Désirer pour vous - Roman érotique - Gloria Hole - E-Book

Désirer pour vous - Roman érotique E-Book

Gloria Hole

0,0
2,99 €

-100%
Sammeln Sie Punkte in unserem Gutscheinprogramm und kaufen Sie E-Books und Hörbücher mit bis zu 100% Rabatt.
Mehr erfahren.
Beschreibung

Le sexe et le désir vont de pair. Peu importe qu'il s'agisse de femmes, d'hommes ou de couples. Chacun a le droit de vivre une sexualité débridée. Grâce à l'émancipation, les femmes d'aujourd'hui peuvent aussi s'adonner à des pratiques crues. Elles aussi ont des besoins sexuels qu'il faut satisfaire. Les hommes qui pensent que les femmes ne veulent que du sexe plan-plan se trompent complètement. Ces histoires sont écrites dans une langue explicite et ne sont destinés qu'aux personnes majeures. Je ne peux que recommander aux lecteurs de satisfaire leurs besoins et leurs fantasmes sexuels, ainsi que de les partager avec leur partenaire. Une sexualité épanouie est la clé d'une relation heureuse. Sexe et érotisme | Histoires érotiques | Histoires de sexe | Roman érotique | histoires courtes érotiques

Sie lesen das E-Book in den Legimi-Apps auf:

Android
iOS
von Legimi
zertifizierten E-Readern

Seitenzahl: 83

Veröffentlichungsjahr: 2017

Bewertungen
0,0
0
0
0
0
0
Mehr Informationen
Mehr Informationen
Legimi prüft nicht, ob Rezensionen von Nutzern stammen, die den betreffenden Titel tatsächlich gekauft oder gelesen/gehört haben. Wir entfernen aber gefälschte Rezensionen.



Désirer pour vous - Roman érotique

Désirer pour vous - Roman érotiqueUne maîtresse très exigeanteJamais deux sans trois et une fois de plusUn client exigeant!Première expérience avec 2 hommes biL'ami de XavierPlaisirs saphiques avec mon amie plantureuse"S" DominaMa premiere aventure libertineComment je suis devenu un esclaveBarbara cougard'internetPage de copyright

Désirer pour vous - Roman érotique

Le sexe et le désir vont de pair. Peu importe qu'il s'agisse de femmes, d'hommes ou de couples. Chacun a le droit de vivre une sexualité débridée. Grâce à l'émancipation, les femmes d'aujourd'hui peuvent aussi s'adonner à des pratiques crues. Elles aussi ont des besoins sexuels qu'il faut satisfaire.

Les hommes qui pensent que les femmes ne veulent que du sexe plan-plan se trompent complètement. Ces histoires sont écrites dans une langue explicite et ne sont destinés qu'aux personnes majeures.

Je ne peux que recommander aux lecteurs de satisfaire leurs besoins et leurs fantasmes sexuels, ainsi que de les partager avec leur partenaire. Une sexualité épanouie est la clé d'une relation heureuse.

Une maîtresse très exigeante

Nous étions trois employés de maison à travailler pour M. et Mme Bertino : Mara et André, qui étaient à leur service depuis plusieurs années, et moi, Laurent, embauché à l’essai depuis presque trois semaines. Mara gérait les repas et le ménage, quand à André il s’occupait des extérieurs et du bricolage. Mes fonctions étaient dévolues à l’entretien de tous les véhicules (autos, tondeuses, scooter, etc…), éventuellement faire le chauffeur, et seconder Mara pour le ménage. Daniel Bertino était Directeur d’une grosse société française, et presque toujours en déplacement, en France ou à l’étranger. Son épouse Aude était cadre dans une grande entreprise, et finissait ses journées assez tard. En général, Monsieur était tous les week-ends à la villa « le Rollias », nom qu’ils avaient donné à leur demeure. Aude et Daniel avaient une bonne quarantaine d’année, tout comme Mara, André et moi. Ils avaient eu une fille assez tard, Juliette qui avait dix huit ans, et était dans un lycée privé non loin de là. Nous étions logés dans un petit pavillon indépendant et avions assez vite sympathisé entre personnel. Mara et André vouaient un profond respect à leurs employeurs, qui, d’après ce qu’ils m’avaient dit, étaient de bons patrons : pas trop stricts mais pas laxistes non plus. Si on faisait bien notre boulot, ils ne nous embêtaient pas trop. Le seul truc était qu’il fallait toujours dire oui, même si ce qu’ils demandaient était un peu loufoque ; Quitte à se justifier après si ce n’était pas fait. Quand à Juliette, je ne savais pas trop quoi penser d’elle, Mara et André avaient été guère loquaces à son sujet. D’après le peu que j’avais pu me rendre compte, ce n’était pas une « gosse de riche » pourrie gâtée. Elle respectait le personnel, mais sans marquer de familiarité. De toutes les maisons que j’avais faites, et du peu que j’aie pu en voir, c’est dans celle-ci que je me sentais le mieux. Et hormis le fait d’être nourri et logé, le salaire était presque du double de celui de mon dernier emploi : assez motivant pour faire ce qu’il fallait afin de rester ici. Pour l’instant je n’avais que deux choses en tête : savoir si les Bertino allaient m’embaucher, et cerner un peu mieux la jeune Juliette. Pour la première inquiétude j’étais assez confiant, Madame me félicitait assez souvent pour mon travail, et pour la seconde, j’ai rapidement appris à connaître Mademoiselle Juliette. Cela s’est passé un jeudi matin, Mara m’avait demandé d’aller nettoyer immédiatement la salle de bain de Mademoiselle Juliette. Confiant, j’entrai sans précaution particulière : Mara m’avait dit « immédiatement », je ne pensais pas du tout y trouver Juliette. A peine entré, un drôle de spectacle me surprit: Juliette était assise sur le rebord de sa baignoire, une main qui taquinait un de ses têtons, et un doigt de son autre main, qui faisait de doux aller retour entre ses cuisses écartées. Heureusement qu’elle fermait les yeux, car je mis plusieurs secondes à m’arracher de cette stupéfiante vision, et me dire que je ne devais pas rester là. Alors que je reculais en essayant d’être le plus discret possible, elle ouvrit les yeux, et me fusilla du regard. - Ben alors, faut plus se gêner espèce de pervers. - Excusez-moi Mademoiselle, je ne savais pas que vous étiez là. - On ne vous a pas appris à frapper avant d’entrer. - Je suis sincèrement confus, cela ne se reproduira plus. - Je l’espère bien. Cela aurait pu être ma mère qui était là. C’était sa salle de bain à elle, sa mère ne l’aurait jamais utilisée, mais je n’aurais pas osé le lui faire remarquer. - Même pas trois semaines que vous êtes à notre service, et vous jouez déjà les voyeurs. Cela ne va pas plaire à maman. Je me jetai à genoux devant elle en l’implorant : - Je vous en supplie, ne lui dites rien. Je suis prêt à tout faire pour me faire pardonner. - Je vais y réfléchir, en attendant : sortez tout de suite. La situation avait duré deux ou trois minutes, et jamais Mademoiselle n’avait cherché à cacher sa nudité. Je passai une très mauvaise fin de journée, car je ne saurais rien avant le retour de sa mère, ou au pire le lendemain. La nuit fut aussi désastreuse, je n’ai pas du fermé l’œil. Cette place était une vraie bénédiction, et je la regretterais toute ma vie si je n’étais pas embauché. Le lendemain matin je respirai mieux en voyant partir Aude à son travail, Mademoiselle n’avait rien dit à sa mère : Pourquoi ? Dans la matinée, Mara m’annonça que Mademoiselle Juliette m’attendait dans le salon. A peine fus-je entré qu’elle m’annonça : - Comme vous m’avez vu nue, il n’y a pas de raison pour que je ne me venge pas en vous voyant dans la même tenue. J’étais estomaqué et ne savais pas comment réagir : me mettre nu devant cette gamine, ou perdre ma place. - T’attends quoi ? Me dit-elle en adoptant derechef le tutoiement. Je n’eus pas le loisir de réfléchir très longtemps, je voulais cette place. J’enlevai mes vêtements sauf mon boxer. - Tu retires tout. Par un reflexe naturel, mes mains vinrent se placer devant mes attributs. - Ôte tes mains de là, tu me caches le plus intéressant. Une fois qu’elle put admirer entièrement mon anatomie, elle continua : - Tu sais que tu m’as surpris dans mon activité préférée, alors tu vas faire pareil. Ici, c’est donnant donnant. Cette gamine était vraiment démoniaque, et elle savait ce qu’elle voulait. Lentement ma main prit mon sexe et commença de le caresser. Juliette souriait, car elle allait obtenir ce qu’elle voulait. - Jusqu’au bout me précisa-t’elle. Lorsque je me libérai enfin, elle quitta le salon en rigolant, et en me disant : - Pour cette fois, tu peux prendre ton mouchoir pour nettoyer. Lorsque je la croisai un peu plus tard, elle m’annonça : - Je t’attends à 14 heures au salon. A l’heure dite, je me présentai pour la seconde fois de la journée dans le salon. Cette fois l’entrevue fut beaucoup plus rapide, Mademoiselle m’expliqua simplement : - Tu viendras me rejoindre dans ma chambre dans une heure dans la même tenue que ce matin. Et puis j’ai horreur des poils, comme maman. Précisa-t’elle. Alors rases toi bien correctement, et partout. Comme je ne portais ni barbe, ni moustache, je compris immédiatement à quels poils elle faisait allusion. De même que celle avec sa mère. Cette fille était décidément terrible. Est-ce-que cet emploi valait bien ces moments de déshonneur pour moi ? Une heure plus tard, je m’approchai de la porte de la chambre avec une certaine fébrilité. Malgré la honte qui me taraudait, j’avais pesé le pour et le contre, ma décision était prise, je voulais garder cet emploi quelque soit le prix moral à payer. C’est donc entièrement nu, et glabre de partout que je me présentai devant Mademoiselle. C’est avec un large sourire qu’elle m’annonça : - Tu es très obéissant, je suis content de toi. J’ai de moins en moins envie de parler de ce petit incident à ma mère. Mais tu dois toujours continuer à te montrer bien discipliné, si tu veux que cela reste entre nous. Après un petit silence, elle enchaîna : - Ta petite séance de ce matin m’a mis l’eau à la bouche. Tu vas recommencer une nouvelle fois, mais avec une petite différence : tu ne te serviras pas de ton mouchoir pour nettoyer. Comme je suis trop bonne, je te laisse le choix : soit tu te libères devant toi comme ce matin, mais cette fois tu nettoieras tes traces avec ta langue, soit tu te laisses aller dans ta main, et tu lècheras tes doigts ensuite. Comme tu veux. Le choix ? C’était vite dit : dans tous les cas, il fallait que j’avale ma semence. Je commençai à me demander si je n’aurais pas mieux fait de tout refuser depuis le départ. Jusqu’où irait-elle ? Alors que je réfléchissais aux choix qu’elle m’imposait, un ordre claqua : - Dépêche-toi, je ne suis guère patiente. Le même scénario que celui du matin se reproduisit, je me donnai du plaisir comme lorsque j’avais quinze ans. Il me sembla moins dégradant de tout recueillir dans ma main. Lorsque j’eus bien nettoyé mes doigts, elle m’interpella une nouvelle fois : - Tu n’es guère doué pour la récolte, il y a une grosse trace sur le parquet. Mets-toi donc à quatre pattes pour la lécher. Et puis tu te tourneras pour me montrer tes fesses, je n’ai pas encore vu si elles étaient belles. Elle savait vraiment y faire pour obtenir ce qu’elle voulait. Au point ou j’en étais, je n’avais plus trop le choix. Alors que je me mettais en position, elle me précisa : - Prends bien ton temps que j’admire le spectacle. Après avoir regardé mes fesses, et les avoir rapidement caressées, elle vint se placer accroupie face à moi. Dans cette position, et avec la minijupe qu’elle portait, je pus constater qu’elle ne portait pas de culotte. Elle l’avait fait exprès pour m’exciter. Après m’avoir obligé à lécher le sol de longues minutes, elle me libéra enfin. Non sans me préciser : - Chaque fois que je te convoquerai, c’est entièrement nu que je veux que tu te présentes. C’est compris. Un « oui » faiblard sortit de ma bouche. - Oui qui ? - Oui Mademoiselle. C’est ainsi que je goûtai pour la première fois à la semence masculine. Ce ne sera, malheureusement pour moi, pas la dernière. Le week-end se passa tranquillement, j’étais presque sûr qu’elle ne dirait rien à ses parents, mais j’avais intérêt à continuer de lui obéir. Elle revint à la charge le lundi matin par l’intermédiaire d’André : - Elle t’attend dans sa chambre. Il n’eut pas besoin de préciser qui m’attendait.