L’alliance des temps - Tome 2 - Anthony Biello - E-Book

L’alliance des temps - Tome 2 E-Book

Anthony Biello

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Beschreibung

"L’alliance des temps – Tome II – Dossier Résultantes" vous embarque dans une intrigue palpitante, où mystères et rivalités se confrontent dans la quête des insaisissables Journaux de Bord. Tony, confiant dans son avance, voit son plan s’effondrer et découvre qu’il n’est plus seul à traquer le docteur Belloch. Désormais, Jen, Greg, Tony et Raphaël devront user de toutes leurs ressources pour protéger JenIA afin d’éviter de dévoiler les mystères enfouis du légendaire « Nautilus ». Leur adversaire, implacable, se rapproche, prêt à tout pour les surpasser. Jusqu’où seront-ils prêts à aller pour percer les secrets que renferment ces témoignages énigmatiques ?

À PROPOS DE L'AUTEUR

Anthony Biello a puisé très tôt dans les classiques de l’aventure scientifique, comme Retour vers le futur et Indiana Jones. Son imagination s’est aussi nourrie d’œuvres de science-fiction telles que Dune et de lectures marquantes comme Cosmos de Carl Sagan. C’est à quinze ans, lors d’un devoir de français, que germe l’idée de "L’alliance des temps", un projet qui l’accompagne depuis. Aujourd’hui, ce récit se déploie pleinement avec la parution du second tome, Dossier Résultantes.

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Seitenzahl: 133

Veröffentlichungsjahr: 2024

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Anthony Biello

L’alliance des temps

Tome II

Dossier Résultantes

Roman

© Lys Bleu Éditions – Anthony Biello

ISBN :979-10-422-5025-6

Le code de la propriété intellectuelle n’autorisant aux termes des paragraphes 2 et 3 de l’article L.122-5, d’une part, que les copies ou reproductions strictement réservées à l’usage privé du copiste et non destinées à une utilisation collective et, d’autre part, sous réserve du nom de l’auteur et de la source, que les analyses et les courtes citations justifiées par le caractère critique, polémique, pédagogique, scientifique ou d’information, toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle, faite sans le consentement de l’auteur ou de ses ayants droit ou ayants cause, est illicite (article L.122-4). Cette représentation ou reproduction, par quelque procédé que ce soit, constituerait donc une contrefaçon sanctionnée par les articles L.335-2 et suivants du Code de la propriété intellectuelle.

À mes grands-parents,

dont le vécu a façonné la vie que je mène aujourd'hui.

Tony Rodriguez

Yemack

Jen Marty/JenIA

Greg Belloch

L’an 3000 : La cité souterraine d’Asdebaro

Fin du tome I

Journal de Bord N° 5

(…) À tâtons, il s’en approcha, on entendait plusieurs cliquetis, puis le ronflement du moteur se mit en marche avec peine. Peu à peu, une lumière sur un bureau prit vie non loin de lui et agita un nuage de saleté. Greg le reconnut immédiatement, c’était le sien. Mais il était vieux et mal en point, il s’approcha de la petite lumière, il n’y avait rien sur le bureau. Greg, soulagé de ne plus être dans le noir, réfléchissait à voix haute.

— Si c’est bien mon bureau, alors la personne qui l’a mis là connaît ses secrets, marmonna-t-il en faisant le tour.

Le docteur, très délicatement, tira le tiroir de droite, s’arrêta à la moitié, puis il tira celui du dessous complètement. Il plongea la main dans le premier tiroir, exerça une pression et le fond se souleva, ce qui donna accès au tiroir du dessous et à son compartiment secret. Il trouva son boîtier noir avec ses deux écrans. En face de lui, sur le rebord, deux gravures en bois se faisaient face en parfaite symétrie, il les écarta avec ses pouces, un tiroir secret en jaillit, avec toujours son nuage de poussière. C’était la carte mémoire en film protecteur.

Mais celle-ci était légèrement différente que dans ses souvenirs.

Dès qu’elle fut dans ses mains, la carte mémoire s’alluma, avec un texte au milieu :

Localisation… reconnaissance… connexion box…

Le disque dur s’alluma d’un coup, d’une intense lumière blanche ; surpris, Greg le laissa tomber sur le bureau.

Puis, elle projeta au-dessus du bureau une image qui disait « Lecture ? ».

— Lecture ? répéta-t-il sonné.

Une image apparut, cela ressemblait à un enregistrement vidéo, on pouvait voir des personnes courir, hurler, cela ressemblait à une scène apocalyptique. Et le tout se passait dans cette même salle d’exposition.

Par surprise, sur la vidéo, le docteur apparut, alors que tout autour de lui indiquait une catastrophe imminente, il s’assit et regarda droit vers Greg anormalement calme.

— Bonjour, si tu regardes cette vidéo c’est que j’ai réussi à te faire descendre jusqu’ici, commença-t-il. Mon histoire est la même que la tienne jusqu’à ce que tu trouves le message gravé dans le mur.

Tu dois faire ce que je te dis ! Tu dois absolument éviter toutes les erreurs que j’ai commises ! Greg, on peut tous les sauver ! Tu vas devoir suivre absolument toutes les instructions que j’ai enregistrées ici. Avec mon aide… le docteur de la vidéo marqua une légère pause.

— Et celle du docteur Garadrel.

À l’annonce de son nom, celui-ci apparut.

— Bonjour, dit-il l’air grave. Nous avons des choses à nous dire.

Visiteur 3.4/Aujourd’hui

— Mais je croyais que Garadrel venait de l’an 2641 ? coupa Jen sous le choc.

— Oui, tu as raison, répondit Greg, ce que tu vois n’est autre que ma prochaine destination…

I

L’intervention du docteur Jen Marty lors de la dernière excursion dans le Journal de Bord du docteur Belloch tombait à pic. Tony avait besoin de temps pour absorber toutes les informations.

Il quitta la chambre d’hôpital où celui-ci était pris en charge, encore sous le choc.

Devoir revivre l’intensité des combats d’une guerre d’aussi près l’avait fortement ébranlé. Dans les couloirs de l’hôpital, son frère, le docteur Rodriguez, essayait de lui parler, mais tout était flou autour de lui, et il n’entendait que des bruits sourds difficilement distincts.

Le journaliste essaya de dissimuler sa nervosité :

— C’est incroyable, qu’en penses-tu ?

— Tony, je vois bien que cela ne va pas, tu peux me parler, tu es en sueur. Laisse-moi t’examiner ! supplia Raphaël.

— Non, je te remercie. Il me faut juste un peu de repos. Je te rappelle que nous remettons ça demain.

— Oui, et cela n’est pas pour me rassurer…

Sur cette dernière phrase, Tony laissa son frère devant les portes coulissantes de l’hôpital.

L’expérience qu’il venait de vivre était vraiment éprouvante. Devoir vivre des jours entiers connecté à cette « JenIA », alors qu’il ne s’était réellement écoulé que des poignées de minutes dans la chambre du docteur Belloch, avait de quoi bousculer.

L’air frais qui balayait l’avenue était très agréable et le silence qui y régnait, tout à fait reposant.

Il leva le bras afin d’appeler l’AirTarget1. Tony avait encore les nerfs à vif et contre sa volonté, tous ses sens étaient toujours en alerte. Il tourna la tête à droite puis à gauche afin d’observer les alentours. Absolument aucun mouvement, personne, pas un bruit. Le journaliste essuya la goutte de sueur qui coulait maintenant dans son cou.

Cela ne faisait pas longtemps qu’il faisait nuit, ce silence était inhabituel. En tant qu’ancien militaire, il le savait bien. Le calme avant la tempête n’était pas qu’un dicton.

Lorsque l’AirTarget arriva, il se déraidit un peu :

— Tour Est, plateforme supérieure, dit-il à voix haute tout en s’installant sur le petit siège.

Il n’eut pas le temps de mettre les sangles de sécurité qu’il vit du coin de l’œil un mouvement dans la pénombre de l’avenue. Tony tourna la tête pour mieux voir de quoi il s’agissait. Une dizaine de silhouettes couraient maintenant vers lui.

Tony jura entre ses dents :

— Ce n’est pas vrai, je pensais avoir plus de temps !

Il mit les sangles au plus vite, car l’AirTarget ne décolle pas tant que les ceintures ne sont pas bouclées.

Plus que quelques mètres avant que ses assaillants ne soient à sa hauteur. Les hélices se mirent à tourner puis la porte de verre du véhicule se ferma, stoppant net un homme, le visage simplement éclairé par la lumière de la cabine, un sourire qui laissait entrevoir une parfaite dentition, des joues creuses, un regard bleu électrique avec un air malicieux. Le nez fin et aquilin. Tony le reconnut instantanément :

— La Fouine ! Comment ça va ? s’exclama-t-il au travers de la porte, faussement rassuré.

Heureusement que l’AirTarget commence à décoller, pensa-t-il.

— On est amenés à se revoir, dit celui-ci dans le plus grand des calmes avec un léger rictus. Ton petit stratagème pour nous éparpiller après la démonstration a bien fonctionné, tu dois être fier de toi !

Ses yeux lançaient des éclairs sur la cabine qui commençait son ascension.

— J’ai toujours eu de la chance, cria Tony à son confrère qui devenait de plus en plus petit au fur et à mesure que l’Airtarget s’éloignait.

Tony avait maintenant le cœur qui battait la chamade, il réfléchissait à toute vitesse :

— Ils savent dans quel hôpital le docteur Belloch a été transféré, se dit-il nerveusement. Pour le moment, je ne peux rien faire et les visites à l’hôpital ne sont plus autorisées. J’y serais demain matin à la première heure. Il faut absolument que je trouve une solution.

II

Jen regardait Greg qui s’était endormi, épuisé dans son lit. Elle était perdue et angoissée. L’homme qu’elle avait devant les yeux était tellement différent de celui qui avait partagé sa vie.

Elle connaissait tout de lui et pouvait lire la souffrance sur son visage.

— Je reviens demain, dit-elle tout en se penchant pour lui donner un baiser sur la joue.

Elle rangea délicatement JenIA ainsi que les casques de connexion dans son sac à dos, s’habilla et quitta la chambre. Au passage, elle prit congé du docteur Rodriguez qu’elle croisa sur le chemin :

— Merci de me tenir informée de la moindre évolution, docteur.

— Ne vous inquiétez pas, je suis de garde cette nuit. Je vous contacterai s’il y a le moindre signe. Essayez de vous reposer, ce que nous venons de vivre est pour le moins déroutant.

— Oui, répondit-elle, perdue dans ses pensées.

Jen arpentait les couloirs de l’hôpital, la mine basse et soucieuse. Plus elle avançait vers la sortie, plus elle distinguait un son inhabituel. Elle savait qu’au détour de ce dernier virage, elle se retrouverait dans le hall d’accueil. Mais maintenant, elle distinguait très clairement des voix, celles d’un groupe de personnes qui parlaient fort et à en juger par l’intonation, elles n’étaient vraiment pas là pour coopérer.

Le docteur Marty ralentit sa marche. Par instinct, elle décida de prendre ses précautions. Elle se mit à marcher lentement, sur la pointe des pieds, et se colla au mur afin de pouvoir passer la tête et observer la scène sans se faire repérer.

Deux agents de sécurité et quatre infirmières barraient la route à un attroupement de personnes qui, apparemment, voulaient forcer le passage :

— Mais enfin ! Les heures de visites ne sont passées que de quelques minutes, laissez-nous le voir ! dit l’un d’eux.

— On sait qu’il est ici ! lança un autre.

Les infirmières restaient sur leur position et les agents de sécurité faisaient efficacement leur travail en les empêchant de passer.

Jen, qui observait la scène d’un seul œil, afin de rester discrète, eut le sang glacé en un instant. En retrait, un homme la regardait droit dans les yeux. Il était étrangement calme et affichait un léger rictus narquois, surmonté d’un regard bleu glacial.

Surprise, elle fit un pas en arrière et le vit, lui dire quelque chose, en lisant sur ses lèvres :

— Bonsoir docteur Marty, marmonna-t-il avec ce sourire affiché.

Tout en reculant, son sac à dos s’écrasa contre le mur.

Elle se mit à réfléchir à toute vitesse, car dans ce sac il y avait JenIA, ainsi que les casques. Ils ne devaient en aucun cas s’approcher d’elle et mettre la main dessus. Ce qu’il contenait était bien trop précieux et cela pouvait avoir des répercussions inimaginables.

Aussitôt, elle se mit à courir dans le sens opposé et laissa l’accueil derrière elle. Il devait bien y avoir une autre issue.

Tout en courant dans l’hôpital, elle regardait les panneaux d’indications, ne devant surtout pas revenir dans la chambre de Greg. Elle se rapprocha de la première infirmière qui se trouvait sur son chemin :

— Où est le docteur Rodriguez ?

— En salle de pause je présume, mais vous savez que les visites sont…

— Où est cette salle ? coupa Jen.

— Madame, je vais vous demander de sortir, s’il vous plaît, rétorqua l’infirmière sur un ton défiant.

Voyant qu’elle allait perdre son temps en explications, Jen reprit sa course de plus belle. Elle laissa l’infirmière sur place, qui ne supporta pas ce comportement :

— Madame, revenez tout de suite ou j’appelle la sécurité ! cria-t-elle.

Mais elle ne l’écoutait déjà plus, elle devait trouver un moyen de sortir sans se faire repérer, malgré cette altercation avec l’infirmière.

Jen courait dans les couloirs de l’hôpital… Arpentant les longues lignes droites des différents services à la recherche du docteur Rodriguez. Elle vit du coin de l’œil le panneau « sortie ». Sans réfléchir, elle se précipita vers la porte.

Raphaël surgit et l’arrêta :

— Arrêtez ! dit celui-ci à voix basse. L’infirmière m’a prévenu, je sais ce qui se passe. Les journalistes vous ont-ils vue ?

— Oui, je crois, répondit Jen essoufflée par sa course.

— Il va falloir trouver un moyen de sortir autrement, marmonna Raphaël dans ses pensées.

— Qu’avez-vous en tête ? demanda Jen en réajustant son sac à dos.

Le docteur Rodriguez la regarda et son visage s’illumina :

— Je sais ! Venez en salle de pause avec moi, il y a toujours une blouse à disposition, vous vous faites passer pour un membre du personnel puis direction les zones de lancement des AirTarget de l’hôpital. Qu’en pensez-vous ?

— Elles sont situées où ces zones ? demanda Jen, perplexe.

— C’est bien le problème, il faut repasser par l’accueil, mais ne vous en faites pas, je vous accompagne. Allons-y !

Jen emboîta le pas de Raphaël. Elle n’était pas du tout rassurée et la panique l’envahissait. Ils se déplaçaient vite, mais sans courir, pour ne pas éveiller les soupçons. Jen avait la tête baissée et regardait à peine autour d’elle, de peur qu’on ne lui pose des questions.

Heureusement que le docteur Rodriguez était présent, songea cette dernière.

— Par ici ! indiqua celui-ci d’un geste, tout en ouvrant une porte.

Jen passa la porte et se retrouva dans la salle de pause. À l’intérieur, un meuble avec une cafetière encore chaude ; celle-ci devant servir 24 heures sur 24. Puis des tables collées entre elles, au centre de la pièce, pour laisser l’accès aux casiers du personnel, plaqués contre les murs.

Raphaël ouvrait tous les casiers un à un afin de trouver une blouse de médecin disponible.

Pendant ce temps, Jen sortit un élastique afin de s’attacher les cheveux qu’elle avait tombant sur les épaules.

— C’est bon ! s’exclama Raphaël victorieux en tendant la blouse au docteur Marty.

Elle attacha son sac à dos autour de sa taille et enfila la blouse.

— Heureusement que c’est un petit sac… dit Jen en essayant de dissimuler au mieux son bagage.

— Ça ira, ne vous inquiétez pas, Raphaël faisait le guet devant la porte, afin de s’assurer que personne ne les surprenne.

— Que faisons-nous maintenant ?

— Nous allons sortir. Sur la gauche après ce long couloir, il n’y a que deux virages pour se retrouver dans le hall d’accueil. Une fois que nous y serons, laissez-moi parler, faites semblant de m’écouter attentivement et ne dites pas un mot, entendu ?

— Je vous suis ! répondit Jen en ajustant nerveusement ses cheveux.

Raphaël la laissa passer devant et ils se retrouvèrent dans le couloir, direction la zone des AirTargets. Les mains de Jen tremblaient sous l’effet de la fébrilité, et quelques gouttes de sueur firent leur apparition sur son front. Raphaël était très concentré, prêt à toute éventualité. Il devait faire sortir Jen et son sac à dos aussi discrètement que possible. Ils marchèrent tous deux en silence, jusqu’au dernier virage :

— Entrez dans mon jeu, chuchota Raphaël en direction du docteur Marty.

Jen, l’esprit embrouillé par la nervosité, n’entendit pas bien. Aussi fut-elle surprise quand elle vit le docteur Rodriguez, s’adresser à elle dès leur entrée dans le hall :

— Vous irez me chercher le docteurSabor, j’ai besoin de lui pour visiter le patient de la chambre 774, dit Raphaël d’un ton naturel en direction de Jen.

Les deux docteurs passèrent maintenant devant le groupe de journalistes. Face aux refus catégoriques de la réception de les laisser entrer dans l’hôpital, certains commençaient à partir, mécontents :

— Vous pouvez être sûrs que nous serons là demain matin dès la première heure, lâcha l’un d’eux fâché, en passant la porte de sortie.

Quelques acolytes le suivirent, ce qui laissa davantage de place pour que Raphaël et Jen passent sans forcer et ainsi rester sur leur lancée :

— Vous me ferez aussi un check-up complet du patient de la chambre 624, lança le docteur Rodriguez tout en activant son « AM2 ». Jen trouvait qu’il jouait le jeu à la perfection, il était naturel et paraissait au-dessus de tout soupçon.

Ils arrivèrent devant une porte, à droite du comptoir d’accueil, en face de la sortie de l’hôpital. Elle put lire sur un panneau en surplomb : « Réservé au personnel. »

Une vague de soulagement commençait à s’immiscer en elle, quand soudain, le sac qu’elle avait autour de la taille glissa et tomba à terre juste avant qu’elle n’ait pu franchir le seuil.