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Seitenzahl: 153
Veröffentlichungsjahr: 2025
Week-end a la Ferme
Histoires Érotiques Interdites de Sexe Tabou pour Adultes
______________________
Eva Rossi
Sommaire
Imprint
Introduction
Avant de commencer...
Week-end à la ferme
Avant de partir...
© 2025 Eva Rossi
Photo de couverture : Canva
Impression et distribution pour le compte de l'auteur :
tredition GmbH, Heinz-Beusen-Stieg 5, 22926 Ahrensburg, Allemagne
L'ouvrage, y compris ses parties, est protégé par le droit d'auteur. L'auteur est responsable de son contenu. Toute utilisation est interdite sans son accord. La publication et la diffusion sont effectuées sur ordre de l'auteur, à contacter à l'adresse suivante : Eva Rossi, Friedrichstraße 155, 10117 Berlin, Allemagne.
Adresse de contact selon le règlement européen sur la sécurité des produits : [email protected]
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Le livre contient un contenu sexuel explicite et ne convient pas aux personnes de moins de 18 ans. Les histoires sont de pure fantaisie: les personnages sont tous d'âge et, comme le contenu, ils sont fictifs.
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Un bisou et une bonne lecture, Eva!
Francine et Paul, tous deux âgés d'une quarantaine d'années, forment un couple heureux à tous points de vue. Ils sont épanouis et se comprennent parfaitement, tant sur le plan affectif que sexuel. Grâce à l'anonymat que leur procure Internet, ils se livrent parfois à quelques frasques, mais toujours ensemble et d'un commun accord ; en d'autres termes, ils sont échangistes ou mélangistes, selon leurs préférences.
Ils sont en contact depuis plusieurs semaines avec un couple de quinquagénaires par le biais d'Internet et, après avoir échangé plusieurs photos érotico-pornographiques, ils conviennent d'une rencontre. Le couple en question vit à la campagne et exploite une ferme, la femme aidant l'homme dans les différents travaux.
Grâce au GPS, trouver la ferme est un jeu d'enfant. Un haut mur entoure le corps de la ferme, auquel on accède par un grand portail. Rien à voir avec les fermes d'antan, toute la cour est pavée avec de magnifiques parterres de fleurs ici et là, la maison est imposante mais très soignée. Un homme attend à la porte. D'après les photos que nous avons échangées, il s'agit de Jacques, un homme d'une cinquantaine d'années, bedonnant mais à l'allure juvénile. Nous nous arrêtons devant lui et descendons de voiture.
« Bonjour les citadins, vous avez fait bon voyage ? Maman, viens voir, Francine et Paul sont arrivés », crie-t-il en se retournant pour entrer dans la maison. Quelques secondes plus tard, sa femme apparaît.
« Bonjour, Suzette, je crois, dis-je en lui tendant la main.
« Embrassons-nous ! Après ce que nous avons échangé en ligne, nous sommes presque intimes maintenant », dit-elle avec un grand rire. Elle m'attrape par les épaules, m'écrase contre sa grosse poitrine (que j'ai eu le temps de découvrir sur les photos, un bon 100 E) et me donne quatre baisers de bienvenue. Jacques fait de même avec Francine
« Entrons, vous allez avoir envie d'un verre après tout ce voyage », nous dit Suzette.
L'intérieur sent bon la propreté, c'est meublé à l'ancienne, un antiquaire y trouverait sans doute son bonheur.
« Allons sur la terrasse du fond », dit Jacques.
Nous découvrons une immense terrasse avec une piscine creusée non moins magnifique.
« Wow, l'agriculture fait un bon profit », dit Francine.
« On ne se plaint pas, mais on transpire beaucoup pour y arriver, c'est quinze heures par jour et pas de vacances, alors ma Suzette et moi avons décidé de ralentir et maintenant on veut en profiter le plus possible. »
« C'est une sage décision », dis-je.
« Vous voulez aller vous baigner ? dit Jacques.
« Nous aimerions bien, mais nous n'avons pas apporté de maillots de bain si nous avions su », dit Francine.
« Maillot de bain ! Vous plaisantez ? On se baigne comme ça ici », dit Jacques et, passant de la parole aux actes, il se déshabille et se met complètement nu. Les yeux de Francine sont fixés sur le pénis qui pend sous le ventre de Jacques, qui se tourne vers elle.
« Appelons-nous par nos prénoms, voulez-vous ? Francine, qu'est-ce que tu attends ? Maman, je crois qu'il faut que tu lui montres. »
Suzette s'est approchée de nous et s'est déshabillée à son tour, dévoilant des seins énormes mais encore fermes et des poils pubiens d'un noir d'encre qui m'ont donné un délicieux frisson dans le bas du dos.
« Viens, Francine, on y va. » Une minute plus tard, nous étions tous les quatre nus dans l'eau. Nous avons joué, nagé, ri, et toute cette agitation a attiré le chien de la maison.
« Ah, voilà le sultan, les cris l'ont réveillé », dit Jacques.
« N'ayez pas peur, il est impressionnant, mais il est doux comme un agneau et obéit au doigt », dit Suzette pour nous rassurer. Après une demi-heure de joyeuses cabrioles aquatiques, nous sortons tous de l'eau. Sultan vient directement vers nous.
« Il vient juste vous renifler pour vous connaître », nous dit Jacques.
Bien sûr, après avoir terminé son inspection, le chien s'allonge dans un coin ombragé.
« Prenons un peu de soleil », dit Suzette.
« Pourquoi pas ? Profitons-en », répond Francine.
Il y a deux chaises longues côte à côte de part et d'autre de la piscine, Francine et moi nous dirigeons vers l'une d'elles.
« Non, attends, Suzette va venir avec toi, Paul, et Francine avec moi, comme ça on fera plus ample connaissance », propose Jacques.
« Oui, c'est une bonne idée », répond Francine qui se détend de plus en plus.
Ils s'assoient tous et exposent leurs corps aux rayons brûlants.
« Il fait chaud aujourd'hui, je crois que je vais mettre de la crème, je reviens tout de suite », dit Suzette.
Elle se lève, écarte les jambes sur le côté, me donnant une vue imprenable sur son entrejambe. Elle se rend compte que je la regarde, fait une pause et dit.
« Tu peux essayer à tout moment, et avec ça aussi », me dit-elle en plaçant ses mains sous mes seins pour les pousser vers le haut. Intérieurement, je me dis que ça se passe bien. Pendant que Suzette est partie, je regarde ce que font Jacques et Francine. Jacques est allongé dans son hamac, les jambes posées sur le sol de chaque côté, offrant une vue magnifique sur son pénis et ses testicules. C'est vrai qu'il est bien doté, quand il est excité ça doit être impressionnant, il faudrait au moins avoir un cul comme celui de Suzette pour accepter une hampe de cette taille. Francine est tranquillement allongée sur le dos, elle prend un bain de soleil. Je les entends parler, mais je ne comprends pas ce qu'elles disent. C'est alors que Suzette entre.
« Suzette ! Viens ici, s'il te plaît », appelle Jacques.
« Donne à mon membre une bonne giclée de crème solaire, tu sais qu'il est très délicat », lui dit Jacques. Suzette obéit et commence à appliquer la crème sur son membre.
« Non, laisse, chérie, notre invitée va s'en occuper », dit Jacques en tournant la tête vers Francine.
« Bien sûr, avec plaisir », répond Francine, qui s'agenouille à côté de Jacques, pose sa main ouverte sur l'appendice flasque et commence à étaler la crème en faisant de petits mouvements circulaires avec ses doigts.
« Pas sur le gland, Francine, au cas où tu aurais faim, car ce n'est pas très digeste », lui dit Jacques en riant.
Suzette nous rejoint et s'allonge sur le hamac, à plat ventre cette fois.
« Je peux en avoir ? demande-t-elle en tendant le tube de crème.
« Avec plaisir », répondis-je en étalant une bonne couche sur son dos et en commençant à la faire pénétrer.
« Mmm, c'est bien, frotte-moi aussi les fesses, on ne les voit pas, mais elles sont délicates, tu sais », dit-elle.
J'ai acquiescé à sa demande et j'ai commencé à masser ses fesses bombées. Il est vrai qu'elles étaient différentes de celles de Francine, mais, comme ses seins, elles étaient plus fermes qu'il n'y paraissait à première vue. Au fur et à mesure que j'avançais dans le massage, Suzette a écarté les jambes.
« Mets-les là aussi », me dit-elle.
Je pousse avec ma main pour séparer les deux globes et je masse la raie de son cul, je descends vers sa chatte, Suzette semble aimer ça, je m'enhardis et j'ose y mettre un doigt, ce qu'elle apprécie beaucoup.
« Mmm, c'est bien, j'aime la façon dont tu masses, maintenant fais-le devant moi ». Elle se retourne, roule sur le dos, met les bras derrière la tête et écarte les cuisses. Ses seins pendent de part et d'autre de son torse, leurs mamelons sont déjà en érection. J'applique la crème sur sa poitrine, pétrissant et caressant ces magnifiques seins, je m'arrête sur ses mamelons, les prend entre mes doigts et les fait rouler, puis ma main descend sur son bas ventre et s'enfouit entre ses cuisses ouvertes. J'insère deux doigts et la pénètre sans problème, car elle est très humide. Sa main se dirige vers mon ventre à la recherche de mon pénis, qui est en pleine érection depuis un certain temps, et elle l'attrape avec un murmure satisfait.
« Tu es tellement excité, mon petit Paul, j'ai l'impression que je t'excite, allez, donne-moi ta bite dans ma bouche. » Elle se rassied et je me lève, elle avale mon pénis jusqu'aux amygdales, quelle sensation ! J'ai l'impression que nous n'avons pas encore vu tout ce que ce couple nous réserve. Je jette un coup d'œil à l'autre couple. Francine est en train de masturber Jacques à deux mains, son pénis est vraiment énorme. Soudain, elle se penche sur lui, je pense pour lui faire une fellation, mais elle a beau essayer, elle n'arrive qu'à avaler le gland. Je comprends mieux pourquoi Suzette l'avale d'un trait comme s'il s'agissait d'un pénis de garçon, car sa bouche s'est adaptée au fil du temps à la trompe d'éléphant de son mari. Mais Francine ne se laisse pas abattre, Jacques a l'air de s'amuser, à en juger par la façon dont il commence à se tortiller. Suzette, qui m'a vu regarder l'autre couple, me dit.
« Ça t'excite de voir ta femme sucer la bite de mon mari, c'est vrai qu'elle le fait très bien, allez, je vais te finir, donne-moi ton jus, j'adore ça, j'espère qu'il a bon goût ».
J'attrape Suzette par la tête, je la tiens fermement et j'utilise sa bouche comme une chatte, elle me masse les couilles en même temps, je ne me retiens pas beaucoup et j'éjacule mon sperme au fond de sa gorge. Encore deux ou trois secousses et je finis de me vider dans sa bouche, puis je me retire.
« Oui, c'est pas mal, ce n'est pas la meilleure qualité, mais c'est bon, on recommencera », me dit Suzette.
Francine doit être sur le point de se casser la mâchoire, car elle suce la bite de Jacques comme une folle. Soudain, il pousse un cri bestial et saisit la tête de Francine pour la plaquer sur son pénis. Les bras de ma femme s'agitent en l'air comme si elle voulait voler, mais Jacques la tient fermement, il est en train de jouir dans sa bouche et, à voir Francine se débattre, elle doit avoir du mal à avaler les charges que la bite de Jacques libère.
Au bout d'un moment, il la relâche et elle tombe par terre. Je vois bien le sperme qui coule de ses lèvres, elle a fait une overdose.
« Tu suces comme une reine, Francine, c'est dommage que tu n'aies pas avalé plus, mais tu vas jouir », lui dit Jacques.
« Je ne sais pas comment, j'ai la mâchoire déformée, je n'ai jamais sucé une aussi grosse bite », répond Francine.
« Et toi, Suzette, comment était l'apéritif ? s'écrie Jacques en s'adressant à sa femme.
« Oui, très bien, notre ami Paul est très dur et son sperme n'est pas mauvais, j'ai hâte de le réutiliser », répond Suzette.
« Patience, il va venir, et maintenant un verre pour tout le monde pour fêter ça. Prends-en soin, Suzette, tu sais comment faire », lui dit Jacques.
« Bien sûr, ma chérie, tiens compagnie à nos invités, je m'en charge.
« Dis-moi, Francine, tu pratiques la sodomie ? demande Jacques.
« Oui, bien sûr, souvent avec Paul », répond-elle.
« Mais c'est très bien, Suzette adore quand je la baise ».
« Ne me dis pas que tu peux sodomiser ta femme avec un engin pareil », dis-je.
« Mais si, cher Paul, c'est une question de pratique, c'est tout, l'anus est un muscle comme les autres, il faut le travailler », répond Jacques en souriant.
« De toute façon, pour moi, il n'y a aucun doute que tu vas me baiser là, je ne veux pas finir déchirée », lui dit Francine.
« Voyons voir.
« On a tout vu », répond ma femme.
Suzette revient avec quatre verres sur un plateau et deux bouteilles de champagne.
« En voici une pour nos invités et une pour nous, pour commencer », dit-elle.
Les bouteilles sont ouvertes, les verres se remplissent et se vident, les conversations vont bon train et, surtout, elles tournent autour du sexe. Les deux bouteilles sont vides et je me sens un peu étourdi.
« Je suis un peu fatiguée, je vais me reposer un peu », dis-je en m'allongeant sur une chaise longue.
« Moi aussi, je suis un peu étourdi », dit Francine en m'imitant.
« La fatigue du voyage, l'eau, le soleil et l'alcool fatiguent même les plus forts. Repose-toi, Suzette, et nous nous occupons du dîner », suggère Jacques avec douceur.
« D'accord, merci, c'est très gentil. Dans ce cas, faisons une petite sieste », répond Paul. Francine est déjà dans les bras de Morphée.
Francine est la première à se réveiller, mais bizarrement, elle se rend compte qu'elle ne peut bouger ni la tête, ni les bras, ni les jambes et ressent une étrange sensation dans les fesses, comme si quelque chose était coincé dans son anus. Enfin, elle ouvre les yeux et ce qu'elle voit la fait hurler de terreur du fond de sa gorge. Devant elle, un grand miroir orne le mur et elle peut voir son reflet.
En fait, sa tête et ses mains sont emprisonnées dans un lourd joug sur deux trépieds fixés au plafond par une chaîne. Il est à genoux, les jambes grandes ouvertes, et il essaie de les réunir, mais il ne peut pas car quelque chose bloque ses genoux. Mais le pire, c'est l'image qu'elle a de Paul, qui est à côté d'elle, attaché de la même façon, mais dos au miroir. Elle comprend immédiatement pourquoi elle ne peut pas bouger ses jambes : deux épaisses tiges de bois avec des lanières de cuir à chaque extrémité sont attachées aux genoux et aux chevilles de Paul, il doit en être de même pour elle. Par chance, il finit par ouvrir les yeux
« Putain, quel mal de tête ! Qu'est-ce qui se passe ici, putain ! », s'écrie-t-il en se débattant.
Le lourd collier cervical bouge dans tous les sens, mais il est solidement attaché à ses supports par un cadenas.
« Paul, j'ai peur, qu'est-ce qui se passe ? gémit Francine.
« Je ne sais pas, mais où sont Jacques et Suzette, bon sang ? Je crois qu'on est tombé dans un piège », crie-t-elle à tue-tête. Francine s'effondre et se met à pleurer...
***
Au bout de quelques instants, la porte s'ouvre enfin et Suzette apparaît.
« Eh bien, petits loups, vous avez bien dormi ? » dit-elle.
« N'importe quoi, allons-y maintenant ou ça va mal se passer ! » s'écrie Paul.
« Oh, mon petit Paul, menace ! Je vais te détacher, mais d'abord on va bien s'amuser tous les quatre, et peut-être même plus, qui sait. D'ailleurs, si tu as envie de crier, vas-y, mais tu seras enroué pour rien. D'ailleurs, je crois que personne n'est au courant de ton aventure sexuelle de ce week-end, alors... ».
Suzette s'avance derrière Francine et prend quelque chose, et instantanément Francine sent son anus se dilater.
« Qu'est-ce que tu fais ? Ça fait mal, arrête », gémit-elle.
En réalité, un bouchon gonflable lui a été enfoncé dans les reins.
« Ton petit trou est déjà bien ouvert, colombe, il sera bientôt prêt pour la bite de Jacques.
« Tu es folle, il n'entrera jamais, il va me déchirer, détache-moi, s'il te plaît, je ferai tout ce que tu veux », gémit Francine.
« Mais tu vas le faire quand même, et en plus, quand tu sortiras d'ici, et tu sortiras, nous n'avons pas l'intention de te faire du mal, tu auras vécu une expérience dont tu te souviendras toute ta vie. »
Elle s'approche de Paul, tend la main et saisit son pénis.
« Comment va mon pénis chéri ? » dit-elle en le tirant d'une main et en lui caressant les testicules de l'autre. Malgré la situation, la réaction ne se fait pas attendre et il commence à bander.
« Ah, mais il est déjà en forme », dit-elle en prenant le gland dans sa bouche et, après quelques caresses, elle arrête de le sucer.
« Tu es déjà dur, fils de pute, je sens qu'on va s'amuser », puis il se retourne vers Francine et lui donne encore deux coups de bouche.
« Ahhh, stop ! ».