Histoires de sexe: Porno pour l'esprit - Gloria Hole - E-Book

Histoires de sexe: Porno pour l'esprit E-Book

Gloria Hole

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Beschreibung

N'est-ce pas le rêve de chaque femme et chaque homme de vivre à fond ses fantasmes sexuels ? Le sexe est une partie importante de ma vie. Il ne se passe pas un jour sans que je pense à une aventure érotique. Je suis une MILF coquine qui veut profiter intensément de sa vie sexuelle le plus longtemps possible. A 48 ans, j'ai déjà vécu beaucoup d'histoires sexuelles, mais je continue de penser que je n'en ai pas eu assez. Je ne suis pas écrivain professionnelle. Il s'agit plutôt d'une envie personnelle de laisser d'autres personnes prendre part à ces histoires de sexe ou même de les inciter à devenir personnellement actives. histoires courtes érotiques - roman érotique

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Seitenzahl: 129

Veröffentlichungsjahr: 2017

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Histoires de sexe: Porno pour l'esprit

Histoires de sexe: Porno pour l'espritL'ordi de Laurence en panneUne vocation tardiveJe domine mon mariSaunaLuxurePremière expérience, premièreMa femme en dessousNotre vieux voisin...Emma esclave blancheL'enjôleusePage de copyright

Histoires de sexe: Porno pour l'esprit

N'est-ce pas le rêve de chaque femme et chaque homme de vivre à fond ses fantasmes sexuels ? Le sexe est une partie importante de ma vie. Il ne se passe pas un jour sans que je pense à une aventure érotique.

Je suis une MILF coquine qui veut profiter intensément  de sa vie sexuelle le plus longtemps possible. A 48 ans, j'ai déjà vécu beaucoup d'histoires sexuelles, mais je continue de penser que je n'en ai pas eu assez.

Je ne suis pas écrivain professionnelle. Il s'agit plutôt d'une envie personnelle de laisser d'autres personnes prendre part à ces histoires de sexe ou même de les inciter à devenir personnellement actives.

Aujourd'hui j'écris beaucoup d'histoires sur et pour les personnes ouvertes au sexe. Les nouvelles sexuelles et érotiques en allemand, interdites au moins de 18 ans cependant, sont ma grande passion. J'aime particulièrement : le sexe anal, le sexe en groupe, l'adultère, la domination féminine, le sexe en extérieur, l'échangisme, le partage de femmes, les conversations coquines, les Milfs et le sexe avec des personnes âgées. A mes yeux, il n'y quasiment aucun tabou. J'écris aussi bien sur les hommes mûrs et les jeunes femmes, sur les écolières (les filles ont plus de 18 ans), les premières fois, l'adultère, l’infidélité et l'amour lesbien.

Pour moi, le porno doit être érotique, non-censuré et hardcore. Écrit dans une langue précise et explicite. Les histoires de sexe doivent être comme un porno dans la tête du lecteur. C'est exactement de ça dont il s'agit dans mes livres. Des livres érotiques qui excitent les hommes et les femmes.

L'ordi de Laurence en panne

J’ai toujours eu une forte poitrine et j’ai toujours porté un pull, été comme hiver, pour la dissimuler. A la plage, ne n’ai jamais qu’un maillot une pièce et j’évitais de me montrer. J’étais timide et je n’avais ni copain ou copine et c’est pourquoi je pouvais travailler et je travaillais bien à l’école. Quand j’ai passé le bac, j’avais un an d’avance et j’ai une mention très bien. Pour mes parents, mon avenir était tout tracé. Mon père était chirurgien, ma mère généraliste et je me rappelle encore du jour où elle est rentrée d’une clinique avec une plus forte poitrine qu’elle n’avait. Elle était si fière qu’en entrant dans la maison, elle a posé les mains sous sa poitrine. Mon père a dit que ça n’a pas l’air mal et moi je n’ai rien trouvé à dire puis ma mère a ajouté que maintenant, elle faisait du F.

Elle s’était fait mettre des implants. Liquide physiologique nous a-t-elle précisé par la suite mais elle ne m’arrivait pas à la cheville. J’ai fini par comprendre qu’elle était jalouse de moi. Quand elle les serrait dans ses mains dans la salle de bains, ses seins débordaient de partout. Moi, je me moquais d’elle jusqu’au jour où elle m’a répondu qu’il n’y a pas de raison puis elle s’était éclatée en pleurs et ce jour-là, je suis redevenue plus gentille avec elle.

Ça faisait quatre ans que je fréquentais une fac et je continuais à porter des vêtements amples et quand des garçons me draguaient, j’avais pris pour habitude de leur répondre que ça ne m’intéresse pas parce que je préfère les femmes. J’étais précoce en tout mais pour le sexe, ne ne connaissais encore que la masturbation. Un jour, lors d’une fête, on m’avait fait boire et j’avais embrassé une fille sur la bouche. Ça confirmait ma défense mais j’avais fait ça comme ça et je m’en foutait mais ce n’était pas terminé. Quelqu’un a voulu faire un concours de la plus belle poitrine. J’étais coincée et il a fallu que je montre mes seins mais je n’ai pas gagné. Je marchais dans les allées de la fac quand un type m’a abordé. Il m’a demandé si je veux gagner de l’argent en posant pour des photos. Je lui ai répondu que je n’ai pas envie de faire mannequin. Il a insisté. Je lui ai demandé si c’est pour des vêtements ? Pour des sous-vêtements ?

- Tu n’as pas l’air de savoir que tu es vraiment belle, a insisté le type ? Que tu as un joli cul ? Que tu es bien roulé ? Qu’il y a pas mal de gens qui aiment voir des gros seins ? Allez, a insisté le type ! C’est juste un casting ! Tu pose devant un objectif et on te donne de l’argent. - Combien, lui ai-je demandé ? - Toi, m’a-t-il répondu en me fixant dans les yeux ? Faite comme tu es faite, je peux monter jusqu’à deux cents ! Si tu n’as pas besoin d’argent, a-t-il insisté, fais-le pour le plaisir ! Tu pourras te dire que tu as fait un casting ! - Il faut que je pose nue ? - Oui ! Ça te fait peur ? - Euh, non ? - Si ça te plaît, on pourra faire autre chose, a insisté le type ! - Quoi d’autre ? - Un bout de vidéo ! Ça je suis vraiment sûr que ça va te plaire ! Il insistait et ça me faisait tourner la tête et j’ai fini par le suivre. Il avait loué un local en dehors de la fac, au fond d’une cour. Dans le local, il y avait une banquette et derrière un décor en papier qui représentait des fleurs. Je me suis assise. - Alors, m’a-t-il demandé, présente toi ! Il y avait une caméra sur un pied. - Alors, je suis Clotilde ! Je viens d’avoir vingt ans… - Tu fais plus jeune, m’a dit le type ! Dis dix-huit ! Attends, je démarre ! Il a lancé la caméra. J’ai dit que j’ai dix-huit ans et comme il voulait des détails, j’allais lui en donner, tous inventés comme le fait que j’ai déjà eu quatre amants, que j’aime le sexe, que j’ai tout un tas de godemichés. - Maintenant qu’on sait que tu es une fille normale, a ajouté le type, tu peux peut-être nous montrer quelque chose ? - Vous voulez voir mes seins ?

Ma caméra tournait toujours et quand j’ai commencé à retirer mon pull, il a pris des photos et quand j’ai retiré mon soutien-gorge, j’ai croisé les bras sur mes seins mais il m’a dit de mettre mes mains dans mon dos avant de me demander de soulever mes seins et de jouer avec eux. Je trouvais ça excitant. Lui, au moins, il aimait ma poitrine puis il m’a demandé de retirer ma petite culotte. C’était plus intimidant. Il a ajouté que puisque j’avais eu déjà quatre amants, je n’aurais pas peur de sortir son pénis de son pantalon et il a bien fallu que je le fasse. Je m’étais agenouillé. Le bout de la bite a touché mon menton et le bout de mon nez et quand le type m’a commandé d’ouvrir la bouche, je l’ai ouverte et il m’a enfoncé son pénis dans la gorge. C’était la première fois que je faisais ça et je me suis mise à sucer la bite et j’ai réalisé que les hommes ont quelques avantages puis on a été plus loin quand il a voulu que je me mette en levrette. Son pénis a pénétré mon vagin.

- Maintenant que tu es devenue une femme, a insisté le type, qu’est-ce que tu en penses ? Je lui ai répondu que j’aime ça. Je ne pensais plus à rien d’autre. Ni à la fac, ni à mes parents. Je sentais les mains du type sur mes hanches et sa bite dans mon vagin. Je sentais aussi son ventre qui tapait sur mes fesses et quand il m’a dit de me caresser la poitrine, je l’ai fait. - Tu aimes ça, a insisté le type ! J’aimais tellement ça que j’ai fini par avoir un orgasme. Sa bite a dérapé et elle a glissé sur mes fesses. - Tu veux que je t’encule, m’a demandé le type ? - SI tu veux !

Il m’a enculée puis il a terminé en éjaculant sur mon visage. Je suis restée les bras en croix sur la moquette. Quand il m’a dit qu’il me fait un contrat et que je vais gagner plus que les autres filles de son écurie, j’ai dit oui et tout a changer. Je séchais les cours pour aller poser dans un vrai studio, avec une vraie maquilleuse qui me préparait et, par exemple, je faisais des vidéos où je me masturbais tout en téléphonant, toute nue dans un fauteuil. J’y allais une fois par semaine. Un jour, il m’a demandé si je veux poser avec une autre femme. Elle ne devait pas avoir beaucoup plus de dix-huit ans et elle était très jolie. On a commencé par s’embrasser mais avait-on fini le premier baiser que la fille m’a dit que je lui plais puis elle m’a proposé que je me mette avec elle. - Qu’est-ce que tu veux dire ?

Elle voulait qu’on prenne un appartement toutes les deux mais en fait je me suis retrouvée dans un appartement avec elle et avec deux autres filles et comme il n’y avait que deux grands lits, il fallait bien qu’on forme des couples et ce n’était jamais les mêmes. Les filles qui tournaient passaient par l’appartement et donc dans notre lit. Notre manager avait dit que ça nous donnera des idées pour les films et des idées, nous en avions. Je n’allais plus à l’université ni chez mes parents. Mon père m’envoyait des messages et ma mère aussi et j’ai changé de téléphone. J’ai clos ma ligne parce que je ne voulais plus que mes parents me harcèlent. Ma vie, c’était les films de cul.

Après les filles, il a bien fallu passer aux hommes. Les fils de lesbiennes, ça commençait à bien faire. C’est pas moi qui disait ça car c’était bien pratique. Pas de contraception, pas de problème et avec les hommes, ce n’était pas pareil. Il y avait le sperme. Au début, ça paraissait dégoûtant mais on finit par s’y habituer et par aimer ça, surtout quand les types sont plusieurs à vous faire goûter le leur au même moment. Les bites. Un vagin, une bite, ça n’a rien d’anormal. Quand le vagin prend plusieurs bites à la suite, ça devient plus intéressant. Quand vous les prenez dans l’anus, il finit par s’ouvrir. Je ne faisais plus que de la sodomie puis un jour, il y a eu Nassam. Il venait du sénégal et la réputation des gens de là-bas, on la connaissait et quand il s’est mis à bander devant nous, ça a été l’affolement. Nous avions déjà fait des fists, mais sa bite était bien plus gros que le bras qui nous avait fistées.

Il a bien fallu commencer à tourner avec Nassam. A chaque fois, j’avais l’impression que son membre allait me ressortir par la bouche tellement il était long. A chaque coup de bite, il allongeait notre vagin. Il fallait bien lui faire une place puis il s’est attaqué à mon trou du cul. J’ai cru qu’il allait me fendre en deux par les fesses. Il avait un curieux accent : « Ah, chérie, tu me plais ! » Je lui plaisais et il me remontait les entrailles jusque dans la bouche et quand il éjaculait, c’était une inondation.

Je prenais la pilule mais j’ai dû en oublier une et je me suis retrouvée enceinte de Nassam. Notre manager n’a pas voulu que j’avorte et je suis allée jusqu’au bout. Mes seins grossissaient et mon ventre aussi et je n’arrêtais pas de tourner pour des vidéos. Nassam a engrossé une autre fille puis une troisième et le trio a fait l’amour avec leur grossesse. J’aimais bien ça et je ne pensais jamais que j’allais accoucher un de ces jours. Tous les jours, je tournais deux ou trois vidéos avec mon amant. Une des vidéos a été vendue sous le titre de « la Putain et le marteau-piqueur » et il n’est pas difficile de deviner qui est qui.

J’ai accouché d’une fille et j’ai eu le vagin ouvert pendant plusieurs semaines tellement il avait servi. Je ne pouvais pas faire l’amour à part avec des godes énormes. Le studio tournait maintenant du BDSM et j’étais fouettée, flagellée et même suspendue par les seins pendant qu’on m’enculait.

Un jour que je sortais avec une de mes collègues, je suis tombé nez à nez avec mon père. Je ne l’avais pas vu depuis plusieurs années mais je l’ai bien reconnu et lui aussi. Il m’a mis une paire de gifle et il m’a traité de putain. Ma collègue l’a traité d’enculé sans savoir qui il était. Plus tard, ma mère m’a dit qu’il était tombé sur des vidéos de moi, sa fille.

- Je suis fière de toi, m’a dit ma mère ! Tu es belle ! J’ai vu que tu as été enceinte, a-t-elle ajouté ! Qu’est-ce que tu as fait de l’enfant ? Eh bien, mon petit négro, il était à la crèche. Ma mère a fait la grimace. Elle m’a demandé si au moins la vie que je mène me plait. J’ai été honnête avec elle et elle a bien compris que personne ne me forçait. Quand j’ai été encore en cloque de lui, Nassam m’a quitté. J’avais encore du succès avec mon gros ventre et je suis partie aux Etats-Unis pour faire une autre carrière, cette fois plus dans les films, mais dans les bordels. Aujourd’hui, j’ai cinquante-cinq ans. J’ai fait dix ans dans mon premier bordel, douze dans le suivant et voilà huit ans que je suis dans le troisième et ce qui me plaît, c’est que je vais le racheter. Je vais devenir une tenancière même si je ne travaillerai pas entièrement pour mon compte mais pour une multinationale.

Est puis je ne me contenterai pas de diriger mais je continuerai, par moments, à satisfaire le client. Je ne suis pas obèse comme beaucoup de gens là-bas, mais le fait que mes seins me tombent jusqu’au genoux, ça plaît beaucoup et pour la vie privée, sachez que je vie avec une femme, une belle femme qui m’a prêté l’argent pour m’installer et, quand elle m’amène quelqu’un de ses amis ou une personnalité du cinéma ou de la politique ou de la finance, je fais ça gratis. PS : J’ai eu quatre autres enfants en plus des deux de Nassam, mais pour ceux-là, j’ignore qui en est le père.

Une vocation tardive

J’ai toujours eu une forte poitrine et j’ai toujours porté un pull, été comme hiver, pour la dissimuler. A la plage, ne n’ai jamais qu’un maillot une pièce et j’évitais de me montrer. J’étais timide et je n’avais ni copain ou copine et c’est pourquoi je pouvais travailler et je travaillais bien à l’école. Quand j’ai passé le bac, j’avais un an d’avance et j’ai une mention très bien. Pour mes parents, mon avenir était tout tracé. Mon père était chirurgien, ma mère généraliste et je me rappelle encore du jour où elle est rentrée d’une clinique avec une plus forte poitrine qu’elle n’avait. Elle était si fière qu’en entrant dans la maison, elle a posé les mains sous sa poitrine. Mon père a dit que ça n’a pas l’air mal et moi je n’ai rien trouvé à dire puis ma mère a ajouté que maintenant, elle faisait du F.

Elle s’était fait mettre des implants. Liquide physiologique nous a-t-elle précisé par la suite mais elle ne m’arrivait pas à la cheville. J’ai fini par comprendre qu’elle était jalouse de moi. Quand elle les serrait dans ses mains dans la salle de bains, ses seins débordaient de partout. Moi, je me moquais d’elle jusqu’au jour où elle m’a répondu qu’il n’y a pas de raison puis elle s’était éclatée en pleurs et ce jour-là, je suis redevenue plus gentille avec elle.