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Fusions est un essai qui rend hommage au grand pédagogue Johann Heinrich Pestalozzi ainsi qu’à tous les humanistes. Tout en s’articulant sur les quatre saisons et les quatre éléments, cet ouvrage transmet un message rassembleur et plein d’espoir pour les hommes.
À PROPOS DE L'AUTEUR
Christophe Chaillet écrit dans le but d’exprimer ses idées sans toutefois les imposer aux autres. Dans ce livre qui fait la part belle à son métier de sommelier, ce fils de la terre vous propose son point de vue pour une révolution sociale pacifique, pour un monde heureux.
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Seitenzahl: 50
Veröffentlichungsjahr: 2022
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Christophe Chaillet
Fusions
Essai
© Lys Bleu Éditions – Christophe Chaillet
ISBN : 979-10-377-6929-9
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J’ai écrit ce livre pour tous ceux qui sont fatigués
du « Star-system » et pour tous ceux
qui ont fui les « comme tout le monde »,
l’égoïsme, la compétition, la perfection,
et la bêtise humaine (…).
J’ai écrit ce livre pour tous ceux qui rêvent (encore).
J’ai écrit ce livre pour tous ceux qui carburent
au mérite, à la satisfaction,
à la fierté, à la vocation, au plaisir, à la passion
et au bonheur (…)
- Toutes ces belles choses vécues par le respect
de la liberté et de l’intégrité des Autres ! -
J’ai écrit ce livre pour tous ceux qui souhaitent vivre des Émotions et le Partage.
J’ai écrit ce livre pour tous ceux qui souhaitent vivre de grandes Révélations, des Réponses et
de grands Changements qui soulèvent.
J’ai écrit ce livre pour tous ceux qui souhaitent qu’on leur touche le tréfonds du Cœur.
Et…
J’ai écrit ce livre pour tous ceux qui souhaitent vivre quelque chose de tellement beau,
qu’il vous transcende de l’intérieur…
Le constat est difficilement discutable…
Nous nous sommes engouffrés dans un long, glacial et stérile « tunnel des supplices », au tracé faux, superficiel, limité et friable…
Le perfide opportuniste s’est d’ailleurs autoproclamé seule et unique option possible. L’infâme traquenard s’est emparé du devant de la scène du spectacle (bien ridicule !) de la médiocrité et de la désolation…
Ce manipulateur présomptueux se vante que c’est lui qui change les choses, mais il oublie qu’il le fait avec la même barbarie qu’un rouleau compresseur, en détériorant, voire nuire et menacer la qualité de vie de ses frères, desquels il a pris la précaution machiavélique de bâillonner la parole.
Cet odieux accusateur paranoïaque cherche à faire le plus grand nombre de coupables, de perdants, d’esclaves et de victimes parmi nous.
Ce sournois lâche, n’assumant pas ses erreurs, acceptant encore moins sa position d’infériorité, ses torts, la défaite et la contrariété, est le loup qui fauche des mains du berger, avec cynisme, tout ce que cet estimable a fait fructifier : l’expérience et la peine, lisibles sur son front marqué.
Ce cheval de Troie, infiltré dans les « appareils », altère les relations, la conscience, l’indépendance, l’opinion, les savoirs et les apprentissages de ses proies, avec son « œillère » capturant notre regard ! Il noie l’Information. Ses devises sont : « Diviser pour mieux régner ! » et « Les faibles ont toujours tort ! ».
Ce matérialiste invétéré, s’encombrant de superflu, se précipite de piller la Terre de toutes ses ressources, pour le sacrifice de son confort personnel (si éphémère !).
Ce pollueur mégalomane bouffe de spéculation la campagne, il dévore de sarcasmes la banquise, il saccage la couche d’ozone, les océans, la flore, la faune et les forêts pluviales : tout en expulsant ses autochtones.
Sur son territoire de désert, à la tête de son clan, ce prédateur avide de carnage se sent fort et inébranlable… Mais dès qu’il se retrouve seul, il occulte qu’il est néant…
L’impunité s’est liguée avec l’effroyable pour perpétrer ses massacres et ses crimes pathétiques. Il a fait chavirer la violence et les comportements minables dans ce qu’ils appellent : « la norme » !
Ce fanatique de guerre, de passe-droits et de copinage dévore sans concessions notre liberté et notre tranquillité.
« Le cataclysme » qui s’abat, nous retourne, nous les voyageurs libres en naufragés impuissants, causant un tangage dangereux pour la trame ontologique fraternelle !
Et donc, la proportion grandissante d’entre-nous « déchus » s’aggrave de façon exponentielle…
Puisque maintenant…
- La honte, c’est qu’on n’a plus le droit d’être faible ni d’être différent, de surcroît d’avoir des pensées divergentes – du dogme imposé – au risque, bien sûr, d’être exclu !
- La bêtise, c’est que pour être quelqu’un de reconnu, il faut être celui qui écrase les autres !
- Le drame, c’est que plus personne ne croit en rien, plus personne n’a de rêves :
La peur et le doute lapident l’ambition. La paresse, elle, se réduit à profiter des acquis (de tiers), au lieu d’endosser la douleur de l’effort nécessaire pour parvenir aux destinations radieuses pourvues des rêves/sacerdoces.
L’impatience des desseins de célébrité persécute l’honorifique et les « Mercis ».
Par conséquent, notre quotidien, à l’actualité pourrie, est conduit par cette quête insensée de la perfection (braquée sur l’épouvantable impasse !), la dictature de la performance à tout prix (jusque dans les loisirs !), ainsi que par le fléau de la passivité, de l’influence, de la comparaison, du jugement, de la compétition, de l’égoïsme, de la jalousie, de l’abus, de l’emprise, du racisme, de la discrimination, de l’indifférence, de l’arbitraire, des mensonges, des blocages, du déni, du poison des rumeurs et des suppositions, des regrets, du rejet, des excès, de la corruption, de la course folle aux bénéfices malhonnêtes et par cette soif toxique (jamais inassouvie) du pouvoir !
Alors on subit, on souffre en silence, dans ces marécages de la misère humaine.
On n’est pas heureux, mais on feint de l’être, juste pour sauver les apparences et pour briser ceux qui ne partagent pas nos mêmes affinités…
Et pourtant… on a tout pour bien faire, mais on préfère damner notre temps et s’épuiser à courir derrière la seule chose qu’on ne possède pas. On s’invente une vie qui n’existe pour personne. Aussi, on gaspille nos précieux jours à renvoyer aux autres, le mirage d’une vie facile et envieuse. Mais quelle est la définition d’une vie facile et envieuse ?