6,49 €
Rêveries ou vérités... Quand l'illusion se met en poésie, l'évasion de la réalité vous entraine au fil des lignes et vous ne pouvez plus résister... Alors... rêvez !
Das E-Book können Sie in Legimi-Apps oder einer beliebigen App lesen, die das folgende Format unterstützen:
Seitenzahl: 25
Veröffentlichungsjahr: 2018
REVERIE
REVER…
SI TU ETAIS …
CHUT !
…DELICATESSE…
CIEL !
ROSE ?
LE MAGICIEN
…SILENCE …
REALITE
CIRQUE DU SOLEIL
…ENDORMIE…
…SUR LE QUAI DE LA GARE…
LOUP…
RENTREE
BRIN DE VIE
GRISAZUR…
MINUIT
CONTINUER
PAGE 19… ET 20…
METAMORPH…OSE…
PENSEE
LA PORTE
DEFINITION
CHOUETTE DE COUETTE !...
LA SIESTE
NIXE
VOL
CONTINE DE LA CHENILLE…
MURMURE
CHUT !...
L’ORANGER DES OSAGES
QUI SOMMES-NOUS ?
… LE SILENCE D’UN REVE…
GRACE ARABESQUE
LA MARIONNETTE
ECRIS…
ETOILE DE L’AMOUR
…SUR LA PAGE ENDORMIE …
PENSER…
AUJOURD’HUI…
LE BANC DU PARC
QUIETUDE
L’ARBRE DE VIE
LE REVERBERE
MIRAGE
L’INACHEVE ?...
Subtile illusion
Sur les ailes d’un papillon
D’un vol vagabond
Elle s’évanouie en tourbillon…
Rêver… entre l’absolue légèreté au corps qui flotte lascivement, et les rêves qui viennent doucement éclore dans les pensées…
Comme il est doux de rêver, de se laisser croire que le temps n’a plus de valeur, que la réalité est la transparence de ces songes…
Rêver encore… et se réveiller en souriant…
Si tu étais
Un ange, tu me dirais
Comment comprendre enfin
Les lignes de la main
Et pourquoi ce chemin
N’a de fin, n’a de fin…
Si tu étais
Un ange, tu serais toujours là,
Toi mon unique ami,
Tu m’écouterais tout bas
« Aide… protège, soigne… merci… »
Tu guiderais mes pas
Je sais que ta présence
Invisible est ma chance
Si tu étais
Un ange, il aurait ton visage
La force douce et sage
Confiance à mon cœur
Et je crois au bonheur…
Si… Quelle est donc cette plume … égarée ?
Qui vient sur mon épaule, … se poser ?
Questa pietra che piange
Quando stringi i pugni
E una lacrima dil cuore
Sfuggita al destino
Cette pierre qui pleure
Quand tu serres les poings
C’est une larme du cœur
Echappée au destin…
Dans un ciel immense
Sagement je me balance
Entre les nuages d’argent
Et les grands cygnes blancs
Sur le lac glacé
Je me laisse glisser
Des arabesques givrées
Viennent s’y cristallier
Dans la vapeur matinale
Brillent des gouttes opales
Et j’erre là, légère
Tel un parfum dans l’air
Je dors les poings serrés
Pour ne pas qu’on me prenne
Mes rêves et mes secrets
Chut !... « Ne pas me réveiller ! »…
A mettre son cœur dans les mots, on
change de forme…
Elle devient celle dont celui qui en a
besoin, lui donne…
Puisque c’est la forme de ta gentillesse,
L’arc-en-ciel n’aura pas assez de
couleurs pour cette délicatesse…
Tu regardes les nuages
Le doigt posé sur la bouche
Comme un enfant bien sage…
Des animaux farouches
Se forment et se déforment
Minuscules ou énormes,
Ces boules de coton,
Sont de libres électrons…
C’est ton imaginaire,
Pays extraordinaire…
Et tu regardes encore