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Dans cette collection de récits érotiques d’une élégance troublante, Eva Rossi explore les méandres du plaisir avec une plume sensuelle et poétique. Chaque histoire, ancrée dans la France d’aujourd’hui, dévoile des moments d’intimité où les corps s’apprivoisent, se cherchent, se livrent — parfois dans l’audace, toujours dans le consentement. Entre tensions latentes et lâcher-prise assumé, les héroïnes de ces récits osent franchir les limites pour mieux se redécouvrir. Le récit-titre, Sortie en boîte, nous entraîne dans une nuit parisienne pas comme les autres. Un couple s’invente un jeu dangereux et délicieux, flirtant avec la transgression pour raviver la flamme. Tout commence par une question innocente : — « Qu’est-ce qu’on fait ce week-end ? » Et la réponse, doucement sulfureuse, ouvre les portes d’un club très privé, où les regards se font caresses et où l’excitation naît d’un simple mouvement de hanche. « Dans la lumière rouge, sa robe effleure à peine son corps. Je l’observe de loin pendant que d'autres mains, d’autres désirs, se posent sur elle. Son plaisir devient spectacle, son audace devient offrande. » Entre abandon et mise en scène, Sortie en boîte évoque la beauté des jeux de pouvoir consentis, des fantasmes partagés, des frissons qui naissent sous les lumières tamisées. Un livre comme un souffle chaud dans la nuque, une nuit blanche qui laisse des traces.
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Seitenzahl: 80
Veröffentlichungsjahr: 2025
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Sortie en boite
Nouvelles Erotiques pour Adultes – Histoires de Sexe Explicites et Taboues (Interdites & Hard)
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Eva Rossi
Sommaire
Sommaire
Imprint
Introduction
Avant de commencer...
Jeune bourgeoise du XIXe siècle
Souvenirs
Sortie en boîte
Clara
Avant de partir...
Imprint
© 2025 Eva Rossi
Photo de couverture : Canva
Impression et distribution pour le compte de l'auteur :
tredition GmbH, Heinz-Beusen-Stieg 5, 22926 Ahrensburg, Allemagne
L'ouvrage, y compris ses parties, est protégé par le droit d'auteur. L'auteur est responsable de son contenu. Toute utilisation est interdite sans son accord. La publication et la diffusion sont effectuées sur ordre de l'auteur, à contacter à l'adresse suivante : Eva Rossi, Friedrichstraße 155, 10117 Berlin, Allemagne.
Adresse de contact selon le règlement européen sur la sécurité des produits : [email protected]
Introduction
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Envie d'un vrai moment de détente intime et de bienêtre?
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Avec ce livre vous aurez l'occasion d’avoir tout ce que vous avez toujours voulu mais que personne ne vous a jamais donné: beaucoup, vraiment beaucoup d'histoires explicites en français, comme vous l'avez toujours voulu!
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Beaucoup des contes passionnantes à vivre seul ou en compagnie.
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Le livre contient un contenu sexuel explicite et ne convient pas aux personnes de moins de 18 ans. Les histoires sont de pure fantaisie: les personnages sont tous d'âge et, comme le contenu, ils sont fictifs.
Avant de commencer...
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Un bisou et une bonne lecture, Eva!
Jeune bourgeoise du XIXe siècle
Dans ma riche demeure bourgeoise anglaise, en ce jour du 18 août 1801, je me réveille lentement, réveillée par le chant des oiseaux dans le parc.
Quelqu'un frappe à la porte
- Mademoiselle Smith !
Étrange, une voix masculine...
La porte s'ouvre lentement et une tête apparaît dans l'entrebâillement : c'est Tom, le fils de notre gouvernante, qui me réveille généralement pendant qu'il s'occupe du jardin et des tâches ménagères.
- Que fais-tu ici, Tom ?
- Ta mère et la mienne sont allées faire des courses en ville, je la remplace.
Pendant que Tom s'approche pour ouvrir les volets, je l'observe et je le trouve... vous savez, sans savoir pourquoi, je le trouve... très séduisant !
Je viens d'avoir 22 ans et il me semble avoir entendu sa mère dire qu'il allait bientôt fêter son 19e anniversaire.
Il est assez grand, près d'1,80 m, assez musclé, avec des cheveux bruns...
Oui, il me plaît beaucoup.
Mes yeux mettent quelques secondes à s'habituer à la lumière qui pénètre dans ma chambre.
« Vous devez vous lever, mademoiselle, ordre de votre mère ! ».
Je tire le drap qui me couvre, Tom ne peut s'empêcher de regarder mes jambes, ma chemise de nuit ne descend qu'à mi-cuisse et c'est déjà beaucoup plus qu'il n'a vu de moi jusqu'à présent.
Il revient à lui et va à la salle de bain chercher le bassin et l'éponge pour mon hygiène.
Quand il revient, j'ai déjà commencé à me déshabiller. Il est évidemment en état de choc, rougissant, et me dit rapidement :
- Excusez-moi, mademoiselle, je vous laisse !
- Attendez, Tom, vous devez m'aider à me laver, puisque vous remplacez votre mère.
Il se retourne et s'approche lentement, je suis maintenant complètement nue et son désir de me regarder est beaucoup plus fort que celui de détourner le regard.
Je lui ai tendu l'éponge et lui ai ordonné de me laver. Il commence lentement par les épaules et le dos, puis passe à mes seins, les touchant légèrement.
« Allez, n'aie pas peur. Je t'ai dit.
Ces mots le rassurent et il commence enfin à frotter comme il faut. Je commence à sentir l'excitation monter à mesure qu'il descend le long de mon ventre. J'écarte légèrement les cuisses pour lui permettre de laver mon entrejambe, et il commence déjà à me donner du plaisir lorsque l'éponge touche mes lèvres, puis va et vient jusqu'à mon clitoris, qui est sorti de son capuchon.
Il finit de me laver, terminant par les jambes et les pieds, puis se lève devant moi. Il pose une serviette sur mes épaules et sèche tout mon corps, mon désir augmente encore plus quand je sens ses doigts à travers la serviette sur mon vagin.
Je m'assois sur le lit et je vois à travers son pantalon qu'il est aussi excité que moi.
« Montre-moi ce que tu caches là », lui dis-je en pointant son pantalon.
« N... Rien, mademoiselle, rien.
- Je veux voir, dis-je plus fort en posant ma main dessus.
Je baisse son pantalon et, pour la première fois, je vois un pénis juste devant moi, à quelques centimètres, je suis stupéfaite par ce membre long complètement exposé.
Tom n'ose plus bouger, j'approche lentement ma main et commence à le caresser, puis je le serre dans ma main pour le masturber lentement.
Il apprécie clairement cette nouvelle expérience, tout comme moi, je commence à accélérer le mouvement, puis j'ai une idée.
- Tom, fais-moi la même chose !
Sans dire un mot, il obéit, ses mains caressent mes lèvres, puis un de ses doigts pénètre dans mon vagin, je ne peux retenir un petit gémissement, ce qui le fait continuer avec plus de vigueur.
Je suis complètement mouillée et je gémis encore plus fort lorsqu'il insère un deuxième doigt.
Pendant ce temps, je continue à le masturber et, sans savoir pourquoi, j'approche ma bouche de son pénis et l'avale complètement. Je commence à tourner ma langue autour, à le faire entrer et sortir de ma bouche, les gémissements de Tom m'indiquent clairement qu'il est en extase. Il continue aussi avec plus de vigueur avec ses doigts, mes fluides coulent à flots et mouillent le drap.
La fellation que je lui fais ne dure que quelques minutes quand je reçois dans ma bouche tout le liquide qu'il éjacule, je suis complètement surprise, lui aussi, je crois.
Je retire son pénis de ma bouche, il a toujours ses doigts dans les miens.
C'est à ce moment-là que la porte s'ouvre : ce sont ma mère et la gouvernante, toutes deux complètement horrifiées de me voir nue sur le lit, la bouche pleine de sperme, tandis qu'il est en bas, le pénis en érection et les doigts dans mon vagin.
Une bourgeoise et un pauvre, cela peut faire beaucoup de bruit...
***
La punition fut sévère, le soir même, Tom était dans le train, partant à l'autre bout du pays pour travailler dans la construction de routes.
Quant à moi, j'ai été confinée dans ma chambre, après avoir été obligée de me confesser à l'église.
Je ne le savais pas, mais ce n'était que le début de la punition. Ma mère est entrée dans ma chambre, a fait mes valises et j'ai commencé à avoir peur.
- Qu'est-ce que tu fais, maman ?
- Tes valises, petite perverse, je vais t'envoyer chez ton père, il t'apprendra les bonnes valeurs, ah, avec lui, ce ne sera pas une partie de plaisir !
Mon père vivait dans l'une des provinces anglaises des Caraïbes, il était chef de la garde du gouverneur, peu sympathique, presque un tyran.
J'ai passé mon dernier jour dans ma chère campagne anglaise.
Personne n'a dit un mot dans la voiture qui nous a conduits au port où je devais embarquer.
J'avais complètement sali l'honneur de notre famille et diffamé ma mère.
J'avais une cabine réservée sur un navire qui transportait d'autres bourgeois vers nos colonies des Caraïbes, une cabine luxueuse : même si j'avais déshonoré ma famille, je faisais toujours partie de la bourgeoisie.
Je n'ai même pas eu droit à un petit signe de la main lorsque le navire a levé l'ancre. Triste, je me suis retiré dans ma cabine.
Plus tard, quelqu'un frappa à ma porte : c'était un membre de l'équipage qui me demandait de descendre car c'était l'heure du dîner. Tous les passagers étaient réunis dans la grande salle à manger et il me suffit d'un instant pour comprendre que j'étais la plus jeune à bord, tous les autres avaient au moins cinquante ans.
Je m'assis à la table qui m'avait été indiquée et peu après, mon repas arriva, apporté par un jeune marin.
Je lui fis un petit sourire pour le remercier. Je n'y pensai qu'après coup, mais ce jeune marin me plaisait beaucoup, il avait un sourire angélique et son uniforme réglementaire lui allait à ravir.
Ce soir-là, j'ai décidé de faire un tour sur le pont pour observer l'océan à perte de vue, quand j'ai vu le marin de tout à l'heure faire la même chose, appuyé contre une rambarde.
Je me suis approchée lentement pour me mettre à côté de lui.
« Bonsoir, mademoiselle, vous avez bien dîné ? », m'a-t-il demandé.
« Oui, très bien. Il fait frais ce soir, vous ne trouvez pas ?
« C'est vrai, mais dans quelques jours, les nuits seront plus chaudes à mesure que nous descendrons vers le sud.
