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Compilation TABOUE E-Book

Best Erotica

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Beschreibung

Compilation totalement TABOUE par les meilleurs auteurs de "Best Erotica" :

5 histoires torrides au prix exceptionnel de 4.99€ seulement !

Retrouvez dans cette anthologie à un prix exceptionnel :

1. La Nounou
2. Apprentissage Intense
3. Un Bébé surprise avec le Docteur
4. Sweet Candy
5. Une Belle Grosse Q****

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Compilation de 5 histoires érotiques

Best Erotica

La Nounou

Depuis son divorce, Paul n’avait plus le temps de penser au sexe.

La garde pleine des enfants, qu’il avait tant désiré, l’obligeait, le soir, à se transformer en super-papa cuisinier, professeur, homme de ménage.

Une fois les deux monstres couchés, il annotait les sujets qui le lendemain seraient à l’ordre du jour et qu’il se devait de connaitre, en bon journaliste reporter, sur le bout des doigts.

Il avait dû sacrifier sa séance de sport quotidienne.

Son corps si avantageux, ses muscles saillants, commençaient à ramollir et, très vite, il se résolu à ce qu’il s’était, au début, refusé : Faire appel à une aide extérieure, embaucher quelqu’un qui s’occuperait des enfants.

Ainsi, il retrouverait son sport quotidien et redonnerait à son corps la dessin d’autrefois et avec lui le désir de séduire par exemple, la nouvelle préposée au courrier, aux jambes longues et fines toujours découvertes, toujours habillée de jupes courtes et de chemises rentrées, boutonnées jusqu’au col, maintenant en cage ses seins qu’il supposait délicieux, à la simple vue du relief qu’ils provoquaient sur son buste.

Il passa commande sur un de ces nouveaux site internet, de mise en relation avec des prestataires de services. Il lui fut notifié que son « aide » avait été avertie, qu’elle avait bien reçu les informations. Qu’elle se mettrait au travail dès demain.

Demain donc, Paul pourrait trainer au bureau sans crainte d’arriver en retard à la sortie de l’école. Demain soir en rentrant, il reprendrait le vélo de salon et tout son corps retrouverait la mouille de la sueur plaquée contre lui par le lycra de ses vêtements sportifs.

Il aimait bien sentir son sexe et ses boules compressés de la sorte, prisonnière de son short moulant. Il aimait cette même pression sur ses tétons pendant qu’il se tuait à courir de plus en plus vite, à soulever de plus en plus de poids, ses muscles grandissant, ses veines s’élargissant pour laisser place à tout cet afflux sanguin d’excitation.

Cette excitation annoncée fit frémir son entre-jambe et, pour la première fois depuis longtemps, Paul eu l’envie de se masturber.

Il défit la braguette de son pantalon, alla cueillir délicatement ses testicules puis, d’un doux mouvement circulaire, il se caressa, fermant les yeux, en pensant à quelques collègues excitantes dans leur tailleur si sérieux et leur chignon strict, tirés à quatre épingles, qu’il se voyait bien défaire avec les dents.

Il saisit son sexe endurci et le branla, haletant, gémissant de plaisir, se caressant l’arrière des cuisses avec sa main libre, soufflant de plus en plus à mesure que la jouissance s’acheminait, augmentant ainsi la cadence, gémissant plus fort à l’idée que ses collègues puissent s’offrir complètement à lui.

Il s’imaginait détruire leur soigneux tailleur, arracher leurs chemises, les maintenir avec poigne à quatre pattes, elles qui étaient si antipathiques avec lui, il se voyait bien les faire fondre de plaintes jouissives. Ces plaintes portèrent à son comble son excitation et il éjacula, à bout de souffle, puis continua à se caresser, un peu, pour se calmer.

Le lendemain matin, alors qu’il se rasait, on sonna.

Surpris, il se rinça rapidement.

Il descendit les escaliers, jeta un coup d’oeil rapide au salon où ses morpions regardaient, en mangeant leur céréales, un dessin animé.

Pensant que ce devait être un de ces jardiniers nomades qui tout les deux mois vous proposent la taille de vos arbres, il démarra sa phrase avant même d’avoir complètement ouvert la porte :

« Désolé pas aujour … »

Sa bouche et son corps tout entier s’arrêtèrent nets à la vision de cette jeune femme qui se tenait devant lui.

Elle était habillée d’une longue jupe noire, d’un pull noir à pois blancs recouvrant une chemise blanche dont le col dépassait sagement. Des collants noirs satinés faisaient briller ses mollets et ses petites chevilles parfaites atterrissaient dans deux mignonnes petites ballerines noires pailletées d’argent.

Elle avait un teint très légèrement halé et des cheveux blonds dont les boucles remontaient juste au dessus de ses fines épaules.

Ses yeux en forme d’amande était mis en valeur par un léger trait de crayon noir ce qui donnait à son regard une incisive sûreté conjuguée à une modeste timidité.

Son nez s’arrondissait parfaitement à sa pointe qu’on aurait dit une pâtisserie, de même que sa bouche, aux lèvres pulpeuses, coloriées d’un rouge vif, presque rose.

- « Bonjour Monsieur Chapuis, je m’appelle Olivia, je suis votre nouvelle aide » dit elle gentiment.

Paul ne parvenait pas à tenir son regard qu’il trouvait trop excitant.

Mais s’il échappait à ses yeux, il était hypnotisé par ses lèvres qui, en bougeant, exerçait sur lui un sentiment étrange mais agréable. L’hypnose venait en partie de sa voix sucrée,

« Comme vous avez souscrit au service école je viens emmener Judith et Macéo ce matin ! »

Il cligna des yeux, s’assurant du caractère réel de ce qu’il était en train de vivre.

« Oui … Oui … Bien sûr … En… entrez » réussit il à dire, plongé dans le tourment.

Olivia l’acheva avec un sourire subtil, discret, qui n’a de largeur que celle du menton, qui fait se découvrir la dentition, ici parfaitement blanches.

Paul la fit entrer et en profita pour regarder ses fesses et il lui semblait que sous cette jupe étaientt accrochés à l’arbre délicat de sa taille fine deux belles pastèques.

- « Au salon ! » dit-il, montrant du doigt, un peu rouge, le salon.

Elle marcha jusqu’au salon et lui, pendu à la porte, regarda ces petits bonds de postérieur enveloppé, moulé, sculpté, par l’élasticité de sa jupe.

Il sentit le frémissement de son entre-jambe et gêné, il se décida à partir sur le champs.

Il prit son attaché-case, enfila son manteau.

- « Attendez ! » dit elle, comme pour le retenir.

Elle se rapprocha, tendit sa main vers lui et lui effleura le visage, toujours ce sourit rentré aux lèvres, les yeux joueurs.

- « Comme ça c’est mieux » ajouta t’elle, déployant son excitant sourire.

Elle venait de lui enlever un petit nuage de mousse à raser qui avait survécu à son rinçage express.

- « Me…Merci »

Il sortit, mis la main sur la poignée.

- « À ce soir » dit elle, innocemment.

- « À ce soir » répondit il, crispé, sans se retourner.

Il ferma la porte.

Olivia allait sur ses vingt trois ans.

Elle étudiait à distance la sociologie et, pour subvenir à ses besoins, travaillait comme femme de ménage et, ou, baby-sitter. Elle était ce qu’on appelait une « aide ».

Des hommes, Olivia ne connaissait que leur désirs mais n’était jamais allé plus loin : Elle était vierge.

Toujours maladroits dans la manière d’exprimer leurs envies, les hommes l’avaient toujours rebuté et elle n’avait jamais rencontré quelqu’un capable, par sa gentillesse et son tact, de la faire fondre. Pourtant, fondre, elle ne demandait que ça, à mesure qu’elle grandissait.

Elle avait hâte, à l’aube de ses vingt trois ans, de trouver enfin celui qui, avec ses yeux la déshabillerait, ses mains lui ôterait ses beaux vêtements, sa langue irait gouter l’humidité de sa chatte, le moelleux de ses seins et la fermeté de ses fesses qu’elle connaissait par coeur, à force de masturbations douces et de plus en plus fréquentes.

Sûrement la vie n’avait pas encore mis sur son chemin celui qui serait à même de lui donner satisfaction. Elle était désireuse d’un défi physique. De se faire soulever, brusquer, malmener tout en écoutant, en murmures tombés dans le coin de son oreille, des paroles parfumées d’amour et de crasse.

Aussi, il faut le dire, n’avait-elle jamais vraiment eu le temps de penser à tout ça, que le désir et, avec lui, son assouvissement, s’étaient réveillés avec sa nouvelle vie beaucoup plus libre et indépendante car, jusqu’à son bac, vivant chez ses parents, obligée de s’occuper de sa grande fratrie, elle n’avait jamais eu le loisir, ni la liberté, de répondre à des avances.

Libre, elle monta à Paris.

En rejoignant Servicio, elle s’amusa à imaginer tomber sur un père de famille beau comme le jour, faisant deux fois sa taille et son poids, capable de la prendre d’une main quand l’autre, par la seule force de sa paume, presserait le fruit de sa chatte, la chatouillerait, la cernerait et lui ferait rendre tout son jus.

Aussi fut elle foudroyée quand elle vu Paul lui ouvrir la porte.

Elle le reconnaissait : Il menait certains reportages de qualité sur une chaine télévision reconnue.

Elle l’avait toujours, de son point de vue de téléspectatrice, trouvé attirant.

Ses reportages étaient à son image : Physique et généreux. Il se mouillait, allait à la pêche au scoop avec engagement, sincérité et une assurance symbolisée dans ce petit sourire viril et parfait.

Lorsque les beaux temps revenaient, il faisait tomber la veste, ouvrait le col et retroussait ses manches, laissant entrevoir de volumineux pectoraux séparés par un sillon creux où elle aurait aimé y faire glisser un doigt.

Elle ne remarqua pas que Paul était confus devant sa beauté.

Cela ne lui traversa même pas l’esprit tant elle était occupée à ne rien laisser transparaitre de son trouble. Ses pectoraux et ses larges épaules lui firent encore plus d’effet qu’à la télévision.

Elle remarqua que ses mains étaient petites mais larges, tout comme sa taille bien ancrée dans de solides cuisses bien mises en valeur par un jeans qui, quand Paul se retourna, rajoutait de la matière au galbe généreux de ses fesses.

Ses yeux bleus, presque gris, accompagnaient parfaitement le poivre et sel de ses cheveux soigneusement coiffés en arrière et, chose étrange, un petit nuage de mousse à raser flottait sur son menton proéminent qui répondait à son nez fin mais long et pointu.

Elle ne put résister à l’envie de lui enlever. Ne put laisser passer cette occasion d’effleurer ce visage d’homme mûre. Au contact de sa peau, un frisson traversa tout son corps et devint chaud. Chaleur qui l’enveloppa toute entière avant de remonter jusqu’au bout de ses seins.

Confuse, elle le regarda partir précipitamment. Sans même lui demander la marche à suivre pour la bonne tenue de la maison et de leurs habitudes.

Heureusement, Judith et Macéo lui donnèrent, sur le chemin de l’école, toutes les informations dont elle avait besoin.

Paul proposa un reportage sur un abattoir où, parait il, la condition animale est plus une fable qu’une réalité juridique.

Toute la journée, il ne fut pas tranquille mais excité : Excité à l’idée de revoir Olivia. Excitée à l’idée de la voir, peut être, habillée d’un tablier dont le noeud, au creux de son dos, juste au dessus de son derrière parfait, constituerait le sceaux protecteur qu’il s’interdit de briser, par respect pour ses deux enfants.

Ce serment lui faisait mal mais il valait mieux, pour eux, ne rien tenter. De plus, il pensait qu’une jeune femme aussi belle devait sûrement avoir un homme qui lui procurait le plaisir que son corps demandait. En tous cas, il pourrait tranquillement préparer son reportage et se remettre au sport sans se soucier si les tables de multiplications sont bien sues ou si les pâtes sont bien cuites.

Tout ceci étant désormais entre les mains de la douce Olivia qu’il ne pouvait néanmoins pas cesser d’imaginer nue, devant lui, lui demandant quelques punitions pour une assiette brisée ou encore, lui attaché, et elle, spatule en main, le dominant et le corrigeant sévèrement pour quelques coups d’oeil mal placés.

Olivia mit de l’ordre dans la maison qui en avait bien besoin. Il lui apparut clairement que Paul était quelque peu dépassé par toutes ses obligations. Elle mit donc du coeur à l’ouvrage et nettoya de fond en comble la demeure.

Quand vint le moment de mettre à laver le linge sale, elle tomba sur les vêtements usagés de Paul qui trainait par terre dans sa chambre. Elle s’amusa à passer une chemise beaucoup trop grande pour elle et s’abandonna aux odeurs qu’elle recelait.

C’était majoritairement celle de la sueur obtenue après, pensait elle, de dure journée de labeur. Il devait rentrer dans cette chambre, exténué, ôter sa chemise imbibée, la mettre par terre et s’effondrer de fatigue sur le lit.

Olivia avait l’habitude des hommes toujours soigneusement parfumés. La sueur était une odeur honnie. Or rien ne l’excitait d’avantage car elle était la promesse d’une débauche d’énergie et s’imaginer Paul, si grand et si bien sculpté, courir partout, perlé du front, tremper sa chemise, était pour elle quelque chose d’infiniment plus désirable que s’il eut été imbibé du dernier Dior. Elle huma encore la chemise pour ne pas perdre une essence de l’odeur et, voyant que l’heure tournait vite, mit la machine en route et partit chercher les enfants.

Paul ouvrit la porte de la maison avec un peu d’appréhension.

Judith et Macéo se précipitèrent pour l’embrasser.

Il les prit dans ses bras, s’avança dans le salon puis dans la cuisine où Olivia finissait de préparer à manger.

La table était déjà dressée. Il n’y avait plus qu’à passer à table.

Paul était partagé entre la joie de ses enfants, le repas près et la propreté du salon et de la cuisine.

Olivia lui expliqua tout ce qu’elle avait fait pendant la journée. Cela convenait parfaitement à Paul qui, décidément, fondait à chaque mots prononcés par Olivia : Réservée, timide, fragile.

Intimidée, Olivia l’était. Elle avait peur d’avoir fait quelque chose de mal et à chaque nouvel étape de son exposé, elle avait peur d’être reprise par Paul. Mais Paul ne lui dit rien. Il acquiesçait, comblé de tant de prévenance envers lui et ses deux enfants.

Elle se décida à partir. Paul lui proposa de rester manger. Poliment et presque à contre-coeur, elle refusa car elle devait étudier.

Paul se dit que c’était mieux comme ça et puis, à partir de maintenant, ils se verraient tous les jours.

Les jours qui suivirent furent radieux pour Paul et Olivia.

Paul put reprendre le sport comme il l’avait voulu au plus grand bonheur d’Olivia qui pu assister à la renaissance de son corps d’athlète délaissé. Déjà le trouvait-elle beau mais là, voir sa carrure s’élargir et s’épaissir, ses muscles remplir le moindre espace des chemises et des jeans pour s’exhiber à elle la remplirent encore un peu plus de désir.

Des fois, il la recevait en t-shirt. Elle pouvait admirer ses biceps au repos puis contractés lorsque Paul portait un objet. Elle aurait voulu sentir leurs contractions, croquer dedans, comme dans une juteuse pêche sucrée.

Elle se délectait des affaires de sport de Paul, empli de cette odeur de l’effort qui l’émoustillait tant. Elle se figurait la douche chaude qu’il devait prendre après et s’imaginait la manière dont il se frottait pour se nettoyer de partout, entre chaque recoin de chaque muscles, chaque sillons, faisant mousser le gel douche dont il dégageait l’odeur tout les matins. Une fraiche odeur d’eucalyptus qui chatouillait encore plus ses petites narines de coquines et venait complété l’éventail des senteurs.

Paul pour sa part, pouvait se lever plus tard, prendre son temps le matin pour se laver, travailler tranquillement, faire son sport et passer du bon temps avec ses enfants, sans s’effondrer de fatigue le soir. Il dormait, mangeait et travaillait mieux.

Olivia était un ange. Un ange sexy et sensuel, toujours habillée comme une petite écolière, avec son petit col qui dépasse du pull, si sage, comme son sourire et sa manière de parler. Elle pris l’habitude d’enfiler le tablier de la cuisine ce qui conforta Paul dans son fantasme. Qu’il était doux d’avoir Olivia chez lui.

Un matin, Paul s’était levé plus tôt pour se rendre au travail de bonne heure.

Olivia arriva comme d’habitude.