Ides et Beowulf
Un conte classique court et explicite
Amber Clark
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Les personnages et les événements décrits dans ce livre sont fictifs. Toute ressemblance avec des personnes réelles, vivantes ou décédées, est fortuite et n'est pas voulue par l'auteur.
Les photos de la couverture sont utilisées à des fins d'illustration uniquement. Le(s) modèle(s) figurant sur la couverture n'ont aucun rapport avec le contenu du livre.
Aucune partie de ce livre ne peut être reproduite, ou stockée dans un système de récupération, ou transmise sous quelque forme ou par quelque moyen que ce soit, électronique, mécanique, photocopie, enregistrement ou autre, sans l'autorisation écrite expresse de l'éditeur.
Tous les personnages représentés sont âgés de 18 ans ou plus. Tous les actes sexuels décrits sont consensuels.
Chapitre 1
Grendel avait été tué, mais sa mère ne s'affligeait pas. Il n'était pas un enfant pour Ides, ou du moins pas le genre d'enfant qu'elle désirait. Il était peut-être sorti de son ventre, mais c'était une bête, un animal sauvage et meurtrier, et elle ne ressentait aucun amour pour lui, tout comme il n'en ressentait aucun pour elle.
La nature destructrice de Grendel avait fait d'elle une paria, vivant seule dans une grotte, loin des villes. La vie n'était pas si mauvaise, et alors qu'elle se baignait dans la cascade scintillante de la grotte ce matin-là, elle se dit que la vie était peut-être en fait assez agréable, ou le serait si elle avait de la compagnie.
Oh, comme les hommes lui manquaient ! Leur toucher, leur odeur et leurs mains fortes sur son corps lui manquaient. C'est le désir de mains fortes qui a déclenché tout ce bazar lorsqu'elle a rencontré une grande bête dans la forêt près de chez elle et qu'elle l'a laissé explorer son petit corps humain. Elle ne s'est pas contentée de le laisser faire, mais s'est délectée de sa présence, de ses besoins bestiaux et de la façon dont sa verge bestiale la remplissait si parfaitement et la faisait jouir jusqu'à ce qu'elle hurle dans l'air calme de la forêt. Si seulement il était resté plus longtemps, s'il l'avait à nouveau comblée, mais non, elle était seule l'été suivant alors qu'elle donnait naissance à sa monstrueuse progéniture.