Histoires de sexe: J'aime le Sexe ! - Gloria Hole - E-Book

Histoires de sexe: J'aime le Sexe ! E-Book

Gloria Hole

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Beschreibung

J'aime le sexe. Voilà exactement de quoi il s'agit dans ces histoires. Des femmes, des hommes et des couples vivent les aventures sexuelles les plus étonnantes. L'érotisme est une des choses les plus importantes de la vie. C'est pour cela qu'hommes, femmes et couples devraient pouvoir profiter de leur désir en toute liberté. Mes nouvelles érotiques ont été en partie vécues par moi-même ou par mes proches. Certaines histoires sont cependant entièrement fictives, mais écrites de façon réaliste. Exactement comme si on les avait vécues en direct. Information au lecteur: Aujourd'hui j'écris beaucoup d'histoires sur et pour les personnes ouvertes au sexe. Les nouvelles sexuelles et érotiques en français, interdites au moins de 18 ans cependant, sont ma grande passion. J'aime particulièrement : le sexe anal, le sexe en groupe, l'adultère, la domination féminine, le sexe en extérieur, l'échangisme, le partage de femmes, les conversations coquines, les Milfs et le sexe avec des personnes âgées. A mes yeux, il n'y quasiment aucun tabou. J'écris aussi bien sur les hommes mûrs et les jeunes femmes, sur les écolières (les filles ont plus de 18 ans), les premières fois, l'adultère, l'infidélité et l'amour lesbien. Pour moi, le porno doit être érotique, non-censuré et hardcore. Écrit dans une langue précise et explicite. Les histoires de sexe doivent être comme un porno dans la tête du lecteur. C'est exactement de ça dont il s'agit dans mes livres. Des livres érotiques qui excitent les hommes et les femmes. histoires courtes érotiques - roman érotique

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Histoires de sexe: J'aime le Sexe !

Histoires de sexe: J'aime le Sexe !Tromperies sur internetAvec mon épouse pour la première foiSoutien scolaireRécompenseDécouverte avec une amie de ma mereMon amie valentineFantasme ou réalitéLivraison spécial!IsabelleUn moment avec MargotPage de copyright

Histoires de sexe: J'aime le Sexe !

J'aime le Sexe ! : Des histoires érotiques réservées aux adultes non-censurées français

J'aime le sexe. Voilà exactement de quoi il s'agit dans ces histoires. Des femmes, des hommes et des couples vivent les aventures sexuelles les plus étonnantes. L'érotisme est une des choses les plus importantes de la vie.

C'est pour cela qu'hommes, femmes et couples devraient pouvoir profiter de leur désir en toute liberté. Mes nouvelles érotiques ont été en partie vécues par moi-même ou par mes proches.

Certaines histoires sont cependant entièrement fictives, mais écrites de façon réaliste. Exactement comme si on les avait vécues en direct.

Information au lecteur: Aujourd'hui j'écris beaucoup d'histoires sur et pour les personnes ouvertes au sexe. Les nouvelles sexuelles et érotiques en français, interdites au moins de 18 ans cependant, sont ma grande passion. J'aime particulièrement : le sexe anal, le sexe en groupe, l'adultère, la domination féminine, le sexe en extérieur, l'échangisme, le partage de femmes, les conversations coquines, les Milfs et le sexe avec des personnes âgées. A mes yeux, il n'y quasiment aucun tabou. J'écris aussi bien sur les hommes mûrs et les jeunes femmes, sur les écolières (les filles ont plus de 18 ans), les premières fois, l'adultère, l'infidélité et l'amour lesbien.

Pour moi, le porno doit être érotique, non-censuré et hardcore. Écrit dans une langue précise et explicite. Les histoires de sexe doivent être comme un porno dans la tête du lecteur. C'est exactement de ça dont il s'agit dans mes livres. Des livres érotiques qui excitent les hommes et les femmes.

Tromperies sur internet

Flora avait 32 ans, elle était une femme quasiment parfaite, très jolie, châtain-clair, cheveux mi-longs bouclés, des yeux noisettes pétillants, de taille moyenne légèrement gironde, c'est à dire un fessier plutôt large et des seins lourds. L'inconvénient des seins lourds c'est que leur poids les fait légèrement tomber après la vingtaine mais Gérard trouvait ça encore plus excitant, surtout quand il la prenait en levrette et qu'ils se baladaient de droite à gauche au rythme de ses pénétrations. La poitrine de Flora était on ne peu plus attirante, en forme de poires, deux belles poires qu'on ne rêve que de malaxer et il ne s'en privait pas, n'importe quand, n'importe ou pourvu que ce soit un endroit discret, sans le lui demander, de manière autoritaire il passait sa main derrière son dos, dégrafait son soutien-gorge, prenait ces deux grosses boules en main et jouait avec en agrémentant tout ça de propos salaces du style « tu es ma pute, laisse-toi faire salope » et j'en passe... Car de caractère, Flora était disons conciliante... C'est à dire bonne femme d'intérieur et attentionnée pas contrariante, lorsqu'il lui proposait d'aller au restaurant ou au cinéma par exemple et qu'il lui demandait quel restaurant ou quel film lui ferait plaisir elle répondait systématiquement – Comme tu veux – Au début ça l’agaçait terriblement puis il en avait prit son parti et ne lui posait plus la question, ça devenait du style – Flora ce soir on va au cinéma voir tel film – Elle acquiesçait en souriant.

Pour ce qui est des relations sexuelles c'était à peu près la même chose, c'était quand il voulait ou il voulait. Il prenait un malin plaisir à abuser de la situation, elle se couchait tôt lui tard, donc quand il se mettait au lit elle dormait déjà, alors il la réveillait, c'était encore mieux quand elle ronchonnait... Pour se faire sucer, pas pour lui faire l'amour, pour se faire tailler une pipe ! Il agrémentait la situation de commentaires pervers. Au début elle avait refusé mais il l'avait menacée de la quitter. Elle avait peur de l'inconnu... Alors... Il avait toujours rêvé d'en faire une salope, de la voir se faire baiser par d'autres mecs, mais impossible ! Entêté dans ses idées il avait imaginé un petit scénario qu'il allait mettre en œuvre... C'était un mardi matin, il avait dit à Flora qu'il était soucieux car il était convoqué par le DRH, Il lui expliqua que depuis la reprise de sa société par ce groupe allemand il y avait eu pas mal de changements, plusieurs licenciements même, mais pour sa part il lui dit qu'il pensait ne pas avoir trop de soucis à se faire, ses résultats sans être mirobolants étant corrects.

Quand il est rentra vers 19 heures, il lui annonça la nouvelle. Il faisait partie de la charrette de réduction de postes. Le DRH avait été hermétique à ses arguments. Tout ce scénario il l'avait longuement préparé, il avait droit à ses deux mois de préavis puis juste avant la fin il n'aurait qu'à lui dire que finalement ils le gardaient. Le repas du soir avait été sinistre, elle avait les larmes aux yeux et n’arrêtait pas de faire et refaire ses comptes. Ses indemnités de chômage ne suffiraient pas à couvrir tous leurs frais dont le crédit de leur maison était l'essentiel. Cette nuit-là et les nuits suivantes avaient été terribles, elle n'arrivait pratiquement plus à dormir. Gérard jouait bien le jeu, noircissant les horizons, la crise, le chômage. Tout y passait. Une semaine plus tard, alors qu'ils étaient couchés et qu'elle sommeillait. Tu sais Flora, j'ai beaucoup réfléchi à notre situation et j'ai peut-être une solution. Laquelle ? Tu connais mon fantasme et tu sais que je ne suis pas un mari jaloux. Oui, et alors ? Tu sais que je m'amuse parfois sur internet, tu me l'as suffisamment reproché. Oui je le sais mais je me suis dit que si ça t'excite il n'y a pas trop de mal. Tu es tolérante c'est bien. Alors voilà, je discute souvent avec des amis là-dessus, des amis virtuels bien sûr et l'un d'eux m'a donné une idée. Il m'a dit que puisque je n'étais pas jaloux, il aimerait que je te le présente, je t'ai décrite et il se dit prêt à nous aider et à nous faire des prêts le temps que je retrouve un emploi, mais euh... Voilà... Il voudrait que tu sois gentille avec lui... Tu veux que je me prostitue ??? Elle se retourna, leva la tête et éclaira la lampe de chevet. De suite les grands mots... Il ne s'agit pas de prostitution mais de remercier un ami qui va nous aider. C'est pas la fin du monde. C'est hors de question, ça me choque que tu aies pu penser que je puisse faire çà. Il ne dit plus un mot et éteint la lumière. Les jours suivants furent moroses, il ne lui adressait pratiquement plus la parole sauf pour lui faire des reproches lui disant que s'ils perdaient leur maison ce serait de sa faute. La semaine suivante alors qu'ils étaient couchés. Gérard, il est comment ton ami ? Il fut surpris et ravi de sa question. Je ne l'ai jamais rencontré mais je lui ai demandé de se décrire, il a 41 ans, il est divorcé, il se dit bel homme BCBG, 1m80, 75kgs. Si je fais çà tu es sûr que tu ne m'en voudras pas ? Tu sais parfois on a des fantasmes et quand ça devient la réalité on le regrette. Au contraire ma chérie, je considérerais çà comme une preuve d'amour. Je te donnerai ma réponse demain. Le lendemain matin au petit déjeuner... Alors tu as réfléchi ? Et bien... Puisque tu me le demandes et puisqu'il faut que nous sauvions notre maison, j'accepte... Ce soir je vais le lui dire sur internet, il sera ravi, il m'en a parlé souvent. Mais tu crois que je vais lui plaire ? Ne t'inquiète pas, je lui ai envoyé des photos de toi et il adore. Tu n'as pas perdu de temps, tu étais sûr que j'allais accepter ? Je savais que tu comprendrais et que tu ne voudrais pas risquer de perdre tout ce que nous avons eu tant de mal à construire. Tu es vraiment sûr que tu ne m'en voudras pas ? Je te promets que non. Au contraire je considère que c'est une preuve d'amour que tu me donnes. Le soir même il se brancha sur internet. Voilà Claude, j'ai réussi à convaincre Flora. Elle accepte de coucher ? Oui, je lui ai dit que tu allais me prêter de l'argent et que çà nous permettrait de garder notre maison. Attends il n'a jamais été question d'argent entre nous. Oui je sais, mais il fallait bien que je trouve quelque chose pour la convaincre. OK, comment comptes-tu t'y prendre ? Viens demain prendre l'apéritif, j'ai tout préparé, laisse-moi faire. Le lendemain à 19 heures il se présenta à leur appartement un petit bouquet de fleurs à la main. C'était effectivement un bel homme, bien bâti, brun les tempes grisonnantes. Gérard l’accueilli sur le palier en lui adressant un clin d’œil puis l'invita à s'asseoir. Flora arriva, rouge de honte, elle proposa de servir l'apéritif, ils s'installèrent pour discuter de tout et de rien mais pas de leur arrangement. Un quart-d ‘heure plus tard Gérard se leva. Mince, j'avais complètement oublié, il faut que j'aille porter un rapport à Olivier, il en a besoin pour demain, excusez-moi je suis obligé de vous laisser. Tu en as pour longtemps ? Environ une heure. Sans plus attendre il partit. Claude s'approcha de Flora s'assit tout près d'elle. Leurs corps se touchaient, elle s'éloigna. Bon j'ai compris, excusez-moi. Il se leva et se dirigea vers la porte. Non attendez. Vous avez changé d'avis ? Heu... oui... Je peux m'asseoir près de vous ? Oui. Il se mit tout contre elle et passa sa main sur ses épaules, elle se laissa faire, figée, n'osant rien dire.Il posa délicatement l'autre main sur sa poitrine, elle ne disait toujours rien. Il déboutonna le haut de son chemisier gonflé et passa sa main à l'intérieur, la voilà cette poitrine que Gérard lui avait décrite en détails. Il déboutonna complètement son chemisier et lui caressa la joue. N'ai pas peur je ne vais pas te faire de mal. Elle se taisait se disant que c'était un mauvais moment à passer. Il lui prit la main et lui demanda ou se trouvait la chambre. Il l'accompagna lui tenant toujours la main, l'invita à s'asseoir sur le lit, tira les rideaux et éteignit la lumière. Enfin elle s'exprima. J'ai l'impression d'être une prostituée. D'une certaine manière c'est ce que tu es, non ? Elle ne répondit pas. Tu as déjà fais ça ou c'est la première fois ? C'est la première fois. Bon, on va y aller en douceur... Il la déshabilla complètement lentement faisant glisser son chemisier déboutonné puis dégrafant son soutien-gorge, ses gros seins s'écartèrent libérés, il embrassa chacun d'eux titillant les petits bouts bruns. Il la fit allonger puis fit glisser sa jupe découvrant ses fesses fermes et pulpeuses, il posa un petit baiser entre ses cuisses puis se leva et se déshabilla rapidement. Sa bite était dure comme un bâton, il s'allongea près d'elle. C'est terrible ce que tu m'excites, je ne sais pas si c'est ton corps ou la situation mais j'ai des montées de chaleur. En fait ça ne se passait pas du tout comme elle l'avait imaginé, elle avait pensé qu'il lui ferait écarter les cuisses pour « tirer un coup » comme disait Gérard. Elle ne savait pas que Gérard était caché dans le dressing et les observait, il avait demandé à Claude de rester dans la pénombre pour ne pas être vu. D'une main il tenait son portable en position caméra et de l'autre il commençait à se branler. Claude, je peux te demander quelque chose ? Bien sûr. S'il te plaît fais vite, c'est une situation trop dure pour moi et puis Gérard va rentrer. Il la caressa comme on amadoue un petit chat effrayé. Gérard ? Il peut rentrer, c'est bien lui qui t'a offerte à moi non ? Laisse-moi faire. Il embrassa ses seins longuement puis descendit jusqu'à ses cuisses donnant des petits coups de langue sur sa peau humide, elle respira bruyamment, il écarta ses cuisses et découvrit sa petite chatte légèrement poilue, il la respira puis donna un petit coup de langue, elle était mouillée, ce coup de langue déclencha en elle un grand soupir puis un petit gémissement. Tout en continuant à l'embrasser il y introduit un puis deux doigts qui pénétrèrent facilement, elle bougeait la tête comme pour dire non, elle se sentait encore plus coupable de prendre du plaisir.

Gérard lui appréciait de moins en moins le spectacle qu'il avait sous les yeux, coincé derrière cette porte sa bite à la main à moitié molle, il avait reposé son portable, il ne voulait sûrement pas immortaliser la scène de sa femme prenant du plaisir alors que lui n'avait jamais su lui en donner vraiment. Il se languissait que tout ça se termine, il mesurait le ridicule de la situation s'il devait sortir comme ça au milieu de leurs ébats.