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Dans cette nouvelle collection de récits érotiques raffinés, Eva Rossi explore avec audace les passions cachées derrière les façades les plus respectables. Des hôtels particuliers aux manoirs de province, des rues de Paris aux salons feutrés de la haute société, chaque histoire révèle les désirs inavoués d’hommes et de femmes à la fois puissants et vulnérables. Une écriture sensuelle, élégante, qui éveille les sens sans jamais sombrer dans la vulgarité. Dans Une Prostituée Riche, Bénédicte de Saint-Preux, épouse dévouée d’un notable, mène une vie rythmée par les conventions sociales et les apparences. Mais, à l’arrière de sa Mercedes, sous le regard insistant de son chauffeur Charles, un feu ancien se rallume, violent et irrésistible. Entre luxe, domination et fantasmes interdits, la barrière entre la maîtresse et le domestique s’effrite dangereusement. « Presque contre son gré, elle écarta lentement les jambes, offrant à Charles une vision fugace de ses bas nylon… Une chaleur trouble envahit son ventre. Elle ferma les yeux. » Tantôt maîtresse, tantôt esclave de ses fantasmes, Bénédicte incarne le vertige des femmes trop longtemps contenues. Et si la vraie liberté ne se trouvait que dans l’abandon total aux désirs les plus inavouables ?
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Seitenzahl: 95
Veröffentlichungsjahr: 2025
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Une Prostituée Riche
Nouvelles Erotiques pour Adultes – Histoires de Sexe Explicites et Taboues (Interdites & Hard)
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Eva Rossi
Sommaire
Sommaire
Imprint
Introduction
Avant de commencer...
Une prostituée riche
Un Noël différent des autres
Angélique
Avant de partir...
Imprint
© 2025 Eva Rossi
Photo de couverture : Canva
Impression et distribution pour le compte de l'auteur :
tredition GmbH, Heinz-Beusen-Stieg 5, 22926 Ahrensburg, Allemagne
L'ouvrage, y compris ses parties, est protégé par le droit d'auteur. L'auteur est responsable de son contenu. Toute utilisation est interdite sans son accord. La publication et la diffusion sont effectuées sur ordre de l'auteur, à contacter à l'adresse suivante : Eva Rossi, Friedrichstraße 155, 10117 Berlin, Allemagne.
Adresse de contact selon le règlement européen sur la sécurité des produits : [email protected]
Introduction
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Le livre contient un contenu sexuel explicite et ne convient pas aux personnes de moins de 18 ans. Les histoires sont de pure fantaisie: les personnages sont tous d'âge et, comme le contenu, ils sont fictifs.
Avant de commencer...
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Un bisou et une bonne lecture, Eva!
Une prostituée riche
Bénédicte De Saint-Preux, assise à l'arrière de sa Mercedes, était occupée à dresser la liste des invités pour le déjeuner qu'elle devait organiser à la demande de son mari. Elle était concentrée, prenant grand soin de n'oublier personne. Elle ne pouvait pas se permettre de faire d'erreur. Au volant de la Mercedes, Charles, le chauffeur de Madame, demanda à cette dernière si elle souhaitait faire des courses ou rentrer directement à la maison. Elle leva les yeux, observant la nuque sombre du chauffeur.
Originaire de Martinique, Charles était très élégant, mais aussi très imposant. Il était très grand et avait un physique athlétique. Bénédicte, un peu gênée, se demandait toujours si la fameuse rumeur sur les Noirs et la taille de leurs organes génitaux était vraie. Elle y pensait souvent lorsqu'elle était seule avec lui dans la Mercedes.
— Non, Charles, rentrons à la maison.
Charles accéléra, traversant le centre-ville en direction du manoir des Saint-Preux. Un grand bâtiment, un château qui s'était transmis de génération en génération et qui se trouvait à la périphérie de cette ville chic et snob de la région parisienne.
Il se pose également des questions. Il se demandait si la rumeur selon laquelle les bourgeoises sont toutes des prostituées en puissance et n'attendent qu'à être un peu « forcées » pour devenir de vraies chiennes en chaleur était vraie ou simplement un fantasme. Il jeta un coup d'œil dans le rétroviseur, observant secrètement sa patronne. Elle était encore belle pour son âge. Bénédicte, qui approchait la cinquantaine, avait encore ses charmes. Il regarda les jambes de sa patronne, bien croisées. La jupe du tailleur Yves Saint Laurent de la dame était remontée, révélant au regard du chauffeur ses cuisses charnues enveloppées dans des bas nylon noirs. Il se demanda si elle portait des collants ou des bas. Il sentit son pénis durcir dans son pantalon.
À l'arrière de la voiture, Bénédicte sentait son cœur s'accélérer. Elle avait surpris le regard de son chauffeur posé sur ses jambes. Elle rougit et se demanda quelle attitude adopter. Devait-elle le réprimander, le remettre à sa place ? Ne rien dire ? Presque contre son gré, elle écarta les jambes, pensant qu'il pourrait encore plus se délecter, puis les recroisa, faisant grincer le nylon de ses collants. Une douce chaleur envahit son ventre. Elle se secoua mentalement et se concentra sur sa liste.
Le regard toujours fixé sur les cuisses de la dame, Charles ne vit pas le panneau « STOP » à temps et le dépassa, coupant la route à un groupe de jeunes en scooters. L'un d'eux, dans sa tentative d'éviter la Mercedes, tomba par terre. La dame poussa un cri étouffé sur la banquette arrière. Charles eut le réflexe de ralentir pour s'arrêter, mais Bénédicte de Saint-Preux, d'une voix aiguë, cria :
« Qu'est-ce que tu fais ? Ne t'arrête pas, continue à rouler.
Obéissant, Charles accéléra et poursuivit son chemin sous les insultes des jeunes.
Bénédicte se retourna et fut soulagée de voir que le jeune homme se relevait avec l'aide de ses amis.
« Ne vous inquiétez pas, Charles, il s'est relevé.
— Nous aurions dû nous arrêter, madame », fit remarquer Charles.
« Mais vous plaisantez ? Vous auriez dû faire attention », s'exclama la dame, de mauvaise foi. « De plus, c'étaient certainement des garçons de la Cité des Fleurs, je ne voulais pas avoir affaire à eux. »
La Cité des Fleurs, située à quelques kilomètres de la ville, avait très mauvaise réputation. Trafic de drogue, émeutes, la police était toujours présente.
Charles se concentra sur la conduite, se disant qu'après tout, c'était la dame qui avait décidé.
Ni lui ni Bénédicte ne remarquèrent qu'ils étaient suivis.
La Mercedes s'engagea sur la grande avenue, faisant crisser le gravier, et s'arrêta devant le perron du château. Charles descendit et ouvrit la porte à Bénédicte. En sortant, sa jupe remonta haut sur ses cuisses, laissant Charles apercevoir rapidement le bord d'une bas. En haut de l'escalier, Maria, la domestique des Saint-Preux, les attendait. Blouse blanche, jupe noire, collants clairs et ballerines vernies. Elle était la caricature d'une domestique.
— Bonjour, Marie, avez-vous fini de mettre la table ?
— Pas encore, madame.
Bénédicte regarda Marie d'un air sévère...
— Qu'est-ce que vous attendez, ma fille ! Dépêche-toi, je ne vais pas rester ici pour t'aider !
Maria acquiesça et se dirigea vers le garde-manger et la cuisine en maugréant contre cette méchante bourgeoise.
Bénédicte de Saint-Preux se dirigea vers l'escalier qui menait à sa chambre, faisant claquer les talons aiguilles de ses chaussures sur le sol en marbre. Suivie du regard de Charles.
Ils sont trois. Ils ont abandonné leurs motos un peu plus loin pour ne pas être entendus. Ils avancent silencieusement dans la ruelle et trouvent rapidement l'entrée de la cave, qui est ouverte. Ils pénètrent dans le manoir.
Bénédicte déboutonna son tailleur. Elle apparut en soutien-gorge de satin qui contenait à peine ses seins volumineux. Elle enlève sa jupe et ses bas. Son esprit est ailleurs. Elle pense à Charles... Elle est excitée. Elle imagine Charles la maltraitant. L'insultant, la traitant comme une bourgeoise mal baisée. Dans son fantasme, elle essaie de s'enfuir, mais il la plie sur la table du salon, soulève sa jupe et lui donne des fessées pour la punir de ne pas avoir mis de culotte. Il sortit sa bite. Elle découvrit avec horreur que ce n'était pas une légende. Elle était énorme. Longue, épaisse, imposante...
Bénédicte s'allongea sur le lit et porta sa main vers son intimité. Elle ferma les yeux, tout entière absorbée par son rêve.
Charles la pénétrait et, la tenant fermement par les hanches, la baisait à grands coups de reins. Elle sentait son membre aller et venir en elle. Elle poussa un gémissement. Charles l'insultait et elle mouillait comme une folle. Le rythme s'accélérait.
Bénédicte saisit son clitoris et se masturbait vigoureusement. Elle était toute mouillée...
Pendant que la dame se masturbait dans la chambre, Maria descendit à la cave pour chercher des bouteilles de bon vin pour les invités de la soirée. Elle était en train de choisir les bouteilles lorsqu'un bruit la fit sursauter. C'était Charles. Il s'approcha d'elle et, sans dire un mot, souleva sa jupe. La main du Noir se posa sur son pubis et commença un lent massage à travers le nylon des collants. Maria soupira. Leur relation avait commencé quelques mois auparavant. Maria était en train de passer l'aspirateur lorsque Charles, s'approchant par derrière, l'avait saisie sans ménagement et l'avait baisée sur le tapis du salon. Savoir que la dame était dans la chambre les excitait encore plus ; Maria avait dû se mordre les lèvres jusqu'au sang pour étouffer ses cris lorsque Charles l'avait pénétrée...
Le chauffeur appuie sur les épaules de Maria et elle, docile, s'agenouille à ses pieds. Il sort fébrilement son pénis déjà à moitié gonflé. Le membre charnu frappe le visage de la femme de ménage, qui l'avale. Mécaniquement, elle commence à le sucer. Sa bouche est déformée par l'imposant pénis. Sans se douter que, dans l'ombre de la cave, les trois jeunes les observent.
Dans sa chambre, Bénédicte se tord sur son lit, gémissant, haletante, les doigts enfoncés dans sa chatte dégoulinante. Ses tétons sont durs... Elle est en feu. Elle s'imagine à la merci de Charles. Bâillonnée, ligotée, baisée comme une chienne. Ses doigts s'agitent dans sa chatte, de plus en plus vite, elle halète, la bouche ouverte... Soudain, elle a un orgasme fulgurant. Elle crie, son corps se soulève et retombe. Elle reste immobile. Elle essaie de reprendre son souffle. Maria est agenouillée sur le sol de la cave. Elle suce Charles avidement. Son membre glisse entre ses lèvres. Elle est complètement excitée.
Sa culotte est trempée. Dans un coin de la cave, cachés derrière des caisses de vin, les trois jeunes n'en croient pas leurs yeux. L'un d'eux filme la scène avec son téléphone portable. Ce sera un beau souvenir. N'en pouvant plus, Charles sort son pénis brillant et, après s'être masturbé un peu, éjacule, libérant des traces de sperme qui atterrissent sur le visage de Maria.
Peu après, une fois remis de ses émotions, Charles confia à Maria des détails sur leur patronne.
« Je suis sûr que c'est une vraie salope, elle n'arrête pas de me provoquer dans la voiture. »
« Et moi ? Tu as vu comment elle me traite ? », se plaignit la femme de ménage.
« Je rêve de pouvoir lui défoncer le cul. »
Maria ne répondit pas. Elle imagina Bénédicte de Saint-Preux comme une domestique, à quatre pattes, passant la serpillière, le cul rouge à cause des coups de fouet.
Interrompant leur fantasme commun, Charles et Maria montèrent.
Brahim, Momo et Rachid, les trois chefs de la Cité qui n'avaient pas perdu une minute de cette conversation instructive, étaient en réunion de guerre dans la cave des Saint-Preux. Ils avaient décidé de rester et de continuer à espionner...
***
Bénédicte de Saint-Preux sortit de la douche et s'arrêta devant le grand miroir qui occupait tout le mur.
