voici ma femme, Élodie.
— Votre femme !
— J'aimerais vous parler en privé, si possible.
— Parler ? Hum... oui, pourquoi pas. Ici ? Non, dehors ! Mieux vaut dehors. Chérie, je reviens tout de suite. M. Guillet est un vieil ami et... enfin, tu comprends...
— Comme vous voulez... »
Sa femme semblait pour le moins perplexe après ce qu'elle venait d'entendre. J'ai attendu que M. Portini se prépare, puis nous sommes allés dans un bar du quartier pour discuter un peu de la situation.
Pendant ce temps, Élodie et Joséphine discutaient chez les Portini, autour d'un verre. « Écoutez, M. Portini, ma femme et moi avons discuté. Elle est au courant pour le concours. Et je regrette d'y avoir participé, j'ai été pris au dépourvu lors de l'entretien d'embauche.
Je suis sûr que vous pensez la même chose. Alors, plutôt que d'attendre une semaine dans l'angoisse, je pense qu'on pourrait conclure un accord. On renonce tous les deux à participer à ce concours absurde.
— Mais si on abandonne, personne n'aura le poste. Et vous ne dites pas cela parce que vous doutez de la fidélité de votre femme ? Je ne suis pas anxieux, Joséphine ne coucherait jamais avec un autre homme. Surtout avec un homme de plus de quarante ans... »
C'était vulgaire, mais il avait raison. Séduire sa femme comme ça, à l'improviste, je doutais d'y parvenir, j'étais beaucoup plus âgé qu'elle et j'avais pris un peu de poids ces dernières années. Et la vérité était que je n'avais pas une confiance aveugle en la fidélité de ma femme. Je ne pensais pas qu'elle m'avait trompé à nouveau, mais avant le mariage, il avait été relativement facile de la séduire. Et quand j'étais moins attentif à elle, elle ne manquait jamais de me réprimander. Pourrait-elle coucher avec un homme qui se montrait aussi séducteur que moi ? Ou pire encore ? Je voulais dire non, mais je n'aurais pas parié un centime.
— Écoute, est-ce que cet endroit vaut vraiment la peine d'être désiré à ce point ? Détruire nos mariages pour un simple travail ? Non, c'est absurde. Et puis, si tu veux mon avis, c'est un piège.
— Un piège ?
— Oui, ils embaucheraient des libertins ? Des types qui trompent leurs femmes juste pour l'argent ? Quelle confiance pourraient-ils avoir en nous ?
— Tu exagères.
— Moi, si un homme trompe sa femme, tu peux être sûr que je ne lui donnerais pas les clés de ma maison...
Alors, je te propose un marché. On ne se gêne pas et on respecte nos femmes. Au fait, tu n'en as pas parlé à ta femme, n'est-ce pas ?
Le type rougit légèrement. Je savais qu'il ne lui avait rien dit, car il voulait que nous parlions en dehors. Et il était clairement gêné que j'aie été plus honnête avec ma femme que lui.
« Non...
— Alors ne lui dis rien et je ne te dirai rien. De toute façon, je pense que c'est la première et dernière fois que nous nous voyons.
— Probablement. D'accord, je viens avec toi.
— Alors, comme on dit : au revoir !
— Hé, hé, au revoir ! ».
Et c'est sur ces belles paroles que nous nous sommes séparés.
***
Les choses auraient pu s'arrêter là. Mais apparemment, derrière son caractère lâche, M. Portini était un type sournois. Deux jours plus tard, j'ai reçu un appel de sa part :
« M. Guillet ?
— Oui.
— Votre femme, Élodie, ne vous a-t-elle rien dit ?
— Lui dire quoi ?
— Que je l'ai baisée ! Ah ahah ! Je l'ai baisée quelques heures après vous avoir vu ! Alors, espèce de merde, qu'est-ce que tu me dis ?
— Ma femme... Vous mentez ! Elle ne ferait jamais ça.
— Vous ne me croyez pas ? Mais c'est très facile à prouver. Elle était très heureuse d'être filmée pendant qu'on le faisait, vous avez une adresse e-mail ?
Je la lui ai donnée. Peu après, j'ai reçu un fichier vidéo et je l'ai ouvert.