Histoires De Sexe - Kinky - Gloria Hole - E-Book

Histoires De Sexe - Kinky E-Book

Gloria Hole

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Beschreibung

"Kinky" sont à coup sûr les 30 histoires érotiques de Gloria Hole. Les histoires de sexe sont sans tabou, variées et garanties d'être sales. Érotique adulte. Le sexe n'a jamais été aussi sale qu'ici. La sexualité et le partenariat sont les besoins fondamentaux de chaque femme et de chaque homme. C'est pourquoi nous avons besoin de sexe et d'érotisme régulièrement et longtemps pour les actes sexuels. Les fantasmes et les désirs sont très différents. Le désir de mon coeur est d'exciter sexuellement les femmes et les hommes avec mes nouvelles et ainsi contribuer à une vie sexuelle plus épanouissante. Répondez à vos désirs sexuels ! Sexe et érotisme pour vous.

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Histoires De Sexe - Kinky

Histoires De Sexe - KinkySur le bureau ...Ma femme avec deux hommesAlex2 PremiresLe douteBelle SœurLa plage de tous les fantasmesJ´incite mon épouse a me faire CocuUn samedi soir au sauna libertinPremière queuePage de copyright

Histoires De Sexe - Kinky

Sur le bureau ...

Ca faisait quelques temps que j’avais repéré ce beau mec, un quadra bien de sa personne, cadre dans la boîte où j’étais temporairement hôtesse d’accueil. J’ai le sentiment que ce job fait relativement beaucoup fantasmer les hommes car les aillades sont nombreuses et pas simplement du fait de ma plastique, à mon avis. Les hommes voudraient bien s’envoyer ces nanas souvent mignonnes et exposées aux yeux de tous, comme de jolis bibelots officiels. Et ce quadra, je savais que je ne le laissais pas indifférent, même s’il était l’archétype de l’homme sage, marié, probablement père de famille. Il n’était pas spécialement beau mais dégageait un puissant sex-appeal.

Je lui prêtais beaucoup de charme, châtain, de taille moyenne, svelte mais pas sportive, un regard particulier, un sourire timide. C’est probablement son air « de ne pas y toucher » qui m’attirait. J’ai eu cette envie de pervertir ce mec trop sage. J’ai voulu me prouver que je pouvais l’avoir, aussi vertueux soit-il.

Un jour que j’avais un peu trop arrosé mon déjeuner avec une amie (le marsala aux amandes, ça me rend folle), je décidais sur un coup de tête de me jeter à l’eau, ayant une de ces fortes envies de sexe qui me caractérisent souvent (mon bas-ventre brûlant, la salive en bouche). Par chance, il est à son bureau. Je ne connais pas son titre dans l’entreprise. Toujours est-il qu’il possède un bureau indépendant (quelle chance, parfait !). La porte est ouverte. Je l’aperçois étudiant studieusement des feuilles polycopiées.

J’entre en souriant, referme la porte derrière moi et donne un tour de clé (même pas étonnée qu’il y ait une clé). Je lis la surprise dans son regard. L’alcool aidant, très sûre de moi, brûlante de désirs sexuels (des flashes se bousculent dans ma tête), je m’avance lentement et tout en me déshabillant d&une manière assez féline, je parle, souriante :

« Bonjour toi. Chut. Cette journée est particulière. Nous allons faire un truc dingue, toi et moi. On va se donner du plaisir, immédiatement, rapidement, intensément. Ok ? »

Il reste surpris mais ne dit mot. Il regarde à gauche à droite, comme s’il cherchait une caméra cachée. Mais il semble vite comprendre qu’il n’y a pas de piège. Peut-être est-ce aussi la vue de mon corps dénudé qui lui confirme qu’il va simplement (et avec bonheur) être « victime » d’une nymphomane (non, d’une femme qui sait ce qu’elle veut, simplement).

Quand je m’assois sur le bord de son bureau (lui s’étant légèrement reculé dans son fauteuil), je ne porte plus que mes sous-vêtements blancs (soutien-gorge et string blancs contrastants sur ma peau d). Je me mord les lèvres tellement j’ai envie qu’il me touche. Je le lui dis. Je l’invite à poser ses mains sur moi, à faire ce qu’il veut de moi. Je suis encouragée par la bosse que je devine à son entrejambe. Hum j’aime exciter un homme, moi.

J’ondule doucement devant lui, caressant mon corps telle une strip-teaseuse privée. Il reste interdit même si son regard se pose sur chaque parcelle de mon corps de bas en haut. Je brûle vraiment : «Je ne veux pas qu’on fasse l’amour, tu sais. Je veux qu’on baise littéralement. Je veux même que TU me baises comme tu le souhaites, tant que tu le souhaites, que tu m’utilises, que tu abuses de moi, de mon corps, de mon sexe, de ma bouche, sans tabous. Vite ! ». Un déclic. Il se rapproche et déjà ses mains chaudes glissent sur mes courbes, remontant le long de mes cuisses, sur ma taille. Sa bouche vient lécher ma peau entre mes seins. Déjà, je me débarrasse de mon soutien-gorge libérant mes seins orgueilleux. J’attire son visage contre mes tétons. Hum sa bouche aspire mes seins. J’aime ça. Je gémis. J’aime voir ma peau luisante de salive. Je me cambre, tête en arrière. Je savoure ses caresses. Il se lève pour mieux lécher ma poitrine et j’en profite pour refermer mes jambes musclées autour de sa taille. Je sens sa forte érection à travers le tissu de son pantalon de costume.

Me voici allongée sur son bureau, entre dossiers, stylos et téléphone, il me retire mon string que je sens glisser contre mes mollets. J’écarte largement mes cuisses, ouvrant mon sexe trempé de désirs du bout des doigts. Sa langue se mets à fouiller mon intimité. J’en ronronne de plaisir en lui caressant les cheveux. Parfois je glisse un doigt dans ma fente humide pour accompagner sa langue, un doigt que je lèche ensuite car j’aime le goût de mon jus. Je savoure tellement ses caresses buccales que je n’ai pas remarqué qu’il s’est débarrassé de ses vêtements tout en me léchant avec gourmandise. Je m. aperçois quand il se redresse et me tire en avant vers lui vigoureusement. Me voici contre lui, tout contre lui, debout, mes seins contre son torse. Je sens son sexe raide contre mes cuisses et sa langue dans ma bouche, dansant avec la mienne. J’aime ce côté viril du mec qui me veut. Il gémit quand je referme mes doigts autour de sa belle queue non circoncise pour le décalotter doucement alors qu’il continue de m’embrasser à pleine bouche, le souffle court. Je lui chuchote dans l’oreille avant de lécher son lobe : « Tu ne veux pas que je te suce maintenant ? J’adore sucer une belle queue comme la tienne, tu sais ». Il ne se passe pas une seconde avant qu’il n’appuie sur mes épaules pour me faire mettre à genoux devant lui.

Me voici face à son sexe palpitant. C’est vraiment excitant et attirant un sexe masculin bandé, une belle queue tendue vers moi. J’approche ma bouche de ce gland gonflé et brillant. Ma main serre la base de ce sexe chaud et toujours plus dur. Ma langue remonte tout le long de sa hampe, tourne autour du gland, recueille la goutte qui perle au bout et mes lèvres rouges pulpeuses se referment sur ce gland au goût salé que j’affectionne. Puis je m’applique à bien saliver sur son membre. J’aime ça, moi, sucer une queue dégoulinante de ma salive. Je prends plaisir à tantôt lécher les gouttes qui perlent, tantôt à pomper goulûment ce membre tendu. Il me regarde m’appliquer sur son sexe. Son regard est celui du mâle excité. Cela me motive. Je suis la plus belle des salopes en train de lui sucer la queue comme jamais on ne lui a sucé (car c’est ainsi que les hommes nous aiment). J’aspire parfois langoureusement, parfois fougueusement. Il est toujours aussi silencieux. Mais ses gémissements et râles ne trompent pas.

Bientôt, il craque et me redresse pour de suite me retourner et me pencher sur son bureau. Je devine son désir et me cambre pour lui exposer ma croupe bien offerte, les avant-bras posés sur son sous-main rouge très classe. Je sens 2 de ses doigts glisser dans ma chatte pour s’assurer qu’elle est bien mouillée. Elle l’est. Sans aucun doute. Quelques secondes et ces maintenant son gland que je sens presser contre ma vulve ainsi que ses mains se poser sur mes hanches, ses ongles presque plantés dans ma peau. Je retiens ma respiration alors que sa queue s’enfonce en moi, cm par cm, tout doucement. Serait-il coquin à ainsi vouloir déguster ce moment ? Je tourne la tête. Il est en train d’admirer sa queue disparaître dans ma fente luisante. C’est vrai que c’est bon. Passant un bras entre mes cuisses, je viens caresser ses couilles. Elles sont rasées comme j’aime (j’en suis surprise de sa part).

Ce mec « sage » se met maintenant à me baiser fougueusement sur son bureau. Je prends un pied monstre à le sentir ainsi aller et venir dans mon intimité. Je gémis et ondule pour l’exciter toujours plus. Je ne saurais dire combien de temps il me « bourre »ainsi (si je peux me permettre L’expression) mais je jouis bientôt violemment. Un vrai orgasme. De ceux qui vous mettent un voile noir devant les yeux pendant un instant. Je sens la sueur sur ma peau. Ce plaisir me donne chaud, très chaud. Je ne pourrais dire si j’ai crié ou non.

Mais mon plaisir ne sera complet que quand lui m’aura tout donné, quand je l’aurai vidé de toute substance, de toutes ses f***es, de toute sa libido. Il est endurant le bougre. Sa queue toujours aussi bien bandée continue de limer ma chaire intime. Alors d’une main, je lui caresse les couilles plus intensément, lui arrachant toujours plus de gémissements et de l’autre, dans mon dos, je me doigte l’anus, lui offrant le spectacle de ma main manucurée aux ongles rouges posée sur mes fesses noires, rebondies, et dont le majeur va et vient dans ma rosette. Je sais que souvent cela excite les hommes. Je ne me trompe pas. Il ne tarde pas à perdre la tête accélérant ses coups de reins jusqu’à un rythme affolant (qui m’arrache un nouvel orgasme d’ailleurs). Je me remets à peine de cette nouvelle vague de plaisir que je sens son sperme chaud et épais se répandre sur mes fesses. Douce sensation. Je le laisse se vider complètement sur mon postérieur ainsi offert puis je me retourne et revient à genoux, soumise, face à lui pour déguster son sexe encore bien dur. Je le suce, le lèche avec application (les femmes stoppent souvent trop tôt les fellations) puis je le garde en bouche alors qu’il débande lentement. Son torse est luisant. Son souffle est haletant. Il se passe la main dans les cheveux réalisant tout ce qui vient de se passer.

Nous sommes repus de sexe pour cette fois. Je libère son sexe de l’emprise de ma bouche, me relève et le pousse dans son fauteuil dans lequel il se laisse tomber, fourbu. Quelle victoire intérieure plaisante pour moi de le voir ainsi, tout retourné, nu, dans son fauteuil de cadre, silencieux. Je me rhabille sans empressement, prenant soin de n’essuyer et laver autant que possible et d’ajuster mes vêtements comme si de rien n’était. Je suis sûre que je sens le sexe, sous mon parfum. Ca va exciter d’autres personnes d’ici ce soir, ça, si ça se trouve. Je sors du bureau en refermant la porte

Précautionneusement. Hum très bon tout ça. Je m’éloigne en souriant.

Je ne suis pas restée bien longtemps hôtesse d’accueil dans cette boîte. Je me lasse vite.

Ma femme avec deux hommes

Un soir, Valérie ma femme rentra du boulot et me dit qu’elle s’était fait accoster par un homme d’une cinquantaine d’année, un soi-disant artiste peintre qui avait flashé sur elle et qui aurait aimé la prendre comme modèle car elle correspondait exactement au profil qu’il recherchait.

- Je suis sûre qu’il veut me faire poser nue, même si il m’a affirmé le contraire, me dit-elle.

Quelques jours plus tard, comme il savait où elle travaillait, il pouvait facilement rentrer en contact avec elle pour renouveler sa demande. Je suis tout de même arrivé à la persuader de le rappeler pour accepter son offre.

- Ecoute ! Tu es jolie et cet homme a du gout puisqu’il te demande de posée pour lui. Alors pourquoi pas !

- Bon d’accord mais, je sens très bien ce qu’il veut, me dit ma femme. Viens avec moi s’il te plait, cet homme habite au milieu de nulle part et vit seul, je ne veux pas être toute seule avec lui.

Nous sommes donc allés au rendez-vous effectivement, il habitait en dehors d’un petit village, dans une maison isolée à la lisière des bois, sans voisins proches. Nous étions en plein été, Valérie portait une petite jupe ample qui lui arrivait au-dessus du genou ainsi qu’un petit débardeur à fine bretelle légèrement décolleté. En arrivant devant chez lui, elle me dit :

- Je sais qu’il est bien connu dans le secteur, il n’est pas méchant mais il est bizarre plutôt marginal et beaucoup de gens se méfient de lui.

Quand il ouvrit la porte, il nous salua, mais je vis bien que ma présence le dérangeait. C’est un grand balaise plutôt bedonnant, et il porte une grande barbe grisonnante avec de longs cheveux. La description fait par Valérie correspondait tout à fait l’allure d’un artiste peintre. Il nous invita à entrer. Cet homme avait une apparence plutôt négligée. Je n’avais jamais vu une habitation aussi mal entretenue, tapisserie déchirée aux murs, vieux parquet non entretenu.

Nous nous sommes assis dans ce qui servait de salon sur une banquette recouverte d’un tissu. Il prit place face à nous, et nous a proposé de prendre un verre. Ma femme s’assis les jambes croisées, collée contre moi comme si elle avait peur. Le fait qu’elle croise les jambes fit remonter sa jupe jusqu’à mi-cuisse.

Durant notre discussion, les yeux de l’artiste ne pouvaient s’empêcher de se diriger sur les jambes et sous la jupe de Valérie pour essayer de voir ses cuisses ou ses dessous. Tout comme son regard qui plongeait dans son décolleté à chaque fois qu’elle prenait son verre sur la table basse. Le débardeur étant plutôt ample, une vue imprenable s’offrait à lui, la dentelle blanche de son soutien-gorge à chaque fois qu’elle se penchait.

Puis, il nous emmena dans son atelier, à l’arrière de la maison un lieu mal éclairé, aussi en désordre que le reste de la maison, mais la pièce était grande et disposait même d’un lit et d’un canapé. Par la fenêtre, on pouvait distinguer l’entrée de la forêt à quelques dizaines de mètres plus loin. Sur les murs trônaient des toiles de nu, certainement d’anciens modèles, alors qu’il nous avait pourtant dit qu’il ne peignait pas ce genre de tableau.

Alors qu’il réalisait le portrait de ma femme habillé, on sonna à la porte c’était un de ses amis, dans le même style que lui, marginal, un peu plus petit, assez costaud avec des vêtements sales. Il était dans le même gabarit que l’artiste mais légèrement plus petit, il n’était vraiment pas beau. Je vis que lui aussi marqua un temps d’arrêt quand il vit ma femme.

Tout de suite une image me vint en tête, Valérie, se faisant prendre par ses deux affreux. Nous sommes restés près de deux heures, le temps de réaliser le portrait, je voyais les deux compères qui déshabillaient ma femme d’un regard lubrique.

Les parties qui les intéressaient le plus étaient ses jambes, ses cuisses grâce à sa jupe qui remontait à mi-cuisse quand elle était assise et sa poitrine. Quand nous sommes repartis, le plus laid lança à ma femme :

- Au plaisir de vous revoir Madame.

Et l’artiste de surenchérir :

- J’aurais besoin de refaire un ou deux portraits, je vous contacterai.

Nous les avons salués et avons rejoint notre véhicule.

Une fois arrivés à notre voiture, Valérie me dit :

- Tu as vu le regard de ses deux porcs. Heureusement que tu es venu avec moi, tu imagines ce qui aurait pu arriver si j’étais venue seule, ils auraient très bien pu abuser de moi, et je n’aurais rien pu faire contre eux, même en criant, il n’y a personne à des kilomètres à la ronde !