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Dans les méandres discrets du désir et de la transgression, Sans Vices explore ces territoires où l’érotisme se fait confidence, vertige, offrande. Eva Rossi nous invite à travers une collection de récits sensuels et contemporains, ancrés dans une France charnelle et secrète, où les corps parlent sans détour et les âmes se dévoilent sous le souffle brûlant des plaisirs défendus. Le récit qui donne son nom à l’ouvrage, Sans Vices, est une plongée troublante dans les dynamiques du plaisir partagé, de l’humiliation consentie et de la liberté amoureuse. Un couple s’abandonne aux jeux de la domination, de la jalousie sublimée et des fantasmes vécus à trois. Le lecteur suit ce chemin sinueux, où l’amour se métamorphose et se régénère dans le feu de l’impudeur assumée. « Je me suis agenouillé et j’ai passé ma langue le long des contours de sa virilité. Nadia me tapota le dos : “Allez, vas-y.” Alors j’ai compris : ce n’était plus seulement son plaisir qu’elle m’offrait, mais le mien aussi, inavoué, dévorant. » À travers une écriture élégante et charnelle, Eva Rossi ne cherche pas à choquer mais à envoûter, à effleurer ce qui, en chacun de nous, palpite dans l’ombre du regard. Loin des clichés, ses récits célèbrent une sensualité assumée, lucide et vibrante, où chaque étreinte devient une révélation. Une lecture troublante comme une caresse prolongée dans l’obscurité, un frisson suspendu entre soumission et lumière.
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Seitenzahl: 90
Veröffentlichungsjahr: 2025
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Sans Vices
Nouvelles Erotiques pour Adultes – Histoires de Sexe Explicites et Taboues (Interdites & Hard)
______________________
Eva Rossi
Sommaire
Sommaire
Imprint
Introduction
Avant de commencer...
SANS VICES
RÉVOLUTION
RETOUR D'UNE FÊTE D'ENTREPRISE
SAMEDI DE SEPTEMBRE
LES CHOSES SÉRIEUSES
L'ALCOOL ET SES CONSÉQUENCES
ELIZABETH
Avant de partir...
Imprint
© 2025 Eva Rossi
Photo de couverture : Canva
Impression et distribution pour le compte de l'auteur :
tredition GmbH, Heinz-Beusen-Stieg 5, 22926 Ahrensburg, Allemagne
L'ouvrage, y compris ses parties, est protégé par le droit d'auteur. L'auteur est responsable de son contenu. Toute utilisation est interdite sans son accord. La publication et la diffusion sont effectuées sur ordre de l'auteur, à contacter à l'adresse suivante : Eva Rossi, Friedrichstraße 155, 10117 Berlin, Allemagne.
Adresse de contact selon le règlement européen sur la sécurité des produits : [email protected]
Introduction
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Envie d'un vrai moment de détente intime et de bienêtre?
Continuez à lire!
Avec ce livre vous aurez l'occasion d’avoir tout ce que vous avez toujours voulu mais que personne ne vous a jamais donné: beaucoup, vraiment beaucoup d'histoires explicites en français, comme vous l'avez toujours voulu!
Vous avez devant vous une collection d'histoires explicites dédiées au bon sexe qu'il est possible d'avoir entre des hommes et des femmes qui aiment se faire plaisir.
Beaucoup des contes passionnantes à vivre seul ou en compagnie.
Vous trouverez de nombreux dialogues entre les protagonistes des histoires, afin que vous puissiez aussi vous imaginer au centre de la scène, comme si vous étiez vous-même un personnage de l'histoire.
Qu'est-ce que tu attends alors? Laissez-vous aller à la passion, à la provocation, aux fantasmes interdits que vous avez toujours eus, laissez tomber vos inhibitions et commencez à voyager avec des émotions.
Pas de censure, 100% plaisir.
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Le livre contient un contenu sexuel explicite et ne convient pas aux personnes de moins de 18 ans. Les histoires sont de pure fantaisie: les personnages sont tous d'âge et, comme le contenu, ils sont fictifs.
Avant de commencer...
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Un bisou et une bonne lecture, Eva!
SANS VICES
Elle l'a rencontré lors d'une fête chez des amis. J'étais présent et je l'ai vu la harceler avec insistance. Au début, je n'y ai pas prêté attention, c'était un type assez petit, trapu, chauve, originaire du Moyen-Orient. Nadia trouvait ses avances insistantes et maladroites, mais flatteuses d'une certaine manière. Avec sa peau mate, sa bouche charnue et ses petits yeux noirs très rapprochés, il me semblait être un homme qui profitait de la vie.
Pour danser avec Nadia, il se mettait sur la pointe des pieds. Mais le soir, elle m'a raconté qu'il s'était frotté contre elle et que son pénis était énorme. Il avait probablement mis un tuуau dans son slip, ou quelque chose du genre. Cependant, elle avait remarqué ses grandes mains et ses grands pieds et, comme toutes les femmes, elle connaissait la relation qui existe entre les différentes parties du corps.
Quelques jours plus tard, elle m'a dit qu'il avait obtenu notre numéro de téléphone de l'amie qui avait organisé la fête et qu'il l'avait appelée. Il avait été direct dans sa demande. Il avait demandé à Nadia de venir chez lui. Sans romantisme, sans galanterie. Plein de présomption, plein d'orgueil, il voulait juste coucher avec elle. Finalement, il l'a tellement harcelée qu'elle a accepté de le retrouver dans un bar, en fin d'après-midi.
Lors de leur deuxième rendez-vous, il l'a emmenée chez lui et a couché avec elle. Elle m'a tout raconté plus tard, quand nous sommes allés nous coucher. C'était un excellent amant. Il avait un énorme pénis et beaucoup d'endurance. Il l'a fait jouir. Plusieurs fois et pendant longtemps. Il était vulgaire, grossier. Cela la dérangeait, mais elle prenait un immense plaisir à être traitée comme une salope.
Lors de leur troisième rendez-vous, il lui a demandé si elle m'avait dit quelque chose ou si elle m'avait caché leur relation. Nadia ne lui a pas caché que j'étais un cocu soumis, qu'elle était sexuellement libre et que j'aimais qu'elle me raconte ses aventures amoureuses. Il a été immédiatement excité et, après avoir rapidement couché avec elle pour la première fois, il a de nouveau bandé. Il a ensuite couché avec elle plus calmement, lui demandant avec insistance comment elle allait me raconter cette baise. Il voulait qu'elle lui raconte tout en détail. Le fait que je sois un cocu soumis l'excitait. Lors de leur quatrième rendez-vous, il a ouvertement proposé à Nadia de venir coucher avec elle chez nous, dans notre lit conjugal, en ma présence.
« J'ai lu que la plupart des cocus aiment voir leur femme se faire baiser par un homme bien membré ». À partir de ce moment-là, il a fantasmé, parlant de sucer la bite du cocu, puis de lui demander de l'aider à baiser sa femme et, enfin, d'être entretenu par le mari. Nadia n'a rien promis, seulement qu'elle me raconterait tout.
Comme toujours, lorsque Nadia rentrait à la maison et me racontait son escapade avec Yanis, nous faisions l'amour de manière effrénée dans notre lit. Cette fois-ci, c'était encore plus passionné. Nous avons discuté de la possibilité de l'inviter chez nous et avons décidé d'essayer. Ce serait notre première fois avec une complicité aussi directe de ma part.
Comment pouvais-je faire ça ? M'agenouiller entre les jambes de cet homme vulgaire et arrogant, sucer sa bite, le préparer à baiser ma femme ? C'était une pensée choquante. M'humilier pour quoi ? Pour le plaisir de ma femme ou pour me mépriser encore plus ? Eh bien, laisse-moi te raconter.
Tout d'abord, cette étrange sensation de chaleur en moi. Mentalement, je me sentais comme une merde sous le regard moqueur de ce type. En même temps, je me disais : « Si tu le fais, fais-le bien, ne le fais pas pour rien ». Et surtout, la taille impressionnante de sa bite, à demi-érecte, mais déjà beaucoup plus grosse que la mienne.
Avec un air méprisant, il s'est déshabillé et s'est allongé sur le lit, les jambes pendantes. Ma femme m'a tapoté le dos : « Allez, vas-y ! ». Je me suis alors agenouillé et j'ai passé ma langue le long des contours de sa bite. Je me suis efforcé de faire ce que j'aurais aimé qu'on me fasse. Au début, il n'était pas dur. Malgré tous mes efforts, il n'était pas très réceptif. Pendant que je lui léchais la bite, Nadia s'est déshabillée, est montée sur le lit et s'est penchée sur lui pour lui donner ses seins à sucer. Immédiatement, son érection a augmenté.
Il m'a donné ses doigts à sucer, ce que j'ai fait, puis il a enfoncé deux doigts dans la chatte de Nadia. Immédiatement, elle s'est mise à gémir en balançant ses hanches. J'étais tellement absorbé par ma tâche que je ne levais pas les yeux pour voir ce qu'ils faisaient. Je ne sentais que l'effet de leur étreinte sur sa dureté croissante. Son pénis gonflait et palpitait entre mes mains.
Je léchais avidement son gland circoncis et son tronc épais et sombre. Nadia me donna une petite tape sur la tête pour me faire arrêter de le lécher et de le sucer effrontément. J'ouvris la bouche pour avaler son gland.
Yanis grogna et poussa vers l'avant, s'enfonçant encore plus profondément. Je l'avais pris. Il était maintenant complètement raide et je savais qu'il était au comble de l'excitation. Bientôt, il jouirait dans ma bouche ou voudrait baiser ma femme. Je m'écartai.
« Je crois que Yanis est prêt », leur ai-je annoncé. Ils ont interrompu leur étreinte et Nadia s'est retournée, souriante.
« Oui, viens maintenant », a-t-elle dit à Yanis. Elle a soupiré en prenant son membre épais dans sa main. Son alliance reflétait la lumière tandis qu'elle massait la bite que je lui avais préparée.
Je sentis un picotement agréable dans les testicules. Je voulais tellement qu'il la baise, l'attente me remplissait de désir.
Sa réaction fut obscène, mais cela augmenta mon ardeur : « Tu suces bien, petit, mieux que certaines femmes ! », dit-il d'un ton condescendant, à la fois moqueur et humiliant. Je souris sans rien dire, mais je pensais exactement la même chose.
Il s'est déplacé vers le lit pour se placer entre les jambes écartées de Nadia, l'embrassant sur la bouche. Elle a écarté encore plus les jambes, les pliant. J'ai vu sa chatte ouverte, rasée, avec une fente brillante au centre. Elle était prête pour lui, comme une femelle en chaleur. Je me suis baissé pour bien voir la pénétration. Je pensais qu'il allait simplement enfoncer sa bite dans sa chatte et la baiser.
Il s'est arrêté et est resté immobile sur elle, le bout de sa bite effleurant sa chatte impatiente. Il a tourné la tête et m'a regardé.
« C'est toi qui vas baiser ta femme, mon garçon, donne-moi un coup de main, ou plutôt une langue ! » Le salaud savait que je voulais participer, il pouvait lire dans mes pensées. J'ai plié mon cou dans une position inconfortable pour pouvoir lécher sa bite et la chatte de Nadia pendant qu'il la pénétrait.
Nadia le désirait aussi. Elle a soulevé sa cuisse avec sa main pour me donner un meilleur accès. Je l'ai léché, puis j'ai tenu sa bite en équilibre, essayant de la pousser vers la chatte ouverte. Il est resté là, me regardant. J'ai regardé dans ses yeux, il me défiait du regard, un mélange de satisfaction et d'arrogance. J'ai baissé les yeux, humilié et vaincu, puis, satisfait, il l'a pénétrée.
Je me suis retiré rapidement pour le laisser travailler tranquillement et je l'ai regardé s'enfoncer dans Nadia. Les lèvres charnues de son vagin se sont élargies autour de son membre et ses gémissements ont résonné dans la pièce.
« Oh, oui, c'est si bon... » Sa voix simulait la douleur, mais c'était tout sauf de la douleur. Yanis enfonçait sa grosse bite plus profondément en elle. Jusqu'au fond. Ses couilles contre ses fesses. Enfoui en elle, immobile. Ils s'embrassaient en savourant la baise. Un long baiser humide. J'attendais qu'il commence à la baiser.
Je me demandais ce que Nadia ressentait, la chatte bien remplie, les lèvres épaisses étirées autour du pénis. Elle ouvrit les yeux et murmura tendrement : « Baise-moi, chéri ».
Il la baisa bien. De longs coups doux et délicats, sortant presque complètement de la gaine de chair qui s'agrippait à la bite qui la baisait.
Il utilisa toute la longueur de sa bite pour la contrôler. Je regardai son visage, son regard extatique, ses yeux ouverts dans le vide, elle savourait.
