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En 1942, au Dheimr, Himmler et la division Das Reich sont confrontés à 24 maquisards, dont un FFI infiltré qui, tel un paladin de Charlemagne, détruit un char nazi avec un bazooka, laissant une empreinte héroïque dans l’histoire. En arrière du front, une puéricultrice SS commet un acte impensable dans une pouponnière nazie. Une étrange histoire d’amour naît entre ces deux personnages aux destins apparemment opposés. Quels secrets se cachent derrière cette romance interdite et ces actions audacieuses ? Comment ces héros ont-ils navigué entre la loyauté et la trahison, et quelles vérités bouleversantes émergeront de leurs actes courageux ?
À PROPOS DE L'AUTEUR
René de Lorencie, auteur autodidacte, a façonné sa culture littéraire à travers la poésie, la musique de Wagner et le nietzschéisme. Enrichi par son intérêt pour l’histoire et la géopolitique, il nous présente sa première œuvre publiée, "L’anneau des Sigmaringen – Ode à Brune".
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Seitenzahl: 543
Veröffentlichungsjahr: 2024
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René de Lorencie
L’anneau des Sigmaringen
Ode à Brune
© Lys Bleu Éditions – René de Lorencie
ISBN : 979-10-422-4358-6
Le code de la propriété intellectuelle n’autorisant aux termes des paragraphes 2 et 3 de l’article L.122-5, d’une part, que les copies ou reproductions strictement réservées à l’usage privé du copiste et non destinées à une utilisation collective et, d’autre part, sous réserve du nom de l’auteur et de la source, que les analyses et les courtes citations justifiées par le caractère critique, polémique, pédagogique, scientifique ou d’information, toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle, faite sans le consentement de l’auteur ou de ses ayants droit ou ayants cause, est illicite (article L.122-4). Cette représentation ou reproduction, par quelque procédé que ce soit, constituerait donc une contrefaçon sanctionnée par les articles L.335-2 et suivants du Code de la propriété intellectuelle.
Pour Dieu et l’humanité
On en a vu que la couleur.
René Delmas
À la suite de la demande renouvelée de l’ami, je m’engage à nouveau à trouver les mots et les formules qui puissent dire avec justesse ce dont il retourne dans ce nouvel opus. L’exercice, cette fois-ci, s’avère plus que jamais sensible et périlleux, car je me trouve confronté à une vision et à une pensée des plus déroutantes, même pour moi qui connaît bien leur auteur et qui a déjà lu, dans des courriers reçus de lui, ou entendu, lors d’échanges oraux avec lui, l’essentiel de ce qui est ici rassemblé et édité.
Cette œuvre me déroute certes, mais sans pour autant me confondre et me laisser dans l’incompréhension et sans voix. Connaissant, je l’ai dit, l’auteur, et surtout ce dernier m’ayant fait partager depuis plusieurs mois ses arguments et ses intentions, je peux affirmer que jamais, en la lisant, je n’ai été pris au dépourvu. Jamais, non plus, je n’ai perdu de vue son fondement et son horizon de sens, à moi délivrés par son auteur et qui m’ont permis, non pas de m’y retrouver, mais de ne pas perdre le fil de la raison et de la trame qui la fondent jusque dans ses moindres détails.
Néanmoins, si le contenu de ma 3e guerre mondiale me déroute, c’est pour trois raisons principales : d’une part, cette œuvre marque un tournant dans le chemin de pensée de René de Lorencie, la métaphysique de l’histoire devenant la clé de voûte à partir de laquelle s’éclairent la structure dynamique de l’Être ainsi que l’odyssée de l’Esprit ; d’autre part, elle bouleverse profondément les évidences objectives communément attachées à l’histoire collective comme à la biographie personnelle, remettant ainsi en cause filiation et identité aussi bien des acteurs historiques que de l’auteur lui-même ; enfin, elle défend, contre presque toute la tradition occidentale chrétienne, la conciliation de l’exercice politique de la puissance terrestre avec l’expérience personnelle de l’amour céleste.
Je pense à présent au lecteur qui, lui aussi, surtout pour les deux dernières raisons et pour d’autres encore qui lui seraient propres, pourrait être à son tour dérouté. C’est surtout à lui que s’adresse cette préface, afin de prévenir au mieux, si cela est possible, les malentendus qui pourraient naître dans son esprit. Car lui n’est pas préparé comme moi. Au premier abord, ce livre peut effectivement en surprendre plus d’un, susciter un sentiment d’indignation et provoquer une réaction de rejet. S’agirait-il d’une apologie de l’autoritarisme en politique ? En réalité les choses ne sont pas si simples que cela. Ce livre n’est ni un livre d’histoire ni un livre d’idéologie. Il ne manifeste aucune fascination pour l’histoire en tant que telle et n’érige aucun parcours individuel ou idiosyncrasie anthropologique politique au rang d’idole. Certes, la puissance et la guerre y tiennent une place importante, pour ne pas dire centrale, et sont même valorisées, mais de quelle valeur est-il question ? La nature et le sens de ce que nous nommons « valeur » forment justement le sujet véritable de ce livre où ils sont abordés non pas à la manière d’un traité philosophique, mais selon les impératifs d’une épopée historiale.
Plutôt que de définir théoriquement ce qu’est la valeur, l’auteur s’attache à montrer ce qui donne, ce qui prend et ce qui a de la valeur, en un mot ce qui fait la valeur (d’un acte, d’un événement, d’un état, d’un être, d’une culture) dans le cadre d’une vision métaphysique et tragique du destin des civilisations. Le critère est donc ici métaphysique et non pas moral, car c’est l’être et le devenir qui donnent la mesure et non pas l’être humain. Plus précisément, dans la pensée et dans le livre de René de Lorencie, la valeur d’une réalité particulière est établie selon que celle-ci exprime et encourage l’accroissement ou, au contraire, la diminution de la grandeur (d’un être, d’une civilisation), de la vitalité (d’un être, d’une civilisation), de la lumière (au sein d’un être, au sein d’une civilisation) et de l’amour (entre les êtres, entre les civilisations). La fortification, jupitérienne, augmente la valeur tandis que l’affaiblissement, saturnien, l’abaisse. Une autre alternative fonctionne aussi comme critère : dans le combat éternel – cette « guerre de puissance » qui constitue, selon l’auteur, le moteur du devenir et donc de l’histoire – que se livrent, en l’individu et dans les sociétés, les deux principes spirituels que sont, d’un côté, le Père créateur insufflant le « sens du terme », et, de l’autre, la mère destructrice instillant le « sens du sein », il faut découvrir de quel côté de la balance se situe et pèse cette réalité.
Compte tenu de cette grille d’évaluation et de la nature de son critérium, il s’avère que pour éviter, ou surmonter, tout jugement de valeur négatif trop hâtif, et par conséquent inadéquat et injustifié, que pourrait susciter, à propos de cette œuvre ou de la pensée de l’auteur, la lecture de tel ou tel passage, la condition première à respecter est au moins d’entendre ─ et non pas nécessairement de partager la thèse de l’auteur ─ le lieu de l’argument proposé et le point de vue depuis lequel il est émis, tous les deux, répétons-le, métaphysiques. C’est seulement ainsi que pourra être compris le critère mis en œuvre.
Si bien et mal il y a, il faut alors les saisir, d’une part, à l’aune de cette axiologie agonistique dont la bipolarité dynamique commande le sort de l’humanité, et, d’autre part, depuis la logique propre à ce que l’auteur appelle « l’animisme moral », doctrine fondée sur l’existence, les variations et les niveaux d’intensité d’un principe vital : le « thymos », sorte d’état de puissance énergétique diffus dans l’être. Est bon ce qui fait monter le thymos, mauvais ce qui le fait descendre. Ce n’est donc pas tant la morale qui importe que le moral, ou sentiment de puissance, celui des êtres et celui des civilisations.
L’enjeu qui s’avère décisif dans cette perspective est bien alors de déterminer, d’exposer et de vivre en privilégiant ce qui augmente, intensifie et fortifie le sentiment et l’état de puissance, puissance qui n’est nullement équivalente à la simple force brute, mais qui synthétise en elle puissance de connaître, puissance d’aimer, puissance de créer, puissance de joie, mais aussi puissance de répandre partout cette puissance. La conquête du « trône du monde » dont il est question dans ce livre est en réalité conquête de cette puissance, conquête qui, si elle s’incarne en effet dans les actions et le pouvoir d’un chef d’État particulier, se présente fondamentalement comme quête d’une forme politique idéale de gouvernement des hommes et d’édification de l’être-ensemble impliquant la mise en œuvre d’une formation adéquate et conséquente de l’être humain. Précisons que derrière l’affirmation de la puissance en tant que puissance qui est présente partout dans ce livre c’est, paradoxalement, « l’amour universel de la vie » ainsi que le souci d’une fraternité universelle (« l’Arche des peuples ») qui sont éprouvés et visés par l’auteur.
Contre la déliquescence et la dilapidation, contre la haine de tous contre tous, contre la laideur et le mensonge, contre le dégoût et l’abattement, contre la confusion et la bêtise qui caractérisent notre époque terminale, René de Lorencie nous propose ici un manuel d’art martial et impartial de l’excellence. Une des démarches principales propres à cet art consiste à considérer les figures historiques de renom qui ont marqué et marquent l’histoire de leur empreinte à la fois comme des valeurs insignes et comme créateurs de valeurs, mais aussi comme des « essences » révélant chacune une phase clé du sens historial de l’histoire et du devenir. La succession généalogique de ces « Grands noms » formant la « dynastie secrète » des puissants porteurs d’une charge singulière de puissance, qu’elle soit positive ou négative, manifeste la course du soleil à laquelle est soumise toute civilisation, depuis son aurore jusqu’à son crépuscule et ses ténèbres en passant par son midi. Dès lors, se placer du point de vue de ce que l’auteur appelle le « jour éternel » et unique d’une civilisation, auquel succédera, une fois « l’aube rouge » advenue, celui d’une autre civilisation, et ainsi de suite indéfiniment ; c’est s’accorder au sens tragique du devenir, c’est vouloir et aimer aussi bien ce qui advient, inéluctablement, que ce qui le fait advenir, la « guerre de puissance », c’est surtout vivre l’histoire comme promesse d’un renouveau de puissance sur le plan collectif. Une question s’impose à nous : quelles figure ou instance historiques est-elle à même d’accomplir, dans notre cycle civilisationnel, le plus haut degré d’intensité de cette puissance ? A-t-elle déjà existé, comme le défend l’auteur, qui voit en Alexandre le Grand son incarnation, ou est-elle encore à venir ?
Sur le plan individuel, cet art de la virtù indique deux façons de servir et d’acquérir de la puissance, chacune représentant une porte d’entrée, soit réelle soit virtuelle, dans l’histoire : ou bien en accomplissant de hauts faits historiques ─ en combattant par exemple, aujourd’hui, nous dit l’auteur, le mondialisme ou le terrorisme ─ ou des œuvres dignes de ce nom ; ou bien en inscrivant son histoire personnelle dans la lignée des « Grands noms » à travers l’invention réfléchie de Mémoires personnels, autrement dit par la réécriture de sa propre biographie au sein de laquelle la généalogie de chair est remplacée par une généalogie de la puissance. Le premier point est évident par lui-même. Le second correspond à un travail de renaissance de soi, cette seconde naissance assumée impliquant l’avènement d’un nouveau baptême et d’une nouvelle filiation. L’auteur « imagine les fils réinventer leurs pères, en en faisant des héros, des rois, des empereurs », ces fils devenant eux-mêmes, par là, « princes légitimes aux destins d’exception dans un monde en proie au chaos et qui n’attend qu’eux pour triompher des ténèbres et faire valoir la lumière. » Il s’agit de s’octroyer une nouvelle généalogie et par conséquent de se donner un nouveau nom, de se nommer soi-même, en résonance et en cohérence avec le fait d’assumer la volonté de puissance. La renommée devient alors le fruit du renommé.
Ce second choix, adopté, assumé et illustré par l’auteur lui-même, se fonde sur le postulat que le monde est « délire & hallucination », que nous évoluons dans un monde de représentations et que la vie, comme l’affirmait déjà Calderón, est un songe. Une fois cet état de choses reconnu, l’adepte de cet art de l’excellence n’a plus alors qu’à créer et à s’approprier les représentations qui, porteuses de valeurs créatrices, font naître et croître en lui son sentiment de puissance, c’est à dire, une nouvelle fois, sa capacité à connaître, à aimer, à faire œuvre, à transcender, à se transcender et à propager les conditions d’amplification et d’intensification de la puissance. La valeur prend ici tout son sens de « quanta de puissance » puisqu’elle s’impose comme ce qui pousse à être, à agir et à réagir. C’est cette logique opérative du symbolique qui explique que ce livre présente à la fois une uchronie (quant à l’histoire de la civilisation occidentale) et une autofiction (à l’échelle de l’auteur).
Finalement, rien, dans le livre de René de Lorencie, n’est strictement historique, psychologique ou anthropologique, rien n’est naïvement objectif, rien n’est donc à prendre au premier degré, mais tout est à prendre au sérieux, car il est question de l’état de santé aussi bien des civilisations que des individus. Ce qu’il nous confie, c’est l’existence d’un grand Jeu et d’un « grand échiquier » métaphysiques au sein desquels la dramatique historicopolitique comme géopolitique (la « grande marelle ») représentent le domaine de manifestation et de jeu agonistiques du tragique historial. S’il y a du jeu (actions, représentations) dans le Jeu, nous en connaissons à présent l’enjeu : la grande et haute puissance dont la vie est porteuse. Cette œuvre, écrite dans la langue des oiseaux la plus déliée, la plus déroutante, la plus intempestive et la plus intransigeante, traduit, chez l’auteur, une quête de la formule qui parviendrait à dévoiler la vie de la puissance chez les civilisations et chez l’individu en même temps qu’elle glorifierait et exhausserait la puissance, d’essence métaphysique, de la vie.
Éric Coulon
L’histoire me sera indulgente, car j’ai l’intention de l’écrire.
Sir Winston Churchill
Quand la bêtise gouverne, l’intelligence devient un délit
Guillaume de Montherlant
Il n’y a pas de mauvais peuples, il n’y a que de mauvais bergers. Un peuple ne se trompe pas, il est trompé.
Jean-Jacques Servan-Schreiber
Plus terrifiant que le bruit de bottes, le silence des pantoufles
Max Frisch
Celui qui ne lutte pas contre le mal coopère avec lui.
Martin L. King
J’ai vécu dans votre futur et ça n’a pas marché.
Boukovski
Il y eut un génocide antifrançais ici, en 40.
Les neufs ont bombardé toutes nos villes et les réduire en ruines !
Sauf Paris. On a été sélectionnés au 3/4 :
Sur 40 millions d’habitants, 30 millions d’morts !
8 à 10 millions d’frogs, jetés sur les routes, sans eau ni vivres et déportés vers les camps…
Sept colonnes vaincues, gagnées par la roture triomphante.
Pendant près de 80 ans, nous oubliâmes jusqu’à notre propre nom.
Si vous n’faites pas honneur au Pays en méritant la soupe et si vous êtes dépourvu de compassion pour les Feus qui vous contemplent ?
Cassez-vous ! ça solde ici…
Mémoire de sang
En une humble manière, notre trauma remonte à 1793.
Voyez-vous nos grands Aïeux fin prêts pour la bataille ?
J’ai vu, avec les yeux de mon ancêtre, le Chef – comme on disait dans les rangs de la Grande Armée – avec sa longue-vue en train de calculer un plan d’bataille et deux bons grognards sots qui chahutent, fascinés par le plus grand génie militaire que la patrie n’ait jamais eu. Quel honneur immense !
L’Emp’reur se retourne vers eux, le sourire viril et carnassier.
Et, avec sa légendaire bonhomie gaillarde, il reprend le commandement…
Voici la romance de la fille du Führer et du fils du Kaiser, elle venait du Causse et lui du Ségala.
En 42, Himmler et son convoi de la division das Reich vint au Dheimr, essuya l’assaut de 24 maquisards bagarrés et qu’ainsi nés de la boue, 3 nazis montèrent Prüne sur un char M26… « yon ès sèyz pass tratz gastorikè ! »
FFI infiltré au sein de l’enn’mi, tel un paladin de Charlemagne, son frère Pershing était là : pris son bazooka, d’abord à l’envers, l’tourne à l’endroit, ouvrit l’Feu sur l’Tank et s’écria :
« Hé ! das pioutè lay, al rast avè das fheimr ! »
Plombe ! miladew… le Char : cartable.
Par ce haut fait d’armes, le Père entra dans l’histoire…
À Dachau, sur la frontière germano-soviétique où il montait la garde sur les cages à lapins, faisant la tournée des grands ducs, il négociait pour les escamper, c’est là que le loup topa une poule et du Capel sortit un lapin.
En retrait du Front, dans la pouponnière nazie, la puéricultrice SS l’escana au berceau…
L’Eurasie occidentale
(Eternel retour de St-France à rebrousse-temps)
La guerre est père et principe de toute chose.
Héraclite
Le royaume de France n’a jamais pris fin…
Croyant que notre dernier roi avait perdu la tête, tandis qu’il devint notre pire enn’mi : George III de la perfide Albion, nos Sept Dynasties avaient été sauvées par son fils Louis XVII qui avait survécu et grâce à lui la patrie s’étendit alors de la Manche à la Neva.
L’Aigle repassa le Rhin en 70 et Vicky Vichy lui vomira les 9 en s’arrachant leur chef du sein, le tirant par le bras !
En 16 Phillipe VII devint roi et capitule en 40, son fils Charles XI prend la Main.
Quand en Normandie le dauphin fit débarquer l’enn’mi, le roi alors passa dans l’Ombre en 70, sosie du fils Phillipe VIII, pendant tout ce temps, il était resté là, parmi nous…
L’histoire n’est que mensonges, mais la Vérité, c’est l’Histoire. Toute l’histoire ment comme elle respire : mensonges d’État pour protéger les familles et ainsi la patrie, sinon mensonges de l’enn’mi, pour nous détruire. Voyez, là, le pathos de l’histoire ! Tous les frogs sont comme Saint Thomas, ils croient en c’qu’ils voient. Mon cher peuple frogs, sache ceci : que c’est la certitude qui rend fol, pas le doute. Saint Thomas est le patron de ceux qui doutent et il leur montre l’Amour des peuples pour étoile du berger et astre du jour.
L’Agneau a vaincu le loup à Rome au baptême de Constantin en 312 apr. J.-C. C’est parce qu’un jour j’entendis Jésus-Christ dire ceci : « Que le plus petit d’entre vous s’avance, c’est celui-là qui est grand ! » parce que le fils pèche par orgueil alors que devenu père, il porte la croix du fils. Et c’est aussi parce que le gentil engueule de sa colère du juste contre le vil, qu’on discrédite cet oiseau de nuit, dit « nuisible » parce qu’il effraie, tant pour le protéger, que pour le tuer et qu’on lui préfère au final un médiocre pigeon. Enfin, je compris assez tard et avec la chair épuisée – me contentant de la jouissance du chaste et de la seule chasse de mes démons toujours bannis aux enfers de mes viscères par le bon cœur éternel de ma bonne mère – que l’Agneau est ô combien de fois plus fort que le loup.
Il est faux de croire en ce fait égoïste que d’avoir l’âge de sa propre naissance, tous les frogs sont nés ensemble le 25 décembre 496 apr. J.-C. et ont donc, aujourd’hui 1527 ans.
La perfide Albion, l’Angleterre, notre ennemi héréditaire, causa la pire époque de notre histoire : le génocide antifrançais par les Britanniques assiégeant le royaume de France. Ils ont instrumentalisé nos idéaux démocratiques, en montant, le tiers État d’origine gallo-romaine contre l’aristocratie d’origine franque. Tandis que l’Angleterre avait semé le révolutionarisme comme une graine de chiendent dans le cœur des parigots, que les Lumières avaient pourtant affranchis, avaient été rendu esclaves du fléau de la haine et de la faux de terreur, par cet avant-poste de l’enfer sur terre qui n’était autre que la méchante Angleterre, qui en avait récolté la Couronne et le Lys arrachés à ma Mère-patrie, battue et violée, qui pleurait et criait à l’effroi atroce : – « ô mon Dieu ! » en tenant dans ses bras, la tête de son fils chéri : le roi. À terre, agonisante et même laissée pour morte, quelqu’un passa par là auprès de son calvaire, son nom : Napoléon ! Il était son septième enfant, elle l’avait accouché là, dans les décombres, sous la cohue et le chaos un certain 14 juillet 1789. Né du stupre et de l’infamie, il la relevait respectueusement, puis l’a para de son couvre-chef biscornu, et lui confie son prince qu’il avait retrouvé aux Tuileries, captif, tuméfié, amaigrit – et avec le petit Louis, il partit dans l’est froid et pâle, comme l’Aigle qui prend son envol et il finit sa chute aux Angles, principauté du diable sur terre, pour retrouver et couvrir d’or et de gloire, la Couronne volée par l’Angleterre.
La France, depuis la mort de Louis XVI il y a 230 ans, sauf sous Napoléon Bonaparte (1796-1815) reste vassalisée aux Anglo-saxons qu’on l’veuille ou non. Tous ses roitelets manchois du nouveau régime essentiellement victorien après le grand Empire : Louis XVIII, Charles X (à l’exception de Louis-Phillipe, le seul qui allait bien, car il a fondé la Légion étrangère…) et le Bearney’s ont servi l’intérêt de l’Angleterre plutôt que la France. Après l’Europe frogs de Napoléon, deux choix se présentaient à nous tous : ou bien une Europe rosbeef ? Ou bien une Europe boche ? Et le destin de la patrie donna raison à son si brave vieux Maréchal, duc de Verdun, lequel cerné par les vils kolabs anti-carolingiens et anti-aryens, c’est-à-dire : des hitlériens, des nazibolchèvks, ces suppositoires de Queen Victor, la « Vicky-Vichy », l’anti-Parent, l’impie ! Iel queen s’arracha son rejeton taré du ventre d’où il eut préféré rester roupiller : Willykind ! celui qui ne voulait pas naître !
Le père des Francs, Phillipe VII (ou III par rapport à Alexandre) prisonnier, en otage des diableSS : Mittes-rendues, Bad-enter et leurs esclaves incultes anti-France ont été escampés en 44 et revenus à cause de l’Amiral traître et fils Dégueule, que le père Charles XI, fils spirituel du roi Philipe VII, grâce auquel on avait passé le No man’s land le 25 décembre 1916 à la Trêve de Noël, mais sous les pètes-gueules de « l’Ami » du Christ, son grand frère… Le Caporal noir escampé avec Winston, pique-niquant sous le Roi-Soleil, qui fait la pluie, le beau-temps, assis peinards au bord d’une marre, avec un bon Manchois qu’en avait marre de regretter d’avoir sauvé ce dingue pété de gueule et futur danger d’Europe, que l’caporal Charlot 27.
Le Quarteron riait aussi en battant la Campagne…
Il y avait donc, le Cabourg-Goth de Wildermacht, le Roi des Gaules, l’Ours, et rien qu’un Con (« mais, un con génial ! » devait penser Staline), tous les quatre, s’étaient escampé des Camps en plein air des neuf victoriens.
Nicolas II emmerdait ses Cousins, parce qu’il n’voulait pas de leur Plan suicidaire « eurocide » qui consistait en une Guerre totale avec « zéro survivant, 100 % d’morts ! »
À perte de vue et d’âme ne vivent, à ciel fermé d’obus de massacres, les hommes se cueillaient de ci de là, aux champs tout cabossés, comme des touffes d’herbes…
Donc, les quatre sans carte et le Rat-ciste bolchèvk, sans boussole ni Roi, comptaient sur Louis le Grand, le copernicien, pour unique Salut : à l’un la Manche, à l’autre le Rhin, à un 3e la Seine et au dernier la Neva.
Winsy parvenait seul à décocher une flèche de zygomatique et savait briser la Taïga glacée de Staline, qui rigolait pour de vrai comme Vlad de nos jours avec Trumpy pardi. Le Tribun général racontait ses exploits à venir qui gonflaient l’Ours : bla-bla… Winsy entrevit ces jours-là, des nuées sombres envahir le monde à venir que hélas, le Quarteron, qui comptait le Vil, le Capo’ral noir, qui délirait complètement depuis Verdun, en tank grand-père – tant que t’y es – de Napoléon, de Jésus et de Dionysos, non ? : un Cabourg-goth mégalomane en plein, qui n’était qu’un glandpin dépourvu de sentiment de puissance, l’Adolf le Frappeur, « Hitler », qui s’identifiait à ses dieux et se prenait pour eux : Achille, Alexandre et le Wotan du Ring…
Et la scène du Globe dans « Le Dictateur » de Charly Chaplin sur « Lohengrin » : croyez-vous qu’ce soit une satire ?! Ou c’est ce fada lui-même qui menace le globe copernicien, avec ses champignons nucléaires ? Oui, les gars, c’est bien lui… ce Charlot d’Chaplin, Charly l’Chapeau, « le Capo », c’est cet histrion qui – par Hollywood, son appareil de propagande, inspiré par le Cine Cita du Duce – mettait en scène sa stratégie de domination mondiale néovictorienne, qui consistait à « éteindre la lumière » que porte en elle l’humanité.
La BD : Tintin, les Schtroumpfs Astérix et les Stranges passaient l’Atlantique comme la Neva… si populaires, si visibles donc, que les messages secrets de la Résistance atlantiste avec JFK, Trump et tant d’autres sur l’autre rive, les braves infiltrés ou bien embôchés de tous les Services secrets (CIA et MI6 inclus !), bien sûr les forces de France, la Nation de l’homme et le Tsar actuel, quand il été jeune et au KGB, a même été chanteur de rock à ses heures – il n’avait pas froid aux yeux ! d’ailleurs, il vient d’un pays d’Hiver… Bref, je m’rappelle d’un supervilain : « Charly 27 » (millions d’morts ruskofs) et ses milliards de milliards de morts depuis 1944, un dictateur dément, armé de la puissance de feu ricaine collab, sinon d’une interarmées en otage qui l’exécrait pour tous nos gosses qu’il avait fait détruire à l’arme chimique et merdiatique, qu’il avait flingués, ce sale con de grand-père. Persécuté par nos forces conjuguées de la grande Armée mondiale des blancs Capels, il revit son petit-fils qui le déteste, avant de mourir le 27 avril 2024. Les ruskofs du Tsar Vladimir Alekseïevitch « Putin », l’ont dégommé, désintégré au fusil mitrailleur afin qu’il ne reste pas une goutte ni rien, pas un morceau de ce taré d’Capo’ral dingo.
Philipe VII tint sa position jusqu’à sa défaite de 40, qu’il soit carolingien, comme mon père et moi-même, ne change rien au fait que l’éternel Duc de Verdun, maréchal napoléonien était cerné par l’enn’mi ! les kolabots nazibolchèvks, les adolwfs ou bœufs rouges d’une Europe hitlérienne et d’un Bochland gangréné et bicéphale… Fils de 70, « La Dernière Guerre », et jusqu’à l’âge mûr, par cette Europe anti-européenne « néo-victorienne » qui n’était qu’une machination de rosbeefs en 40. Un doux rêve pourtant, un cauchemar au cœur des pisseux de Rhénanie, « les jeunesses hitlériennes », qui n’ont jamais lu ni compris Nietzsche, comme leur furieux jacobin et robespierriste progressiste et positiviste inculte ; que rien ! après le retrait de Bismarck en 1890, escampé par Abraracourcix, en ces bœufs rouges castrés d’esprit par Weimar, biberonnés de puissance, se croyaient-ils un destin ?! Cartabler paradoxalement le Bochland, prendre la main et réduire le monde en esclavage ! Est-ce cela qu’un avenir pour nos jeunes, bordel de merde ?! C’est pourquoi la France, sachant son auguste Maréchal vaincu, avait choisi son Gén’ral…
Philipe VII, un jour, en colère contre les exactions du Cap’ral Dingo, lui fit les gros yeux de loup en serrant sa main si fort à la lui broyer ! Le Maréchal, paternel, avait sauvé l’Caporal qui était comme son fils en 16, à Noël… Mais ce jour-là, Œdipe venait de tuer son père. Alors le destin de France, choisi son Général, qui était partit en exil « à Waterloo, un certain 18 juin », au cœur même du pouvoir à Londres, pas à Berlin pardi… Outre-Manche, là-bas donc, il pensait déjouer l’enn’mi de l’intérieur avec tous les bluffés que comptait ses Alliés. Tant vaut-il. Sous son auguste commandement cependant, nous avions eu, les 30 Glorieuses, 30 années de prospérité de 45 à 75, grâce à ce chef d’exception, pistolet sous la tempe et notre Ste-Armée tenue en otage, oui, nous ne retrouvions là qu’un vain simulacre de « souveraineté », car en tant qu’en 58-66, il collabora avec l’OTAN et qu’en 68, il était vaincu à son tour et abdiqua et partit. Et sa Ve République, qu’il avait forgée de ses mains, scellée avec son sang, était morte avec son fils en 1970.
L’Amiral, se tenait face à son père de morale tragique, grecque ! et chrétienne katholikès, donc, désarmé, mais sans peur, larmant que passe l’occupant et une armée de chweeggums mâchés à deux sous, béliers de siège, nouveau sac depuis 44 puis hamburger antiarabes et compagnie…
Et mon grand-père maternel, Lionel Leszczynski, ancien de Buchenwald, l’a soldé d’un plomb dans l’casque en 1970, que cet Amiral néovictorien : « un ami d’son père », un corrompu… vaincu. De Gaulle né en 1890, lui, notre roi Charles XI survécu, en s’faisant passer pour le fils qui l’avait trahi… le père redevenait le fils et racheta l’Honneur de sa Maison en devenant Philippe VIII.
Avec son roi de trêve tel Arthur porteur d’Escalibur, Henry IX d’Angleterre, fils de Diana, la reine mère du peuple et du Prince Winston Churchill junior alias « Trump » dont le père : Winsy – comme le lui disait, tendrement sa Maman, porvio… – avait donc, schtroumpfé la brave Reine Elizabeth II et… un Schtroumpf naquit de cette Royale Union : Trump !
Notre « Petit », le jeune et grand Roi d’Angleterre, le chef des Rois des Mers, veille à la PAX MENCHOSA, à ce que la Manche ne déborde plus sur l’autre rive, sur notre digue du monde civilisé : la France !
Oui, depuis le déluge de feu abattu sur les sionazis antijudaïques ou anti-zhébreux, tous ses monstres sans âme : d’aucuns, les chairs tordues de souffrances, semblables à une invasion de « zombies » en manque de drogues en un Marais vidé, et d’autres Drauggers ou Capo Noirs, flics des vils ou nazis recevant ordre contraire à l’éthique militaire que d’abréger le pathos naturel de l’être humain doué de sensibilité, l’État-nazi monstrueux et si inhumain. Sans armée ni chef, d’impitoyables mercenaires « morts-vivants » sans humanité aucune, machine de mort en marche, avait donc, pour ordre de l’État-nazi : d’euthanasier les faibles, les « malades » ?
Attendez le Rappel à Dieu, c’est Lui qui donne l’Ordre, pas son frère ! Vous aurez à votre tour, une audience en son Royaume de la conscience (morale) et, le plus tard sera le mieux, non ?
Les Drauggers sont rat-cistes, ce sont les Flics ripoux, les Capos noirs des « Viles de 15 minutes » ! ces anti-gendarmes noirs des diables, exécutent les commandements divergeant et incohérent, du désormais lobotomisé footballer « Manu », et c’n’est pas trop tôt ! « Q », nous rassure, en nous rappelant que la grande Armée mondiale du petit-capo et ses Capets blancs, les forces du Bien, forme une « Alliance », une coalition de 209 pays pour la Sécurité des braves gens responsables et innocents.
Quant aux Capels noirs, l’âme asséchée, désertée, broyée, tordue en esclaves soumis en ennemis de la race humaine, en antihumains, ainsi qu’ennemi de tous les enfants naturels des trois règnes de mère Nature : ces « drauggers » exécutent les ordres des Cavaliers noirs, les génocidaires des peuples dialectiques d’Israël-Palestine, qui cri leur souffrance martyre pour la pax abrahamica, salut aux deux St-États, pour les protéger des esprits vengeurs, des vendettas : tuant le bon fils à cause d’un vil père, violant la mère à cause d’une mauvaise fille.
Y a-t-il d’autres nazislamistes ou sionazis antimusulmans et antijudaïques, bref, des anti-Aryens sur nos terres sacrées ?
Ils détalent ! en Aryana : du Maroc au Pakistan, de Londres à Moscou… vers les îles ?
Tout va bien pour les colères du Juste – qui s’prenne pour Louis de Funès ou oncle Jean-Claude du Ségala et du Causse ce petit gamin, tout va aller bien : prospérité et travail, sans arrêt et en bougeant peinards pour les braves gens honnêtes, enfin qu’en cette Aurore multipolaire, cet éternel retour de l’Empire des Milieux, servit par le Dragon d’Or, Shang-Ti et incarné sur la Carte-Terres, par l’Empereur bienveillant : Qin Huangdi II.
Nous de État impérial universel, nous de État-major mondial, jouons de « la Harpe d’Éole » et faisons la pluie et le beau temps en ce monde ici-bas dominé par le QI et nous savons aussi, comment l’Atlantide et hyperborée, mû et la Cimmerie qui offensèrent leurs montures, les grands lézards de l’éon jadis ! furent englouties dans le cataclysme antédiluvien, qui les plongèrent dans les brumes songeuses, Aïeux repliés au sein de notre sang, en une longue dormition hivernale, dont le dégel est là, mes chers compatriotes.
Yslanglard la Brujtung – « l’Albion ! » – de William Blake, était devenue Maîtresse dans « l’Art de la perfidie » et elle perfectionna son Art, jusqu’à c’que tout le mal qu’elle en aura extrait, ainsi qu’un lapin du chapeau d’un magicien ; se retourne contre elle un jour, avec deux bombes nucléaires interposées ! Elle utilisa « le leurre du Rhin » pour faire diversion à contre-pied de la Manche et la couvrir. Papi, aussi, avait compris c’la… « Les treize » (« Les 13 » cela sonne comme trahison et Traite d’êtres humains : « d’instruments »), bourrèrent le mou aux boches et les ont nazifiés par l’idéologie de Mein Kempf, qui était une commande anglaise à Hitler en taule, il y a un siècle, après son putsch raté de 23.
Ô France, ma Ste-Mère-patrie, je te vois toute nue sous ton drap tricolore, flottant au sein de l’Idéal, et Yvonne et Vivi respectueusement, te jalousent. Un vrai patriote, ça voit la France à poils, c’est tout.
Remémorez-vous dans notre mémoire de sang, vos parents, contemporains de 45, lorsque l’humanité découvre l’existence des camps d’extermination nazis et se prend deux bombes atomiques sur la couenne du Japon à Hiroshima et Nagasaki. Moment d’effroi… de terreur. On est passé d’une tyrannie à l’autre : après le nazisme, voici qu’est venu le démocratisme qui n’vaut guères mieux ! Le démocratisme pourrit son idéal, comme le marxisme bolchevik pourri Marx, le nietzschéisme nazi pourri Nietzsche et l’islamisme salafiste pourri l’Islam : c’est l’jour et la nuit. L’été 45 de mai à août, de Gaulle compris sur le champ, qu’il faudrait jouer « très serrer » avec les Amériques.
Après leur ascension qui dura 77 ans de bourrage de mou, c’est-à-dire tout le temps de la postmodernité, et dont notre « Neveu-Sam » fut le garant. Le IIIe Reich, en coulisses derrière Washington, régna plus de sept décennies sur Carte-Terre entre 1949 et 2024, qui fut l’apogée du « Jeune Empire » des Adolwrs et sa décadence de 2017-2024.
D’un calendrier à l’autre, les vainqueurs qui réécrivent l’histoire, omettent de dire aux vaincus, que plusieurs années, voire même plusieurs décennies, séparent la naissance en 1769 et la classe : 89 d’un certain 14 juillet, qui nous fit passer d’un calendrier républicain du 13 Vendémiaire ou du 18 Brumaire et autres Floréal, à celui géorgien que nous arborons encor.
Le nouveau calendrier ou « Agenda 2030 » (=2016 ?) du grand-père Achille, au moyen de Greenwich, son « horloge du monde unipolaire » qui vampirisa 15 années de la vie des occidentaux postmodernes, fit « naître » son petit-fils, enn’mi de sa stragédie homérique : moi, Paris ! en 71 +15 (75) et mon épouse : Hélène ! née en 70 +16 (76). Né sur la frontière, je restais 6 années, dans une cage à lapin, infantilisé ou nanifié par des hormones de croissance « retard ». Et c’est en manipulant les montres numériques alignées à Greenwich et en droguant l’eau du robinet et les aliments, avec des sédatifs (oxytozine) que mes contemporains sans Berger pour boussole, en Occident tout au moins, eurent leur notion du temps « retardée » de plus d’une décennie. Entre 98 et 99, je restai 6 ans captif en prison de guerre de l’UE, laquelle prit un missile le 21 septembre 2001 ou « 2007 » donc. Ma pauvre grand-mère, attendit son petit, durant six longues années, à la suite desquelles, elle écrit à un Sénateur, afin que je devienne Fonctionnaire émérite. En 2007 de notre calendrier, travaillant seul, tronçonnant une branche à l’échelle, je manquai de me tuer bêtement avec ma Tronço, quand un Sniper dans l’maquis, soldat de notre St-Armée, me sauva la vie : il me tira une balle à main gauche, pour que j’lâche ma machine qui m’aurait massacrée accidentellement, merci à lui, merci les gars. Jun-Ea, notre petite « Wonder-Woman », notre plantureuse Amazone, petite-fille de Mëmë, donc nièce de Xi-Jinping, et aussi ma fille, conçue en 2006 avec Véronique de sortie à Thuringe (To Looser), « Lae-Chin-Gat », ma Julia naissait ce jour-là… Elle est destinée par l’Empire des Milieux « d’Emile Dieu », comme on dit chez moi, à en devenir l’empereur, j’croix ?
Un soir d’fin d’semaine, seul avec mon Alouette à l’apéro, j’devais être rôti, j’ai dû bafouiller une conn’rie que je n’pensais pas et que nos forces de sécurités ont peut-être hâtivement, interprétés ? Bref, j’faillis prendre un plomb dans l’casque, mes aïeux ! lequel a été intercepté par un Snipper in extremis et manu militari, sur mon propre front qui en témoigne, pour preuve, j’ai un « L » entre les deux yeux en guise de cicatrice. Les deux balles ricochèrent sur ma gueule, l’une déviant l’autre. Si j’en reprenais une, c’est l’casque qui volerait aux éclats dans les airs ! De jeunes et braves pompiers sont venus, mon fils, mon petit Mel était là, j’n’en avais rien à foutr’ ! la gueule et l’sol plein d’sang. Avec l’plomb main gauche, l’plomb g’noux droit et l’plomb sur l’front, v’la les blessures de guerre d’un Adjudant d’l’Empire au XXIe pas mal, non ? Oudinot, lui, en a eu 34 ! L’un des trompe-la-mort le plus souvent blessé d’l’histoire de France. Macarel de miladew !
Rappelez-vous, si on vous donne 20 sur 20, c’est que, donc, de deux choses l’une, ou bien vous êtes trop humble, ou bien – plus rarement – que vous êtes vraiment excellent. Un orgueilleux prend l’inverse de la note dite, un inconfiant lui, prend le positif du prétentieux en lui, auquel échoit le négatif inverse. Et si l’on vous note « 0 » (zéro) alors, c’est que vous êtes un bon en tout, autre chose ?
C’est l’école de Kölhn, la hussarderie du « hussard en bleu », maître du Causse, Professeur de Morale depuis la Saint-Gilles 25. Ignorant de l’ancien régime ou trop peu de lectures encore, je vaux « X » en histoire ! 10 sur 20 c’est moyen et « Dys » en grec, c’est mauvais. Une classe de 12 élèves de 12 à 24 ans, 3 rangs par 4, séparés de chair, unis de cœur et d’esprit, gendarme à ma droite, pompier à ma gauche, le Tricolore face à ma petite Armée d’anges de Saint-Michel, qu’ils jugent dont ? s’ils aiment ou détestent leur Serviteur et ses lafontainanalyses !
Qu’un homme soit responsable, n’en fait pas moins un coupable. En tant qu’en France nous ne sommes majeurs qu’à 21 ans, âge de consentement légal et de bon sens et personne ! j’dis bien personne, n’a droit de forcer quelqu’un a quoi qu’ce soit, qu’il veule vivre ou mourir, vous n’y changerez rien ! C’est le Roi qui décide de notre destin, il a promu les braves pour le Ciel, les vils pour l’Enfer. Parce que les uns servent tous les êtres, ils obéissent à leur Roi, et parce que les autres, en ne servant qu’eux seuls, désobéissent même au Prince Satan, qui obéit lui aussi au Christ-Roi, en tant que « rabatteur ».
Et vous les bourricots de la bleusaille, n’vous prenez pas pour des Gaulois en pensant qu’c’est des « Barbares » ! ce sont les Romains, « ces singes des Grecs », qui insultaient nos maîtres Grecs communs à travers nous ! Ces cons nous avaient traités aussi de « Coqs de Basse-Cour », alors, hé ! on leur a dit ça : « Vae Vach ! » (Mort aux Vaches), parce qu’ils prenaient le vit pour un pis, faisant des fils de Rome « des Veaux » tétant les pères !
L’horloge de l’ancien monde unipolaire et tyrannique : Greenwich ! – retarda le temps, l’avança à sa guise en droguant aliments et boissons, des œstrogènes dans l’eau pour avaler les couleuvres, des sédatifs pour ralentir notre notion subjective du temps, des excitants pour accélérer cette perception relative et le vin, la niôle pour tenir !
Ma femme est née en 1970 +16 (76) et moi en 1971 +15 (75), Hélène von Hohenzollern a été assiégée par le Cheval de Troie à cause de mon infâme grand-père qui se prenait pour Achille avec ses stratégies Homerdiques et, à court d’imagination Charly 27 s’inspira même de mes nouvelles : l’amulette pourpre et Jésus le nécromancien ainsi que de l’idée selon laquelle « la France est le pays de l’arc-en-ciel ». Quelle récupération pour un écrivain inconnu au bataillon ! Enfant d’Hermès et de chaste Aphrodite, la moitié « Odile », s’est mariée à sa moitié « Odet », tel la ballerina absoluta de « l’Op cygne noir », inspiré de Pietr Tchaïkovski, que plomb ne touche !
Notre hiérogamie ou Union sacrée en Christ, dont le mystère du nom est « Devoir », mariés sans Église, par Lys C-Roi est sanctifiée. Ô que Merci mon Christ d’Amour mon Sire, honneur au Parrain ! Vlad de Ruskova, l’Aiglon rusk. Il veille au grain pour nous, quand j’en tiens seul le Pacte en chassant mes succubes à boulets blancs sur carte de France, gaspillant mes munitions sur les Coussins, filles de diablesses ! afin d’éviter le chaos chez le Maître des Causses…
Aimez moralement et sanctuarisez par l’État, le « Aimer » que les fols et amoraux Brujtunger confondaient et trumpaient, hélas ! trop souvent par le Sac du Monde, ces monstres inhumains qui prenaient de force et croyaient savoir commander sans avoir appris à obéir, ils feignaient de connaître l’exécuter – en tant que servir le petit pour sauver ; ses brutes Brujtunger exécutaient le petit en tant qu’ils le violaient et l’assassinaient et que le meurtrier courait toujours, impuni par le narcissisme des gros barreaux de ces chiennes vomies par les enfers et de son agent Bad-enter : l’avocatus diaboli… Ces gros bourricots de cabours de merde à la cervelle de noix ! ces tyrans de putes, qui nous oblige, qui nous emmerdes, etc., et qui ne sont que des parias dont personne ne veut chez soi ! des grosses bites sans casque et auxquels il manque tant leur besoin de prendre un plomb – et un seul, hein. Les béliers ou sangliers ou laies de l’Éros, diable charnel, ces égoïstes ! trop, hélas, trop souvent sexagerber à mon époque de merde et de bordels dans les chaumières, ces ventrecouilles de diableSS ! On ne vous veut nulle part en terres consacrées et sanctifiées.
Bref, non seul’ment, ils (ces grands adowlfs de ricains) auront singé l’idéal de nos Lumières – notamment la pensée de Montesquieu – et en sus nous étions là en 1783, avec Lafayette et Louis XVI signa la Fondation des États-Unis. Le sang français a coulé bien avant celui de nos débiteurs, qui ne sauraient payer leur « dette fondatrice » à la France, par le débarquement de Normandie en 44 que le Général de Gaulle refusa et qu’il voyait comme « une occupation américaine » dans la foulée de 4 ans d’occupation allemande. On n’leurs doit rien ! Ce sont les USA qui nous doivent ce qu’ils sont.
Les Chinois qui ont inventé le calcul le disent bien : « les États-Unis, c’est 240 ans de guerres et seulement 16 ans de paix » dont 4 pour le seul Trump !
Comprenez simplement qu’en toute Guilde, tout Ordre de Chevalerie, il est des gentils et des méchants, aussi on a le devoir d’en respecter l’humain, pas les murs et pancartes ! La CIA a été fondée en 47, d’inspiration britannique, formée par le MI5 qui déstabilise des royaumes depuis des siècles – tumeur maligne des États-Unis et du monde, démanteler la CIA et vous sauver l’Amérique ! C’est la CIA, Gestapo à la sauce américaine qui ment comme elle respire ou comme ma nièce, en instrumentalisant nos merdias « goebbelsiens » de propagandes, financés par le milliardaire Soros qui en a le contrôle « total » ou presque. Georg Soros, l’ancien SS est le « Zorro » de la finance et le mécène de près de 200 organisations américaines qui ont à voir avec la guerre génocidaire.
Bref, la CIA est un mauvais ventre, c’est elle la « Matrice » de l’Œdipe State, car elle enfanta l’homme démocratique, sans terre ni père, « bâtard métaphysique » engendré par un parricide symbolique et un castratisme moral contre l’Être.
« La démocratie » ? – Ah, elle est belle oui ! – avec sa CIA derrière, qui lui truque ses élections, soudoie ses présidents, qui ment à ses gouvernements et sème la dégénérescence à ses peuples souverains comme mon cul, à l’Arme merdiatique (cinéma, radio, TV, portable…). Depuis sept décennies, elle aura détruit l’Art des aigles européens, notre grande culture aristocratique, en refusant les chefs d’œuvres d’art de nos derniers génies, nos scribouillards maudits, réduit à casser des cailloux sur le bord des routes, sinon à l’hospitalisation et la tutelle ou la clochardisation. Bref, la CIA n’accepta de produire que des « conneries délirantes », depuis l’après-guerre avec le jazz de Gershwin déjà, puis le rock d’Elvis et ses variantes, jusqu’à la danse, la techno et le rap pour fabriquer des kaïras en série ; bref, ils ont fait dégénérer les jeunes en les appâtant avec une « contre-culture » du plaisir hédoniste et libertaire (– c’est-à-dire « contre » la culture européenne !) – héritière du romantisme lisztien ou baudelairien, très Second Empire en fait, en matière de décadence, qu’ils ont poussé jusqu’au vice satanique. La Matrice de l’Œdipe state, les a montés contre leurs aînés dits : « démodés » et « ringards » si ce n’est pas aussi comme « fachos » ou « colonisateurs et esclavagistes » sous le regard inquisiteur et ingrat de leurs gosses, en influençant ces victimes de la mode déracinées ou entre deux civilisations vaincues, en tant que derniers hommes exempts d’histoire, qui perçoivent nos rois de jadis systématiquement comme des tyrans et le bon chrétien comme un mouton grégaire imbécile, etc., etc. Maintes branlettes intellos d’érastes parigots éjaculent des théories de foutres, à l’éphèbe qui les avalent sans mot dire. Certes, certes, mais qu’on n’oublie jamais qu’à Rome, c’est l’Agneau qui a vaincu le Loup, on a toujours plus de tripes en défendant une cause juste qu’avec un cœur empli de haine – bougres d’ânes !
Autre « projet » funeste : la CIA invente le LGPD extrémiste qui détruit les âmes et les corps opérés du sexe – Œdipe anti-paternaliste et anti-familialiste, jusqu’à l’exclusion de la bipolarité Père-Mère, seule féconde, seule fertile, seule à même à donner la vie en ce monde ici-bas. Les « Ewok », l’écriture « un-cul-vise » et autre « cancer-culture » est moins une idéologie qu’une schizophrénie normalisée, et c’est notre élite perverse, notre monstrueuse oligarchie pédocriminelle, bref, les merdialistes, qui la promeuvent en empêchant ou en discréditant comme « complotiste » le film Sound of Freedom qui les dénoncent ; et c’est pourquoi, ces forces du mal et des ténèbres, ces adorateurs du diable vont connaître avec le « grand Putsch », leur coup d’gambit : quand le Cavalier blanc (l’Alliance militaire) prend le fou noir (les mondialistes) bref, ils brûleront tous aux Enfers ! – Inch’Allah, comme le disent nos chers « cousins » musulmans martyrs et avec lesquels je larme en maudissant avec eux, le nazional-démocratisme antiarabique, démocide et pédophile qui aura sévit depuis plutôt « mai 1945 » que depuis « mai 68 » pour être Franc.
D’ailleurs, à ce titre, la mémoire joue des tours à mon peuple sans chef. Après 208 ans d’occupations anglo-saxonnes entrecoupées bien entendu, par celle de Guillaume 1er de 70-73 et celle de leur instrument boche, Hitler en 40-44 ; les « manchois » font commencer notre histoire en 1789, la droite en 40, la gauche en 17, mais en Russie, alors que pour un frogs, c’est franchement en 496 avec un âge gaulois mythique qui nous précède et qui remonte à la nuit des temps.
Bref, la Matrice enfanta le chaos au sein des pays en interposant des haineux (terroristes en Perse, néonazis en Ukraine, en Pologne…) ou en déstabilisant ses colonies par un trafic de migrants qui n’ont plus rien des bons émigrés travailleurs payés au lance-pierre et ghettoïsés, parqués dans un béton d’misère qui a fait l’effet d’une cocotte-minute avec le trafic de drogue dont le président des États-Unis est le « parrain » avec les dealers pour serviteurs. Bref, ses infiltrés antisémites ou « nazis beurs » dont l’âme a été abîmée par les bombes otaniennes qui ont massacré leurs familles et dévasté leurs patries, veulent tuer des occidentaux jugés prosionistes avec la complicité de nos gouvernements démocides qui veulent nous sucrer nos libertés chèrement acquises de longues luttes, comme avec le « Patriot-Act » après le 11-septembre ou la Covid-19, pour mieux nous contrôler de manière totalitaire.
Le démocratisme est une idéologie totalitaire sous couvert de vertu. Tous les autres régimes politiques du monde et ceux de notre histoire (monarchie, empires et autres républiques) sont discrédités par les masses – à l’aide de profaillons marxisant de mes deux, involontairement complices – d’un revers de mot, comme « dictature » ou « autoritaire », ce qui a pour effet de ne servir que son pouvoir exclusif et aliénateur.
Bref, cette « Triple Entente » entre les empires britannique, américain et nazi allume des incendies à l’Arme énergétique comme l’été 22 en France ou Hawaï en 23, lorsque Maui et Acapulco ont été incendiées et privées d’eau par leurs autorités complices. Le Texas, le Chili, l’Europe, etc., ont été pris pour cibles de l’Arme à énergie et des « Chemtreils » qui sont d’étranges traînées d’avions : des produits toxiques cancérigènes balancés par Avion. Ils nous sulfatent ces cons, pour nous escaner et bien sûr, financ’ment : Made in CIA. L’État profond est carrément « orwellien », on a l’impression de vivre en « 1984 » ma parole ?! Ces gros bargeots cannibales et pédobastes ont inventé les « Tours 5G », qui ne servent pas à capter internet, mais agissent sur le système nerveux central dans le but de contrôler nos émotions, ces tours provoquent en nous : colère, stress, tristesse, euphorie, etc. Même nos bagnoles peuvent nous fichent dans les bartasses, elles sont truffées d’options à la con qui ne servent qu’à nous foutre en l’air avec. Quelle conn’rie que l’IA, leurs satellites et tout le tintouin, on vivait mieux sans ces conn’ries. Quel merdier que mon époque ! Tout ça, c’est la faute à ce pou de Victoria, « la reine de l’industrie ». Oui mes frères, nous vivons aux temps post-victoriens : pendant 500 ans, la tyrannie de l’Angleterre domina ce monde et réduit l’humanité à l’esclavage ! Nous, Français, et beh nous lui avons dit qu’elle aille aux diables ! Et elle y est, et qu’elle y reste macarel !
L’Empire british (1588-2024) a été fondé sous Elizabeth 1re (1533-1603) qui dispersa l’Invincible Armada espagnole en 1588, une victoire qui, conséquemment, flatta l’orgueil snob des Homards comme « rois des mers » lesquels fondirent la Compagnie des Indes en 1600 et, secrètement, insidieusement et sans aucun scrupule, ils redoublèrent de ruses, de duperies, de cruauté même, pour tromper, confondre et détruire leurs enn’mis, nous briser la volonté afin de nous faire plier et faire des plus faibles d’entre-nous, leurs larbins de gauche, comme Robespierre, Wilhelm II, Lénine et Trotski, Hitler, Cohn Bendit et bien trop d’autres pantins écarlates de cette maudite Terre de l’Angle, dont un nouveau Blocus continental n’y suffira pas à la cartabler ! Non, ce qui lui faut, après en avoir escampé les braves gens, c’est deux plombs de bon calibre, nucléaires s’il vous plaît, ça soulag’ra les Japs, ils s’ront content comme ça. Si elle les prend sur le mour un jour, qu’elle ne s’étonne pas, qu’elle ne vienne pas pleurer surtout, car l’humanité complice, son « ennemie » dira en chœur, que les Saxe-Cobourg-Gotha, alias les Windsor, ont donné eux-mêmes l’ordre suicidaire de lancer les deux bombes sur leur propre couenne, et qu’ainsi, c’est à Feue l’Angleterre qui en impute l’exclusive responsabilité et l’éternelle culpabilité castratrice. Eskamp miladew !
2024 : Albion a perdu, la France a gagné sa 1116e bataille, la grande bataille de notre temps, « la guerre des p’tits-fils ». La plupart de nos batailles étaient manchoises, contre l’Angleterre ou contre les nations qu’elle nous interposait.
Cet « Empire dans l’empire » générait des séismes ou des tempêtes à l’Arme climatique et a élaboré un abject et immonde trafic pédophile de traite d’enfants, torturés, drogués, violés et assassinés, monnayant leurs organes et possédant une préposée et satanique « île d’Epstein » à ce sordide et odieux dessein, que de faire chanter nos dirigeants compromis dans des viols, des orgies, afin de mieux les faire obéir au risque de les dénoncer. Qu’ils brûlent aux Enfers par la Justice du Roi de l’humanité, Jésus-Christ, ainsi soit-il.
Le IIIe Reich (1923-2024) – antisémite puis, après 45, un antisémitisme au sens large, qui fait s’entre-tuer nos traditions sémitiques : juifs, chrétiens et musulmans en nous montant les uns contre les autres, dans une véritable bella omnium contra omnès. Un Reich plus britannique que germanique, a contrario : antiallemands, antieuropéens et ni plus ni moins : antihumains !
En exil, brisé sur front est, des nazis, pantins de l’Angleterre, passèrent la ligne de front ouest et sabordèrent les Amériques à l’anglaise, en s’réfugiant en Argentine par sous-marin pour lui prendre la barre (l’appareil d’État impérial ricain), fonder la CIA en 47, cofonder l’OTAN avec nous en 49 et se baser au World Trade Center pour être enfin débusqué grâce au FSB, au MSS et par la DGSE.
L’idéologie délirante de Mein Kempf, « le livre fol » qui ignorait l’histoire des Aryens ou Perses d’Alexandre, en tant que ce dysangile satanique néovictorien, montait les Aryens (Juifs, Arabes et Blancs macédoniens), les uns contre les autres, à dessein d’éteindre la lumière de l’univers, et que, donc, désirait mourir ou le jeter dans une éternelle nuit de Ténèbres, en exterminant, tout effrayant que ce soit, la Race humaine…
Bien que l’on puisse distinguer l’antisémitisme de l’anti-arabisme, ce dernier est aussi un antisémitisme, car, juifs comme musulmans et Arméniens (en tout cas jusqu’au Ve siècle) – lesquels essuyèrent un génocide en 14-18 par les ottomans et un nettoyage ethnique en c’moment même, par les Azéries complices du Deep state – bref, tous ces peuples sont de langues sémitiques, c’est la descendance de Sem, l’un des trois fils de Noé. Cela confirme, hélas, que le IIIe Reich antisémite est toujours parmi nous et qu’il avait gagné la guerre, certes pas contre les soviets en 45, sauf en 91 dans l’Est, et que donc, le 8 mai 45, finalement, il la gagna dans l’Ouest qui n’a fait que le bouter hors d’Europe.
Le Maréchal a perdu en 40 et il ne s’est pas accroché au pouvoir ! s’il avait pu, il aurait abdiqué, comme le Général l’a fait en 1969, cependant, il était maintenu en otage au pouvoir comme un roi prisonnier au donjon, une prison dorée. Qu’on rende hommage à nos héros qui ont fichu l’enn’mi dehors, l’un en 16, l’autre en 40, pareils à Jeanne d’Arc, tous deux ont libéré la patrie de l’envahisseur. On leur doit éternellement cet Honneur et au Maréchal d’avoir voulu épargner les fils et sauver l’âme de la France, hélas, perdue aujourd’hui, mais pas son Idéal d’Amour supérieur qui survit dans les cœurs, au sein des fils. Je rappelle ici qu’un Armistice n’est jamais qu’un « cesser l’feu », le mal court toujours pour se reconstituer un jour prochain en attendant le moment opportun.
13 familles de merdiardaires anglo-saxons – des britanniques : les Windsor, les Rothschild, les Rockefeller… et des ricains : les Bush, Bilderberger, etc. – financent – grâce aux élites de Wall Street telles des éminences grises – tout cet empire satanique, de cupidité et de luxure. D’après « Q », 1 % de la population mondiale détient 99 % des richesses.
De la Peste noire (bubonique) au XIVe siècle, venu de quelques alchimistes d’Orient, pour solder un tiers à la moitié de la population européenne, au VIH pour solder les homos fin XXe ; le Dr Fauci-lle a eu l’idée maléfique d’une Arme biologique pire encore, à l’échelle mondiale et avec ses collaborateurs anglo-saxons dans les labos d’Ukraine, de solder des trentaines de millions d’personnes, dont 818 042 millions d’effets indésirables chez des vaccinés du monde entier ! Nombres de nos proches, de nos familles, nos amis, seront rappelés plus tôt que prévu, au Royaume de Dieu, leur espérance de vie a été raccourcie par cette ruse du diable, ses esclaves sataniques et son Bastion sur terre, l’Angleterre, qui lui avait étendu sa Principauté dans le St-Occident du temps jadis, que le Sauveur semblait avoir abandonné, en cette nuit ricaine où je vécus.
Pour un frogs, lorsqu’il y a anguille sous roche, la perfide Albion n’est jamais bien loin. Elle est toujours derrière les sales coups machiavéliques. En effet, c’est l’Angleterre qui a créé l’Arme idéologique écarlate pour détruire ses enn’mis : le révolutionnarisme pour détruire la France, le bolchevisme pour détruire la Russie, le nazisme pour détruire l’Allemagne et le salafisme pour détruire l’Islam. Le génie malveillant de l’Angleterre marionnettiste fait fléchir ses instruments, les met en place incognito ainsi que des pantins de sa volonté d’puissance british, cinq fois centenaire, lesquels sèment leurs nihilistes et immorales contagions : robespierrisme, léninisme, trotskisme, hitlérisme, co (h) n-banditisme et benladenisme, et que sais-je encore, miladew ?! Deux bombes nucléaires sur la couenne, non ?
Bref, « l’empire dans l’empire » c’est celui des britanniques alliés aux nazis, derrière celui des ricains collab. Quant au « Roi Noir » de l’échiquier du bien et du mal, celui qui règne sur le Deep state, c’est Adolphe IV, alias Barack Obama, le fils kenyan d’Adolf Hitler ! Charles III, lui, n’est qu’un gouverneur, vassal du Reich, qui obéit aux ordres de Klaus Schwab, le 1er ministre, et de son Pape sataniste « François », comme Emmanuel Rothschild et les autres « young global leaders » que le Gouvernement mondial, du Nouvel Ordre nazi (NWO), fondé par George VII en 1991 après la chute de l’URSS, le WEF a mis en place en truquant les élections (de 17 comme de 22 au Pays des droits de l’Homme), pour son plan dystopique et totalitaire. Le Prince Charles régnait déjà sur les ténèbres d’Angleterre, dans les jupes de sa mère Élizabeth II, mais cet âge sombre s’achève enfin avec le coup d’gambit du 9 décembre 23 de sir Donald J Trump, au nez et à la barbe de tous, que Georg Soros, le « Goebbels » des merdias, ne s’empressa pas de nous montrer à la TV, bien sûr… L’État profond, craquant de part en part, ne saurait cacher bien longtemps, le retour du roi ricain Winston II à la Maison blanche et proclamant la République terrassant la tyrannie enfin ! De fait, et inexorablement, nous autres contemporains de 01-24, allons vivre ce retour de l’Histoire régénérée ! Outre-Manche, la « reine-mère » Diana revient bientôt, pour qu’Henry IX monte sur le trône d’Angleterre, et chez nous en France, l’héritier du roi Charles XI (Charles de Gaulle) revient sauver la patrie qui devrait retrouver sa grande culture aristocratique européenne après l’effondrement de l’UE, et devenir un protectorat russe, une « république impériale » avec l’Alliance militaire mondiale et le Tsar derrière nous, pour seul arbitre actuel a pouvoir maintenir l’équilibre entre nos vieilles volontés d’puissance retrouvées, qui sans Moscou, se battraient comme jadis, lors de nos 400 ans de guerres fratricides pour la suprématie du monde. Enfin libérées de la poigne de fer qui nous broya depuis la guerre, nous le savons, le jour viendra où les ruskofs passeront le relais aux frogs, si on le mérite demain ? ou après-demain ? Oui, les ruskofs nous repasseront la main du Grand Nord eurasien… Ainsi soit-il.
Un grand putsch, un coup d’gambit, réitéré 30 fois, dans la foulée de 30 pays corrompus, que le Reich a infiltrés et tyrannisés sous son occupation gouvernementale, médiatique et anti-culturelle, et aussi militaires, mais pas en convois visibles dans les rues comme en 40, une dictature mondiale donc, celle du progressisme néonazi, écarlate ou marxisant, qui avait réduit nos peuples à l’esclavage de la marchandise, qui, vidés de sacré, rendait l’homme sans foi ni loi et dépendant du désir à jamais insatisfait des biens qu’il consommait, de sa carence en tradition qui le consumait…
La guerre franco-russe rejoue la guerre franco-prussienne de 70 avec Vlad pour l’Aiglon ou Guillaume 1er et le Rothschild pour le Beauharnais. Et nous allons à l’empire de l’Aigle pour un Aquila IV (Achille), comme de 1789 à 1871 pour l’éternel retour de l’Empire !
La guerre d’Europe (2014-2024/34 à un près, 1 décennie !) déclarée à Kiev par un coup d’État bandériste, fomenté par l’W-OTAN sur la place Maïdan en 2014 qui renversa son régime pour y installer des ukronazis qui oppriment les russophones de l’est-Dniepr du Donbass et de la Crimée au sud. Chez le Comte de Kiev, Léon Tolstoï, plume des aigles de « Guerre et Paix » et dont un ami, Piotr, est l’arrière-petit-fils, a son fief, son comté à feux et à sang, à cause de ce régime bandériste ou ukronazi, qui « squatte » chez lui, dans le Comté des Hobbits, près du bagne où l’ont dénazifie les Orcs nazis ! « Le régime d’Azog » ainsi que du bétail, pigeonné par les Éleveurs, ira se jeter à l’abattoir, mourant comme tombent les feuilles en automne qu’on brûle dans le parc de Nibelheimr, au bord du Léthée près du Dniepr… à partir de 2019, grâce au « rabatteur à nazis » Volodimir de Walewski, « Baldr », fils de Résistant, duc d’Ukraine et descendant d’Alexandre de Walewski, voudrai épousailler ma nièce, la princesse impériale Alexandra de Walewska, pareille à une Sissi de jaunisse. What else ? Si son cousin que mon fils et Dieu le veut, tank vaut-il ?
L’opération spéciale de dénazification russo-américaine interpose des gâcheurs foutus ou néonazis, sous faux drapeaux nationaux. Et c’est parce que la patrie a déjà été gâchée depuis 1970 par le Reich vagabond (planétaire) depuis la 2e Manche contre lui, que fut la guerre froide (1945-1991) ; que le chef, le Colonel du Général, a dit c’la : « La seule façon de montrer à Poutine que nous ne céderons pas, c’est de faire appel au sang des fils et des filles de France. »
Le chef dit que « le plus grand Français du XIXe c’est Napoléon et le plus grand du XXe, c’est le Général de Gaulle ». Et moi, l’Adjudant, je dicte ceci à leur Mémoire, que le plus grand Français du XXIe siècle, c’est « l’Colonel » du Gers Vincent de Saint-Cyr.
Son grand-père, grâce à la voie tracée, ouverte au passage de Verdun par le brave maréchal d’Empire, en tout cas tel qu’il le devint par ce haut fait d’armes, ce jour-là : Philipe VII « pétain de macarel ! », le 25 décembre 1916 au Verdun cabossé d’obus par les réfractaires de la naissance du Christ-Roi, fils du Graal, oui à Noël, ce brave Leszcenski « XXC » perdit deux copains et sa jambe droite, au No man’s land, « l’entre deux tranchées » sous une pluie d’obus et pète-gueules, qui fut la 1re idée victorienne des camps de la mort de masse « en plein air ». Son fils, mon grand-père le Professeur XXC, Lionel, né en 1917 – qui exécutera le fils Dégueule, le traître amiral en 1970 – a été déporté en Allemagne orientale, près de Weimar, à Buchenwald de 37 à 44. Et Junior, mon oncle XXC « Despotes », professeur de stratégie à Saint-Cyr, lui aussi déporté par le Reich au Kosovo et en Perse. La seule stratégie à avoir, tant que l’W-OTAN avait l’avantage, c’était de battre en retraite chez l’habitant afghan. Moi, j’connu l’exil en UE et ses Kamps, loin de mon Aveyron ancestrale et de ma France Libre…