Roman Homo Français M/M. 6 - Manuel García - E-Book

Roman Homo Français M/M. 6 E-Book

Manuel Garcia

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Beschreibung

Ce livre est une création de Manuel Garcia, une véritable mine de plaisirs interdits et de rencontres passionnées, spécialement conçue pour satisfaire les appétits érotiques les plus audacieux des lecteurs gays adultes. Prépare-toi à te plonger dans un tourbillon de désirs inavouables, dans un univers érotique qui brûle de passion et de séduction. Avec son écriture magnétique et sensuelle, Garcia stimule tes fantasmes les plus secrets, t'emmenant dans un voyage au-delà des frontières de l'intimité masculine. Cet ouvrage défie les conventions et brise tous les tabous, t'offrant un aperçu des rencontres les plus explosives, des connexions les plus profondes et des plaisirs les plus extatiques. Les pages de ce livre révèlent des histoires qui te tiendront collé aux mots, éveillant un désir que tu ne pourras pas ignorer. Laisse-toi emporter dans des mondes inconnus, où le péché est le moteur des émotions les plus intenses. Les personnages créés par García se révèlent dans des rencontres transgressives, dans des moments de passion débridée, dans une symphonie de désir qui enflamme tes fantasmes les plus sombres. L'écriture provocante et détaillée de Manuel García est une explosion de sensualité qui te fera frissonner de plaisir. À travers ses histoires, il t'invite à explorer ta sexualité sans inhibitions, à t'abandonner à tes instincts les plus profonds, sans remords ni retenue. Cette œuvre de fiction est ton passeport pour un monde de luxure et d'aventures interdites. Ne manque pas cette lecture qui t'emmènera dans un territoire de plaisir intense, de rêves effrontés et de sensations qui te feront frissonner. Assieds-toi, détends-toi et laisse-toi aller à une lecture qui te procurera des émotions sans limites, stimulera ton imagination et allumera une flamme de désir qui ne peut être apprivoisée. Ces histoires t'attendent, prêtes à t'emmener au-delà des limites du plaisir, là où la passion est souveraine et où l'extase est ton compagnon de voyage.

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Seitenzahl: 97

Veröffentlichungsjahr: 2024

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Roman Homo Français M/M. 6

Histoires Érotiques Gay de Sexe Explicite

Manuel García

Mentions Légales

Manuel García © 2024

Tous droits réservés. Aucune partie de ce livre ne peut être reproduite sous quelque forme que ce soit sans l'autorisation écrite de l'éditeur, à l'exception de brèves citations utilisées dans des articles ou des critiques.

Ces romans sont entièrement des œuvres de fiction. Les noms, les personnages et les événements qui y sont décrits sont le fruit de l'imagination de l'auteur. Toute ressemblance avec des personnes réelles, vivantes ou décédées, des événements ou des lieux n'est que pure coïncidence.

Aucun des personnages décrits dans ces histoires n'a moins de 18 ans, n'est lié par le sang ou n'est impliqué dans des actes auxquels il ne souhaite pas participer.

Impression et distribution: Heinz-Beusen-Stieg 5 22926 Ahrensburg

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Index

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Roman Homo Français M/M

17.

18.

Remerciements

Roman Homo Français M/M

17.

Lorsque je suis retourné dans le bureau, j'ai découvert qu'Omar avait de la compagnie : un mystérieux inconnu se tenait à ses côtés.

Il semblait dans une situation plus humble et Omar m'annonça : "Voici Azarias, qui t'escortera en bateau jusqu'à Boma. Là-bas, une autre personne t'attendra pour te transporter en camion jusqu'à Luanda, d'où tu embarqueras à bord d'un cargo en direction du Havre."

- Cependant, mes pensées divaguaient.

Quelle idée saugrenue tu avais en tête, ma chère ! Crois-tu vraiment que j'allais te réserver un billet d'avion, et qui plus est en première classe ?

Pas question, Monsieur Omar.

- Allez, file à toute vitesse avec Azarias, prends ton passeport et les fruits de tes labeurs, et décampe, bon sang.

Sans hésiter, je me suis lancé à la poursuite d'Azarias, sans même regarder en arrière.

Une fois débarqués, Azarias m'informa avec un sourire malicieux : "Pour atteindre Boma, il nous faudra patienter deux jours à bord de ce navire. Je m'en vais quérir vivres et eau fraîche, sois sans crainte."

- As-tu envie de quelques billets verts ?

- Désolé, mais Monsieur Omar a déjà réglé la note pour que tu puisses passer.

- Un grand merci à monsieur Omar.

Monsieur Omar, c'est le genre de personne qui fait briller le monde de sa bonté.

C'est possible.

Effectivement, il est un véritable pourvoyeur de subsistance pour de nombreuses personnes, démontrant ainsi une générosité sans pareille.

- Je suis disposé à te faire confiance.

- Ne bouge pas d'un poil, je fais un saut et je reviens dare-dare.

- Entendu comme un accord de violoncelle dans une symphonie silencieuse.

Dix minutes plus tard, Azarias réapparut, les bras chargés de victuailles et de précieux liquides.

Nous prîmes nos quartiers dans un antique navire à moteur, imprégné des effluves enivrants d'essence et d'huile. Azarias m'indiqua d'un geste la cabine : "Voici ton refuge, avec deux couchettes. Celle de gauche sera la tienne."

- Entendu comme un accord de violoncelle dans une symphonie silencieuse.

Il remonta sur le pont, actionna le départ et une fois les amarres larguées, le bateau se mit en mouvement.

Pendant deux jours de voyage le long du fleuve Congo, Azarias se révéla être un compagnon des plus agréables. Nos échanges animés ponctuaient nos journées, et il manifestait une admiration incommensurable envers Omar.

Durant tout le voyage, Azarias garda un silence total à mon égard, ne laissant échapper aucun geste déplacé.

Lorsque nous atteignîmes Boma, je me suis laissé guider par lui jusqu'à un garage. Il m'a alors prié d'attendre à l'extérieur pendant qu'il pénétrait à l'intérieur.

Après un court laps de temps, Azarias réapparut, escorté par un individu d'âge mûr, ni jeune ni vieux.

Les deux individus s'avançaient vers moi, et c'est Azarias qui prit la parole : "Voici Pape. Pape, permets-moi de te présenter Damien. Tu auras la mission de l'escorter jusqu'à Luanda pour le compte de Monsieur Omar."

Salut Damien, comment ça gazouille ?

- Salut Votre Sainteté.

Azarias prit congé, me gratifiant d'un souhait de retour propice avant de s'éloigner en direction du port.

Le Pape m'invite : "Allons explorer les lieux, notre départ est prévu dans une demi-heure."

Je me suis aventuré derrière lui jusqu'au garage, où nous attendait un vieux camion un peu fatigué. Voyant mon expression étonnée, Pape m'a rassuré en ces termes : "Ne te fie pas aux apparences, ce camion n'a peut-être pas l'air pimpant, mais son moteur est une vraie merveille."

Parfaitement.

- Installe-toi confortablement dans ce bureau, dès que tout sera en place, je viendrai te chercher.

Je m'affalai dans un fauteuil déglingué, attrapai un magazine et me plongeai dans sa lecture.

Trente minutes plus tard, Pape fit une apparition théâtrale à la porte de mon bureau et lança d'un ton enjoué : "Il est temps de s'évader d'ici, viens avec moi !"

Je m'installai du côté du copilote, les sièges arrière étaient ornés de marques d'huile et d'autres substances mystérieuses, l'intérieur embaumait le carburant, l'huile et une pointe de pieds, mais après tout, toutes les batailles ont leur lot d'inconforts.

Le Pape grimpa et me lança : "Dépose ton baluchon sur la banquette arrière, s'il te plaît."

Je me retournai brusquement, écartai le rideau d'un geste vif et découvris le coin douillet réservé au chauffeur pour une pause bien méritée. Sans plus attendre, j'y déposai mon sac avec soulagement.

Le Pape mit en marche le moteur, qui ronronnait comme un chat bien nourri. Nous quittâmes le garage et nous engageâmes sur la route en direction de Luanda.

Un silence pesant s'installa entre nous, avant que je n'adresse à Pape la question brûlante : "Dans quel délai atteindrons-nous Luanda ?"

Il faudra patienter l'espace de deux journées.

- Vraiment, autant que cela !

- Effectivement, les routes ne brillent pas par leur qualité dans ce coin, nous allons devoir avancer à petite allure.

Parfait.

- Quelle est la raison de cela ? Es-tu à ce point lassé ?

- Ce n'est pas exactement ça, mais j'ai une soudaine envie de regagner mon chez-moi.

- Accroche-toi bien, car tu vas devoir faire preuve de patience en compagnie du vieux Pape pendant deux jours. Mais une fois cette étape passée, il te restera encore une semaine à bord du cargo avant d'atteindre la France.

J'ai parfaitement conscience de la situation.

Un mutisme pesant s'abattit entre nous.

Après un moment, enveloppé par le doux ronronnement du moteur, la fatigue commença à s'emparer de moi, luttant pour maintenir mes paupières ouvertes.

Le Pape remarqua ma fatigue et me lança avec bienveillance : "Si le sommeil te gagne, n'hésite pas à fermer les yeux. Voyager en solitaire ne me dérange nullement, j'y suis habitué."

Je sens que mes paupières commencent à peser une tonne, je vais m'offrir une petite sieste.

Au moment où mes paupières se soulevèrent, je jetai un œil à ma montre pour découvrir que j'avais sombré dans un sommeil de plus de deux heures.

Le Pape esquisse un sourire et m'annonce avec bienveillance : "Bientôt, nous ferons halte pour nous restaurer et nous désaltérer."

- Je ne dirais pas non.

Nous prîmes place à la terrasse ensoleillée d'un charmant restaurant de village, imprégnant nos sens de l'atmosphère locale.

Le Pape passa commande de deux parts de Tilapia accompagnées de deux cocas, puis nous nous attablâmes pour déjeuner.

Alors que nous dégustions notre repas, Pape me lança soudain : "Dis-moi, est-il exact que tu étais employé par Omar ?"

Assurément.

- Mais encore ? Étais-tu plutôt un architecte des idées ou un artiste des compromis à son service ?

J'aurais bien pu raconter des salades à Pape, mais je doute qu'il m'aurait gobé, jamais Omar n'aurait renvoyé l'un de ses ingénieurs de cette manière, et même s'il l'avait envisagé, ces individus auraient catégoriquement décliné pour s'envoler en avion.

En allumant une cigarette, je répliquai à Pape : "J'étais l'une des courtisanes d'Omar."

- Pourquoi décides-tu de t'éclipser ainsi ? En as-tu assez ? C'est donc Omar qui t'a planté(e) ?

En réalité, Omar a décidé de mettre fin à notre relation et je commence sérieusement à en avoir assez de cette situation.

As-tu décidé de faire une pause avec la gent masculine ?

- Ce n'est pas tant cela, mais je suis lassé(e) de contempler inlassablement les quatre murs confinés d'une chambre ; j'aspire à la liberté de sélectionner mes partenaires charnels à ma guise.

- Donc, si je comprends bien, tu suggères une activité plutôt audacieuse ?

- Bien sûr, si cela te chante.

Je saisis et prie pour l'indulgence de mon insatiable curiosité.

- Ce n'est que poussière.

Le Pape sortit un billet, régla l'addition et me lança : "Allons reprendre la route, si tu ressens le besoin pressant de visiter les lieux d'aisance, c'est le moment opportun."

Après avoir satisfait un besoin pressant, je regagnai le camion et nous repartîmes en route.

Nous avons sillonné les routes tout l'après-midi, tandis que le soleil entamait sa descente à l'horizon. C'est alors que Pape m'annonça : "Nous allons prolonger notre périple d'une heure ou deux avant de faire halte pour nous ressourcer."

- Entendu comme un accord de violoncelle sous les étoiles.

La nuit s'était installée complètement et je remarquai que, à deux ou trois reprises, lorsque Pape changeait de vitesse, sa main effleurait mon genou. Pour ma part, je demeurai de marbre.

Après quarante-cinq minutes de route, Pape a commencé à me raconter des blagues, toutes centrées sur des sujets un peu osés, mais j'ai remarqué qu'elles avaient toutes une touche plutôt orientée vers l'homosexualité.

À chaque blague, son rire résonnait et, après m'avoir tapé sur la cuisse à maintes reprises, sa main demeura finalement sur mon genou. Sans bouger, j'attendis. C'est à ce moment-là qu'il me lança : "Et si... ?"Et si on s'offrait un moment agréable en ta compagnie ?

- Oh, mais bien sûr !

- Considère cela comme le tarif de ton déplacement. Quoi donc ?

- Évidemment, cela semble parfaitement cohérent.

Relâchant soudain ma jambe, il défit sa braguette, laissant apparaître une queue épaisse et dressée, sans aucun sous-vêtement pour la dissimuler. Puis, posant sa main sur ma nuque, il me fit comprendre clairement ses désirs.

Alors que je m'approchais de son membre dressé, une senteur de sperme chatouilla mes narines. Pape me lâcha, d'un air détaché : "Eh bien, après notre conversation de tout à l'heure, j'ai pris les choses en main."

J'ai pris en bouche l'objet de mon désir, le parcourant de haut en bas tout en le caressant de mes lèvres et en faisant danser ma langue autour, sentant sa main toujours présente sur moi pour guider le mouvement, mon homme dictant le tempo auquel il souhaitait que je le déguste.

Sous l'effet de ma douce caresse buccale, son membre s'épanouit davantage, sa main quitta ma nuque pour se faufiler sous moi. Il défit délicatement mon pantalon. Je me soulevai légèrement, laissant ma culotte et mon slip glisser le long de mes chevilles. C'était étrange de se retrouver les fesses à l'air dans cet habitacle en écoutant le vrombissement du moteur. Un doigt curieux s'aventura entre mes fesses pour chatouiller mon anus, qui réagit instantanément à cette caresse. "Oh là là !", fus-je prise de surprise. Il semble que ce cher postérieur soit impatient, mais ne t'en fais pas, je vais le combler de bonheur. Ton derrière semble aussi accueillant que ta bouche, nous allons certainement bien nous entendre car tu suces divinement bien.

Alors qu'il déclamait, son doigt s'était insinué et glissait en moi, une chaleur délicate se répandait dans mon ventre et remontait en vagues vers mon visage. Je redoublai d'ardeur dans mes mouvements sur son membre, sentant mes fesses s'embraser, désirant ardemment qu'il m'envahisse complètement. Un deuxième doigt vint rejoindre le premier, suivi d'un troisième et d'un quatrième, mon orifice béant m'incitant à onduler des hanches.

Le camion ralentit soudain, virant brusquement sur la droite avant de s'arrêter complètement. Dans ce mouvement, ma tête fut pressée contre son entrejambe. Mon partenaire laissa échapper un gémissement en éjaculant. Une puissante décharge de sperme atterrit au fond de ma gorge, que je savourai avec délectation.

Le Pape m'invite en ces termes : "Dévêtis-toi, rejoignons la couchette pour plus de confort."