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Dans cette collection de récits brûlants, Eva Rossi explore avec audace les territoires inavouables du désir, là où les frontières du plaisir se brouillent entre soumission choisie et volupté revendiquée. Ces histoires, ancrées dans une France contemporaine et charnelle, dévoilent une érotique sans filtre, intensément vécue, qui n’a peur ni du regard ni du jugement. Masque de Beauté, récit central de ce recueil, nous entraîne dans la métamorphose d’une femme libre, qui s’abandonne corps et âme à une scène troublante dans une boîte obscure du Cap d’Agde. Une initiation nocturne, orchestrée par un amant complice, où l’animalité rejoint l’esthétique du don de soi. « Il a tiré sur ma laisse. En dessous du manteau, je ne portais qu’un harnais, des talons hauts et un collier. Je me suis avancée, à quatre pattes, devant ces hommes silencieux. Il a dit : "Attendez… je la prépare." J’ai frissonné. Enfin, j’étais à ma place. » D’une main experte, Eva Rossi cisèle des scènes où la brutalité devient offrande, où chaque geste, chaque regard, chaque gémissement construit une cathédrale sensuelle et vertigineuse. Ouvrez ces pages interdites, et laissez le trouble s’installer. Ce livre ne se lit pas… il se goûte.
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Seitenzahl: 106
Veröffentlichungsjahr: 2025
Masque de Beauté
Histoires Erotiques de Sexe Explicite Hard pour Adultes - Contes Interdites et Taboues
______________________
Eva Rossi
Sommaire
Imprint
Introduction
Avant de commencer...
Masque de beauté
Hôtesse de l'air : un voyage mouvementé
La nuit des hirondelles
Sous la mousse
Un inconnu au bureau
Week-end
Mon plus beau souvenir d'Afrique
La première fois que mon ex-femme m'a trompé
Meli
J'avais conquis ma voisine.
Avant de partir...
© 2025 Eva Rossi
Photo de couverture : Canva
Impression et distribution pour le compte de l'auteur :
tredition GmbH, Heinz-Beusen-Stieg 5, 22926 Ahrensburg, Allemagne
L'ouvrage, y compris ses parties, est protégé par le droit d'auteur. L'auteur est responsable de son contenu. Toute utilisation est interdite sans son accord. La publication et la diffusion sont effectuées sur ordre de l'auteur, à contacter à l'adresse suivante : Eva Rossi, Friedrichstraße 155, 10117 Berlin, Allemagne.
Adresse de contact selon le règlement européen sur la sécurité des produits : [email protected]
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Un bisou et une bonne lecture, Eva!
Il y a environ deux ans, un ami dont j'étais très amoureuse m'a emmenée dans une discothèque à Cap d'Agde.
Nous avons bu un verre, il n'y avait pas beaucoup de monde et j'étais la seule fille.
Soudain, nous avons vu arriver un groupe d'une quinzaine de garçons : il m'a dit : « C'est pour toi ».
Les garçons se sont assis, dos au comptoir, et ont commencé à parler.
Tout à coup, mon copain m'a dit : « Lève-toi ! ».
Je me lève, il m'enlève mon manteau ; en dessous, je ne portais qu'un harnais, des collants, des talons hauts, mon collier de chienne et ma laisse. Il me met à quatre pattes et me dit : « Suis-moi ! ».
J'ai donc traversé toute la salle, comme ça, avec la laisse.
En passant devant le groupe de garçons qui étaient au comptoir, il a dit : « Allez, venez ! ».
Les types ne se sont pas fait prier...
Il m'a emmené, toujours en laisse et à quatre pattes, avec tous les garçons qui nous suivaient, dans un coin sombre qu'il m'avait montré quand nous sommes entrés dans la discothèque.
Il a dit aux garçons : « Attendez un instant, je la prépare ».
Il a pris le fouet et, devant tout le monde, m'a donné une vingtaine de coups qui m'ont fait bouger les fesses et miauler, « ». Puis il leur a dit : « Elle est à vous ! Vous pouvez la sucer et jouir dans sa bouche et sur son visage ».
Il m'a dit : « Je reste ici pour surveiller ».
Je me suis retrouvée à genoux, avec le premier type devant moi, les jambes bien écartées, qui m'offrait son pénis comme on me l'avait dit. Je l'ai pris dans ma bouche et, enchantée, je l'ai sucé avec soin jusqu'à ce qu'il me crache son sperme dans la bouche.
Immédiatement après, un deuxième a pris sa place et j'ai refait la même chose. En même temps, j'ai tendu la main vers le troisième, qui m'a enfoncé sa bite et m'a masturbé frénétiquement ; un quatrième a fait de même : j'étais donc à genoux, avec une bite dans la bouche et une dans chaque main.
Le deuxième m'a accordé la même récompense que le premier et le troisième a pris sa place dans ma bouche. J'ai réussi à jeter un coup d'œil à ma droite et j'ai commencé à mouiller et à saliver encore plus en voyant cette file d'hommes avec leur bite à la main qui se masturbaient en attendant leur tour.
J'étais vraiment heureuse, cela faisait longtemps que je m'endormais en imaginant une situation pareille...
Les numéros 3 et 4 ont joui ensemble sur mon visage, je me léchais les lèvres, essayant de récupérer ce qui commençait à couler sur ma poitrine. Le cinquième est venu les remplacer.
Ainsi, 12 hommes se sont relayés dans ma bouche et ont éjaculé sur mon visage d'ange.
Mon ami s'est approché et m'a dit :
« Il y en a qui veulent te baiser ».
J'ai répondu :
« Fais ce que tu veux ! ».
Il m'emmena plus loin, sur un matelas propre, et là, toujours à quatre pattes, cinq hommes m'ont baisé.
Quand nous sommes revenus, j'avais une épaisse couche de sperme séché sur le visage. Quel masque de beauté !
Évidemment, j'ai beaucoup aimé et je rêve de recommencer...
Depuis, je fréquente les cinémas porno, je suce tout ce qui me passe sous la main et je me laisse éjaculer sur tout le corps.
Je suis une vraie « salope suceuse » !
Françoise, la chef de cabine, salue les passagers, le commandant Mercier redresse l'avion, le bimoteur oscille et reprend sa descente. Sur la piste, les roues touchent le sol, il maintient la pression sur le gouvernail, l'appareil a tendance à glisser sur l'asphalte collant. Ouf ! Nous sommes à Varsovie. Le moteur numéro 2, qui a un peu surchauffé, s'éteint, il n'y a plus de danger. Truon Khin, le copilote, guide l'avion d'Air France jusqu'à la piste d'atterrissage.
Satisfait, Mercier, les deux avant-bras derrière la tête, savoure sa première cigarette. L'hôtesse aide une dame âgée à descendre les marches. Peu après, comme d'habitude, Mercier rassemble les hôtesses pour économiser un taxi à la compagnie. En réalité, pense Françoise, il a une idée en tête : il va organiser une petite fête à l'hôtel. Elle est désolée de ne pas pouvoir se joindre à la joyeuse bande, son taxi l'attend déjà, appelé par la tour de contrôle. Grâce à la gentillesse des Polonais.
Le véhicule arrive rapidement rue Potowski. Madame Svetlana l'accueille avec un sourire, une certaine complicité lie la jeune hôtesse à la Polonaise, qui gagne sa vie en louant des chambres meublées. Françoise Laborde occupe toujours la même chambre, dans cette grande baraque délabrée, mais rigoureusement propre.
La grande blonde qui porte le sac de l'hôtesse l'a déjà accompagnée jusqu'à son appartement. Elle a hâte de voir ce que je lui ai apporté, pense Françoise, qui à chaque voyage à Varsovie fait un petit cadeau à son amie dans le besoin. Mais la rencontre prend une tournure inattendue : la Polonaise embrasse la Française et, dans son élan, leurs lèvres se rencontrent et le baiser de bienvenue est frustré. Les yeux bruns de Françoise se noient dans l'océan gris-bleu des iris polonais de Svetlana, et quelques paillettes dorées réchauffent son regard pénétrant. Françoise, poussée par sa spontanéité, reprend l'initiative. Elle approche sa bouche peinte des lèvres tendues, le baiser ne surprend pas Svetlana qui, les dents légèrement écartées, aspire le souffle frais de la jeune femme, qui répond à son ardeur. La langue de la Polonaise s'agite et oblige la Française à ouvrir légèrement la bouche. Les deux langues se touchent, les salives se mélangent. Françoise sent une douce chaleur l'envahir. Cela fait longtemps qu'elle n'a pas eu de compagnon et cette caresse délicate lui rappelle de bons souvenirs. Une main agile la distrait de ses pensées : Svetlana a défait le troisième bouton de son chemisier d'uniforme et les doigts robustes de Madame Sulowski se sont glissés dans son soutien-gorge et ont découvert son téton. Françoise, sensible à ce contact, pose une main tremblante sur le poignet pour se libérer. Mais tandis qu'elle résiste, l'autre main de Svetlana, glissée sous la jupe courte, atteint la culotte en soie et cherche le creux de son sexe. La respiration de Françoise s'accélère. La Polonaise repère le mont de Vénus, en dessous, la soie humide dessine le clitoris et les petites lèvres entrouvertes. Dès que l'index de Svetlana se pose sur le clitoris à travers la soie naturelle de la culotte, Françoise perd toute résistance, s'abandonne à la sensation excitante, mouille, se sent mouillée. Le liquide vaginal inonde les grandes lèvres et envahit son vagin. La tenace propriétaire de la pension la porte sur le lit voisin et lui enlève sa culotte mouillée. Vite, la blonde ouvre les portes du temple et, d'une langue experte, recueille tout le liquide qui jaillit. Lorsque la bouche ardente atteint le clitoris, celui-ci sort spontanément de son capuchon et se redresse sous la force de la langue. Françoise hurle de plaisir. Bientôt, toutes deux nues, elles s'allongent sur le lit. Françoise rend généreusement les caresses reçues. Le corps de la Polonaise, plus robuste, cache des muscles puissants. Son appétit sexuel, aussi exigeant que celui de la Française, s'exprime de manière plus brutale. et parcouru par les mains énergiques de Svetlana, Françoise pousse un gémissement étouffé. La porte s'ouvre et le fils de Svetlana, Stépan, inquiet des cris de la voisine, entre. Il ne semble pas surpris de voir sa mère et la Française nues en train de se caresser. En moins de trois secondes, il se déshabille. Son corps athlétique, avec ses pectoraux puissants et ses cheveux couleur blé, se joint à leurs ébats. À son tour, il suce le clitoris gonflé de la Française, tandis que sa mère, saisissant son pénis, maintient son érection en le pompant vigoureusement. Ce spectacle insolite et totalement choquant excite violemment la jeune Française, une mère qui fait la pompier à son fils aîné. Finalement, Françoise, la bouche sur le sexe de Svetlana, agenouillée sur le lit dévasté, les fesses écartées par les mains du géant, l'anus exploré par sa langue, gémit pitoyablement. Mais désormais, le pénis avait remplacé la langue. La grosse bite du Polonais pénétrait difficilement dans le petit conduit anal de la maîtresse de maison. D'un coup, il la pénétrait et jouissait sauvagement dans le rectum enflammé par son ardeur. La brutalité de cette agression laissa Françoise sans voix. La jeune Française reprend ses esprits, tandis que Stépan secoue sa mère à coups de pénétrations répétées dans le vagin. Épuisé, il se retire sans dire un mot. Les deux femmes passent toute la nuit enlacées, la petite tête brune de Françoise posée sur le sein droit de la Polonaise.