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Dans cette collection de récits brûlants, Eva Rossi explore les méandres d’une sexualité où le désir s’exprime sans fard, sans filtre, mais toujours avec une plume élégante, empreinte de tension sensuelle et de profondeur psychologique. Loin de toute vulgarité, ces histoires contemporaines, ancrées dans le quotidien de la France d’aujourd’hui, révèlent les paradoxes du plaisir, les ambiguïtés de l’intime et les jeux fascinants du pouvoir charnel. Au cœur de ce recueil, Une nature masochiste, récit phare qui donne son titre à l’ouvrage, brosse le portrait troublant d’un jeune homme en quête de sens… à travers la soumission. À 28 ans, Pascal ne sait plus qui il est — si ce n’est ce corps offert, ce souffle suspendu aux désirs des autres. Ce qu’il croyait honteux devient sa voie, son identité. Et derrière chaque humiliation, chaque obéissance, se dessine une forme de liberté. « Quand il me saisit par la nuque et me force à lever les yeux vers lui, je sens mon cœur s’arrêter. Non de peur. Mais de certitude. Ce soir, je ne veux plus être moi — je veux simplement être à lui. » Ces pages ne content pas seulement des scènes explicites : elles sondent les zones d’ombre du désir, là où la honte et la volupté s’enlacent dans un ballet silencieux. Eva Rossi y offre une écriture raffinée, incisive et captivante, qui fait de la lecture un frisson lent et inévitable. Un recueil à lire comme on entrouvre une porte interdite… avec la douce terreur de ne plus vouloir la refermer.
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Seitenzahl: 90
Veröffentlichungsjahr: 2025
Une nature masochiste
Histoires Erotiques de Sexe Explicite Hard pour Adultes - Contes Interdites et Taboues
______________________
Eva Rossi
Sommaire
Imprint
Introduction
Avant de commencer...
Un après-midi à la campagne
Une seconde jeunesse
Chapitre 1
Chapitre 2
Une nuit de tempête
Chapitre 1 : le désir, le moment suprême avant le plaisir
Chapitre 2 : notre vraie nature, le prix à payer
Une nature masochiste
Avant de partir...
© 2025 Eva Rossi
Photo de couverture : Canva
Impression et distribution pour le compte de l'auteur :
tredition GmbH, Heinz-Beusen-Stieg 5, 22926 Ahrensburg, Allemagne
L'ouvrage, y compris ses parties, est protégé par le droit d'auteur. L'auteur est responsable de son contenu. Toute utilisation est interdite sans son accord. La publication et la diffusion sont effectuées sur ordre de l'auteur, à contacter à l'adresse suivante : Eva Rossi, Friedrichstraße 155, 10117 Berlin, Allemagne.
Adresse de contact selon le règlement européen sur la sécurité des produits : [email protected]
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Un bisou et une bonne lecture, Eva!
Cela faisait longtemps que je rêvais d'un après-midi à la campagne. Le hasard m'a permis de réaliser ce rêve, au-delà de toutes mes attentes. Jennifer, une amie d'enfance que je n'avais pas vue depuis des années, mais que j'avais retrouvée par hasard dans l'annuaire téléphonique, m'a gentiment invitée à fêter nos retrouvailles en allant pique-niquer dans la grande maison qu'elle m'a dit avoir achetée en banlieue. J'étais folle de joie à l'idée de la revoir et, à travers elle, de pouvoir goûter à nouveau à ma jeunesse...
Cependant, le voyage fut long et assez fatigant. En effet, il me fallut plus d'une heure pour trouver l'endroit exact. Mais une fois arrivée, je fus surprise par l'isolement du lieu : c'était presque désert, comme au milieu des bois ! Elle vivait dans une grande cabane en bois au milieu d'une vaste clairière. Même si l'extérieur était très austère, la propriété ne manquait pas de charme, car une fois à l'intérieur, on pouvait apprécier le calme et la tranquillité qui y régnaient.
Je n'ai même pas eu besoin d'avertir Jennifer de mon arrivée, car elle m'attendait déjà, visiblement impatiente de m'accueillir. Dès que je suis descendu de la voiture, elle s'est jetée à mon cou et m'a embrassé joyeusement sur la joue... J'ai dû rire car, dans son élan, elle a un peu raté sa cible et le coin de sa bouche a atterri sur la mienne... C'était très drôle !
Je ne l'avais pas vue depuis longtemps et je dois avouer que j'ai été assez surpris de voir qu'il ne restait plus rien de l'adolescente fragile, acnéique et négligée que j'avais quittée environ ni d'années auparavant... Aujourd'hui, mon amie Jennifer était devenue une magnifique jeune femme aux longs cheveux bouclés blond cendré, aux formes sinueuses... et aux habitudes plus audacieuses, comme vous allez le lire ci-dessous ! Je n'ai pas pu m'empêcher de sourire lorsqu'elle m'a expliqué qu'elle s'était rapidement adaptée à la vie à la campagne, dont elle avait adopté le rythme et le style. Elle aimait se promener dans les bois, monter à cheval, l'ambiance...C'est pourquoi elle portait souvent des bottes en daim (et m'a obligé à essayer la paire blanche que je porte sur les photos !). La seule concession qu'elle n'avait pas pu faire à la vie à la campagne était de sacrifier ses magnifiques ongles longs et nacrés, qu'elle avait toujours portés et soignés avec beaucoup d'attention (et qui, comme vous pouvez le voir, contrastent avec les miens, de couleur rouge vif).
Elle m'a avoué avoir subi quelques déceptions amoureuses et avoir décidé de ne plus chercher le grand amour...
« Moi aussi, j'ai été trahie plusieurs fois par des salauds », lui dis-je pour la consoler. « Tu sais ? », me dit-elle en me prenant par le bras, « il y a des jours où j'ai plus envie de faire l'amour avec une femme qu'avec un homme... ».
Cette révélation m'a frappé ! Surtout parce que, de mon côté, je commençais peu à peu à m'exciter... Car, en nous remémorant les meilleurs moments de nos aventures respectives, nous avions fini par évoquer aussi les hommes qui avaient marqué nos vies... Et parler d'hommes signifiait aussi raconter en détail nos expériences sexuelles... Comme nous étions assises au soleil, nous avons commis l'imprudence d'ouvrir une bouteille de délicieux vin rosé californien bien frais, que nous avons commencé à boire avec délectation... Nous entamions la deuxième bouteille lorsque j'ai senti des vagues de chaleur m'envahir tout le corps...
« Janet, tu ne trouves pas qu'il fait très chaud ? », m'a demandé mon amie, visiblement oppressée par la chaleur.
« Oui, Jennifer, mais je pense que c'est aussi l'effet du vin », lui ai-je répondu. « Tu sais, ici, tu peux te déshabiller comme tu veux, personne ne te dérange ni ne te regarde... ».
Accompagnant sa phrase d'un large sourire, elle s'empressa de détacher le haut de sa robe et de découvrir ses seins...
« J'adore prendre le soleil complètement nue, et puis c'est très excitant de se promener sans vêtements... Tu ne trouves pas ? Fais-moi plaisir, enlève aussi tes vêtements, tu seras plus à l'aise... », ajouta-t-elle.
Je n'hésitai pas une seconde, étant donné que même à la plage, j'avais été la première à prendre le soleil sans soutien-gorge et avec le plus petit maillot de bain possible... alors, quelle honte pouvais-je ressentir à m'exhiber là en toute sécurité ? C'est pourquoi j'avais gardé mon petit string en soie blanche lorsque Jennifer s'approcha de moi en disant :
« Janet, s'il te plaît, j'aimerais que tu sois complètement nue, j'ai tellement envie de faire l'amour avec toi ! ».
Je n'étais pas sûre d'avoir bien entendu ce qu'elle venait de me dire, mais j'en eus immédiatement la confirmation quand je vis qu'elle s'était déjà complètement déshabillée et qu'elle pressait maintenant sa bouche contre la mienne pour m'embrasser profondément... Ce baiser passionné me procura des sensations étranges... beaucoup plus intenses que celles de son baiser chaste sur mes lèvres peu de temps auparavant... Je sentais sa langue agile s'enrouler autour de la mienne et, à travers sa salive, je retrouvais le parfum du vin que nous avions bu en abondance... Ses mains vagabondaient sur tout mon corps ; j'étais électrisée !
« Hum, tu es délicieuse, Janet, ma chérie ; je t'adore ! », me dit-elle avec passion.
Je ne savais pas trop quoi faire ni quoi répondre... Après m'être délicatement détachée d'elle, je décidai de me laisser emporter par le jeu... Je m'approchai d'elle et commençai à caresser ses seins...
« Ah », dit-elle, « je vois que toi aussi tu es une belle lesbienne, allonge-toi pour que je puisse prendre possession de ton entrejambe ! ».
Je n'ai jamais été exclusive, ni dans mon comportement ni dans mes relations sexuelles... Même si c'est vrai que je préfère les hommes, je ne refuse jamais une partenaire féminine, surtout si elle est douce et attentionnée... et si je sens qu'elle va m'apporter beaucoup de sensualité et de plaisir. Ce fut le cas de Jennifer, qui m'a inspiré confiance et dans les bras de laquelle j'ai immédiatement ressenti le désir de me laisser aller... Pour cette expérience homosexuelle féminine excitante, j'ai décidé de m'abandonner complètement à ses caresses et à son habileté.
« Fais de moi ce que tu veux, Jennifer, je suis toute à toi ! », ai-je dit lascivement à ma tendre amie... « Fantastique, chérie, ça fait longtemps que je te désirais, Janet, tu ne le regretteras pas ! ».
Je m'allongeai naturellement sur le dos. Jennifer commença à s'empalier sur moi et se positionna entre mes cuisses... Elle aussi était nue, je sentais la douceur et déjà l'humidité de son sexe sur le mien... Elle m'avait demandé de lui laisser mes bottes parce qu'elle aimait garder les siennes et s'était justifiée en expliquant :
« J'adore faire l'amour en cowgirl ; c'est sauvage et très intense, tu sais, chéri !
Les jambes entrelacées comme les pointes de deux compas, nous nous caressions les seins et nous nous embrassions avec passion ; c'était vraiment délicieux ! En imprimant à ses hanches un rythme lent et persistant d'avant en arrière, en caressant mon sexe avec le sien, elle provoqua rapidement de douces et délicieuses brûlures de plaisir dans ma chatte. Ce petit jeu de préliminaires dura de longues minutes passionnées. Sentant sa chair intime contre la mienne, je me sentis défaillir et lui demandai sans hésiter de s'occuper de ma chatte... Il s'appliqua donc à mettre sa bouche sur ma fente et à écarter mes grandes lèvres pour me lécher l'intérieur... Le dévouement avec lequel il me léchait avait le don de me faire fondre le bas-ventre... Mon petit clitoris était déjà complètement dressé ; je voulais qu'il m'emmène le plus vite possible au septième ciel !
— Oh, Jennifer, Jennifer, ma chérie ! Mange-moi toute ! Continue, je vais jouir ! — lui avouai-je dans un soupir chaud entre deux longs gémissements de plaisir.
Elle ne répondit pas, mais continua à enfoncer sa langue toujours plus profondément entre mes jambes, jouant avec le bout de sa langue sur mon joli bouton d'amour. Le résultat ne se fit pas attendre : sans la moindre honte, je criai de plaisir et me laissai aller complètement lorsque je sentis l'intérieur de mes cuisses recevoir l'abondante vague de cyprin qui jaillissait de mon sexe. Visiblement très satisfaite de pouvoir recueillir mon jus d'amour, Jennifer leva les yeux vers moi et me dit avec ferveur :
— Mmmmm, tu as déjà joui et tu es mouillée comme une vraie salope en chaleur ! Laisse-moi mettre un doigt dans ta petite chatte humide, tu vas adorer !