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Seitenzahl: 398
Veröffentlichungsjahr: 2022
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Voici une histoire très largement inspirée de faits réels.
L'un des protagonistes me l'a racontée alors qu'il était bien bourré et voulait me confier sa vie. Celle d'un mec qui avait tiré sur tout ce qui bougeait, avait trompé sa femme puis avait fini par tomber sur les mauvaises personnes. Ce pauvre gars qui n'avait eu que peu de considération pour les femmes qu'il sautait, fréquentait toujours les clubs privés plus par nostalgie que par activité ou succès personnel et j'avoue que si par instants, j'ai eu pitié de lui, au fond de moi, j'ai souvent pensé : "bien fait pour ta gueule!"
Tout avait commencé par une belle soirée de printemps lors d'une cérémonie de fin de séminaire professionnel dans l'entreprise de Thomas.
Le nouveau Directeur Commercial, Sean Saint-Martin, avait été présenté aux troupes fièrement rassemblées durant toute une journée qui se concluait le soir par un dîner spectacle ou les conjoints, époux et épouses des salariés, étaient invités.
Le genre de grand raout où l'on se retrouvait placé par « la Com » à côté de Directeurs et responsables que l'on ne connaissait que par l'organigramme général de la boite. Voisins improbables, les petits salaires de la boite (dont tout le monde se fichait royalement, soyons francs) avec les commerciaux qui se sentent plus importants qu'ils ne sont et des cadres supérieurs ou dirigeants qui espèrent que tout cela se finira au plus vite...
Cela donnait généralement lieu à des séquences bien gênantes en mode « Dîner de Cons » version géante où un grand dirigeant de la société faisait semblant de s'intéresser à ce que lui disait Robert de la Compta de sa passion pour les assiettes des grandes batailles de la Seconde Guerre Mondiale, où Michelle des livraisons ne voyait pas que la femme du DG n'en avait rien à faire de ses astuces lessives et où les plus lucides s'emmerdaient copieusement en se demandant à quel moment de la soirée il serait suffisamment poli de pouvoir tirer sa révérence sans éveiller de soupçons négatifs sur leur personne.
Bon, généralement, la bouffe était bonne, a picolait des alcools et vins corrects, on retrouvait des pôtes, quelques plans drague et par miracle, le spectacle offert pouvait être sympa. La liste des points positifs était brève, mais réelle et sympa aussi.
Paradoxalement, c'était aussi le genre de soirées ou les conjoints invités des salariés étaient souvent enchantés de participer à la vie de l'entreprise et de pouvoir saluer les dirigeants :
- Mais si Roger, ils sont sympas tes chefs! Tu exagères quand tu en parles. Monsieur M... n'a pas tari d'éloges sur toi, etc.
Évidemment, Roger ou Hatem, Boubacar, Pietro, Arlette, Maire, Fatima, etc, tous salariés de longue date, s'en battaient les steaks de ces avis érudits vu que leur patron «si sympa» avaient refusé de les augmenter pour la 4ème année consécutive.
Maude, l'épouse de Thomas, faisait partie de ces grands heureux de la soirée. Son mari était un commercial aux dents longues qui explosait ses objectifs depuis de nombreuses années au point qu'elle ne travaillait même plus et ne faisait plus grand-chose de constructif à part s'occuper de leur pavillon trop grand pour eux.
Thomas remplissait son rôle à merveille, présentant les uns aux autres avec force sourires enjôleurs et paroles amicales, contrôlant tout ce qui se disait à sa table pour que rien ne filtre de négatif.
Question d'ambiance et de gros secrets personnels à préserver auprès de sa femme surtout!
Si Thomas était un super commercial, il était aussi un grand séducteur et surtout un obsédé sexuel qui sautait littéralement sur toutes les femmes de 16 à 75 ans qui étaient d'accords pour pratiquer un peu d'activité physique avec lui.
Queutard, Dom Juan, baiseur fou, obsédé de la chatte, niqueur compulsif, la grande majorité de ses collègues et connaissances savaient que Thomas défouraillait dans toutes les directions... Sauf sa femme bien entendu.
Maude avait beau être une très belle femme, aimer le sexe et son époux, Thomas avait besoin de plus. il ne pouvait résister à l'appel de la chatte qu'il croisait... Et un commercial, ça en croise beaucoup, croyez-moi!
Collègues, clientes, stagiaires, femmes de ménages, gardiennes, personne n'était à l'abri de ses talents et de sa passion pour les femmes. Peu importe le boulot des unes ou leur âge, Thomas sautait avec joie sur tout ce qui appartenait au genre féminin! Il aimait cela intensément et finalement, s'il n'avait pas été marié, sa joie de vivre et son charme aurait sans doute permis de faire accepter la pilule de ses obsessions à tout le monde.
La morale étant ce qu'elle est, nombreux étaient ceux et celles qui le considéraient quand même comme un beau salaud, même s'ils reconnaissaient tous qu'il était très sympa.
Bien évidemment, son épouse, Maude ne voyait que l'ange en lui et surtout pas le démon à la troisième jambe tendue, active et excitée en permanence! Surtout que Thomas n'oubliait jamais son devoir conjugal, offrant son désir plusieurs fois par semaine à sa femme avec une passion naturelle qui étonnait toujours Maude 10 ans après leur rencontre.
Évidemment, tous ceux qui savaient la plaignait car sa candeur évidente faisait pitié. Croire à ce point que son mari était l'homme idéal alors que ce n'était qu'un salaud parfait lui mentant plusieurs fois par jour, ne cessait de questionner tous ceux qui la connaissaient un peu et savaient qu'elle était plutôt intelligente et fine...
Maude était, qui plus est, une belle femme qui attirait l'œil par son physique toujours irréprochable et son charme évident. Une splendide brune dans la splendeur de ses 35 ans en résumé. Son mètre soixante-treize impressionnait, elle était plus grande que son époux avec ses talons. De beaux yeux bleus perçants, de belles jambes parfaitement profilées, une poitrine assez généreuse et bien droite, des fesses rebondies et très féminines, un visage typé méditerranéen et un sourire... Mon Dieu, quand on croisait son regard, on avait tout simplement envie de lui proposer d'être heureuse... et elle semblait bien l'être dans l'ignorance et les mensonges de son époux, ce qui rendait l'agréable Thomas encore plus détestable à beaucoup...
Il ne se privait de rien en plus!
Ce soir-là, il avait repéré une petite serveuse, caricature de la blonde à forte poitrine, qui avait gloussé à chaque compliment qu'il avait décidé de lui faire. Bien sûr, son jeu de séduction était discret et personne n'avait rien vu, en tout cas pas sa femme. Mais ce qui avait excité et convaincu Thomas, c'était que la jolie serveuse n'avait pas bougé lorsque se penchant pour prendre un plat sur la table, il avait posé d'autorité sa main gauche derrière sa cuisse, remontant vers ses fesses, sans provoquer une seule réaction, comme si elle s'y attendait.
La pénombre ambiante du moment autour des tables durant le spectacle avait caché son geste à tous et la serveuse avait pris de longues secondes pour récupérer tous les verres, le laissant explorer et caresser à loisir son délicieux popotin bien rembourré.
Secondes qu'il avait mis à profit pour infiltrer aussi ses doigts entre la culotte et la peau, surfant sur sa raie entre les deux fesses. Une fois de plus son attraction naturelle fonctionnait, Thomas en était convaincu. Lorsque la belle se releva son plateau à la main, il prétexta de bouger un peu pour lui faciliter le passage et montrant son doigt explorateur à la blonde, il le glissa sous son nez le sniffant ostensiblement en la regardant.
Miss belles fesses et grosse poitrine, le regarda sans sourciller, esquissa un léger sourire et tourna les talons. Personne n'avait rien vu ou voulu voir, les convives à sa table tout comme son épouse trouvaient le spectacle du magicien sur scène étonnant.
Trouver une excuse quelques minutes plus tard pour s'absenter en prétextant un passage aux toilettes impératif et la nécessité de saluer quelques collègues de province qui fumaient dehors avait été un jeu d'enfant pour Thomas.
La blonde était avec ses collègues serveurs et serveuses à l'entrée de la salle et quand elle vit passer Thomas, elle les quitta aussitôt pour le suivre. Ils prirent le couloir sensé mener aux toilettes.
Elle se rapprocha de Thomas sans rien dire, le devançant rapidement, tourna à gauche prenant un autre couloir en lui faisant signe de la suivre. Elle ouvrit une porte et attrapa Thomas par son nœud de cravate, l'entraînant violemment avec elle dans la pièce dont elle venait de refermer la porte. La blonde colla ses lèvres et sa langue sur la bouche de Thomas et il répondit évidemment à son baiser fiévreux.
La petite savait ce qu'elle voulait et cela lui allait parfaitement.
- Tu es un petit salaud toi! Me peloter le cul en face de ta femme, c'est spécial mon cochon! lui lança-t-elle entre deux mordillements des lèvres avec ses dents
Thomas ne répondit pas, concentré à plaquer son corps contre le sien. Ses deux mains fermement posées sur les fesses de la blonde, il malaxait sa chair avec force, la pressant contre lui.
Rien à dire, se disait-il, avoir entre ses mains de belles fesses et sentir la poitrine tendue d'une femme contre vous, c'est le pied ultime. Il bandait déjà très fort et ce n'était pas la main de la blonde déjà posée sur son sexe à travers le pantalon qui allait le calmer!
-Je suis un salaud... et toi une belle et... jeune salope! On est faits pour s'entendre, non? lui répondit-il
-Meuuuuuuuuuuuu.... furent les derniers mots qu'elle prononça sur sa bouche avant de se détacher de lui.
Il avait relevé la jupe de Miss Blonde Gros Seins, elle l'avait débraguetté aussi rapidement. Elle avait rapidement pris appui sur un bureau proche, écartant ses jambes en le fixant d'un air vraiment obscène, le provoquant d'un air de dire «viens là toi! ».
Lui bandait comme un cerf, son sexe on ne peut plus normal de taille, mais tendu comme un arc et pointant vers son nombril, son pantalon descendu entre ses pieds. Visuellement, la scène était cocasse, mais en live, tous les deux étaient parfaitement excités par la situation.
Thomas nota que cette jeune salope (comment penser à elle autrement) avait déjà enlevé sa culotte! La main droite de la blonde alla de sa bouche où deux doigts plongèrent prendre sa salive puis redescendirent s'infiltrer dans la moiteur de son sexe offert.
Pendant que Thomas l'observait arrachant des dents l'emballage d'une capote (toujours prêt et équipé, le Thomas!), elle le fixait simultanément, se caressant sa petite chatte et soutenant son regard.
Thomas déroula le préservatif sur son sexe tendu, se rua sur elle et prit les deux jambes de la Blonde au niveau des cuisses, les écartant brutalement. Il présenta son sexe dans la zone de tir sans spécialement viser. Pas besoin de chercher ou de réclamer une main pour diriger la manœuvre. Le sexe de la blonde était déjà mouillé, chaud, ouvert, prêt à la pénétration.
Bien que la surplombant de sa hauteur, il sentait l'odeur forte et prenante de son excitation de la mIss. Le sexe de Thomas trouva en ou trois deux tâtonnements de son gland le bon endroit pour s'infiltrer. Un ou deux petits coups pour commencer, histoire d'imprégner la capote du jus de la belle et un coup de rein brusque suffirent à être totalement en elle.
- Aaaaahhhhhhhhhh, enfin! Lança-t-elle aussitôt.
La blonde gémit et referma aussitôt ses jambes autour de lui, le verrouillant au fond d'elle. Ils restèrent quelques secondes comme cela, figés en pénétration, fermant tous les deux les yeux.
Puis la blonde contracta son vagin comme pour donner le signal du départ. Thomas força l'étau des jambes qui commençait déjà à céder. Il accélérait le mouvement, serrant les fesses de la blonde avec ses mains, percutant du mieux et du plus fort qu'il le pouvait chaque fin de pénétration. La blonde était courbée vers l'arrière, le corps en arc de cercle, s'ouvrant au maximum, mains en appuis derrière elle, poitrine offerte et déboutonnée. Thomas plongea son visage entre les deux globes charnus et se laissa emporter par le rythme puissant et mécanique que souhaitait sa compagne de jeu.
Le rapport n'était ni doux, ni amoureux, mais juste sexuel, brutal, sauvage et les deux partenaires n'en demandaient pas plus. Au bout de quelques minutes, la blonde gémit sérieusement et Thomas sentant son orgasme arriver se contrôla jusqu'à ce qu'elle lui donne les signaux de sa jouissance : raidissement et immobilisme de son corps, pointe des seins tendues, gémissements incontrôlées et bouche entrouverte, ça y était, lui aussi pouvait lâcher les chevaux.
Il se raidit et envoya mentalement et physiquement la purée. Il adorait cette image.
Les contractions de son sexe résonnaient encore dans le vagin de la Miss qui émergeait rapidement et semblait bien apprécier la situation, le dévorant encore d'un regard gourmand.
Éjaculer dans une capote ne gênait plus Thomas depuis des années, il était de la génération qui avait du baiser avec, Sida oblige. Thomas était un obsédé, il ne négligeait pas les risques liés à son comportement et un fond de culpabilité lui faisait prendre les précautions nécessaires pour ne rien ramener chez lui!
Une fois calmés, leur souffle retrouvés, ils se détachèrent l'un de l'autre comme si rien ne s'était passé. Miss Blonde fit redescendre la jupe boudinée sur ses cuisses en tirant dessus après avoir ramassée sa culotte blanche en coton pas vraiment sexy qui était restée au sol, la secoua, repassa ses jambes dedans et se redressa comme s'il ne s'était rien passé. Puis elle referma les boutons de son chemisier blanc de serveuse après avoir repassé ses gros seins dans les bonnets de son soutien-gorge, rentra et ajusta le chemisier dans sa jupe et roulez jeunesse!
Thomas, moins pressé, venait de dérouler sa capote et cherchait un tissu pour s'essuyer le bout du sexe. Sans qu'il ne demande rien, Miss Blonde le voyant dans l'expectative s'agenouilla devant lui, pris son sexe en bouche, fit deux ou trois allers et retours, le nettoyant parfaitement. Elle se releva, le fixa, ouvrit sa bouche lui montrant quelques gouttes de son sperme sur sa langue, referma la bouche et déglutit.
-Merci le vieux, c'était cool! Les jeunes ne savent pas baiser en comparaison!
Sur ces mots elle était sortie le laissant à moitié nu, le pantalon étalé par terre, comme un imbécile. Thomas n'en revenait toujours pas. Des cochonnes, des gourmandes, des fausses timides, il en avait croisé des paquets, mais une petite jeune qui devait à peine avoir la vingtaine avec autant de culot et de décontraction, ça le laissait pantois. Il avait presque envie de prendre ses coordonnées tout de suite. Il verrait cela plus tard, un tel coup ne se perdait pas en pleine nature!
Durant une petite seconde, compte tenu de la soudaineté de leur séance, il se demanda quand même si c'était lui qui l'avait séduite ou si c'était elle qui l'avait tout simplement « tiré » comme un vulgaire mâle lambda dont elle avait eu envie? Un soupçon de vanité fit que Thomas écarta cette seconde solution...
il était heureux et totalement ragaillardi. Cette soirée se terminait bien. Il venait de rajouter une prise à son tableau de chasse. Il faudrait qu'il mette à jour son petit carnet secret.
Alors que Thomas repartait vers sa table, il ne vit pas que la Blonde qui l'avait précédé n'avait pas encore rejoint ses camarades du service. Elle était à l'autre bout du couloir et se faisait remettre dans son dos une belle liasse de billets par une femme d'une cinquantaine d'années. Si Thomas avait été plus précautionneux et prudent, moins centré sur lui, il se serait rendu compte que depuis le début la journée, la femme du nouveau Directeur Commercial tournait aussi autour de Miss Blonde et avait discuté plusieurs fois avec elle...
Thomas avait bien entendu remarqué cette grande brune vêtue d'une manière assez austère, un regard dur et glacial à décourager les plus chaleureux, qui contrastait avec celui plus jovial de son époux. C'était quand même l'officielle de son nouveau boss et il valait mieux savoir la reconnaître, mais l'ayant classée au rayon des très rares proies à ne pas tenter, il s'était désintéressé d'elle et n'avait absolument pas fait attention à ce qu'elle faisait...
Erreur, fatale erreur!
La femme de son nouveau Directeur Commercial avait obtenu ce qu'elle voulait. Pendant qu'il prenait furieusement la jeune blonde, elle l'avait filmé avec son mobile et lui n'avait rien vu de la silhouette cachée dans la pénombre de la pièce à moins de deux mètres d'eux.
Marthe Saint-Martin pouvait rejoindre son époux et se permettre le premier sourire de la soirée. Elle s'assit à côté de lui comme si de rien n'était et lui glissa aussitôt : «C'est fait! »
Sean Saint-Martin posa amoureusement sa main droite dans le dos de son épouse et sans la regarder se mit à sourire. Il fixa alors d'un regard cruel l'épouse du fameux Thomas qui ne s'était pas rendue compte qu'il l'avait dévorée intensément des yeux plusieurs fois durant la soirée.
Maude était assise sagement à la table d'à côté et riait aux tours du magicien.
Sean Saint-Martin se retourna vers sa femme et lui dit ouvertement sans craindre que quelqu'un ne l'entende : « Je crois que l'on va bien s'amuser. J'adore déjà ce nouveau poste! »
Alors sa femme l'embrassa fougueusement devant tous les invités attablés. Toutes les conversations s'étaient arrêtées devant ce geste imprévu. Leurs lèvres se séparèrent, Sean Saint-Martin posa calmement son regard acéré sur chacun et lança : « Vingt-trois ans de mariage et d'amour, Mesdames et Messieurs! »
Une ou deux femmes applaudirent joyeusement tout en lançant des regards envieux à leurs maris, d'autres firent semblant de ne pas avoir entendus, gênés par la situation. Personne à la table ne remarqua les regards tout à coup très excités qu'échangèrent deux clients d'un certain âge que le nouveau Directeur avait absolument tenu à avoir auprès de lui.
Les deux hommes d'affaires, comme ils s'étaient présentés, approchaient de la soixantaine.
L'un était chauve, de petite taille et doté d'un embonpoint évident, mais d'une conversation joviale et il avait beaucoup fait rire ses voisins et voisines de soirée. Finalement, tous l'avaient trouvé très agréable et charmant, oubliant son physique peu engageant.
L'autre était grand, sec, cheveux gris coupés très courts, un air de militaire à la retraite qui n'avait absolument rien fait pour briser la glace autour de lui. Il tournait à la vodka et ne parlait à personne, donnant l'impression de ne prêter aucune considération aux autres, sauf à son compagnon de soirée.
Non personne ne remarqua le sourire simultané de ces deux invités croisant les regards de Sean et Marthe Saint-Martin. Personne ne doutait de ce qui venait de se tramer au détriment de Thomas et de son épouse.
Dans cette histoire qui ne faisait que commencer, Thomas ne savait pas que son statut de Dom Juan irrésistible était arrivé à son terme. Quant à sa douce épouse, rien ne la préparait aux aventures et découvertes sexuelles qui allaient tomber sur elle...
La suite prochainement, si ce texte vous intéresse et vous excite un peu, bien entendu!
Où Thomas a ses activités sexuelles et va découvrir que son nouveau Directeur Commercial n'est pas un rigolo!
Le lendemain matin, Thomas s'était réveillé frais et dispo. Il avait tout de suite senti contre lui le corps chaud, nu et désirable de son épouse collée contre lui en chien de fusil. Lui aussi était nu contre elle et le contact de ces fesses si chaudes et douces contre son sexe déjà tendu par son énergie matinale lui avait fait pousser sa verge d'abord doucement puis de plus en plus franchement entre les deux cuisses de sa femme.
Il avait alors entamé un mouvement de va et vient, appuyant d'abord légèrement puis de plus en plus fortement et son sexe s'était naturellement insinué entre les deux grandes lèvres de son épouse, les écartant par sa seule rigidité.
Au début, elle dormait sans aucun doute, mais il avait bien senti aux légères contractions de ses fesses que son bas ventre répondait aux sollicitations de son mari.
Peu à peu, une douce humidité très excitante s'était répandue sur sa queue et les soupirs de plaisir de plus en plus marqués de son épouse avaient accompagné ses frottements. Puis, se déplaçant un peu et d'un léger mouvement de son bassin, Maude avait réussi à positionner l'entrée de son vagin contre le gland de Thomas. Comme un hameçon attendant son poisson, une fois le champignon décalotté entré, bien au chaud, entouré par l'humidité des lieux, Thomas était verrouillé dans sa belle épouse. Il avait pénétré naturellement et sans effort dans le palais des délices. Tous les deux avaient perçu le plaisir que ce moment leur procurait. Ils s'étaient arrêtés de bouger, saisis par l'instant, sa pureté, sa puissance. Maude avait alors relancé le signal des hostilités par une contraction intérieure engageant son époux à bouger en elle.
Se soulevant légèrement, elle l'avait incité à glisser un bras sous elle à la recherche d'un sein qu'il avait empaumé. De son autre bras, Thomas malaxait une fesse. Il était dans Maude, ses deux mains accrochées fermement à deux extrémités sensuelles et superbes de son corps. Thomas se disait à chaque fois qu'il faisait l'amour à sa femme ô combien elle avait été une prise dont il se félicitait.
Leurs soupirs et l'accélération de leur rythme commun et coordonné les amena à une jouissance rapide, brutale et simultanée. Maude s'était contorsionnée pour lui offrir sa bouche de côté et ils s'étaient mutuellement mordus amoureusement leurs lèvres au paroxysme de leur plaisir. À ce moment-là Thomas jouissait dans son épouse, se répandant en elle et il sentait qu'elle mouillait de plaisir également autour du membre qui venait en elle.
Sa jouissance venue, ses deux bras enserrant son épouse, un sein fortement serré et pétri dans chaque main, il s'accorda un moment de répit. Maude lui murmura un « je t'aime » auquel Thomas répondit par un rituel « Moi aussi, je t'aime, mon amour ».
Maude s'était encore plus lovée contre lui, contractant ses fesses autour de la bite de Thomas qui se détendait, refermant ses propres mains à elle sur celles de son époux, accentuant ainsi la pression sur sa poitrine par ses quatre mains rivées sur elle :
- Tu les aimes mes seins, hein?
Thomas ne répondit pas et se contenta de l'embrasser tendrement entre sa nuque et son cou. Ce moment de quasi immobilité ne pouvait durer même si Maude le souhaitait ardemment.
La prostate de Thomas excitée par ce début de matinée ainsi que sa vessie bien remplie par les breuvages absorbés durant la soirée du séminaire lui intimaient toutes les deux l'ordre d'aller au WC. Il commença à se retirer d'elle. Par jeux, elle contracta encore plus ses muscles et fit tout pour le retenir. Il rigola, la chatouilla un peu et se détacha d'elle en lui murmurant :
- Désolé, mais faut aussi que j'aille bosser, j'ai rendez-vous avec le nouveau directeur ce matin... Ma semaine va être chargée (tu parles il avait deux rendez-vous avec Monique et Nadine qu'il comptait bien honorer aussi) Mais promis mon amour, ce WE, je serai là pour toi.
Douché, habillé, café avalé à fond les balais, sourire aux lèvres, Thomas embrassa sa femme qui s'était assoupie à nouveau et partit à son boulot. Il arriva ainsi en pleine forme à son bureau vers les 9h du matin. Son rdv était prévu dans la mâtinée sans précision d'heure, il avait l'intention de faire un peu d'administratif en attendant le coup de fil de la nouvelle assistante que le Directeur avait amené avec lui.
Alors qu'il commençait à s'ennuyer ferme vers les 10h et à rêver aux contrats qu'il pourrait être en train de signer avec quelques clients, un sms tomba sur son iPhone : « RDV now avec Mr Sean Saint-Martin asap, il vous attend dans son bureau -- Claire ».
Thomas prit le dossier contenant ses résultats sous le bras et alla tranquillement vers l'ascenseur. Hors de question de se presser, d'arriver en sueur ou en stress à son premier rdv. 10 mn plus tard il frappait à la porte de la nouvelle assistante et attendit un charmant « entrez! ».
Waouh! Le nouveau DirCo avait bon goût. L'assistante amenée dans ses bagages et absente au séminaire d'hier était vraiment bandante! Thomas s'imaginait déjà en train de lui proposer plein de choses intéressantes et vicieuses. Cette superbe jeune femme entre vingt-cinq et trente ans, noire comme l'ébène et à la plastique irréprochable, occupait le bureau de l'assistante habituelle et excitait son imagination.
Cette bonne vieille Michelle ne manquerait pas à Thomas. Elle avait été mutée sur un site proche de son domicile quelques jours avant en remerciements des bons et loyaux services à l'ancien DirCo. Thomas se demandait si les deux femmes s'étaient croisées, s'il y avait eu une passation de pouvoir ou d'infos? C'eut été assez marrant, connaissant Michelle...
Exit donc Michelle et sa presque soixantaine rieuse avec qui Thomas avait partagé régulièrement des moments bien agréables : une spécialiste des fellations discrètes sous le bureau entre autres qualités, se souvenait Thomas avec émotion. Michelle avait des kilos en trop et faisait son âge, mais elle assumait tout cela parfaitement et en tant que célibataire endurcie, adorait que les petits jeunes (pour elle) comme Thomas, s'intéressent à elle.
Tout en rondeurs (gros cul, gros seins, hanches débordantes, lèvres pulpeuses en résumé), assurance et volonté de s'éclater sexuellement, Thomas avait vu Michelle à l'œuvre. Capable de déstabiliser hommes et femmes qui passaient par son bureau avec une réflexion bien sentie ou un regard très ambiguë, la Michelle!
Thomas était donc souvent allé la voir chez elle en fin de journée durant plusieurs années et pas que pour parler boulot. Très vite, ils avait mis un scénario sur les rails : la porte de son petit pavillon n'était pas fermée quand il débarquait.
Il entrait alors sans bruit et trouvait Michelle plus ou moins affairée dans sa cuisine, délicieusement vêtue d'un simple tee-shirt ras les fesses. De dos, on voyait clairement son sexe charnu et déjà luisant. Michelle la coquine s'était-elle caressée en l'attendant, se demandait-il souvent? Sans doute, c'était bien dans son genre.
Michelle sentait bon et sortait de la douche, ses cheveux gris-bruns, qu'elle ne tintait surtout pas, étaient étalés sur ses épaules. Toujours sans bruit et sans rien dire, il s'approchait d'elle, se mettait à genou, soulevait délicatement les pans du tee-shirt et plongeait son visage dans la raie de son gros popotin.
Michelle ne sursautait jamais. Un gloussement joyeux sortait de sa gorge. Elle soupirait alors s'offrant avec générosité et ajoutait des « Thomas, Thomas, tu es fou de me faire ça, espèce de gros cochon! »
Ben voyons, espèce d'adorable salope! Se disait Thomas. Après avoir consciencieusement caressé, embrassé et léché ses fesses durant de très longues minutes, il écartait les deux globes blancs et charnus violemment et il plongeait sa langue sur l'œillet central.
Malgré son âge, Michelle avait un très bel anus sans défaut, sensible et excitant dont Thomas adorait se régaler. Ce cul d'albâtre frémissant se donnait ainsi à Thomas. Les chairs tressautant sous ses mains et ses coups de tête à chaque fois qu'il tentait d'aller au plus profond de son petit trou avec sa langue. Thomas salivait de plaisir et humidifiait toute la zone avec joie. Parfois sa langue faisait un petit détour plus bas pour goûter d'autres senteurs féminines et les étaler sur son trajet quand il remontait vers son anus.
À ce stade, Michelle était penchée sur son plan de travail et lui offrait le meilleur accès possible à son fondement tout en exprimant avec enthousiasme son contentement. Elle se caressait souvent au même moment, enfonçant un ou deux doigts dans son vagin, étirant ses petites lèvres assez rudement.
Elle mouillait beaucoup et étalait son jus de haut en bas, caressant son clito et faisant remonter ensuite sa main dans l'autre sens presque jusqu'à son petit trou. Parfois elle touchait le menton de Thomas voire pointait sa main en écartant les doigts pour que la langue de Thomas se faufile entre eux avant de titiller la chair si sensible de cette zone.
Thomas savait alors qu'il pouvait lui introduire un doigt, puis deux et finalement au moins trois dans son anus de plus en plus assoupli. En bonne coquine sachant exactement ce qu'il allait lui arriver à l'avance, Michelle avait parfaitement nettoyé et rincé l'intérieur de son conduit anal et même préparée la zone avec une crème odorante et lubrifiante qu'elle utilisait toujours et que Thomas adorait.
Tout en continuant à lui enfoncer ses doigts dans le cul (comment dire cela autrement?) avec un rythme de plus en plus musclé, Thomas avait fait tomber son pantalon et son caleçon. Son sexe était déjà forcément dressé et bien tendu. Il sortait alors les doigts de l'anus de Michelle et arrêtait sa pénétration pour la saisir par les hanches.
Michelle se penchait et se cambrait le plus possible, retenant son souffle et s'ouvrant au maximum. Thomas pointait alors sa bite sur l'œillet qui palpitait, laissait planer un doute vicieux dans ses intentions. Il attendait que Michelle se recule volontairement vers lui en criant "Encule-moi! Mais encule-moi, nom de Dieu!"
Il s'enfonçait alors doucement en Michelle tout en faisant tomber un peu de salive sur son sexe. Le premier anneau passé, il poussait à fond d'un seul coup.
Michelle ainsi pénétrée poussait un cri de plaisir guttural. Tout ce qui avait précédé n'était qu'un prélude, le premier mouvement d'une symphonie orchestrée aux petits oignons... dans l'oignon!
Thomas et Michelle bougeaient alors de concert et Michelle arrivait facilement à jouir plusieurs fois de la situation en encourageant à nouveau Thomas : « Encore! Plus fort! Espèce de petit salaud tu me fais du bien, continue! » etc.
Michelle, si polie au boulot se lâchait totalement quand Thomas venait la sodomiser chez elle. Elle adorait ça. Thomas s'était souvent demandé pourquoi il n'avait jamais baisé « normalement »?
Certes Michelle adorait la sodomie, lui faire lécher son minou qu'elle rasait par simple provocation comme les gamines des vidéo pornos, se faire malmener ses gros seins, elle adorait qu'il se finisse dans sa bouche mais jamais, ô grand jamais, il n'avait pu la pénétrer dans son vagin. Y mettre ses doigts, des ustensiles divers et variés oui, sa queue jamais! Malgré des années de pratiques et de relations régulières, un seul garage autorisé, il n'avait droit qu'à son cul!
Et pour être franchement honnête, Thomas ne lui en tenait aucunement rigueur. Enculer Michelle était plus qu'agréable et ses petites séances de sodomies lui convenaient parfaitement! Sachant qu'elle lui refusait rarement ce plaisir même au débotté et sans rendez-vous pris à l'avance. Michelle était toujours disponible et prête pour une bonne séance de sodomie!
Après avoir joui dans son cul et parfois dans sa bouche, Michelle choisissait toujours l'endroit du jour à utiliser, ils allaient prendre une douche ensemble. Parfois Michelle y réclamait un léchouille prolongée, parfois elle se mettait à genou et ne rechignait pas à profiter d'une douche dorée. Thomas, serviable, surpris par cette demande la première fois, faisait tout pour la satisfaire, répondant à ses souhaits sans se poser de questions. Les goûts et les couleurs entre adultes consentants, après tout!
L'exercice durait une bonne heure et demie et Thomas regagnait son chez soit en pleine forme. Il ne faut pas s'étonner, mais Thomas faisait partie de cette catégorie d'hommes capables de prendre leur pieds plusieurs fois par jour sans aucun problème physique. Il n'était même pas fatigué ensuite mais bien au contraire remonté à bloc comme un coucou d'horloge suisse!
Mais trêves de souvenirs de baises avec Michelle, il ne savait pas encore ce que la nouvelle et belle Claire cachait comme désirs, mais il se promettait de le découvrir rapidement. La manière dont elle était habillée (sexy mais classe, jupe noire moulante, jambe découvertes à mi-cuisses, chemisier blanc sur une poitrine légèrement apparente, talon d'un bon 6 ou 8 cm renforçant sa cambrure) et surtout la façon dont elle lui indiqua de la suivre vers le bureau du patron d'un signe de main et d'un sourire ravageur, sans parler de la démarche chaloupée qu'elle lui offrait, ne laissait planer aucun doute. Cette Claire était une bombe demandant juste à être amorcée avant explosion!
L'esprit occupée par ce qu'il imaginait pouvoir faire avec la belle Claire, Thomas entra un pu distrait dans le bureau du patron. Sean Saint-Martin était près de la porte et lui tendait la main en lui lançant un :
- « Ah! Voici donc mon meilleur élément! ».
Thomas répondit par un "Bonjour Monsieur" des plus classiques.
Mr Saint-Martin le fit asseoir et congédia son assistante d'un « Merci Claire, toujours parfaite! » tout en regardant Thomas comme s'il semblait partager ses pensées érotiques.
Le nouveau directeur impressionnait Thomas, c'était sans contestation possible une forte personnalité qui en imposait. Thomas se demandait presque ce qu'il venait faire dans leur Groupe pas si leader que ça dans son secteur, face aux concurrents étrangers... Il l'aurait bien vu sur des postes équivalents, mais dans des boites plus connues...
Bref, anyway se dit-il, on devrait pouvoir bosser sérieusement ensemble et je ne devrais pas y perdre par rapport à l'ancien Dirco bien sympa mais pas aventureux. Du moment qu'il me laisse bosser en me foutant la paix dans mon planning...
- Mon chers Thomas, je vous avoue que j'étais curieux de vous rencontrer. Vous êtes notre meilleur commercial et de loin. Quand je vois les chiffres de vos collègues, j'ai juste envie de virer tout le monde sauf vous! Mais ça, je ne peux pas le faire tout de suite ou facilement, évidemment...
Thomas était soudainement pleinement attentif et concentré, les oreilles bien ouvertes en entendant de tels projets. Certes, tous les commerciaux du Groupe n'avaient pas ses résultats, mais quand même, certains bossaient bien et le nouveau boss voulait tous les virer?!
- Donc mes félicitations mon chers Thomas! Pour être franc, je ne vais pas vous embêter dans votre organisation, mais je compte vous proposer une évolution de votre poste assortie d'une sérieuse augmentation à condition de régler quelques petits détails.
Sean Saint-Martin tout en prononçant ses mots avait fait le tour de son bureau et lui tournait le dos, fixant un tableau insipide accroché au mur avec l'aval de son prédécesseur. Même pas original cette acrylique se disait-il. Faudrait faire mette tout ça à la poubelle et renouveler sérieusement la déco et les couleurs de ce bureau... Comme ce petit doué de Thomas, il va falloir lui refaire la déco, le mettre au pas et s'occuper de sa femme.
Un sourire carnassier, que Thomas ne voyait pas, apparu durant quelques secondes sur le visage du Directeur.
Sean Saint-Martin se retourna d'un seul coup sans prévenir. Thomas ne bougeait plus. La prestance de ce nouveau patron, sa voix, ses propos, son autorité naturelle l'avait réduit au rang de subalterne aux ordres, quasi hypnotisé.
- Pour être franc, mon petit Thomas, j'ai deux problèmes à régler avec vous. Sean Saint-Martin avait changé de ton, s'appuyant des deux mains sur son bureau, se penchant vers lui, le fixant sans sourciller.
- Un, il va falloir que je vous augmente, lui lança-t-il avec un grand sourire et il ajouta :
- Car en plus d'être notre meilleur commercial, vous allez devenir le formateur et le contrôleur de toutes les équipes commerciales de notre Groupe! Vous serez moins chez vous, mais je pense qu'avez une augmentation deux mille euros par mois et un poste officiel de conseiller commercial rattaché au nouveau Directeur Commercial, Madame que j'ai pu apercevoir à notre petite soirée, va comprendre vos absences!
Thomas ne savait comment réagir, il bredouilla :
- « Merci monsieur le Directeur, je ne m'attendais pas à... Merci vraiment, je ne sais que dire... Euh...»
Sean Saint-Martin pratiquait la politique du chaud-froid avec un air consommé et il continua de maîtriser son Thomas avec sa déclaration suivante :
- Le second point que nous avons à régler est plus épineux mon chers Thomas. Il semble que d'après mes informations, vous êtes non seulement mon meilleur commercial mais qu'en plus mère nature vous a doté d'appétits sans limites, n'est-ce pas?
Le Dirco tout en prononçant ses mots venait de lui tendre un mobile sur lequel passait la vidéo filmée dans la pénombre de Thomas en train de s'occuper de la serveuse blonde...
- Et s'il n'y avait que cela mon petit Thomas, ce ne serait rien. Sauter une serveuse dans une soirée pendant que sa femme s'amuse, vous ne seriez pas un démon... Malheureusement, voyez-vous, plusieurs femmes avaient saisi mon prédécesseur quant à vos comportements avec elles... Vu vous résultats, il vous aimait beaucoup et tout a été réglé discrètement sans que son nom n'apparaisse nulle part... Enfin tout à quelques exceptions près qu'il m'a laissé le soin de gérer en m'informant de la situation.
Thomas était pétrifié et ne savait plus quoi dire. Sean Saint-Martin savourait sa victoire en deux coups. Un, une petite caresse sur la truffe. Deux, un bon gros coup de pieds dans les burnes. Le Commercial était au tapis, il s'agissait maintenant de le lier définitivement à lui.
- Pour tout vous dire mon petit Thomas, business is business et je compte bien régler ces histoires sauf qu'un jour vous avez eu le malheur de sauter deux femmes de clients qu'il ne fallait vraiment pas toucher.
Il tendit à nouveau son mobile à Thomas, fit défiler deux photos de deux femmes dans la soixantaine, Thomas les remettait plus ou moins. Deux coups faciles et rapides dans l'arrière d'une boutique pour l'une et dans sa voiture en pleine forêt pour l'autre. En consultant son petit carnet, il retrouverait tous les détails mais ne comptait pas le dire à son nouveau directeur.
Sean Saint-Martin regarda les deux visages, fit une moue dubitative et lança à Thomas :
- Les goûts et les couleurs, hein! Personnellement, je ne leur aurais rien fait (faux, pensa-t-il) mais chacun ses plaisirs! Le problème c'est qu'il s'agit de deux très bons clients, comme vous le savez, et qu'eux exigent que l'affaire ne s'arrête pas là... Visiblement, ils ont en travers que Mr Thomas ici présent se soit occupé de leurs épouses...
Sean Saint-Martin laissa planer un lourd silence. C'est là que tout va devenir pénible, douloureux, long et dur pour mon petit Thomas se disait-il.
Quant à Thomas, il ne pensait plus à sa promesse de promotion mais s'imaginait déjà devant un Tribunal, sa femme en train de le quitter, son boulot perdu, etc. Les deux maris s'épanchant dans la presse, sa boite le poursuivant et lui réclamant des dommages et intérêts... Le cauchemar intégral.
- Thomas, je vais être franc avec vous. Je connais très bien ces deux clients, Je crois pouvoir négocier un arrangement avec eux et vous sauver, mais cela va nécessiter beaucoup d'efforts et de temps de ma part... Ce ne pourra être gratuit, voyez-vous.
Thomas était effondré :
- Vous voulez de l'argent? Combien? murmura-t-il
Sean Saint-Martin éclata de rire
- Thomas, de l'argent? Sérieusement, pour qui me prenez-vous! Nous n'avons que faire de l'argent mon épouse et moi, tout va très bien, par contre... Votre femme nous intéresse beaucoup! Elle est très belle comme vous le savez!
- Ma ma femme? Thomas ne savait plus quoi dire, s'attendant à tout sauf à ça.
- Eh bien oui, Thomas, votre femme. La jeune et belle Maude est charmante et dès le premier regard, elle nous a beaucoup plu pour être franc! Alors je vais être direct avec vous.
Sean Saint-Martin bougeait et virevoltait dans toute la pièce, tournant autour de Thomas, jamais à l'endroit où il le cherchait, faisant tout pour le perturber, il enchaîna :
- C'est très simple Thomas, Soit demain soir à 20h votre femme me rejoint dans ma voiture quand je serai garé devant chez vous. Ne vous inquiétez-pas, dans ces conditions, vous serez déjà en voyage professionnel urgent vers un autre site et dans vos nouvelles fonctions avec votre augmentation annoncée à Madame. Soit, elle ne m'attendra pas, vous vous serez déjà viré, votre femme aura reçu la vidéo de votre dernière escapade et vous pourrez vous apprêter à faire face à vos comportements passés. Simple, non?
Il n'y avait aucune mouche dans le bureau, mais Thomas complètement décomposé avait l'impression de les entendre voler tels des démons invisibles riant de sa déchéance.
- Thomas, pour être franc, je ne crois pas que vous ayez le choix, non? Pour vous rassurer, je ne ferai rien à votre femme, et ma femme non plus, qu'elle ne souhaitera pas absolument faire. Je vous demande une soirée avec elle où elle ne sera forcée à rien, mais où vous l'aurez simplement prévenue que vous avez fait de très grosses conneries que votre nouveau Directeur peut rattraper si elle participe à une soirée seule avec lui. Voilà le deal! Il n'y en aura pas d'autre.
Sean Saint-martin invita Thomas à se relever et déclara dans la foulée :
- Il est 11h. J'attends votre réponse à midi au plus tard! Un sms de votre part me suffira. Bonne journée Thomas, vous pouvez y disposer!
Sean Saint-Martin en avait fini avec sa proie, Thomas se levait comme un boxeur qui vient de subir le K.O de sa carrière. Il avait une heure pour prendre sa décision, mais son directeur savait déjà ce que serait sa réponse.
Si Thomas avait vraiment été courageux ou valeureux, il l'aurait envoyé chier ou lui aurait rigolé au nez dès la vidéo en lui lançant « et alors, vous êtes jaloux, vous espionnez vos salariés? Vous aussi vous voulez terminer devant un tribunal? », mais non, cette petite lopette s'était liquéfiée devant lui en quelques secondess. Pathétique.
Il allait s'occuper de sa femme et lui faire découvrir ce qu'étaient de vrais hommes. Ça allait lui faire drôle au début, mais elle apprécierait, Sean Saint-Martin en était persuadé.
- Claire? lança-t-il d'un ton badin et à voix presque basse
La porte s'ouvrit aussitôt et Claire émergea souriante
- Oui, Monsieur? Que puis-je faire pour vous?
- Ma chère Claire, vous allez raccompagner ce cher Thomas à l'ascenseur, il a été très secoué par toutes les bonnes nouvelles que je viens de lui annoncer et il a besoin de se remettre un peu. Puis vous viendrez me voir ensuite.
- Bien Monsieur, tout de suite, répliqua une Claire aux ordres.
Elle prit Thomas doucement par le bras et une fois sortie du bureau du patron, elle lui confirma ce dont il se doutait un peu. Elle était contre la porte et avait tout entendu.
- Allons, allons. Un nouveau poste, une super augmentation et tous vos problèmes réglés juste pour que votre épouse passe une soirée avec Monsieur Saint-Martin, franchement ce n'est pas un drame et je suis certain qu'elle va adorer sa compagnie!
- Et puis il me tarde de mieux vous connaître, Thomas, Michelle m'a beaucoup parlée de vous!
- Oui, sans doute, bien sûr. Thomas réagissait à peine, il était toujours dans les vaps, incapable de réfléchir quand elle le poussa gentiment dans l'ascenseur.
Claire repartie au galop vers le bureau de son patron, elle le connaissait trop bien dans ces situations. Sean Saint-Martin l'attendait, il était déjà nu et s'était déshabillé durant les 5 minutes qu'il lui avait fallu pour raccompagner Thomas sur le palier de l'étage.
- Ma petite Claire, lui dit-il, votre bouche chaude et accueillante me crie de la remplir. Venez vous occuper de moi!
Claire sourit et s'agenouilla devant son patron après avoir refermé et verrouillé la porte de son bureau.
Elle ouvrit la bouche, Monsieur Saint-Martin y déposa son sexe à demi bandé.
Vraiment, quelle belle bite se dit Claire. Elle ne s'en lassait pas! Un bon 17 ou 19 centimètres sans doute. Pas monstrueuse, mais suffisamment grosse pour faire rêver beaucoup de femmes. Depuis des années, elle connaissait ce sexe avec l'aval de l'épouse de Monsieur Saint-Martin et s'étonnait toujours de le trouver aussi beau et parfait.
Elle savait que la largeur du sexe de son boss allait parfaitement remplir l'ovale de ses lèvres, qu'il allait parfaitement coulisser et l'envahir, s'enfoncer doucement au fond de sa gorge, la remplir totalement, puis se vider sur sa langue d'abord avant de s'enfoncer à nouveau dans sa gorge. Claire savait tout cela mais en savourait chaque moment à l'avance.
Elle savait qu'elle allait une fois encore aimer le goût de son sperme, le sucer férocement et ne pas laisser une goutte se perdre. Elle jouirait de tout cela sans même se toucher comme toujours puis elle aiderait Monsieur Saint-Martin à se rhabiller avant de reprendre son poste.
Cela faisait des années qu'il l'avait formée, la recrutant dans sa vingtaine d'années, elle ne regrettait pas une seule seconde de profiter du sexe de son patron régulièrement. Une micro seconde avant que sa queue ne soit en contact avec ses lèvres, elle ne put résister à lancer sa langue à l'assaut de cette peau si lisse et douce.
Monsieur Saint-Martin observait le dévouement et la passion de Claire pour son membre sachant par avance le plaisir qu'il allait en retirer. Il ne regrettait évidemment pas un seul instant d'en avoir fait son assistante personnelle et professionnelle!
Thomas avait regagné son bureau. Il savait ce qu'il lui restait à faire. Il appela sa femme, lui expliqua brièvement qu'il avait fait une grosse connerie que son patron pouvait régler ou sinon sa carrière serait foutue, mais qu'il y avait une condition à tout cela. Son patron lui avait expressément demande qu'elle passe la soirée avec lui.
Maude l'écouta sans rien dire. La détresse de Thomas, sa voix devenue quasi enfantine, son souffle brisé et perceptible pendant qu'il lui téléphonait, la terreur qu'elle sentait au bout du fil, la tétanisait. Elle ne l'avait jamais vu ou senti dans cet état d'affolement.
Quand il eut fini, elle lui indiqua qu'il n'y avait aucun problème et qu'elle l'aimait : « Rentre vite » ajouta-t-elle avant de raccrocher.
Mais qu'avait bien pu faire Thomas pour se mettre dans un tel pétrin?
Une fois qu'il eut raccroché avec sa femme, Thomas prit son mobile et envoya le SMS qui allait changer leur vie à son Directeur.
Il n'avait même pas parlé à Maude de sa promotion, de son nouveau poste et de son voyage. Ce soir, oui ce soir, il serait temps de tout lui dire.
Enfin presque tout.
Où Thomas ne sait encore rien de ce qui va leur arriver même s'il se doute inconsciemment de quelque chose!
Maude était nue et immobile, figée à quatre pattes, un sourire provocant sur le visage, des lèvres d'un rouge intense gonflées par le désir, au milieu d'un grand lit rond de plus ou moins deux mètres de circonférence. Ce lit tournait lentement sur lui-même au centre d'une pièce dont les lumières étaient focalisées sur ce corps cambré. Le décor ambiant de la pièce se devinait sans vraiment se révéler franchement car en dehors du lit tout était maintenu dans un contraste d'éclairages parfaitement étudiés et donc dans une pénombre assez profonde. C'était comme une scène de théâtre où tout le monde peut voir l'héroïne parfaitement ciblée sous les feux des projecteurs alors que la salle et le reste de la scène sont dans un noir quasi complet.
Cependant, une fois que les yeux s'étaient habitués à la très faible luminosité ambiante en périphérie du lit, on pouvait compter au moins une dizaine de voyeurs rassemblés en cercle autour de Maude à un petit mètre, tels des ombres fantomatiques. Tous semblaient parfaitement immobiles et silencieux, attendant la suite des événements.
Maude avait le visage relevé et les yeux fixés devant elle, passant alternativement sur chaque ombre humaine que le lit tournant lui permettait de deviner. Elle ne montrait aucun signe de la moindre gêne ou peur.
Son corps parfaitement dessiné offrait les rondeurs de ses seins et de ses fesses, cette croupe si désirable que l'on ne pouvait que rêver de saisir à pleines mains, le sillon de son sexe que tous voulaient sans nul doute investir. La ligne de sa colonne vertébrale, tel le lit d'un fleuve ouvrant au gré de son trajet sur les valons enchanteurs du creux de ses reins jusqu'au sillon magique et mystérieux de son anus parfaitement épilé se poursuivait jusqu'à ses grandes lèvres aux rondeurs délicates.
On ne pouvait s'empêcher de continuer à laisser divaguer son regard entre les plis sensuels de son sexe et deviner l'humidité déjà présente.
Hommes ou femmes dans la pièce retenaient leur souffle et rêver d'être un sexe se frottant, pénétrant ou éjaculant sur ce corps, entre ses fesses ou dans son vagin, une bouche et une langue exploratrice du moindre recoin, des mains et des doigts inquisiteurs. La tension était palpable et les respirations de plus en plus présentes et audibles pour Maude.
Dans des poches de pantalon, à travers des braguettes heureusement ouvertes, sous de courtes jupes ou des robes habilement fendues, fouillant et malaxant méthodiquement un sexe, des mains s'agitaient et des corps se tendaient. La main d'une femme montait et descendait lentement sur le sexe maintenant bien tendu de son voisin dont la main droite entourait et caressait les seins d'une autre femme située à côté de lui et qu'il pressait contre son flanc.
Thomas était un des voyeurs qui observait sa femme dans cette posture impudique. Il n'éprouvait pourtant rien sauf une excitation croissante lui aussi. Une forme humaine traversa alors le cercle des voyeurs, un homme s'approchait du lit. Un sexe déjà complètement en érection fit son apparition dans la lumière, plus qu'imposant. Thomas fut jaloux de constater que la queue qui allait sans nul doute pénétrer sa femme dépassait largement le gabarit de la sienne.
L'homme monta sur le lit et se positionna à genou derrière Maude, son visage à cette hauteur restait dans l'ombre. Il posa une main au creux de ses reins forçant encore plus la courbure du dos de son épouse pour qu'elle s'accentue au maximum et il se décala légèrement. Quand le lit amena Maude de dos face à lui, Thomas put constater qu'ainsi cambrée, Maude offrait ses deux orifices comme si elle laissait le choix de de celui à posséder à l'homme qui allait se décider dans quelques secondes. Le sexe de l'homme frottait doucement contre une fesse, avançant ou reculant de quelques centimètres, donnant l'impression d'être une entité indépendante en pleine réflexion quant au chemin à emprunter.
Maude fermait maintenant les yeux, sa respiration était devenue hachée. L'homme se repositionna derrière Maude une main toujours en maîtrise de ses reins, l'autre main plongeant entre ses deux cuisses, toujours par derrière, remontant sur son sexe. Elle glissait d'abord doucement et lentement puis de plus en plus rudement entre les grandes lèvres, forçant leur ouverture et frottant de plus en plus franchement les petites lèvres dans un mouvement régulier de haut en bas. Sa main devint très rapidement brillante des sécrétions de Maude qui commençait à soupirer rythmiquement de plaisir.
En fonction du mouvement de balancier de sa main, le pouce venait presser l'anus de Maude ou le majeur effleurait son clitoris. Ces caresses durèrent suffisamment longtemps pour que Maude arrive à son premier orgasme et se morde les lèvres, la tête toujours relevée, les yeux fermés.
L'homme tout à sa victoire se re positionna derrière Maude, penchée sur elle, les deux mains désormais posées sur ses épaules, il choisit de se présenter à l'entrée de son vagin. Sa taille nécessitait qu'une main prenne fermement la tige qui supportait ce gland pour le diriger parfaitement à l'endroit précis ou Maude serait ainsi transpercée. Ce fut celle anonyme d'une femme noire comme la nuit, sortant de l'ombre des voyeurs. Son visage disait quelque chose à Thomas, mais il n'arrivait pas à mettre un nom sur cette apparition.
L'homme aidé par cette main bienfaitrice appuya soudainement avec toute la force dont il disposait. On avait vu ses abdominaux et les muscles de ses cuisses se contracter sous la violence de l'instant.