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- Herausgeber: Le Lys Bleu Éditions
- Kategorie: Gesellschafts- und Liebesromane
- Sprache: Französisch
Trois amies partent en voyage, prêtes à vivre l’insouciance et les nuits de fête. Au cœur de cette escapade, Anna succombe au charme de Nicolas et s’abandonne à des moments intimes et troublants. Mais ce qu’elle ignore, c’est que le père de Nicolas est là lui aussi. Ancien amant jaloux, il la menace dans l’ombre. Entre désir, tension et secrets inavoués, les vacances prennent une tournure aussi sulfureuse qu’inquiétante.
À PROPOS DE L’AUTRICE
Sarah Pariel a choisi de vivre intensément. Aventurière dans l’âme et amoureuse des mots, elle les dévore et les couche sur le papier. Elle lit pour s’évader et écrit pour respirer. Indépendante, curieuse, et un brin têtue, elle croit dur comme fer qu’un esprit libre est le meilleur carburant pour une vie pleine de rebondissements.
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Seitenzahl: 51
Veröffentlichungsjahr: 2025
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Couverture
Page de titre
Sarah Pariel
Vacances inoubliables
Roman
Copyright
© Lys Bleu Éditions – Sarah Pariel
ISBN : 979-10-422-7847-2
Le code de la propriété intellectuelle n’autorisant aux termes des paragraphes 2 et 3 de l’article L.122-5, d’une part, que les copies ou reproductions strictement réservées à l’usage privé du copiste et non destinées à une utilisation collective et, d’autre part, sous réserve du nom de l’auteur et de la source, que les analyses et les courtes citations justifiées par le caractère critique, polémique, pédagogique, scientifique ou d’information, toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle, faite sans le consentement de l’auteur ou de ses ayants droit ou ayants cause, est illicite (article L.122-4). Cette représentation ou reproduction, par quelque procédé que ce soit, constituerait donc une contrefaçon sanctionnée par les articles L.335-2 et suivants du Code de la propriété intellectuelle.
Vacances inoubliables
Je jette un dernier coup d’œil dans la valise, je regarde que je n’ai rien oublié si tout est ok, je ferme la valise délicatement.
Tellement excitée d’être à demain, même pas sûr si je vais pouvoir fermer l’œil de la nuit.
Ça y est. Il est l’heure, à travers la fenêtre je vois les premiers rayons de soleil du matin.
Et le réveil, on n’en parle même pas. C’est lui qui m’a réveillée brutalement, mais je suis super contente, ça fait longtemps que j’attendais ce moment.
J’attrape mon réveil pour l’éteindre, car il va finir par me casser les oreilles celui-là : « j’appelle de suite mes copines Alice et Sophie pour voir si elles sont réveillées, faudrait pas qu’on loupe notre vole. »
Ça sonne.
« Allo. »
« Bonjour, ma biche, ça va, tu as bien dormi ? »
« Pas trop moi et Sophie, on était excité on a regardé encore s’il ne manque rien dans notre valise pour ne rien oublier. »
« Ah d’accord, Alice, Sophie a dormi chez toi, j’allais l’appeler juste après justement pour lui dire de ne pas oublier son passeport comme je sais qu’elle est un peu tête en l’air. »
Rires.
« Je t’entends Anna, ne t’inquiète pas, je ne ferai pas comme la dernière fois. »
Fou rire entre copines.
« Bah oui, Sophie, vérifie bien. »
« Alice, regarde bien, toi aussi, on ne sait jamais, en tout cas, les filles j’ai hâte ! »
« Nous aussi, Anna, les doigts de pied en éventail en sirotant un mojito tout en regardant le coucher de soleil ! »
« Bon, les filles, on se dit à dix heures à l’aéroport. »
« OK, Anna à tout à l’heure, bisous ma belle. »
Je vais aller me préparer un bon petit déjeuner j’ai faim, j’appuie sur la cafetière le temps que ça chauffe, je cherche dans ma playlist une chanson pour me booster davantage, j’aime bien mettre de la musique le matin, difficile le choix de la musique, car j’aime tous les styles, je glisse mon doigt sur mon écran je descends et je monte, enfin j’ai trouvé j’ai opter pour du RNB.
J’appuie sur le bouton de la cafetière qui a arrêté de clignoter je sens l’odeur du café vanille qui coule lentement dans ma tasse, pour l’adoucir je mets une petite cuillerée de sucre et quelques gouttes de lait je tourne deux fois dans le sens des aiguilles, il était prêt à être savouré.
Très joyeuse ce matin, je commence à chanter et danser comme une folle a l’asile pour ne pas changer.
Je suis une femme qui aime s’amuser, rire et manger, je profite de la vie, je suis une bonne vivante, les voisins ont dû m’entendre, mais je m’en fiche au moins ils ont pu entendre ma belle voix et profiter du concert.
Je file à la douche tout en continuant de chanter, je me prends pour Céline Dion.
Je me prépare, je me fais belle pour le voyage j’enfile ma chemise en soie blanche, mon jean basique bleu et mes sneakers, j’aime être à l’aise quand je voyage, je me fais un petit make up léger et du rouge sur mes lèvres, des boucles dans mes cheveux blonds, je me parfume de mon parfum poudré sans oublier de mettre mes créoles, un dernier regard dans le miroir, me voilà prête.
Je regarde une dernière fois si mon passeport est bien à sa place dans mon sac à main, je jette un coup d’œil à ma montre, mon chauffeur ne devrait pas tarder à venir me récupérer pour m’emmener à l’aéroport.
Mon chauffeur est arrivé avec cinq minutes de retard ce vilain, le temps de mettre les valises dans le coffre je me suis enfin assise dans le taxi et direction l’aéroport.
Pas d’embouteillage chouette, la circulation était fluide, je suis vite arrivée, Alice et Sophie étaient déjà là, on s’est fait une grosse accolade de copines avec tout plein de bisous et on file enregistrer nos bagages.
Il n’y avait pas beaucoup de monde, aussitôt l’enregistrement terminé, on a filé à la porte d’embarquement, toutes les trois, on s’est regardé et on a rigolé tellement on était heureuse, tout le monde nous regardé, on riait tellement fort, on se faisait remarquer, en même temps trois jolies femmes ensemble c’est sûr que les regards se braquent sur nous.
Je me suis retourné et j’ai vu un bel homme qui était dans la même file que nous.
« Sophie, Alice, regardez discrètement derrière dans la file, il y a un bel étalon. »
Bien évidemment ces deux-là ne sont pas discrets du tout.
Arrivé dans l’avion j’étais contente de me poser sur mon siège.
« Anna, tu as vu l’homme tout à l’heure ? C’était carrément ton genre. »
« Oui, Sophie, tu as raison, il était super beau avec sa barbe. »
« Mais on dirait qu’il ne voyage pas seul. »
« Toi aussi, tu l’as remarqué Alice ! »
« Oui, peut-être ses parents chepa. »
« En tout cas, j’en ferais bien mon quatre heures, les filles. »
« Ça ne nous étonnerait pas ! »
