Secrétaire Soumise - Eva Rossi - E-Book

Secrétaire Soumise E-Book

Eva Rossi

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Beschreibung

Dans cette collection envoûtante de récits érotiques, Eva Rossi explore les territoires les plus intimes du désir contemporain. Entre tensions secrètes et abandons sensuels, chaque histoire esquisse un monde où les convenances s’effacent au profit de pulsions brûlantes. Des femmes audacieuses, des hommes troublants, des situations inattendues : ces contes interdits s’inscrivent dans une France moderne, vibrante et charnelle. Le récit central, Secrétaire Soumise, nous entraîne dans le huis clos feutré d’un bureau où le professionnalisme masque à peine des fantasmes inavoués. Elodie, jeune secrétaire aussi douce qu’ensorcelante, traverse une rupture douloureuse. Sa directrice, Caroline, aussi exigeante que troublée par l’attirance qu’elle éprouve, sent le moment venu de franchir une frontière interdite. Une erreur professionnelle devient alors le prétexte à un tête-à-tête chargé d’émotions, de regards prolongés… et de promesses silencieuses. "Elodie restait debout, les yeux brillants de larmes, tandis que Caroline, dans un élan aussi tendre qu’impérieux, s’approchait d’elle. ‘Tu n’es pas seule, tu m’entends ?’ murmura-t-elle, effleurant d’un geste hésitant la peau frémissante de sa secrétaire. Quelque chose venait de basculer." Ici, chaque mot caresse, chaque silence suggère. Secrétaire Soumise est une invitation à pénétrer un univers où l’érotisme devient art, et où les tabous se consument dans la douceur des chairs et la violence du désir. Laissez-vous emporter… là où la tentation devient nécessité.

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EPUB
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Seitenzahl: 100

Veröffentlichungsjahr: 2025

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Secrétaire Soumise

Histoires Erotiques de Sexe Explicite Hard pour Adultes - Contes Interdites et Taboues

______________________

Eva Rossi

Sommaire

Sommaire

Imprint

Introduction

Avant de commencer...

Soumise de mon plein gré

Visite au sex-shop

Au pied de ma cousine...

J'adore les couches !

Punitions

Elodie, secrétaire soumise

La poupée Julien

Alix

Avant de partir...

Imprint

© 2025 Eva Rossi

Photo de couverture : Canva

Impression et distribution pour le compte de l'auteur :

tredition GmbH, Heinz-Beusen-Stieg 5, 22926 Ahrensburg, Allemagne

L'ouvrage, y compris ses parties, est protégé par le droit d'auteur. L'auteur est responsable de son contenu. Toute utilisation est interdite sans son accord. La publication et la diffusion sont effectuées sur ordre de l'auteur, à contacter à l'adresse suivante : Eva Rossi, Friedrichstraße 155, 10117 Berlin, Allemagne.

Adresse de contact selon le règlement européen sur la sécurité des produits : [email protected]

Introduction

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Envie d'un vrai moment de détente intime et de bienêtre?

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Beaucoup des contes passionnantes à vivre seul ou en compagnie.

Vous trouverez de nombreux dialogues entre les protagonistes des histoires, afin que vous puissiez aussi vous imaginer au centre de la scène, comme si vous étiez vous-même un personnage de l'histoire.

Qu'est-ce que tu attends alors? Laissez-vous aller à la passion, à la provocation, aux fantasmes interdits que vous avez toujours eus, laissez tomber vos inhibitions et commencez à voyager avec des émotions.

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Le livre contient un contenu sexuel explicite et ne convient pas aux personnes de moins de 18 ans. Les histoires sont de pure fantaisie: les personnages sont tous d'âge et, comme le contenu, ils sont fictifs.

Avant de commencer...

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Un bisou et une bonne lecture, Eva!

Soumise de mon plein gré

Il m'avait dit : « Quand tu descends du train, je veux que tu ailles au bout du quai, que tu fermes les yeux et que tu m'attendes. Bien sûr, s'il y a un problème, je t'appellerai sur ton portable, mais je pense que j'arriverai à temps. Pour t'habiller, mets ce que tu veux, mais pas de pantalon, une jupe ou, mieux encore, une robe boutonnée ». C'était la première fois que je rencontrais mon amie rencontrée sur Internet, avec laquelle j'avais déjà beaucoup échangé, tant par des photos que par des conversations, des petits messages gentils et d'autres choses. Je ne l'avais jamais vue en personne et j'espérais qu'elle correspondrait à l'image que je m'étais faite d'elle. J'avais réussi à me libérer pendant trois jours sous prétexte d'une formation et j'avais laissé mes enfants et mon compagnon sans moi.

J'avais mis des talons bas, des collants blancs, de la lingerie pudique et une robe qui se fermait avec huit gros boutons. Mon sac à la main, je me dirigeai vers le bout du quai et fermai les yeux. Je fus envahie par une légère inquiétude : qu'allais-je faire ? Que ferait-elle avec moi ? Serait-elle là ? J'entendis une voix derrière moi, c'était elle. « Ne te retourne pas, garde les yeux fermés. Es-tu prête à me laisser faire tout ce que je veux avec toi ? ».

Je lui ai répondu oui. Il m'a donné les clés d'une voiture et a ajouté : « Regarde devant toi, tu vois cette voiture bleue ? C'est la mienne. Monte, mets tes bagages dans le coffre et attends-moi là-bas. Sur le siège passager, tu trouveras un mouchoir, utilise-le pour te couvrir les yeux. Tu vois la poubelle devant nous ? Quand on passera devant, je veux que tu jettes tes chaussures. » Mon cœur battait à tout rompre. Sans me retourner, je me mis à marcher, j'enlevai mes chaussures et les jetai dans la poubelle, sous le regard stupéfait de trois filles qui éclatèrent de rire. Je n'avais que trois cents mètres à parcourir, mais cela suffit pour tacher mon t mes collants et me demander si je n'étais pas en train de faire une folie... J'ouvris la portière de la voiture et laissai mes affaires sur le siège arrière. Je pris le mouchoir, regardai autour de moi sans rien voir de particulier et me bandai les yeux. Quelques secondes plus tard, la portière du conducteur s'ouvrit, elle s'assit et démarra. « Je veux que tu sois toute à moi, que tu acceptes tous mes caprices et tous mes désirs. En échange, je te promets souffrance et plaisir. Pour commencer, je veux que tu enlèves ton soutien-gorge et ta culotte ». Sans répondre, j'obéis discrètement, car j'entendais le bruit de la circulation. Je tenais mes sous-vêtements dans ma main, ne sachant pas quoi en faire, lorsqu'elle baissa la vitre à côté de moi.

« Jette-les par la fenêtre », m'a-t-il dit. Je ne savais pas où nous étions, on n'entendait plus beaucoup de bruit. Rougissante sous mon foulard, j'ai passé le bras par la fenêtre et j'ai rapidement tout jeté dehors. Nous avons continué à rouler pendant quelques minutes, puis la voiture s'est arrêtée. Les yeux toujours bandés, elle m'a conduite le long d'un chemin où je sentais le gravier me blesser les pieds, jusqu'à arriver à un petit escalier. J'ai compté quatre marches. Une porte s'est ouverte et elle m'a guidée avec sa main, me faisant entrer dans sa maison. « Bienvenue chez moi », m'a-t-elle dit. J'ai senti ses lèvres se poser sur les miennes et nous nous sommes embrassés longuement, mélangeant notre salive, nous enlaçant, nous serrant fort contre elle pendant de longues minutes. Elle s'est détachée de moi, m'a pris par la main et m'a conduit dans une pièce qu'elle m'a dit être sa chambre. Elle m'a enlevé ma robe, m'a allongé sur le lit et m'a attaché. Elle a d'abord tiré fortement sur mes bras, les attachant aux barreaux et serrant les nœuds, puis elle s'est occupée de mes jambes, m'ordonnant de les écarter au maximum. J'ai laissé échapper quelques murmures et elle m'a recommandé de me taire. Une main glissa sur mon sexe, le caressant doucement, me faisant frissonner, continuant un peu plus fort et me menant à mon premier orgasme : j'étais avec elle et je me sentais bien et . Elle me quitta un instant et mit quelque chose dans ma bouche. À son goût, je reconnus sa culotte, mouillée comme mon sexe.

« J'aime tes gémissements de plaisir, mais maintenant je veux entendre tes cris de douleur. Morde ta culotte si ça te fait très mal. Je veux t'épiler complètement, je veux que tu sois lisse comme une petite fille. » Je sentais l'odeur de la cire dépilatoire, il a commencé à détacher mes pieds et à enduire mes jambes de cire. Il tira d'un coup sec, arrachant la cire et mes poils, me faisant hurler à chaque fois. Puis il s'occupa de mes cuisses et de mon pubis. La douleur était si forte que je pensais m'évanouir. Il souleva mes jambes et les attacha à nouveau, mais cette fois-ci au-dessus de ma tête, de manière à ce que mon dos soit soulevé du lit et touche à peine le matelas avec mes épaules. Il s'occupa ensuite de mon anus, me faisant verser des larmes qui se perdaient dans le mouchoir. « J'ai presque fini », m'annonça-t-il en retirant ma culotte de ma bouche, « mais je vais faire une petite pause et te donner un peu de plaisir ». Ses lèvres vinrent me piquer un sein, puis descendirent jusqu'à mon pubis, désormais complètement lisse. Sa bouche s'empara de mon clitoris, le lécha, le mordilla, le suça, le tira... Ses doigts me pénétraient, devant et derrière, se perdant parfois entre mes lèvres pour me faire goûter mon jus. Je jouis à nouveau, le remerciant pour le plaisir qu'il me procurait. Il m'enduisit à nouveau de cire, d'abord sur les avant-bras, puis sur les bras et enfin sur les aisselles, faisant à nouveau couler des larmes et des sanglots. Je pensais qu'il avait fini quand j'ai senti qu'il m'étalait de la cire sur les sourcils, j'ai crié « non, pas les sourcils, je ne veux pas ». Cela n'a servi à rien, il me les a arrachés. Cette fois, mes larmes étaient plus dues à la honte qu'à la douleur. Comment allais-je expliquer cette absence à mon mari ? « Pour aujourd'hui, je te laisse tes cheveux, mais la prochaine fois, je te les couperai peut-être. Martyrisons un peu ta poitrine à l' ». Sur ces mots, il m'a lâchée, m'a mise à quatre pattes et m'a attaché les deux seins avec une corde fine, puis m'a de nouveau attachée au lit, les jambes écartées, m'a sucé les tétons pour les faire durcir et les a attachés avec une autre corde. « Je vais passer les cordes de tes tétons par-dessus la tête de lit et y attacher des poids. Quand tu n'en peux plus, dis-le-moi. » Au fur et à mesure que les cordes se tendaient, je sentais qu'elles tiraient mes seins vers le haut. La douleur, supportable au début, devint aiguë et lancinante. « Ça fait mal, arrête, je t'en prie. » « Je t'en prie ? Non », et je sentis une secousse encore plus forte qui m'indiqua qu'il avait ajouté du poids, augmentant la douleur. « Je te laisse un instant, je vais prendre une douche. Tu es très belle avec tes seins rouges et tendus ». Avant de partir, il m'a enfoncé un vibromasseur dans la chatte et un autre entre les fesses. Mes seins me faisaient de plus en plus mal, j'avais l'impression qu'ils s'étaient allongés démesurément, mais le vibromasseur dans ma chatte me faisait mouiller malgré tout.