Rêves Érotiques - Histoires Erotiques Très Chaudes - Chloe Dubois - E-Book

Rêves Érotiques - Histoires Erotiques Très Chaudes E-Book

Chloé Dubois

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Beschreibung

Dix histoires de sexe pleines d'érotisme. Toutes les histoires érotiques sont vulgaires et écrites dans un langage clair. Veuillez lire les nouvelles uniquement si vous aimez le sexe hard. Scènes hautement sexy et perverses. 1. Réunions Intimes 2. Aux Archives 3. Mon Premier Glory 4. Je Me Branle En Matant Mon Mari Se Branler 5. Le Jardinier 6. Escapade Sexuelle Imprévue Avec Une Jeune Femme 7. Cocu Après Sept Ans De Mariage 8. Ma Premiere Experience Avec Deux Hommes. 9. Baya, Trompe Son Mari Pour La Première Fois 10. Une Copine Ronde Et Frustrée

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Seitenzahl: 113

Veröffentlichungsjahr: 2019

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Rêves Érotiques - Histoires Erotiques Très Chaudes

Rêves Érotiques - Histoires Erotiques Très ChaudesRéunions IntimesAux ArchivesMon Premier Glory HoleJe Me Branle En Matant Mon Mari Se BranlerLe JardinierEscapade Sexuelle Imprévue Avec Une Jeune FemmeCocu Après Sept Ans De MariageMa Premiere Experience Avec Deux Hommes.Baya, Trompe Son Mari Pour La Première FoisUne Copine Ronde Et FrustréePage de copyright

Rêves Érotiques - Histoires Erotiques Très Chaudes

Réunions Intimes

Estelle ne venait jamais traîner dans nos bureaux. Elle travaillait à la comptabilité et j’avais essayé de la draguer à la cantine mais elle m’a jeté après m’avoir laissé débiter mon baratin. Maintenant, j’étais sur une autre petite qui travaillait aux expéditions et ça avançait assez bien au point qu’après l’avoir emmenée au restaurant elle avait bien voulu que je la ramène chez elle et elle avait accepté de me sucer la bite. La prochaine étape…

Je pensais à la prochaine étape quand Estelle a frappé à la porte de mon bureau. Je la voyais au travers des vitres. Qu’est-ce qu’elle voulait ? Je lui ai fait signe d’entrer.

- Dis, m’a-t-elle dit tout de suite, je voudrais que tu me rende un service !

Pour elle, j’étais tout prêt à enclencher la marche arrière et laisser tomber la fille des expéditions.

- Tu peux m’accompagner à une petite fête, m’a demandé Estelle en s’asseyant sur le coin de mon bureau ?

- Oui ! C’est quoi ?

- Euh, tout ce que je sais c’est qu’il faut y aller en couple et je n’ai personne en ce moment !

Je lui aurais bien dit d’aller se faire voir mais elle méritait quand même que je l’accompagne. Elle m’a donné rendez-vous pour le samedi soir suivant.

Elle m’attendait au coin de la rue. J’avais passé toute la semaine à me demander quelle genre de fête nécessitait d’y aller en couple et je voulais en savoir plus. J’avais même imaginé qu’Estelle me tendait un piège pour se venger de mes avances.

- C’est une amie qui m’a branchée, m’a répondu Estelle !

- Et pourquoi tu n’y vas pas avec elle ?

Je me méfiais encore.

- Parce qu’il faut un vrai couple, pas des lesbiennes, m’a encore répondu ma collègue !

- C’est loin ?

- Non, un peu plus loin, dans un immeuble !

Au moins, c’était dans les beaux quartiers, pas dans un bouge. Quand je lui ai demandé comment on entre, Estelle a appuyé sur le digicode.

- Oui, a fait une voix féminine ?

- On va chez Barbara, lui a répondu Estelle et la porte s’est ouverte.

Ça devenait encore plus mystérieux. Nous avons pris l’ascenseur jusqu’au dernier étage. Estelle a sonné à une porte et on nous a ouvert. Il y avait de la musique.

- Monsieur et madame Ch…, a dit ma collègue !

- Oui, c’est ça, lui a répondu la femme en la faisant signer sur une feuille ! Le vestiaire, c’est la première porte à gauche !

C’était bizarre parce qu’il n’y avait rien d’accrocher au mur et encore moins de meubles mais plusieurs caisses de boissons alcoolisées. Estelle m’a attrapé la main et elle m’a emmenée avec elle au vestiaire. Il y avait de tout, du manteau de fourrure jusqu’au soutien-gorge en dentelle. Qui pouvait bien avoir besoin de retirer son soutien-gorge dans une petite fête ? Estelle m’a dit de me déshabiller et sans attendre que je le fasse, elle a retiré ses vêtements puis, avant de sortir du vestiaire, elle m’a dit qu’elle est désolée de m’avoir menti parce que c’est une réunion échangiste puis elle m’a précisé que ce soir, c’est uniquement entre homme et femme et d’ailleurs, dans le couloir, une affiche rappelait cette consigne et elle en ajoutait une autre : pas plus de dix minutes avec la même personne. Estelle m’a emmenée dans la grande salle. Des couples étaient en train de faire l’amour.

Je me disais que c’est bien de fantasmer sur ce genre de truc mais quand on se retrouve en situation… Je me rappelais aussi qu’un jour j’avais eu l’occasion de sauter une très belle femme mais j’avais eu une panne parce que j’étais trop ému. Estelle m’a abandonné et ce que j’ai fait tout d’abord, c’est d’aller me payer un verre au bar puis j’en ai profité pour admirer le spectacle. Les participants étaient bien une trentaine et ils étaient de tous les âges, de dix-huit ans jusqu’à soixante-dix au moins. Ma collègue avait disparu dans la masse de ceux qui baisaient et ne se contentaient pas de regarder.

- Tu viens, chéri, m’a demandé une des femmes et je me suis rendu compte que je bandais. Nous ne sommes pas allés très loin, mais juste devant le bar. Elle m’a forcé à m’asseoir pour pouvoir me sucer la bite puis au bout d’un moment, elle m’a dit de lui lécher la chatte et quelle ne fut pas ma surprise de constater qu’on nous regardait faire, les femmes en caressant la poitrine et les hommes en se branlant puis la femme m’a repoussé en me disant qu’on se reverra plus tard avant de partir avec un autre.

Tout à coup, j’ai aperçu le visage d’Estelle. Elle se faisait prendre dans la bouche pendant qu’elle était empalée sur la bite d’un autre et qu’un troisième l’enculait et je l’ai regardée, fascinée par ce que je voyais. Elle paraissait si sérieuse mais, dix minutes ça passe vite et je me suis précipitée. Je m’attendais à ce que ma collègue me repousse mais elle s’est laissée faire, d’autant plus qu’elle était bien ouverte par ses deux trous puis au bout de dix minutes je suis retourné boire un verre. Estelle a continué et je l’ai vue passer d’une bite à l’autre. Je regardais les seins, les bites, les culs, les chattes. Une femme est venue me faire une pipe mais elle n’a pas insisté. Elle aussi passait de l’un à l’autre. Quelle heure était-il quand Estelle est venue me chercher. Je ne l’ai su qu’une fois remis ma montre. Deux heures du matin ! Il faisait frais sur le boulevard.

- Ne t’avise pas de parler de ça à quiconque, m’a dit ma collègue ! Tu n’as peut-être pas remarqué mais on a pris des photos ! T’imagines si elles circulent ?

J’avais bien fini par m’en douter un peu parce que ce genre de truc.

- T’y va souvent ?

- De temps en temps, m’a répondu Estelle ! T’imagine pas qu’on va y retourner !

- Ah, parce que ça existe aussi pour les lesbiennes, lui ai-je demandé ?

- Oui, et j’ai vais avec ma copine ! Ça existe aussi pour les gays ! Tu veux que je t’inscrive ?

Je n’en avais pas vraiment envie. J’ai laissé Estelle retourner chez elle là où je l’avais retrouvée. Jusque là, j’avais cru que je ne pouvais baiser qu’une fille dont je suis amoureux et cette soirée m’ouvrait des portes. J’ai plusieurs fois demandé à ma collègue de m’y emmener à nouveau mais elle avait toujours une excuse puis elle m’a dit qu’elle me dira où m’inscrire si je me marie. Ne me restait plus qu’à me trouver une femme qui aurait l’esprit assez ouvert pour me partager avec d’autres.

J’ai quand même fini par oublier cette aventure. Je me suis marié à trente ans, avec une fille que j’avais connu très jeune à l’école de mon quartier mais qui avait disparu de mon horizon. J’avais aussi changé de boîte. Je la pensais toujours aussi timide et elle faisait presque la chochotte quand on faisait l’amour puis un jour, elle m’a dit qu’on pourrait aller ailleurs qu’au cinéma.

- Je sais pas ! Tu veux faire quoi ?

- Je sais pas, m’a répondu mon épouse ! Une copine m’a donné l’adresse d’une boîte…

Bon, d’accord, si ça peut pimenter notre vie. J’ai accepté. Un samedi soir, ma femme m’a amené devant un immeuble. Je n’étais jamais venu dans ce quartier. Elle a sonné à l’interphone.

- Oui, a répondu une vois féminine ?

- On va chez Barbara, a ajouté mon épouse et dans ma tête, ça a fait clic mais elle avait déjà poussé la porte et elle me disait de me presser. Nous sommes montés au quatrième étage. Elle a sonné à une porte et une femme nous a ouvert et quand elle a coché notre nom, elle a fait signer ma femme puis elle nous a indiqué le vestiaire. Sur le mur, il y avait une pancarte avec la même typographie, et qui indiquait que les rapports entre hommes sont interdits, que ceux entre homme et femme sont limités à dix minutes et ceux entre femme à une demi-heure.

- Comment as-tu eu cette adresse, ai-je demandé à ma femme pendant qu’on se déshabillait ?

- C’est pas grave, m’a-t-elle répondu ! On va s’amuser ! Tu es jaloux ? Je ne t’ai jamais rien dit quand tu te branles en cachette !

Elle m’a pris la main et elle m’a emmené dans la grande salle. Ce n’était pas très différent de l’autre site.

- Dis-moi laquelle, m’a demandé mon épouse !

- Je ne sais pas ! Celle-là ?

C’était une vraie déesse et elle avait tout un essaim d’amants et d’amantes collés à elle.

- Je suis un laideron à côté d’elle, m’a dit ma femme !

J’ai lui ai mis la main aux fesses et je l’ai poussée. Le minuteur a sonné et la femme a accueilli mon épouse en l’embrassant sur la bouche et je les regardais puis une main a attrapé ma bite.

- Jeune homme, tu veux que je te suce ?

La femme devait avoir dans les soixante. Elle s’est agenouillé devant moi et elle a englouti ma bite dans sa bouche. C’était un vrai délice.

- Tu veux me sauter, m’a encore demandé la femme ? Je voudrais que tu me prennes en levrette !

Je ne m’étais pas rendu compte qu’elle avait abandonné ma bite. Elle s’est mise à quatre pattes et je l’ai prise dans le vagin.

- Tu t’es trompée, m’a fait la femme en tournant sa tête vers moi ! Il faut que tu me prennes dans l’anus !

J’ai rectifié la position.

- Ah, c’est bon, a gémi la femme ! Tu es doué, tu sais ! On pourrait peut-être se rencontrer ailleurs ? Chez moi ?

Je ne quittais pas ma femme des yeux. La nuée qui l’entourait s’était éclaircie et elle prenait maintenant un homme dans la bouche, un autre dans l’anus et un troisième dans le vagin et elle était tout aussi sérieuse que l’avait été Estelle et elle semblait leur dire qu’ils peuvent compter sur elle pour avoir du plaisir. Soudain, ma femme a tourné la tête, écartant de ce fait son amant et le sperme s’est écoulé de sa bouche sur sa joue et son épaule. J’ai laissé tomber la vieille et je me suis rapproché.

- Oui ! Vas-y, a gémi mon épouse et celui qui la prenait dans le vagin a laissé partir son foutre et ça a été le tour de celui qui l’enculait puis elle a essayé de se relever mais une femme l’a embrassée sur la bouche tandis qu’une autre collait ses lèvres sur sa bouche du bas puis celle qui l’avait embrassée en bas a enfoncé ses doigts et elle a poursuivi avec sa main et son poignet et ma femme a attrapé le poignet pour empêcher que la main s’en aille. C’en était trop.

La déesse semblait essuyer le trop plein et d’ailleurs, elle était couverte de sperme des cheveux jusqu’aux pieds. Je me suis approchée. Elle a ouvert les cuisses sans rés****r et je me suis enfoncé dans son vagin. J’ai aussi posé les mains sur ses seins qui ont dégringolé de chaque côté de son torse puis je l’ai prise en levrette.

- C’est votre femme, la petite brune, m’a-t-elle demandé quand je me suis enfoncé dans son anus ?

- Oui, tout de suite là !

- Elle est mignonne ! Ça vous dirait de finir la nuit chez moi ? Continue ! N’arrête pas ! Tu vas me faire jouir !

Il ne restait plus beaucoup d’hommes valides et capable de faire encore l’amour et ils se contentaient de regarder les femmes faire les gouines.

- Ah, c’est bon, m’a dit la femme quand j’ai lâché ma semence ! On se retrouve en bas dans un quart d’heure ?

Elle m’a repoussé pour pouvoir se relever et je suis allé chercher ma femme.

- On y va ?

Elle ne m’a pas répondu mais elle m’a suivi. Nous avons fait une toilette sommaire. Je voulais lui faire la surprise. Quand nous sommes sortis de l’immeuble, la femme nous attendait au volant d’une belle voiture rouge et j’ai fait monter ma femme.

- Toi aussi, m’a fait la femme !

Nous avons roulé jusqu’à une belle propriété aux limites de la ville. Ma femme m’a dit que la femme doit être riche et celle-ci nous a dit d’aller prendre une douche. Dans la salle de bains, il y avait tout et même pour se faire des lavements puis nous sommes retournés dans le salon après avoir enfilé un peignoir.

- Ça vous a plu, nous a demandé la femme ?

- Vous avez fait des photos ?

- Des photos ? C’est une légende, m’a-t-elle répondu mais c’est pareil que dans les camps de nudistes ! Vous aimeriez vous retrouver à la une des journaux ? Le mois prochain, j’organise une petite fête pour les lesbiennes, tu veux venir, a-t-elle demandé à mon épouse ?

- Je suis enceinte, lui a répondu ma femme !

- Pas de ce soir quand même, a demandé la femme ?

- Non, de mon mari !

- Qu’est-ce qu’on pourrait organiser, a semblé réfléchir la femme ? Une soirée avec des femmes enceintes ? Tiens, je vais faire une exception ! Tu seras seul avec une douzaine de femmes enceintes ! Dont ta femme, a-t-elle ajouté ! Pour septembre ? Comme ça ton ventre sera bien gros !

- Vous y serez aussi, lui ai-je demandé ?

- Je ne suis pas enceinte, mais si tu m’engrosse, dans deux semaines… Tu veux bien que ton mari m’engrosse ? Non, en fait, ce n’est pas possible ! Il y a des années que je me suis faite lier les trompes ! Vous voulez revenir me voir ici, chez moi ?

Bien sûr qu’on voulait même si ma femme faisait un peu la tête. On a quand même commencé cette nuit et ma femme a rougi quand notre hôte lui a dit qu’elle a l’air d’aimer le fist.