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Quand le désir se glisse là où on ne l'attend pas… À travers une collection de récits érotiques raffinés, Eva Rossi explore les frissons secrets du quotidien. Ici, les corps se cherchent dans l’ombre de la routine, les regards se croisent dans l’anonymat des villes françaises, et chaque instant peut devenir l’écrin d’une fièvre inattendue. Sous sa plume sensuelle et élégante, l’intime se dévoile avec délicatesse et audace. Dans Trois hommes et un coup final, le voyage devient prétexte au trouble. Trois passagers, un bus de nuit pour Barcelone, et une tension silencieuse qui monte à mesure que le moteur ronronne. Sylvie, lasse d’un amour qui s’érode, capte malgré elle l’attention d’un inconnu. Son mari somnole deux rangées plus loin. Elle, étendue dans son siège trop étroit, sent le regard insistant de cet homme… et quelque chose en elle se réveille. « Elle croisa son regard dans la pénombre, et un frisson la traversa. Ce n'était pas l'air climatisé. C'était ce feu calme, ce brasier contenu, qui l'effleurait du coin de l'œil. Elle n'avait encore rien fait, mais déjà, elle n'était plus tout à fait fidèle. » Ce recueil murmure les hésitations, célèbre les abandons délicieux, et caresse les limites avec la grâce d’un soupir contenu. Laissez-vous entraîner là où le plaisir ne prévient jamais.
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Seitenzahl: 118
Veröffentlichungsjahr: 2025
Trois hommes et un coup final
Histoires Érotiques Interdites de Sexe Tabou pour Adultes
______________________
Eva Rossi
Sommaire
Imprint
Introduction
Avant de commencer...
CHAPITRE 1 : LE VOYAGE À BARCELONE
CHAPITRE 2 : LE MUSÉE
CHAPITRE 3 : LE CINÉMA
CHAPITRE 4 : LE FAUX DÉPART
CHAPITRE 5 : UNE ISSUE
CHAPITRE 6 : LA VILLE
CHAPITRE 7 : LE GANG BANG
Avant de partir...
© 2025 Eva Rossi
Photo de couverture : Canva
Impression et distribution pour le compte de l'auteur :
tredition GmbH, Heinz-Beusen-Stieg 5, 22926 Ahrensburg, Allemagne
L'ouvrage, y compris ses parties, est protégé par le droit d'auteur. L'auteur est responsable de son contenu. Toute utilisation est interdite sans son accord. La publication et la diffusion sont effectuées sur ordre de l'auteur, à contacter à l'adresse suivante : Eva Rossi, Friedrichstraße 155, 10117 Berlin, Allemagne.
Adresse de contact selon le règlement européen sur la sécurité des produits : [email protected]
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Un bisou et une bonne lecture, Eva!
Patrick
Nous avions prévu de passer deux jours à Barcelone, pour visiter la ville à deux. Nous n'avions pas de programme précis. Un bus nous y emmènerait pendant la nuit. Nous passerions ensuite une nuit à l'hôtel et le troisième jour, nous rentrerions, toujours en bus.
J'ai dit à Sуlvie de se dépêcher parce que nous allions rater le bus. Le chauffeur attendait les retardataires à la porte du bus. Il a vérifié nos billets et a mis nos bagages dans le coffre. Il nous a permis de monter. Il n'y avait pas beaucoup de places libres et nous avons dû nous séparer. J'ai proposé à Sуlvie une place près de la fenêtre, car je sais qu'elle préfère ça. Je me suis assis un siège derrière elle.
Je l'ai vue se glisser à sa place sans que son voisin daigne se lever pour la laisser passer. Il s'est retrouvé avec une vue imprenable sur les fesses de ma femme, qui passaient juste devant son nez. Sylvie s'est installée dans son petit espace pour se mettre à l'aise, malgré l'exiguïté. Elle s'est presque allongée sur le siège. Elle a l'avantage de ne pas avoir de longues jambes et, en se positionnant un peu en diagonale, elle pouvait s'étendre. Ce n'était sans doute pas aussi confortable qu'un lit, mais je savais qu'elle arriverait à dormir.
Elle m'a regardé et m'a souri. Je l'ai embrassée symboliquement.
*
Serge
Je devais me rendre à Barcelone pour le travail. J'aurais pu prendre l'avion, le train ou même la voiture, mais je voulais essayer ce moyen de transport. L'inconvénient, c'est que cela prend beaucoup de temps. Nous sommes partis en fin d'après-midi, avons voyagé toute la nuit et sommes arrivés le matin, après environ quinze heures de trajet. Je ne devais passer qu'une journée à Barcelone et rentrer à Paris le lendemain soir.
Cinq minutes avant le départ, un couple est monté dans le bus. Je les ai vus s'approcher de moi. L'homme a suggéré à la femme de s'asseoir à côté de moi. Cela m'a dérangé parce que je voulais utiliser les deux sièges pour m'étirer un peu. Mais, en même temps, c'était une femme, et plutôt intéressante.
J'ai dû plier les genoux pour la laisser passer. Finalement, ce n'était pas si mal de partager la rangée avec elle. En la voyant passer devant moi pour s'asseoir, j'ai pu admirer ses fesses à hauteur de mes yeux. Elle était légèrement penchée en avant et c'était comme si elle m'offrait son derrière.
Elle s'est installée plus ou moins confortablement. L'homme s'est assis de l'autre côté du couloir.
J'ai observé ma voisine du coin de l'œil. Elle portait un pull et une jupe. La jupe mettait particulièrement en valeur ses fesses. Depuis qu'elle s'était assise, je pouvais voir que le pull mettait également en valeur sa poitrine, qui valait le prix du billet. Elle avait enlevé ses chaussures pour être plus à l'aise. Sa jupe lui arrivait à mi-cuisse, me permettant d'admirer les trois quarts de ses jambes.
Quand elle passa près de moi, elle me sembla plutôt petite et un peu potelée. Elle était brune et avait les cheveux qui lui arrivaient à la base du cou. Elle avait les yeux marron, d'après ce que je pouvais voir sans la regarder directement.
*
Le bus faisait un arrêt d'environ vingt minutes toutes les trois heures. Pendant la première partie du voyage, Sylvie et Patrick étaient pensifs. Les longs trajets facilitent les rencontres quand on a la chance d'être assis à côté de quelqu'un de sympathique, ou la réflexion solitaire.
Sylvie pensait à son mariage. Les choses avaient beaucoup changé depuis qu'elle avait épousé Patrick. Comme dans tous les mariages, la routine avait pris le dessus. Il y avait de moins en moins de romantisme dans leur relation. Cette escapade à Barcelone était une exception due au hasard, et non à une initiative de son mari.
Patrick pensait lui aussi à leur vie de couple. Mais ses préoccupations étaient plus pratiques. Il regrettait que leur vie sexuelle se soit refroidie. Il avait l'impression que sa femme n'était plus intéressée par l'intimité. Ils faisaient de moins en moins l'amour et cela devenait une routine.
Serge, célibataire endurci, laissait libre cours à son imagination. Il aurait voulu posséder cette femme, malgré son mari. Il l'imaginait infidèle et son mari complaisant ou crédule.
Peu après 20 heures, il y eut une première pause. Presque tout le monde descendit pour se dégourdir les jambes et en profita pour aller aux toilettes de la station-service. Certains achetèrent quelque chose à manger.
Nous repartîmes et tout le monde sortit ses snacks. Nous mangèrent. Patrick, Sуlvie et Serge se replongèrent dans leurs pensées. Sylvie commença à somnoler. Elle avait les bras croisés sur la poitrine, que sa respiration soulevait régulièrement. Son mari semblait également s'être assoupi. Il avait les yeux mi-clos. De temps en temps, il les ouvrait pour regarder les autres passagers, puis replongeait dans son sommeil léger. Serge ne dormait pas. Il était assis bien droit sur son siège et tenait son manteau plié sur ses cuisses.
Vers 23 heures, le bus fit un nouvel arrêt. Peu de gens en profitèrent, car ils dormaient tous ou étaient trop fatigués pour se donner la peine de descendre dans le froid. Nous repartîmes pour la troisième partie du voyage.
*
Serge
La femme dormait. Je ne pouvais pas m'empêcher de la regarder. Elle m'attirait terriblement. Je la trouvais très sexy, parfaite avec ses courbes. Je ne voyais plus ses fesses, mais j'avais encore en mémoire le moment où elle me les avait offertes, pour ainsi dire, en passant devant moi. Ses jambes n'étaient pas fines et longues comme celles des mannequins, mais j'aime les cuisses pleines, qui s'élargissent jusqu'aux fesses bien rondes. J'aurais donné n'importe quoi pour découvrir ce qui se cachait sous sa jupe.
Ma voisine respirait calmement, comme si elle dormait. Sa poitrine se soulevait et s'abaissait régulièrement. Elle devait avoir de beaux seins sous son pull.
De temps en temps, je regardais derrière moi pour voir ce que faisait son petit ami, sans me faire remarquer. Apparemment, il dormait, comme presque tout le monde. Je n'avais pas sommeil.
*
Patrick
Le voisin de Sуlvie se retournait de temps en temps et j'avais l'impression qu'il m'observait. Je faisais semblant de dormir. Je gardais les yeux fermés, complètement fermés lorsque l'homme se tournait dans ma direction. Quand il regardait Sуlvie, je jetais un coup d'œil. Il la regardait effrontément. Je ne comprenais pas ce qu'il regardait, mais il était clair qu'elle l'intéressait.
Ma femme ne se doutait pas que son voisin la regardait. Contrairement à moi, elle dormait profondément.
Je m'attendais à ce que l'homme essaie de la toucher, mais je n'ai rien vu de tel, même si, de ma position, je ne pouvais en être sûr.
*
Serge
Ma voisine continuait de dormir. Je pense qu'elle n'avait même pas remarqué le dernier arrêt. Je voulais poser ma main sur sa cuisse, la toucher, mais je restais prudent. Plus le temps passait, plus la situation devenait favorable, les passagers dormaient de plus en plus profondément, y compris son petit ami.
Je me suis dit que je ne devais pas attendre plus longtemps. Dans une heure ou deux, il serait trop tard. Je savais que je pourrais toujours feindre l'innocence si la femme se réveillait et protestait. J'ai posé le dos de ma main sur sa cuisse, juste au-dessus du genou. Je suis resté immobile pendant quelques instants pour voir sa réaction. Elle n'a pas bougé. J'ai commencé à caresser ses bas, discrètement, afin que les voisins ne puissent rien voir. La femme continuait de dormir.
Jusque-là, j'aurais facilement pu m'en sortir en cas de confusion. Mais ce que j'étais sur le point de faire aurait été un acte de violence sexuelle incontestable si la femme s'était réveillée ou si l'homme s'était aperçu que je la caressais.
J'ai attendu encore un peu, la main le long de sa jambe. J'ai continué à la caresser délicatement. Puis je me suis lancé. J'ai posé ma main sur sa cuisse, au bord de sa jupe.
Je suis resté immobile un instant, observant les réactions. Il ne s'est rien passé. Apparemment, personne n'avait remarqué que je tenais le genou de ma voisine. Elle-même ne semblait pas s'en apercevoir.
Je voulais toucher sa peau, mais ses bas m'en empêchaient. Je fis glisser mes doigts vers le haut et soulevai légèrement sa jupe. Je voulais atteindre sa chair. Mais je devais aller jusqu'en haut de sa cuisse s'il s'agissait de bas, et jusqu'à son ventre s'il s'agissait de collants.
J'ai saisi le tissu et l'ai tiré délicatement. Ce que je découvrais et le suspense de cette situation m'excitaient douloureusement.
J'étais arrivé à la limite de ce que je pouvais faire avec une seule main. La jupe ne pouvait pas remonter plus haut. Je suis revenu à sa cuisse. Ma voisine ne s'était toujours pas réveillée. J'ai recommencé à la caresser. Elle a légèrement sursauté. Je me suis arrêté sans retirer ma main. J'espérais qu'elle ouvrirait les yeux et me verrait la caresser. Mais elle continuait à dormir. Cependant, j'avais l'intuition qu'elle était peut-être réveillée, mais qu'elle faisait semblant. Si c'était le cas, c'était parce qu'elle était consentante.
J'ai commencé à la caresser de manière évidente, assez franchement pour qu'elle ne puisse pas l'ignorer, mais tout en restant discret pour ne pas alerter les voisins. Je lui ai massé la cuisse avec toute ma main.
*
Sуlvie
J'ai dû dormir longtemps. À un moment donné, j'ai senti quelqu'un me caresser. Cela m'a réveillé. J'étais dans le brouillard, je ne savais pas quelle heure il était. Je n'avais pas assez d'énergie pour me réveiller complètement. La caresse s'est interrompue, mais j'avais toujours une main sur la cuisse. Les caresses ont repris. C'était mon voisin qui me pelotait probablement depuis un moment déjà.
Dès que j'ai compris ce qui se passait, j'aurais dû réagir. Mais je ne voulais pas faire de scandale dans ce bus, au milieu de la nuit. Je savais que mon attitude totalement passive était une sorte d'encouragement à aller plus loin. Cependant, instinctivement, je sentais que je ne devais pas montrer que j'étais consciente.
Mais j'étais inquiète pour mon mari. Je ne savais pas s'il dormait. Je ne pouvais pas en être sûre, car il aurait dû dormir. Mais je soupçonnais mon agresseur de ne pas être aussi audacieux s'il était observé.
*
Patrick
Je continuais à jeter des coups d'œil dans la rangée devant moi. Je ne voyais pas ce que faisait le voisin de ma femme, mais je sentais qu'il se passait quelque chose. J'ai vu l'épaule de l'homme bouger légèrement. Ce devait être son bras, qui bougeait très lentement.
C'était probablement stupide de ma part, mais ma jalousie m'a poussé à interpréter ce mouvement de manière complètement absurde. L'homme pouvait simplement se gratter la jambe, mais je pensais qu'il touchait la jambe de ma femme. Je me suis rassuré en voyant qu'elle continuait à dormir.
J'aurais pu dissiper tous mes doutes en me redressant simplement sur mon siège pour voir ce qui se passait. Mais cela aurait attiré l'attention. Le raisonnement peut sembler compliqué, mais je préférais laisser les choses suivre leur cours plutôt que d'intervenir. J'avais l'impression inconsciente, sans doute erronée, qu'en observant ma femme sans intervenir, j'aurais plus de garanties de sa fidélité.
*
Serge
Dormait-elle vraiment ? J'ai jeté un coup d'œil à son mari. J'ai également regardé les voisins. Tout était calme. Je me suis tourné vers la femme et j'ai glissé mon autre main sous sa jupe jusqu'au bord de sa basque. J'ai réussi à toucher sa peau.
J'étais de plus en plus convaincu qu'elle faisait semblant de dormir. J'avais du mal à croire qu'elle ne sentait rien.
Je lui caressai le haut de la cuisse. Elle était douce et sa peau était lisse sous mes doigts. Plus je m'approchais de l'aine, plus elle devenait chaude.