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Dans cette collection de récits érotiques contemporains, Eva Rossi explore avec une plume élégante et sensuelle les multiples facettes du désir. Chaque histoire est une invitation au lâcher-prise, une évasion délicate dans des instants d’intimité suspendus entre rêve et réalité. Les paysages de France deviennent le théâtre de rencontres troublantes, de silences éloquents, de frissons partagés. Le récit central, Mon Amour, nous entraîne dans la vie de Michel, ingénieur solitaire installé à flanc de colline, dont l'existence bien ordonnée bascule un soir d'été à la rencontre d'une jeune femme aux yeux perdus et au sourire fragile. « Ses lèvres m’attiraient comme un aimant. Quand elle a entrouvert la bouche, j’ai glissé la langue contre la sienne. Le monde autour s’est effacé. Il ne restait que la chaleur de son souffle, la douceur de sa peau, et cette fièvre nouvelle qui brûlait en moi. » Ce récit envoûtant, à la fois tendre et charnel, esquisse la naissance d’un amour imprévu, irrésistible, troublé par les ombres du passé et l’intensité du désir. Entre caresses timides et élans passionnés, l’histoire se dévoile dans une lente montée vers l’abandon. Un roman de frémissements et de silences, où le corps parle quand les mots vacillent… et où chaque page laisse sur la peau le frisson d’une promesse.
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Seitenzahl: 94
Veröffentlichungsjahr: 2025
Mon Amour
Nouvelles Erotiques pour Adultes – Histoires de Sexe Explicites et Taboues (Interdites & Hard)
______________________
Eva Rossi
Sommaire
Imprint
Introduction
Avant de commencer...
La vengeance d'un cocu
Douce et sauvage
Une femme temporaire
Dans les dunes
Sylvie, mon amour
Avant de partir...
© 2025 Eva Rossi
Photo de couverture : Canva
Impression et distribution pour le compte de l'auteur :
tredition GmbH, Heinz-Beusen-Stieg 5, 22926 Ahrensburg, Allemagne
L'ouvrage, y compris ses parties, est protégé par le droit d'auteur. L'auteur est responsable de son contenu. Toute utilisation est interdite sans son accord. La publication et la diffusion sont effectuées sur ordre de l'auteur, à contacter à l'adresse suivante : Eva Rossi, Friedrichstraße 155, 10117 Berlin, Allemagne.
Adresse de contact selon le règlement européen sur la sécurité des produits : [email protected]
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Un bisou et une bonne lecture, Eva!
C'est l'histoire d'un couple sans histoire, âgé de 35 à 40 ans, vivant dans un quartier chic, lui occupant un poste important, elle femme au foyer, non mariés parce que c'est à la mode, bien vus dans le voisinage. Sur le plan sexuel, ils font l'amour une fois par semaine, avec un petit extra pour la Saint-Valentin ou l'anniversaire de leur rencontre, ou encore lors de rares occasions où ils boivent trop. La routine s'installe, il travaille beaucoup, elle s'ennuie à la maison, puis un beau jour, elle part à la recherche d'un autre endroit, et il finit par se rendre compte qu'il est trompé. S'ensuit une nuit de disputes, les tons montent, elle pleure, il crie et elle finit par partir. Une histoire tragiquement banale, si ce n'était pas la mienne ! Oui, je viens de mettre ma petite amie infidèle à la porte.
Deux semaines plus tard, alors que tous mes amis essayaient de me consoler avec des phrases du genre « elle le méritait », « elle n'était pas faite pour toi », « heureusement que vous n'avez pas d'enfants » ou le traditionnel « c'est une perdante », je vois la meilleure amie de mon ex arriver chez moi.
— Salut !
— Salut !
— Je peux entrer un instant, j'ai quelque chose à te dire.
N'ayant rien à lui reprocher, je l'invite à entrer.
« Tu sais, j'héberge Sylvie depuis que tu l'as mise à la porte.
Je l'interromps brusquement :
« Qu'est-ce que tu espérais ? Tu ne pensais pas que j'allais continuer à la nourrir pendant qu'elle s'amusait avec un autre !
— Mais non, tu comprends très bien pourquoi elle s'est retrouvée à la rue et tu reconnais que c'est elle qui a fait une erreur, et pour être honnête, je pense que j'aurais fait la même chose si mon petit ami m'avait trompée ! Je suis juste venue te dire qu'elle veut te parler une fois pour s'expliquer, pas pour te demander pardon, mais pour clarifier quelque chose. Après, elle s'en ira.
— De quoi veut-elle parler ?
— Je ne sais pas, je ne suis que le messager. Elle attend dans la voiture, tu me dis oui ou non, je lui transmets ton message et je m'en vais, le reste ne me regarde pas.
Plus impatient que tout autre chose d'en finir avec cette histoire, j'accepte et elle sort dans la rue. Trois minutes plus tard, Sophie sonne à la porte. J'ouvre la porte assez brusquement, elle reste figée sur le seuil, le regard baissé.
Sans dire un mot, je lui laisse passer. Cela fait déjà cinq longues minutes que nous sommes assis dans le salon et aucun de nous n'a dit un mot. Un peu nerveux, je lui dis :
— Si tu n'as rien d'autre à dire, je ne te retiens pas !
— Oui, attends, s'il te plaît. C'est juste que ce n'est pas facile à dire.
Je ne vois pas ce qu'il y a de compliqué : tu m'as trompé, je t'ai virée, point final ! Je ne suis pas le premier cocu au monde, ni même le premier du quartier !
Non, ce n'est pas ça. J'aimerais t'expliquer pourquoi j'ai fait ça.
Je ne suis pas sûr de vouloir entendre, mais vas-y, crache le morceau, finissons-en.
— Voilà. Tout d'abord, je veux te dire que je t'aimais.
— C'est pour ça que tu m'as trompé ? Tu aurais pu trouver une excuse plus crédible !
— Non, non, attends, en fait...
Sophie rougit de plus en plus, se tord les mains, ne quitte pas le tapis des yeux.
— En fait, notre vie sexuelle était tout à fait normale, et j'avais...
— Tu avais le feu aux fesses, ça, je l'avais déjà remarqué tout seul !
— Non, ce n'est pas ça. En fait, j'avais un fantasme. C'est un peu gênant.
— Être le cocu du quartier, ce n'est pas très agréable, alors crache le morceau !
— Oui, j'ai toujours eu un fantasme un peu particulier et j'ai découvert sur Internet qu'il y avait un endroit dans la région où je pouvais le réaliser.
Et j'ai cédé.
— Et quel est ce fantasme ?
Le visage de Sophie devient rouge comme un poivron et, dans un murmure, elle ne dit qu'un seul mot :
— Soumission.
— Pardon ?
— J'avais un fantasme de soumission et j'ai trouvé un club où l'on peut aller avec un masque pour rester anonyme et satisfaire toutes sortes de fantasmes.
— Et pourquoi tu ne m'en as pas parlé avant ?
— J'avais beaucoup de respect pour toi.
J'ai commencé à perdre patience et, contrairement à mon habitude, je me suis laissé emporter par la vulgarité :
— Si je comprends bien, c'est par respect pour moi que tu es allée te prostituer, pour te faire baiser par des inconnus, me rendant ridicule dans tout le quartier ! Très bien ! Ton excuse est vraiment crédible.
Alors, c'était bien ? Tu t'es bien amusée ? Allez, raconte ! Je veux savoir combien de fois tu y es allée, avec combien d'hommes tu as couché, ce qu'ils t'ont fait, tout ! Allez, tu es venue pour te libérer, libère-toi ! Allez, je t'écoute, je veux tout savoir.
Je me suis assis dans le fauteuil, les bras croisés, le regard fixé sur elle.
Sophie est en larmes. Le visage caché entre ses mains, elle commence à raconter :
Je n'y suis allée qu'une seule fois. Je te jure ! J'ai trouvé l'adresse sur Internet, ils ont un site web. Ils disaient qu'ils pouvaient satisfaire mes fantasmes. Alors je leur ai décrit ce que j'attendais. J'ai pris rendez-vous pour une séance de soumission et je suis allée avec un masque qu'ils m'avaient envoyé par la poste. Il y avait trois hommes et une femme, dès que je suis entrée, ils m'ont crié dessus, m'ont insultée. Ensuite, ils m'ont donné une combinaison en latex et comme je n'arrivais pas à l'enfiler, ils m'ont giflée et l'un des hommes m'a donné un coup de pied dans le ventre. Ensuite, la femme m'a déshabillée et m'a enfilé la combinaison. Mes seins étaient à l'air, ainsi que mes fesses et mon vagin. Ils m'ont bâillonnée, m'ont mis un collier de chien avec une laisse et m'ont obligée à me mettre à quatre pattes. Ils m'ont mis des chaînes aux poignets et aux chevilles et m'ont fait marcher à quatre pattes dans toutes les pièces. J'ai dû passer mon cul devant tous les autres clients, ceux qui venaient pour des fantasmes homosexuels, de domination ou de sadomasochisme. Tout le monde m'insultait, me traitait de pute, de salope, me crachait dessus, me frappait. Et le pire, c'est que j'aimais ça. À un moment donné, celui qui me tenait par le collier a dit à un client :
— Regarde comme cette salope est mouillée !
Alors le type a enfoncé deux doigts dans ma chatte, je crois que j'ai joui tout de suite. Il m'a baisée de plus en plus vite, puis, tout à coup, il a enfoncé toute sa main dans ma chatte et j'ai joui à nouveau. J'étais effondrée sur le sol, mais mon propriétaire m'a relevée en me tirant par le collier et m'a ramenée dans la première pièce. Ils m'ont fait boire de l'eau dans un bol, dans un coin, puis ils m'ont fait pisser à quatre pattes, comme une chienne. Ensuite, le propriétaire m'a traînée de l'autre côté de la pièce. La femme était assise dans un grand fauteuil, les cuisses écartées. Elle m'a enlevé le bâillon et a enfoncé ma tête entre ses cuisses. C'était la première fois que je léchais une femme. Au début, je ne savais pas comment faire, alors l'un des garçons m'a frappé sur les fesses pour me punir. Puis, quand j'ai réussi à la faire jouir, il m'a récompensé avec un biscuit.
Je dois avouer que cette histoire commençait à m'exciter, mais comme Sophie avait toujours le visage entre les mains, elle n'a pas vu que j'avais une bosse dans mon pantalon. Elle a continuée son histoire.
Ils continuaient à m'insulter et à me donner des fessées. Et plus ils me frappaient, plus je mouillais. Les trois hommes se sont relayés dans le fauteuil et, à chaque fois, j'étais fouetté pendant que je suçais leurs bites. Les deux premiers ont craché dans ma bouche, m'obligeant à tout avaler. Ensuite, ils m'ont donné un biscuit. Le troisième m'a pissé dessus et dans la bouche. Puis, la femme s'est rassise sur la chaise et j'ai recommencé à la lécher. Je m'attendais à recevoir des coups de fouet, mais au lieu de cela, le troisième homme, qui n'avait pas encore éjaculé, m'a attrapé par les hanches et m'a enfoncé sa bite dans le cul d'un coup sec. Il m'a baisée pendant dix minutes, m'insultant et me traitant de pute, de salope, de sac à merde. Et j'étais plus mouillée que jamais.
L'un des hommes tirait sur la laisse pour m'étrangler et quand mon maître a joui dans mon cul, j'ai eu l'orgasme le plus fort de ma vie. Je pense que la femme a aussi joui avec nous. Sophie continuait à me raconter comment elle avait été baisée dans tous les trous et dans toutes les positions par ses quatre maîtres et par quelques clients pendant toute la nuit, tout en étant insultée et pisse sur.