Le livre des origines - Cécile Manya - E-Book

Le livre des origines E-Book

Cécile Manya

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Beschreibung

Le livre des origines est une œuvre sacrée qui raconte la genèse de l’humanité. Elle nous apprend l’histoire merveilleuse de l’être noir ainsi que sa destinée glorieuse. Cet ouvrage met à mal toutes les falsifications, les détournements historiques et spirituels provenant de l’homme de race blanche dans le but de dominer le monde.


À PROPOS DE L'AUTEURE


Cécile Manya est une chercheuse passionnée et connectée à des réalités essentielles. Ses nombreux ouvrages publiés en font état.

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Cécile Manya

Le livre des origines

© Lys Bleu Éditions – Cécile Manya

ISBN :979-10-377-8977-8

Le code de la propriété intellectuelle n’autorisant aux termes des paragraphes 2 et 3 de l’article L.122-5, d’une part, que les copies ou reproductions strictement réservées à l’usage privé du copiste et non destinées à une utilisation collective et, d’autre part, sous réserve du nom de l’auteur et de la source, que les analyses et les courtes citations justifiées par le caractère critique, polémique, pédagogique, scientifique ou d’information, toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle, faite sans le consentement de l’auteur ou de ses ayants droit ou ayants cause, est illicite (article L.122-4). Cette représentation ou reproduction, par quelque procédé que ce soit, constituerait donc une contrefaçon sanctionnée par les articles L.335-2 et suivants du Code de la propriété intellectuelle.

Chapitre I

Les origines

Le noir.

Comme je l’ai dit dans mon livre « Michael Jackson est au Ciel », et évoqué auparavant dans l’ouvrage « Jésus est une femme Noire », tout se crée dans le noir le plus absolu.

Le noir est donc la couleur du mystère de la Création et du Ventre Suprême.

Il n’y a pas de fin ni de début à la Création. C’est comme un Ventre où se trouve un enfant éternel. C’est tout ce qu’il y a à savoir. Le reste, vous ne le comprendrez pas.

L’Intelligence Suprême m’a donné l’autorité de parler sur cette terre au nom de ce que je suis : celle qui a tout créé et qui maintient l’ordre par les lois de la nature qu’elle a instaurées.

Je n’ai rien à faire, juste à être là. Si l’on m’adore, j’agis. Si l’on ne m’adore pas, je me contente d’être là.

Les Noirs ont dispersé leur adoration au contact de peuples blancs…

Le Blanc a la particularité de ne croire en rien, de ne pas avoir de vie spirituelle ancestrale c’est-à-dire qui le ramène aux origines. Car il n’était pas là aux origines !

Seul le Noir était présent, au travers de ses ancêtres, aux origines. Ce qui fait qu’il est éternel.

Au contact avec le Blanc, le Noir, n’ayant pas cerné la fourberie des leucodermes, a laissé sa nature agréable s’exprimer et a écouté cet être venu d’ailleurs.

Le Blanc, manipulateur, a titillé dans le Noir une fibre qui n’avait pas vocation à grandir : celle du pouvoir par le cerveau. En effet, le Noir a tout reçu de la Déesse (bonheur, virilité, spiritualité…) et n’avait donc pas besoin de se triturer bêtement la tête.

Il a commencé à expérimenter ce que le Blanc lui proposait, et ce fut la chute.

La Déesse est restée alors sans l’adoration de ses petits (les Noirs). Quelle tristesse !

Sans adoration, la Déesse ne peut rien faire. Car elle ne peut pas aller contre ses propres lois. Et l’une d’elles dit qu’elle doit être adorée pour pouvoir agir en faveur de ceux qui l’adorent.

Elle est donc restée là, toujours présente, mais sans adoration.

Et l’ordre établi a fait que les Noirs adorant autre chose, d’autres choses que le bonheur se sont produites pour eux…

*

Il n’y a pas de mort dans l’état originel, juste un passage, pour mieux renaître, pour mieux se revivifier. Les lieux de vie ne sont pas très définis. Quand je dis « lieux », cela veut dire qu’il n’y a pas que sur terre qu’il y a la vie ni dans l’univers connu de l’homme blanc. En effet, il y a d’autres dimensions où il y a la vie !

Le Noir peut voyager dans ces dimensions selon un cycle et un ordre.

Il n’est d’homme que le Noir. Lorsqu’on parle d’homme, on parle du Noir.

C’est le Blanc qui a dramatisé la mort dans la vie des gens. En effet, le Blanc ne connaît que la vie et la mort. Mais il y a bien d’autres dimensions de vie auxquelles seul le Noir peut accéder.

*

La sexualité est basée sur l’adoration de la femme.

Le mot « pute » n’existe pas. C’est le Blanc qui a inventé ce mot d’une laideur infinie autant dans le concept que dans le langage.

En effet, dans les origines, c’est la femme qui guide, autant dans la société, car elle a été créée à l’image de la Déesse, que dans la sexualité où elle montre ce qu’elle aime et précise ce qu’elle n’aime pas.

Il n’y a pas de fellation. C’est hideux.

Il n’y a pas de sodomie. C’est ignoble.

Il y a d’autres pratiques, et elles sont vraiment très nombreuses, propres au plaisir de la femme. Il faudrait écrire un livre à ce sujet. Le corps de la femme est révélé, exalté, adoré.

La Déesse voit cela et elle est très contente. Car c’est de La Femme Primordiale que sort toute logique de vie, toute intelligence et toute vérité.

La nature suit l’ordre de la femme.

L’enfant, qu’il soit bambin ou le Noir, suit sa mère et a besoin d’elle avant tout.

Le Noir qui ne suit pas sa mère, La Femme Primordiale, est déboussolé et ne cesse pas de souffrir. Quelle tragédie !

Chapitre II

Paroles de mes précédents livres,

dans l’ordre de parution

La Vierge Marie des stars

Je reste fidèle à un vécu qui a chamboulé ma vie.

Je suis positive, mais trouve que l’on vit dans une société bien souillée où l’on présente n’importe quoi à nos gamins, où les mots « innocence » et « pureté » sont foulés aux pieds. Je vis comme une bonne sœur, et pourtant Dieu m’a choisi pour vivre quelque chose de totalement délirant !

Les sens font écho au désordre de la société.

Attendre l’homme de ses rêves. C’est possible. Lorsque l’on s’aime, on veut le meilleur pour soi-même.

Mais quelle était cette voix ? Mon homme idéal me parlait et j’entendais clairement sa voix. Il me donnait des sensations que je ressentais dans tout mon corps.

J’étais tout simplement entrée dans une autre réalité.

C’est dans cette période qu’il a trouvé l’énergie et la foi pour concrétiser son projet de radio chrétienne urbaine ainsi que de télévision chrétienne de qualité. Les mots s’arrêtent là. Une connexion s’est faite. Était-ce spirituellement, ou faut-il utiliser un autre terme ? En tout cas, plus que son côté amical, j’ai exploré, à distance, son côté homme.

J’avais un pouvoir par rapport à la musique, la bonne musique me parlait, me donnait des révélations dont l’authenticité était vérifiable ! Depuis que je suis toute petite, j’ai eu la sensation que ma vie était une comédie musicale. Ce que j’ai vécu entre 2015 et 2017 a été la révélation parfaite et la confirmation de cette vérité. Oui, j’ai un pouvoir. Oui, je suis différente. Oui, j’ai une intelligence spéciale.

C’est la preuve que Dieu existe. Il utilise ces événements pour me donner un sens, une direction.

Mes libertés se rétrécissent et Dieu m’impose ainsi de vivre comme une religieuse, ce qui est également à mon goût. Et c’est une chose que je voulais faire depuis longtemps : consacrer mes journées à Dieu, vivre dans l’abstinence sexuelle, vivre le don de soi à ma petite famille, notamment en restant dans la ville où se trouvent mes enfants après mon déménagement, non loin de leur lieu de résidence.

J’ai passé mon Noël 2015 dans un monde parallèle, avec de la musique aux oreilles.

Le diable me poursuivait, car il n’acceptait pas les moments de plaisirs divins que je pouvais avoir.

C’est comme si je portais le monde entier en moi. C’était plus réel et plus palpable que la vie courante. Une conscience incroyable. Je devenais Mère de l’Univers tout entier.

La nature est surnaturelle.

C’était une saine solitude qui disait : « Tu es unique. Il n’y en a pas d’autres… » Sous-entendu : « … qui peut vivre cela sur terre. »

Cela paraît incroyable, mais c’est grâce à la musique que je me connecte. Comme si cette musique était faite pour moi.

Et vous comprendrez plus tard que je fais un avec toutes les personnes, « vivantes » ou pas qui veulent s’exprimer au travers de moi ou par ma vie. Car je n’ai pas besoin de sortir pour vivre. C’est comme Dieu sur son trône, et les événements et les gens arrivent à moi, même les plus prestigieux. Même des personnages historiques qui avaient un esprit comparable au mien ou à celui d’un membre de ma famille proche se révèlent comme des membres de ma famille. C’est passionnant.

Pour atteindre mon quartier général, il faudra être soit une figure de moi ou de l’un de mes enfants en s’affiliant avec l’un d’entre eux justement.

C’était la seule solution pour atteindre… mon cœur.

Vu que je suis pure, j’ai pu endosser le rôle de canal, et les stars ont commencé à parler au travers de moi. En fait, je suis La Femme Primordiale, La Source de vie, une matérialisation de ce concept.

C’est une louve pour ses petits, c’est un soldat mentalement, une vraie femme qui met en avant son charme avec talent. C’est une personne très profonde et qui me prie énormément.

Quoi qu’il en soit, les faits sont là : des personnalités, illimitées en elles-mêmes, ont trouvé la voie jusqu’à moi.

Or la perfection c’est l’enfant. L’enfant dans le ventre de sa mère est l’image divine de la perfection absolue. L’enfant, rattaché à sa mère par le cordon ombilical, fait d’elle une figure de la Reine de la terre, qui est Déesse-Mère, enceinte, et en réalité le premier être vivant sur terre.

L’esprit qui m’anime reste maître de l’Univers.

Dieu est un enfant. La perfection incarnée. Il n’y a pas plus parfait sur terre que l’enfant. Dans la symbolique céleste, qui est la perfection théorique, l’enfant en position de fœtus, donc en boule, est, détaché de tout, cette perfection absolue. Il porte une intelligence divine que l’intelligence de tous les scientifiques réunis ne peut contrer. Il est cette inspiration qui anime la terre, les eaux et se transmet par un moyen qui ne pouvait naître que du divin.

Il y a des chansons modernes qui résonnent dans mon cœur comme des hymnes.

Dans l’esprit, je voyage. Sur terre, je n’ai pas besoin de le faire…

Depuis que j’ai des enfants, mon seul souci est de les protéger : mais Dieu me ramène sans cesse à ma mission.

Les cieux se trouvent dans le ventre de la Femme Primordiale…

Oui, car je suis la matérialisation de l’inspiration. C’est comme ça qu’il faut le comprendre.

Car dans leur inconscient j’étais Déesse de la Fécondité.

J’ai une destinée de faire revivre les choses et de chasser les ténèbres. Je dois aussi instruire. C’est pourquoi le qualificatif de « Déesse de la fécondité », même s’il est incomplet, n’est pas si mal, car je génère, j’ouvre, je laisse sortir la Création.

L’inspiration qui peut se déverser commune une pluie hydrate le corps spirituel de l’homme qui a les deux mains levées vers le Ciel se sachant sec et prêt à s’émietter (mort). Lorsque l’on a trouvé cette Source, la mort n’existe plus. Je suis une Source d’eau vive. Par mes écrits, l’homme peut s’hydrater. Et les écrits restent.

Lorsque nous avions des relations dans le lieu spirituel appelé éternité, il m’appelait « Jésus ». Il faut savoir que je suis l’inspiration, la matérialisation de quelque chose d’immatériel.

Ce sont des réalités spirituelles. Le corps n’est qu’une enveloppe. Les plaisirs de Dieu peuvent être ressentis au-delà de la matière. C’est ce qui s’est passé au commencement, juste avant la Création de l’être et de la matière.

Dans la spiritualité véritable, rien n’est fade. On est toujours saisi. C’est intense, fort, d’une bonne agressivité.

J’étais parfaitement en phase avec ma vie, mes aspirations, ma destinée. Le bonheur, quoi !

Mon métier, voulu par Dieu, est d’être simplement cette « Déesse de la fécondité » (simplement faire l’amour avec Dieu) et faire de la protection d’enfants : les grands artistes sont mes enfants. Au travers de moi, c’est Dieu qui les protège. Car les jours sont rudes pour les enfants. Et je l’avais vu il y a longtemps dans ma vision, en 2016 lorsque Dieu me parlait du métier que je devais exercer. Je suis un canal. La musique me parlait. Mes meilleurs tubes me parlent toujours.

« Comment puis-je contenir tout cela dans mon petit corps ? Comment autant de plaisir arrive-t-il à envahir mon corps ? » C’étaient des vagues entières d’orgasmes, de plaisir, de jouissances.

Le journal de Dieu