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Une morsure et vous vous transformez en un monstre buveur de sang. Sauf elle, à moitié zombie, à moitié humaine. Elle développe des capacités qui vont l'aider à survivre. Pensant être la seule à pouvoir sauver l'humanité, elle fais tout son possible pour mettre fin à ce cauchemar avec l'aide d'un homme un sa fille dont elle crée un lien. Mais peut-elle vivre une histoire d'amour ? N'est-il pas trop tard pour sauver le monde ?
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Seitenzahl: 136
Veröffentlichungsjahr: 2022
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Deux jours avant le début de la pandémie
J’entend mon téléphone vibrer sur ma table de chevet, je me demande qui peux bien m’appeler si tôt. J’attrape mon téléphone avec difficulté, décroche et l’approche de mon oreilles.
-Allô dis-je la voix enroué.
-Claire, je te dérange.
-Oui, je dors là ! Qu’est-ce que tu veux ?
-Tu viens avec moi a la fête demain soir ?
Pourquoi elle me téléphone pour me demander ça, elle est sérieuse !
-Qu’est-ce que tu veux que je fasse là-bas ?
-Je ne sais pas ! Je sais que Luc y sera, c’est peut-être l’occasion pour vous remettre ensemble.
-Léa, je n’ai pas l’intention de me remettre avec lui. Ce connard m’a manipulé pour se rapprocher de Rachel. Je n’ai pas tellement envie de le revoir si tu vois ce que je veux dire.
Elle insiste.
-S’il te plait Claire, je ne veux pas être toute seule. Accompagne -moi.
-Je vais y réfléchir.
-Non ! Il me faut ta réponse maintenant.
Quelque chose me dit que si je n’accepte pas, elle ne va pas me lâcher.
-D’accord je t’accompagnerai mais ne compte pas sur moi pour te tenir compagnie durant la soirée.
-Super ! Je passerai te chercher vers dix-neuf heure, sois prête.
J’entend le bip, bip. Ça signifie qu’elle à raccrocher, je replonge ma tête dans mon oreiller pour me rendormir. Vers dix heures, je décide enfin de me lever pour aller faire du shopping. Étant donner que je dois accompagner Léa, je dois au moins me trouver une tenue adéquate. Je me prépare rapidement, prend mon sac et sors de mon appartement. J’appelle un taxi et pars en direction des galeries commerciales, je sais que je trouverais une robe potable. Comme d’habitude la circulation est assez fluide et je ne mets pas longtemps à me rendre dans le centre de Marseille.
Quand j’y arrive, je farfouille dans toutes les grandes marques que je vois. Une attire particulièrement mon attention, la marque CELINE, je déambule entre les portes vêtements, les regardent les uns après les autres pour finalement tomber sur une robe toute simple et légère. Mon regard ce pose sur le prix qui me glace un peux le sang. J’ignore si je peux me l’offrir. Etant donne que je ne me fais pas souvent plaisir, je crois qu’un petit écart ne fera pas de mal.
Je passe à la caisse et règle rapidement, je n’ai pas envie de trop trainer aujourd’hui. Même si je suis en vacances, je dois quand même réviser mes exams. Arriver chez moi, je range la robe dans mon armoire et sors mes cahiers de cours, il ne me reste plus grand-chose a faire mais il vaut mieux que je m’y colle maintenant. Je passe presque ma journée entière à réviser, bon j’alterne avec une bonne série Netflix mais sinon le reste du temps, je révise et je bouffe.
A la fin de la journée, je reçois un texto de ma mère me rappelant que mon master arrive bientôt et que je dois me concentrer sur les révisions et je ne dois pas sortir faire la fête. J’ai le droit comme d’habitude à son baratin habituelle. Je n’ai pas envie de répondre cette fois-ci, ça ne veux pas dire que je suis étudiante en master que forcément je ne peux pas m’autoriser des moments de repos.
Même si cette sortis n’étais pas du tous prévu de base. Vers vingt heure, je reprend mes révisions et finis par m’endormir sur mes fiches de cours.
Un jours avant le début de la pandémie
Je suis réveiller par le bruit de pas de mes voisins de palier, il recommence ! Je relève la tête doucement lorsqu’une douleur me lance le coup. Aïe, je n’aurais pas dû m’endormir dans cette position, je tourne la tête de droite a gauche et de haut en bas pour me soulager. La douleur est moins pénible que je ne le pensais. Un bon petit déjeuner me fera du bien.
Je me prépare un bon bol de lait froid que je chauffe au micro-onde puis je sors de la confiture ainsi que de la brioche. Je suis une fille assez gourmande mais en général je mange très peu le matin. Mes amis me demande souvent comment je fais pour tenir avec seulement une tranche de brioche et de la confiture dans l’estomac et à chaque fois je le répond « Je ne suis pas une grosse mangeuse ». Ma mère est tous le contraire de moi et si elle serais là elle me gaverais comme une noie. Cela à des avantages d’être chez sois. Bon, mon lait est chaud, je dois le sortir du micro-onde, une cuillère à soupe de chocolat, je mélange bien ! Maintenant je m’occupe de ma brioche et de ma confiture et le tour est jouer. Miam, miam ! J’entend mon estomac gargouiller.
Mon portable sonne à l’instant où je m’apprête à manger ma tranche de brioche, j’espère sincèrement que c’est important. Je décroche.
Au téléphone :
-Allô !
-Allô Claire, c’est maman !
Non mais je rêve, ma mère m’appelle au moment où j’ai le plus faim.
-Qu’est-ce que tu veux ?!
-Je voulais savoir si tu étais réveillé, tu as une voix un peu pâteuse me dit-elle dans le combiner.
-Oui, je suis sur le point de prendre mon petit déjeuner, pourquoi ?
-J’espère qu’il est consistant, je ne veux pas que tu rate tes examens parce que tu ne manges rien.
Mon estomac se remet à gargouiller.
-Qu’est-ce que j’entend ?
-C’est mon estomac que tu entend parce que j’ai faim donc tu m’excuseras mais j’ai une tranche de brioche avec de la confiture qui m’attend.
Je suis à deux doigts de raccrocher.
-Non attend ! Tu as révisée tes examens au moins ?
-Maman, je suis grande ! Au revoir !
Fin d’appel
Je déteste quand elle fais ce genre de chose, m’appelle pour savoir si je mange bien. Je repose mon portable sur la table et retourne dans la cuisine. Je m’installe dans ma chaise et mange enfin ma tranche de brioche. Pendant que je déguste mon petit déjeuner, je réfléchis à ce que je vais faire de ma journée. Mes révisions sont terminées, j’ai été achetés ma robe hier. Je n’ai pas de sortis de prévu aujourd’hui, ok, je crois que je vais passer ma journée sur Netflix.
Vers quatorze heure, je reçois un appel de Léa me demandant si j’ai acheté une tenue approprier pour l’occasion. Je lui répond oui et ensuite elle me dis de commencer à me préparer. Je vais à cette fête uniquement parce qu’elle me l’a demandé sinon je serais certainement rester ici avec un bon saladier remplis de pop corn.
A dix-huit heure, je commence à me préparer, j’enfile la robe, me maquille légèrement et met de simple ballerine. L’idée de porter des chaussures à talon ne me donne pas très envie. Je descend de chez moi et attend tranquillement le taxi dans laquelle Léa est censé venir me prendre. Quelque minute plus tard, un taxi noir s’arrête devant l’immeuble où j’habite et Léa baisse la fenêtre pour me dire de monter.
-Allez monte !
Ce que je fais. Dans la voiture, Léa est très vite attirer par la robe que j’ai acheté pour l’occasion.
-Woaw ! Tu t’es mis sur ton trente et un, s’exclame-t-elle en me regardant de la tête.
-Je n’allais tous de même pas venir habiller en pantalon.
-Ce n’est pas faux, me dit-elle hyper contente.
-Où ce passe la fête, je demande en regardant par la fenêtre du taxi.
-Nous allons au port, la fête se déroule sur un bateau hyper luxueux. Ça va être génial, tu verras.
Pourquoi je me dis que j’aurais du rester chez moi.
-Si tu le dis.
Je recommence à regarder par la fenêtre quand j’entend la radio.
Radio
{ Info de dernière minute : Le laboratoire d’analyse de Marseille a eu problème chimique ce matin. Les employées ainsi que le directeur font le nécessaire pour réparer cet incident. Nous ignorons si le site pourra rouvrir. }
-J’aimerais bien savoir ce qu’il s’est passé dans le laboratoire.
-Parce qu’il s’est passé quelque chose dans leur laboratoire ? demande Léa.
Je prête rapidement attention a la conversation.
-Oui apparemment, il y a eu une petite explosion dans leur laboratoire ce matin. À ce que j’ai compris, ils ont dû mal à réparer les dégâts, répond le chauffeur.
-Je vois.
Pourquoi j’ai accepter de l’accompagner, pourquoi !
Nous arrivons au port, le chauffeur s’arrête pile devant le ponton qui mène au bateau dont ma parlé Léa. J’aperçois les inviter déjà bien nombreux et je descend. Léa s’occupe de payer le chauffeur en question et me traine jusqu’au bateau.
-Allez viens, ont va s’éclater.
Nous montons à bord. Léa pars devant et quelque minute plus tard reviens avec deux vers de champagne.
-Tiens ça te détendra.
-Qu’est-ce que je fais là, tu peux me le dire ? Je lui demande en la regardant droit dans les yeux.
-C’est bon, tu ne vas pas passer toutes tes vacances à réviser. Éclate-toi un peu !
Je prend le verre qu’elle me tend et le bois d’un trait.
-Eh bien ! Tu as une sacrée descente.
-Tu ma dis de m’éclater.
-Bon je te laisse un peu, j’ai aperçu une de mes amis du lycée, me dit-elle en s’éloignant.
-Ouais vas-y !
Résume de la situation, je n’aime pas l’ambiance de cette fête, la musique me donne mal a la tête et je viens de me rendre compte que j’ai oublié mon téléphone chez moi. Bon, je crois que je vais descendre sur le pont inférieur, histoire de profiter de la vue que m’offre Marseille.
1- La morsure
Je m’apprête à descendre les escaliers quand j’entend une voix familière m’appeler.
-Claire ?!
Je me retourne et vois Luc, mon ex.
-Salut, Luc.
-Mais qu’est-ce que tu fais là ? me demande-t-il.
-Je suis venus accompagner Léa, elle ne voulais pas venir seule.
Habiller d’un costard cravate, il est toujours aussi élégant.
-Oui je l’ai vu tout a l’heure. Je ne pensais pas te voir ici.
-Je n’avais surtout pas prévu de venir ici.
Alors que j’entame une conversation avec mon ex, je sens que le bateau bouge. Nous quittons le port, Léa aurais pu me dire qu’il n’allais pas rester amarrer. Je fais de mon mieux pour garder l’équilibre, je n’ai pas du tous envie de me retrouver dans ces bras.
-En tous cas, tu es ravissante.
N’essaie pas de me draguer Luc, je ne retomberais pas dans ton piège une nouvelle fois. J’ai déjà étais assez bête de croire que tu tenais à moi.
-Et toi tu es toujours aussi élégant.
-Merci, s’est ma copine qui me l’a offert pour l’anniversaire de notre rencontre.
Cette anniversaire est le jour où tu m’a avouer que tu t’étais servi de moi pour te rapprocher de cette garce de Naëlle. Si je pouvais l’étriper cette là, je le ferais.
-Ah ! Donc tu sors encore avec elle.
-Oui ! Me dit-il avec un sourire qui me donne envie de vomir.
Il faut que je descende sinon je crois que je piquer une crise de nerf.
-Je suis contente pour toi, au revoir !
Puis je descend aussi rapidement que possible. Mon dieu, rien que le fais de rester près de lui m’énerve. Je n’arrive toujours pas a croire que ce salaud ne souffre pas après ce qu’il m’a fais, il n’y a que moi qui souffre dans l’histoire. Arriver sur le pont inférieur, je pose mon verre sur une table et prend un grand bol d’air. Je dois me calmer. Mes yeux ce pose sur le magnifique paysage que m’offre Marseille la nuit. Finalement le meilleur souvenir que j’aurais eu à cette fête, c’est la vue. Pendant une heure, je l’a regarde puis quand le bateau rentre à quai, je me dis que je vais enfin pouvoir rentrer chez moi. Je m’apprête à remonter quand j’entend des cris.
Des cris qui viennent dans haut, je me demande ce qu’il se passe ensuite des sons bizarres, comme si quelqu’un étais en train de s’étouffer puis un passager tombe à quelque mètre de moi. Sa main sur son coup, j’ai l’impression qu’il agonise, son sang gicle partout. Je n’ose pas m’approcher, je voudrais l’aider mais je ne sais pas ce qu’il as. J’entend toujours les cris, j’ignore ce qu’il se passe. Le passager qui étais en train d’agoniser quelque seconde auparavant ne bouge plus, il est peut-être mort.
Je devrais appeler les secours mais je n’ai pas mon portable sur moi, je m’approche de lui doucement quand je le vois soudainement bouger d’une façon très étrange. Ces os craquent et il se relève bizarrement, il me regarde en faisant le même bruit puis se met violemment a me foncer dessus. Je l’évite de justesse et cours pour rejoindre le pont supérieur, je regarde derrière moi, il est toujours à mes trousses. Bon sang mais que se passe-t-il ?
J’ignore où je dois aller, je suis à l’avant du bateau, je m’arrête pour repéré un endroit où me refugier mais il me saute soudainement dessus. J’essaie tant bien que mal de me débarrasser de lui et le repousse de toutes mes forces. Il arrive à me mordre fortement au bras gauche, je hurle de douleur tout en continuant à le repousser. En poussant de toutes mes forces, j’arrive finalement à me dégager mais je glisse et tombe dans l’eau.
J’ai très mal au bras, je remonte à la surface et tente de regagner le rivage le plus proche. L’eau est plus froide et mon bras me fais atrocement souffrir. Apres avoir nager pendant un peu plus de trente cinq minute, j’arrive enfin a la plage. Je m’allonge tranquillement sur le sable humide pour me reposer. Ma pause est de courte durer, j’entend de nouveau ce bruit bizarre. Je ne peux pas rester ici, il faut que je me cache, je dois trouver un endroit sûre où ils ne me verront pas. Je me relève avec difficulté, je regarde de droite à gauche pour essayer de trouver un bar, les bruit se rapproche. Il faut que je fasse vite. J’aperçois à cent mètre de moi, un bar qui semble avoir été déserté par les clients, j’entre à l’intérieur et cours dans les cuisines.
Je peux désormais souffler en toute tranquillité, mon regard ce pose sur mon bras gauche. La morsure a l’air profonde, ça saigne abondamment. Je dois trouver quelque chose pour stopper le saignement sinon l’odeur de mon sang va les attirer. Mon regard cherche en vain une trousse de secours, je prend alors le premier torchon que je vois et l’enroule autour de mon bras. En m’assurant qu’aucune goutte n’est encore tomber par terre, je finis par faire un nœud bien serrer. J’essuie les gouttes sur le sol pour ne laisser aucune trace de mon passage quand j’entend la télé faire du bruit. Merde ! Il faut que je l’éteigne.
Je retourne dans la salle de restauration, je chope la télécommande qui se trouve derrière le comptoir du bar mais au moment ou je veux l’éteindre, le maire de Marseille se met à parler.
( Son de la télé )
Messieurs dames bonjour, suite à une explosion qui a eu lieu dans l’un de nos laboratoires. Des individus ce sont transformés en des monstres buveur de sang. Ils sont très dangereux donc vous devez en aucun cas vous approchez d’eux, ils pourraient vous mordrent. Nous faisons le maximum pour régler ce problème. )
Eh merde ! Alors je vais devenir l’un d’entre eux. Un autre bruit approche, j’éteins rapidement la télé et retourne dans la cuisine. Je ne peux pas rester à couvert, il faut que je trouve un endroit plus sûre. En cherchant partout, les seules pièces qui me parait passable, c’est la réserve ou la chambre froide. Je n’ai pas envie de me transformez en esquimau, je choisie la réserve qui par chance a une porte. Je m’enferme dedans en attendant ma transformation.